Leslie NR58 - Rencontres insolites – Cindy, suite
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie NR58 - Rencontres insolites – Cindy, suite
Leslie NR58 – Nouveaux récitsRencontres insolites – Cindy, suite
A dix-sept ans, j’avais les cheveux longs, un corps mince avec de longues jambes fines et un petit cul rebondi, avec mon physique efféminé et androgyne je faisais de l’effet.
Je pense que ma mère se doutait de quelque chose, mais jamais elle n’aborda le sujey, ma laissant libre de faire mes expériences.
Juste après, ma mère a fait la rencontre d’un homme, avec qui elle passe, chez lui, la plupart de son temps me laissant très souvent seule à la maison.
Mais parfois, son boulot l’obligeait à me laisser seule en présence de son copain, je restais enfermée dans ma chambre afin de ne pas être dérangée.
Un jour après son départ je m'étais allongée pour une petite sieste sur mon lit, habillée en fille, l jupe retroussée laissait entrevoir mon string. Je n’avais, ce jour-là, pas fermé ma porte à clé comme à mon habitude et il me surprit lascive allongée sur mon lit. Il ne dit rien et referma la porte aussitôt.
Les jours suivants, j'échangeais avec l’amant de ma mère des regards pleins de sous-entendus sexuels et il en profitait pour me caresser discrètement les fesses à travers mes jeans en passant près de moi.
Un soir alors que ma mère était au travail il m’a coincé dans un recoin du couloir près de ma chambre il me caressa en me disant :- Un jour tu verras je vais t’enculer !
Puis prenant ma main, il la déposa sur son paquet et je pus constater au travers de son pantalon qu’il était doté d’un très bel appareil génital. C’est à ce moment-là que mes envies de lui naquirent…Ce soir-là dans mon lit je pensais à son membre épais, qu’après avoir sucé, il entrait dans mon petit trou serré.
Mais le silence de la nuit fut troublé par les gémissements de ma mère dans un premier temps, puis par ses hurlements de plaisir, entrecoupés par :- Ohhh, comme tu es gros, espèce de salaud tu ne vas pas encore m’enculer ? Dis ma mère.
- Mais si ma salope comme tous les soirs. Dit-il.
- C’est trop, j’ai encore des douleurs d’hier.
- Ne t’inquiète pas, tu vas t’habituer.
Les hurlements ont redoublé et j’ai imaginé ce membre entré dans le cul de ma mère, glissant son petit trou, j’avais envie d’être à sa place…Puis après un long hurlement le silence est revenu…
Le lendemain, ma mère étant partie tôt, la porte de ma chambre s'entrouvrit, et je l’ai vu, il était là nu dans l’encadrement de la porte de ma chambre, la bite en érectionJ’étais à cet instant, sur le ventre, allongée sur mon lit regardant la télé, ma nuisette au ras de mes fesses nues, cela ne se voyait pas au premier coup d’œil mais j’avais l’anus pluggé.
Il se plaça au pied de mon lit de sorte à me présenter son membre, sans me poser de question, j’ouvris les lèvres et engloutis son membre au fond de ma bouche.
Il me souffla :- Doucement, prend le temps.
Je pris le temps de lui répondre :- J’en avais tellement envie.
Je l’ai sucé un long moment, puis se penchant vers mes fesses il s’aperçut que j’étais pluggé, alors me retournant sur le dos, il m’attira à lui de façon à avoir mes fesses au bord du lit, et il me dit :- Tu as un adorable clitoris, ma chérie.
Penché sur moi, il m’embrassa à pleine bouche en joignant sa langue au baiser et j’ai aussi sentis qu’il m’ôtait le plug de ma rondelle tout huilée, et le vide soudainement crée fut aussitôt remplacé pas sa grosse verge raide qui s’enfonça de toute sa longueur en moi.
Il commença à me pilonner quand je lui demandais :- Oh j'aimerais que tu me sodomise tout en me masturbant le clito.
Au bout d’un instant je ne pus que soupirer dans un râle de jouissance :- Ah que c'est bon d'être une femme !
J’ai joui sur mon ventre avant qu’il ne se retire et me laisse ainsi pantelante de jouissance et je fus surprise de sentir un liquide onctueux couler entre mes cuisses. Je réalisais que c'était le sperme de mon amant qui avait jouit en moi sans que je le sente, toute concentrée sur mon plaisir et qui maintenant s'échappait de mon anus.
Cette relation avec ma mère prit fin trois mois après cet évènement, mais le copain qui devait bien profiter de tous les orifices de ma mère, profita largement de mon cul, qui maintenant devait être fonctionnel.
A dix-huit ans ma sexualité était bien définie, mon allure androgyne s’était encore plus qu’affirmée d’autant qu’ayant commencée les hormones, mes seins commençaient à se former, mes cheveux longs, mon corps svelte et maintenant toujours imberbe, créaient la confusion chez les autres.
Avec mon joli cul cambré, j’étais consciente de plaire à certains hommes d’âge mûr et j’avoue qu’un beau paquet et une longue bite qui déformait un jean avaient le don de me faire saliver.
Le plus souvent en rentrant de la fac, j’avais pris l’habitude de m’habiller en fille pour le restant de la journée, ma mère acceptait cela et même sue je sorte ainsi sous la condition de ne pas me faire surprendre par les voisins ou ses amants de passage.
Ainsi, je pris définitivement consciente de ma féminité et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes, allant même à marcher en talons hauts. La nuit je dormais en nuisette et parfois pluggée pour mon plus grand bonheur.
Ma mère, veuve, était encore très belle et surtout active sexuellement, j’en savais quelque chose. Je savais qu’elle avait souvent un ou des amants, mais cela ne durait pas plus d’une semaine, mais un jour, rentrant plus tôt, je l’ai surprise dans le salon en présence du voisin, elle se faisait défoncer en levrette sur le sofa, lui debout derrière elle. Ils ne m’ont pas vu et discrètement j’ai été dans ma chambre.
Je pense que cette relation était avant tout, pour elle, pratique et hygiénique, afin d’assouvir sa libido encore débordante et surtout de proximité, elle n’avait pas besoin de courir, elle avait ce qu’il lui fallait sous la main.
Mais il allait me falloir redoubler de vigilance et ne pas me faire voir par le voisin en tenue de femme.
Une nuit que ma mère dormait en compagnie du voisin dans sa chambre je me suis levée pour me rendre aux toilettes. Fidèle à mes habitudes, je portais des bas auto-fixant et une petite culotte en dentelle noire, une nuisette et mon anus était pluggée.
Par habitude j’avais négligé de fermer la porte à clef et soudain, alors que j’étais en train de faire mes besoins assis sur la cuvette comme le font les femmes, le voisin poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de son caleçon. Consciente de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposée à ses yeux et sans échappatoire, j’étais tétanisé, incapable de réagir.
Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes d’hésitation, après avoir posé son regard sur la culotte roulée sur mes chevilles, la nuisette, ainsi que sur les bas.
Je sentis une certaine honte et du désespoir pour ne pas avoir tenu ma promesse et m’être faite surprendre ainsi vêtue.
Pendant plusieurs jours j’évitais soigneusement de croiser le voisin dans la rue où lorsqu’il était à la maison.
A suivre…
A dix-sept ans, j’avais les cheveux longs, un corps mince avec de longues jambes fines et un petit cul rebondi, avec mon physique efféminé et androgyne je faisais de l’effet.
Je pense que ma mère se doutait de quelque chose, mais jamais elle n’aborda le sujey, ma laissant libre de faire mes expériences.
Juste après, ma mère a fait la rencontre d’un homme, avec qui elle passe, chez lui, la plupart de son temps me laissant très souvent seule à la maison.
Mais parfois, son boulot l’obligeait à me laisser seule en présence de son copain, je restais enfermée dans ma chambre afin de ne pas être dérangée.
Un jour après son départ je m'étais allongée pour une petite sieste sur mon lit, habillée en fille, l jupe retroussée laissait entrevoir mon string. Je n’avais, ce jour-là, pas fermé ma porte à clé comme à mon habitude et il me surprit lascive allongée sur mon lit. Il ne dit rien et referma la porte aussitôt.
Les jours suivants, j'échangeais avec l’amant de ma mère des regards pleins de sous-entendus sexuels et il en profitait pour me caresser discrètement les fesses à travers mes jeans en passant près de moi.
Un soir alors que ma mère était au travail il m’a coincé dans un recoin du couloir près de ma chambre il me caressa en me disant :- Un jour tu verras je vais t’enculer !
Puis prenant ma main, il la déposa sur son paquet et je pus constater au travers de son pantalon qu’il était doté d’un très bel appareil génital. C’est à ce moment-là que mes envies de lui naquirent…Ce soir-là dans mon lit je pensais à son membre épais, qu’après avoir sucé, il entrait dans mon petit trou serré.
Mais le silence de la nuit fut troublé par les gémissements de ma mère dans un premier temps, puis par ses hurlements de plaisir, entrecoupés par :- Ohhh, comme tu es gros, espèce de salaud tu ne vas pas encore m’enculer ? Dis ma mère.
- Mais si ma salope comme tous les soirs. Dit-il.
- C’est trop, j’ai encore des douleurs d’hier.
- Ne t’inquiète pas, tu vas t’habituer.
Les hurlements ont redoublé et j’ai imaginé ce membre entré dans le cul de ma mère, glissant son petit trou, j’avais envie d’être à sa place…Puis après un long hurlement le silence est revenu…
Le lendemain, ma mère étant partie tôt, la porte de ma chambre s'entrouvrit, et je l’ai vu, il était là nu dans l’encadrement de la porte de ma chambre, la bite en érectionJ’étais à cet instant, sur le ventre, allongée sur mon lit regardant la télé, ma nuisette au ras de mes fesses nues, cela ne se voyait pas au premier coup d’œil mais j’avais l’anus pluggé.
Il se plaça au pied de mon lit de sorte à me présenter son membre, sans me poser de question, j’ouvris les lèvres et engloutis son membre au fond de ma bouche.
Il me souffla :- Doucement, prend le temps.
Je pris le temps de lui répondre :- J’en avais tellement envie.
Je l’ai sucé un long moment, puis se penchant vers mes fesses il s’aperçut que j’étais pluggé, alors me retournant sur le dos, il m’attira à lui de façon à avoir mes fesses au bord du lit, et il me dit :- Tu as un adorable clitoris, ma chérie.
Penché sur moi, il m’embrassa à pleine bouche en joignant sa langue au baiser et j’ai aussi sentis qu’il m’ôtait le plug de ma rondelle tout huilée, et le vide soudainement crée fut aussitôt remplacé pas sa grosse verge raide qui s’enfonça de toute sa longueur en moi.
Il commença à me pilonner quand je lui demandais :- Oh j'aimerais que tu me sodomise tout en me masturbant le clito.
Au bout d’un instant je ne pus que soupirer dans un râle de jouissance :- Ah que c'est bon d'être une femme !
J’ai joui sur mon ventre avant qu’il ne se retire et me laisse ainsi pantelante de jouissance et je fus surprise de sentir un liquide onctueux couler entre mes cuisses. Je réalisais que c'était le sperme de mon amant qui avait jouit en moi sans que je le sente, toute concentrée sur mon plaisir et qui maintenant s'échappait de mon anus.
Cette relation avec ma mère prit fin trois mois après cet évènement, mais le copain qui devait bien profiter de tous les orifices de ma mère, profita largement de mon cul, qui maintenant devait être fonctionnel.
A dix-huit ans ma sexualité était bien définie, mon allure androgyne s’était encore plus qu’affirmée d’autant qu’ayant commencée les hormones, mes seins commençaient à se former, mes cheveux longs, mon corps svelte et maintenant toujours imberbe, créaient la confusion chez les autres.
Avec mon joli cul cambré, j’étais consciente de plaire à certains hommes d’âge mûr et j’avoue qu’un beau paquet et une longue bite qui déformait un jean avaient le don de me faire saliver.
Le plus souvent en rentrant de la fac, j’avais pris l’habitude de m’habiller en fille pour le restant de la journée, ma mère acceptait cela et même sue je sorte ainsi sous la condition de ne pas me faire surprendre par les voisins ou ses amants de passage.
Ainsi, je pris définitivement consciente de ma féminité et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes, allant même à marcher en talons hauts. La nuit je dormais en nuisette et parfois pluggée pour mon plus grand bonheur.
Ma mère, veuve, était encore très belle et surtout active sexuellement, j’en savais quelque chose. Je savais qu’elle avait souvent un ou des amants, mais cela ne durait pas plus d’une semaine, mais un jour, rentrant plus tôt, je l’ai surprise dans le salon en présence du voisin, elle se faisait défoncer en levrette sur le sofa, lui debout derrière elle. Ils ne m’ont pas vu et discrètement j’ai été dans ma chambre.
Je pense que cette relation était avant tout, pour elle, pratique et hygiénique, afin d’assouvir sa libido encore débordante et surtout de proximité, elle n’avait pas besoin de courir, elle avait ce qu’il lui fallait sous la main.
Mais il allait me falloir redoubler de vigilance et ne pas me faire voir par le voisin en tenue de femme.
Une nuit que ma mère dormait en compagnie du voisin dans sa chambre je me suis levée pour me rendre aux toilettes. Fidèle à mes habitudes, je portais des bas auto-fixant et une petite culotte en dentelle noire, une nuisette et mon anus était pluggée.
Par habitude j’avais négligé de fermer la porte à clef et soudain, alors que j’étais en train de faire mes besoins assis sur la cuvette comme le font les femmes, le voisin poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de son caleçon. Consciente de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposée à ses yeux et sans échappatoire, j’étais tétanisé, incapable de réagir.
Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes d’hésitation, après avoir posé son regard sur la culotte roulée sur mes chevilles, la nuisette, ainsi que sur les bas.
Je sentis une certaine honte et du désespoir pour ne pas avoir tenu ma promesse et m’être faite surprendre ainsi vêtue.
Pendant plusieurs jours j’évitais soigneusement de croiser le voisin dans la rue où lorsqu’il était à la maison.
A suivre…
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