Leslie NR52 : La dernière soirée et l’aire d’autoroute

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Leslie NR52 : La dernière soirée et l’aire d’autoroute Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie NR52 : La dernière soirée et l’aire d’autoroute
Leslie NR52 – Nouveaux récitsRencontre insolite – La dernière soirée et l’aire d’autoroute
Je m’appelle Kim, j’ai vingt et un ans et je suis transsexuelle.
Dès ma majorité, j’ai quitté le foyer familial, mes parents ne comprenant pas que je désire être fille plutôt que garçon dans la vie. Je travaille dans la restauration depuis trois ans.
De taille moyenne, un mètre soixante-six pour un poids de cinquante-deux kilos, on peut dire que je suis menue, surtout que j’ai tenu à avoir une petite poitrine, à peine formée, pour garder un côté ambigu. Les traits fins je suis brune aux yeux verts, les hanches minces et de petites fesses, confère à ce côté androgyne.
Habillée en femme je fais illusion et beaucoup d’hommes se font prendre au jeu, mais certains ne reculent pas à avoir une aventure avec moi après avoir vu mon sexe. Circoncis au gland rose foncé, il a une taille de dix-huit centimètres et est très épais, quatre centimètres et demi, un beau membre dont je suis fière et que j’arbore sans complexe.
Adepte du naturisme, je suis entièrement épilée et je suis une adepte du non-sous-vêtement, ma petite poitrine me permettant cette extravagance et mon désir de liberté totale me faisant laisser, la plupart du temps, mon sexe libre sous mes jupes courtes.

J’attire souvent des regards interrogateurs sur mon physique quand je marche dans la rue, mes traits féminins donnent l’impression que je suis une femme, mes tenues vestimentaires le laisse à penser, ma démarche aussi, car souvent camper sur des hauts talons, complète l’illusion. Alors il suffit que je me penche en avant ou qu’assise j’entrouvre mes cuisses pour que le doute soit levé.
J’adore provoquée, et aime le sexe…
Il est vingt-trois heure et je roule sur l'autoroute pour rejoindre la capitale. Je rentre à Paris après une saison passée dans le sud.
En roulant en repensant à toutes ces soirées très sexe et très chaudes en compagnie d’hommes ou de femmes, n’ayant aucun apriori sur le sexe de mes partenaires, dès l’instant où aucun tabou entre dans la relation…Et aussi à ces instants lorsque prise de désirs je me laisse aller à des relations sans lendemain, juste pour le sexe, comme pour assouvir mes pulsions sexuelles.

La pensée de cette dernière soirée dans le sud, après le service, vient traverser mon esprit et me fait bander. Une soirée entre deux messieurs m’ayant invité chez eux, tout en conduisant, je me souviens de leurs regards posés sur mon corps dans le restaurant tandis que je les servais. Tout comme moi ils furent clairs sur leurs intentions.

Je viens de les rejoindre, l'un d’eux me demande de me mettre devant lui, et il pose ses mains sur mes jambes, faisant naître une certaine excitation en moi. C’était ma dernière soirée et j'avais vraiment envie d'être baisée sans palabras, dans toutes les positions et sans modération, parfois les désirs sont ainsi.
Je sens ses mains qui me caresse des mollets montent vers le haut de mes cuisses là où le bas se termine, la jarretelle incite à continuer l'ascension vers mon sexe, et mes fesses.
Epilée et délicatement huilée ma peau douce excite au plus haut point mon partenaire assis dans le canapé, une belle bosse en est la preuve......
Ça commence très bien. L'autre mâle ayant maté et constaté que je suis nue sous ma minijupe, vient à son tour pour la soulever et découvrir ma raie du cul toute lisse et odorante de parfum musqué.
Maintenant quatre mains s'occupent de moi, je caresse mes petits seins dont les tétons pointent et m’offre sans pudeur.
L'homme assis me convie à le libérer en me mettant à genoux devant lui, libérer ce membre, qui faisait la bosse aperçue auparavant, et la libérer de sa prison d’étoffe avant qu’elle ne disparaisse dans douce, chaude et humide bouche.
Je ne me fais pas prier et rapidement je suis récompensée par un beau membre circoncis , comme j’aime, de belles dimensions très appréciables, tant en longueur, quand et diamètre.
Pendant ce temps l'autre homme me caresse les fesses et la raie du cul avant de m’enfoncer un doigt, puis deux dans l’anus, en m’intimant de bien sucer son copain à fond.

Je lèche le gland puis toute la queue, ma langue fait des aller-retour gland-couilles le long de la hampe, faisant soupirer et gémir l’homme assis, l’introduction des doigts de l’autre homme est de plus en plus profonde et je soupçonne le copain de me fisté maintenant avec trois doigts, cela ne me déplait pas ainsi je serais bien préparée pour accueillir le membre que je suce…J'ai plusieurs fois pris toute la queue dans ma bouche, et les mouvements et gonflements de ce bon membre m'invite à encore plus la pomper. C'est à ce moment où l'autre monsieur vient à son tour m'offrir sa queue à sucer, un échange quoi, c’est le même modèle en taille et en raideur.
Je m'en empare en me sentant de plus en plus chaude et disponible en voyant le premier sucé se lever, pour se mettre nu en se positionnant derrière moi.
A son tour de me caresser les fesses et d'introduire deux doigts dans mon œillet étroit, comme pour vérifier ma disponibilité de l’accueillir en moi.
Ses doigts vont et viennent en moi, tournent dans un sens puis dans l'autre, j'ondule du cul et lui offre sans pudeur, tout en continuant de pomper son copain.
Mais après un certain moment, excitée comme une puce, je ne désirais plus qu'une seule chose, me faire sodomiser à fond le plus longtemps possible, car j'aime ça.

Je gémis plusieurs fois ce qui excite mes deux complices, je gémis une nouvelle fois en murmurant dans un soupir :- Baisés-moi, je n’en peux plus.
L’homme derrière moi positionne son gland contre ma rondelle et d’un coup m'enfile sans ménagement, surprise par la rapidité de cet acte, mon corps se redresse et de ma bouche ouverte sort un long soupir.
Il sait y faire, je suis enculé par un pro de la sodomie, c'est un véritable délice pour moi d'être bien baisée, car peu d’hommes savent bien le faire, faudrait-il qu’eux même se fassent-ils enculés pour savoir mieux le faire ? Qui sait ?
Pendant un long moment je suis enculée comme une reine, mon conduit commence à chauffer et mon corps est envahi de frissons, je vais jouir, je sens les spasmes de la jouissance monter dans mon corps l’homme se retire puis c'est au tour de l'autre de prendre place en moi, plus fougueux ce qui me plait, et de plus il a, tout en m’enculant de divine façon, de me branler le sexe d’une main…
Le premier a repris place devant moi, apparemment désireux que je le suce à nouveau, alors que je subis toujours les assauts de mon sodomite et que je m’apprête à m’exécuter, une main ferme se pose sur ma tête enfonçant la queue au fond de ma gorge, jusqu’à m'étrangler.
Il ne faut pas très longtemps pour que des soubresauts annoncent l'éjaculation et ma bouche se rempli, puis le membre se retire de ma bouche et alors que je lèche et suce encore un peu le gland, l’autre mâle me tenant fermement par les hanches, me tire vers lui pour s’enfoncer au plus profond de moi et jouir en longues saccades chaudes au fond de mes entrailles.
Nous avons apprécié ce délicieux moment et après un moment, nous nous dirigeons vers la salle de bain pour prendre une douche, puis une coupe de champagne et ensuite, nous nous sommes quittés, sans espoir de revoir…La route de retour m’attendait…
A suivre …

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