Leslie NR15 - histoire érotique

Leslie NR15 – Récits nouveaux
Rêve de première fois. J’aurais bien aimé, suite

Installés dans le bureau, nous avons parlé en buvant un verre, Paolo voulait me faire travailler pour tenir le vestiaire, cela me convenait même si au début ce ne serait que de temps en temps.
- Le temps que celle qui est là parte, dans un mois tout au plus.
- Super, dis-je.
Il se leva pour me servir un autre verre et trinquer à cette bonne nouvelle, mais dès qu’il fut debout, je me relevais et me pendis à son cou pour lui faire un petit bisou mutin sur la joue pour le remercier de cette embauche.
- Tu sais magnifique comme tu es, ce serait un crime de te laisser à un autre, me souffla-t-il à l’oreille.
Et il me serra dans ses bras et m’embrassa avec fougue.
- Me laisser à un autre ? Demandais-je.
- Oui laisse-toi faire et tu verras…
Ses mains descendirent aussitôt sur mes fesses, il me butina le cou et les épaules. Je me sentis vibrer et frissonner sous ses caresses expertes, je me suis dit à cet instant que ce jour, j’allais vivre ma première fois et que j’étais prête.
Il me souleva dans ses bras et me déposa dans le canapé.

Il se pencha sur moi et m’embrassa pendant un long moment, dans un baiser fougueux qui me mit le corps en émoi, je n’avais jamais été embrassée ainsi, sa langue virevoltant avec la mienne, tandis que ses mains parcouraient mon corps en de subtiles caresses.
Il releva lentement ma jupe et descendit le string en libérant mon sexe qu’il caressa, puis après avoir ouvert mon chemisier, il me couvrit le ventre de caresses buccales, j’étais aux anges par ses caresses et sa douceur.
Après m’avoir ôté mon soutien-gorge et qu’il était en train de titiller le bout de mes seins avec sa bouche, sa main laissant mon sexe descendit entre mes cuisses et un doigt vint me caresser l’œillet, je gémis et me cambrais légèrement.
En redescendant il en profita pour introduire son doigt dans mon puits d’amour et commença à le bouger en moi, je gémissais de plus en plus de plaisir.
- Pour commencer, tu vas me sucer un peu, pour me rendre bien dur, t’as déjà sucé ?
- Oui, quelque fois, j’adore…

Alors, il se déshabilla, dévoilant un corps d’athlète à la peau couleur caramel, et lorsqu’il retira son slip faisant jaillir une magnifique verge longue et épaisse, circoncise, je fus comme paniquée, pour ma première fois, j’avais tiré un sacré membre, mais l’envie était trop forte, alors….
- Viens, j’ai envie de te sucer, lui dis-je.
Impatiente de sentir son sexe dans ma bouche, m’ayant débarrassé de ma robe, de mon corsage, de mon string et de mon soutien-gorge, il ne me restait que mes talons aiguilles et les bas blancs auto-fixant.
Je me suis mise à genoux sur le sol devant lui, à ses pieds et j’ai saisi sa bite, je la caressais de la main puis, la sentant durcir, j’ai titillé le méat du bout de ma langue pour l’exciter.
Lorsque j’ai senti que sa verge était bien dure, je l’ai englouti de plus en plus profond, allant et venant langoureusement puis de plus en plus rapidement.
J’étais transportée de sentir le plaisir qui montait dans ce sexe palpitant et puissant.
- Tu suce merveilleusement bien, me dit-il.
- Paolo, vas-y, prends-moi maintenant, murmurai-je dans un souffle.
- Oui ma puce, je vais te faire fondre de plaisir, me répondit-il.

Paolo me repoussa doucement, me releva et m’allongea sur le dos sur le canapé, me releva les fesses en posant un coussin dessous et reposa mes pieds sur ses épaules, il étala tendrement une noix de lubrifiant sur ma rosette, mit un préservatif, présenta son membre à l’entrée de mon puits d’amour, il resta un instant ainsi pour me faire sentit son gland à l’orée de mon œillet, je frémis de cette sensation nouvelle pour moi…
Puis il poussa sur mon trou pour en forcer l’entrée, doucement sans brusquerie afin que je sente bien mon petit trou s’ouvrir à son gland inquisiteur, lentement et amoureusement, il força mon anneau en me faisant gémir de douleur et de bonheur d’être bientôt plus vierge…
Le gland une fois passé, il me pénétra doucement, laissant glisser son membre en moi lentement, je me sentais remplie par ce sexe chaud et ardent, un peu meurtrie mais comblée.
Je suis même surprise que pour la première fois aussi, Paolo réussit à me faire mouiller du cul comme une fille en chaleur, je me suis dit que je devais être une chaude du cul.
Il me sodomisa pendant un long moment, me faisant hurler de plaisir dans cette position, puis il me mit en levrette, me pelotant les fesses pendant sa chevauchée, je me sentais femme comme je ne l’avais toujours rêvé.
En me sodomisant Paolo me dit :
- Toi ma puce, tu as le feu aux fesses !
- Tu crois ? Dis-je d’un ton espiègle.
- Tu verras, j’en suis certain !
Se détachant de moi, il s’assit sur le canapé et me demanda de m’empaler sur son sexe, ce que je fis sans discuter, trop heureuse de le rendre heureux et de me faire enculer comme une reine.
Puis, montant et descendant comme une folle sur son membre je hurlais de plaisir, ma queue battant dans l’air, puis il explosa dans mon fondement, un jet de foutre puissant inondant le préservatif.

Le lendemain soir, je tenais le vestiaire de la boîte de nuit de Paolo, ainsi que les jours suivants, et chaque soir, je me faisais belle pour paraître plus séduisante à ses yeux.
Dès le premier soir, Paolo vint me rejoindre dans mon endroit exigu et sans un mot il me sodomisa au milieu des manteaux, debout comme une salope. Puis, comme un rituel ce fut le même scénario chaque soir, reconnaissante envers Paolo je ne disais mot et ne posais aucune question, subissant ses assauts en me mordant les lèvres pour ne pas crier…
Parfois, certains soirs, il m’emmenait chez lui et après m’avoir bien enculé, il me laissait dormir à ses côtés, je me sentais devenir amoureuse et Paolo aurait fait de moi ce qu’il voulait…

Un jour, arrivant à mon travail, je fus interpellée par Paolo, qui dans son bureau me dit :
- Dis-donc, Leslie, tu es très en beauté ce soir…
- C’est pour toi que je me fais belle, lui répondis-je.
- Oui, ça je le crois, mais j’ai remarqué aussi que tu attires le regard de certains clients et même de certaines clientes.
- Et alors ? Dis-je naïvement.
- Et bien, je dois t’avouer que ces personnes sont venus me voir et m’ont demandés si tu étais ouverte à certaines propositions.
- Ohhh, ils ne sont donc pas insensibles à mes charmes.
- Disons qu’ils ont l’impression que tu les allumes en remuant comme tu le fais ton petit cul devant eux, et ils aimeraient aller plus loin avec toi, sachant bien sûr que tu n’es pas une vraie femme !
- De quoi s’agit-il ? Demandais-je intriguée.
- Ces clients cherchent parfois à assouvir leurs fantasmes, faire l’amour avec une femme-homme et tu représentes ce fantasme, et ils aimeraient passer un moment seuls en ta compagnie.
- Tu veux dire qu’ils voudraient coucher avec moi.
- Oui, et si tu acceptes d’assouvir leurs désirs sexuels, ils pourraient discrètement être généreux avec toi.
- Oui mais toi ?
- Ma puce, c’est ta vie, je ne peux t’empêcher de le faire, et puis je serais toujours près de toi, tu te doutais bien que nous ne pourrions pas faire notre vie ensemble.

Paolo, m’expliquait que je pouvais avoir de discrets rapports avec certains clients, voir clientes aussi ! Je compris que je pouvais aussi en tirer un petit bénéfice, alors la tentation se forgea dans mon esprit, mais j’allais perdre Paolo, bien qu’il ne m’avait jamais rien promis, nous n’avions qu’une relation sexuelle et tout au plus d’amants.
Paolo voulait une salope, rien de plus et une tristesse m’envahit, puis une vague de désirs puissants émergea au creux de mon ventre, j’allais faire tourner la tête des hommes comme une petit salope, alors je répondis :
- Pourquoi pas, ça me tente et en fait, mon cul te convient bien !
- Ce n’est pas réciproque ?
- Si bien sûr, dis-je.
Paolo rajouta :
- Tu tortilles du cul devant les hommes et en plus je suis certain que t’as un véritable tempérament de salope, restons amants, ce sera mieux ainsi...
Et se rapprochant de moi, il me fit m’agenouiller en disant :
- Je sais que tu as envie de moi en ces instants, mais bientôt tu auras envie des autres et ce sera eux qui auront tes faveurs, alors…
J’étais retournée et je me suis laissée faire en me mettant à ses pieds à genoux, il avait autant envie de moi, que moi de lui, nous aurions à présent des relations sexuelles sans amour, purement physiques.
Il descendit rapidement sa braguette et son boxer et me présenta sa bite, elle était déjà érigée et luisante de désirs, et me dit :
- Tu vois ma puce, tu me fais toujours bander.
Il gémit assez rapidement sous l’effet de mes caresses buccales, son sexe m’enivra de son odeur musquée et j’étais dans un état quasi second, certainement en pensant que c’était peut-être une dernière fois…

Je l’ai sucé comme si ma vie en dépendait, je voulais lui faire ressentir ce qu’il allait perdre, mais je pense qu’il le savait déjà, mais il me dit :
- Quelle petite vicieuse ! Avoue-le que c’est ta vraie nature, d’être salope !
- Oui, je suis une petite vicieuse et j’adore ça ! Dis-je dans un souffle. Une petite salope…
- Tu t’habille comme, alors je vais t’enculer comme tu le mérites pour bien te montrer que t’en es une…

A suivre…