Leslie RE01
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Leslie RE01
Leslie RE01 – Rêves.
Rêverie d’enfance, premiers pas…
La vie est ainsi faite, chaque nuit nous rêvons, parfois le souvenir de ce rêve reste en nous et parfois il disparait, s’effaçant de notre mémoire à tout jamais, mais parfois il reste en notre mémoire et au petit matin on s’en souvient…
Ceux dont je me souviens et qui sont encore dans ma mémoire me donne l’occasion d’écrire une nouvelle série, dans ces récits de mes rêves, de mes fantasmes ou de mes confidences intimes, il y a beaucoup d’intimité et parfois certains de mes fantasmes.
D’ailleurs parfois, certains me hantent encore et d’autres même je les ai fait parfois plusieurs fois, venant hanter mes nuits et me laissant à mon réveil, pour certains, en en sueur, parfois haletante et pleine de désirs, prête à faire n’importe quoi…
Nous rêvons de situations parfois peu improbables, des situations qui nous font vivre des moments irréels ou des phénomènes sortant de la réalité, qui n’a pas rêvé de gros sexe et de se faire prendre par des membres aux dimensions hors normes, faire l’amour dans des lieux insolites ou vivre des situations, parfois, à peine croyables.
C’est le lot des rêves que nous faisons la nuit, mais je pense que vous allez comprendre pourquoi, voici une première série de mes rêves que je vais vous conter…
« Lorsque j’étais jeune adolescent, pas encore Leslie la transexuelle que je suis aujourd’hui, simplement Lilian, j’ai fait un rêve étrange me prédisposant peut-être à ma vie future.
Bien sûr, déjà à cette époque, j’étais disposé à devenir celle que je suis maintenant car j’avais à l’époque déjà un physique pouvant porter à la confusion, d’ailleurs les amies de ma mère disaient gentiment que j’ai un visage d’ange.
Dans ce rêve mes parents m’avaient loué un appartement pour que j’étudie tranquillement et pour que j’aie une certaine autonomie, et je me voyais acheter des fringues féminines pour me travestir sitôt seul dans mon appartement.
Sensations extraordinaires. Je me trouvais belle dans ces habits en me contemplant dans le miroir de la chambre.
A chaque occasion, je fonçais faire les magasins pour étoffer et améliorer ma garde-robe. Rapidement, je me retrouvais avec plusieurs paires de chaussures et différentes possibilités d’ensembles. Des produits de maquillage, une perruque et divers bijoux et accessoires venaient compléter la panoplie.
Chaque soir c’était le même cérémonial, je m’habillais avec mes nouvelles acquisitions, passais un long moment à me maquiller et finissais par une séance de masturbation devant le miroir.
Je rêvais quand rentrant dans un magasin, on me lance un :
- Bonjour Mademoiselle !
Dans mon rêve je me voyais un jour, lors d’un week-end, habillé et maquillé come prêt pour sortir et vivre ma vie de femme.
J’avais les cheveux longs m’arrivant jusqu’aux épaules, en sous-vêtements habillé d’un ensemble culotte soutien-gorge, noir et rose, en dentelle et satin.
Un tailleur veste-pantalon noir avec de fines rayures blanches et complété par une paire d’escarpins à petits talons.
Un coup d’œil dans le miroir pour vérifier ma beauté et c’est à cet instant que la porte de la chambre, que j’avais oublié de fermer à clé, s’ouvre.
- Salut, c’est moi !
Alain, mon meilleur ami, est dans l’encadrement de la porte et il me regarde en demandant
- Excusez-moi, je suis bien chez Lilian ?
- Oui lui répondis-je, c’est moi !
- Ohhh, putain, je ne t’aurais pas reconnue, t’es drôlement belle, enfin beau !
Tout en parlant, je sentais Alain, me reluquer de la tête aux pieds, et je voyais bien qu’il allait me draguer, je savais par les bruits qui courraient qu’Alain allait avec les filles, mais aussi avec les mecs.
- Tu sais t’es bien fringuée et finalement tu n’es pas si mal en gonzesse.
- Mais…
- Tu aimes t’habiller en femme, pas de problème pour moi, d’ailleurs je te trouve très bandante ainsi fringué.
- Tu trouves…
- Ouais ! T’es vraiment superbe et sache que tu m’excites beaucoup.
Et il commença à me draguer ouvertement en me disant que je le faisais bander et qu’il s’occuperait bien de mon petit cul, d’ailleurs il me dit :
- Ca me changerait des mecs en ayant l’impression d’enculer une gonzesse ;
Et Alain descendit lentement sa main vers sa braguette, l’ouvrit délicatement et sortit son chibre turgescent et doucement se mit à se masturber.
Complètement interloqué, je lui dis :
- Mais… Alain ! Ça ne va pas ?
- Si, d’ailleurs tu pourrais commencer par me faire une bonne petite pipe !
- Quoi ? T’es malade !
- Moi ? Non, et si tu le veux bien, tu seras ma petite pute et je t’enculerais tous les jours.
- Mais…
- Allez, laisses-toi aller, et puis je suis certain que tu en meurs d’envie ! Sinon pourquoi t’habiller en femme ?
- Mais je n’ai jamais sucé !
- Je vais t’apprendre et tu verras tu seras une vraie pro ensuite.
- Et j’ai le petit trou vierge !
- Super, j’adore les petits trous serré.
Alain se leva d’un bond et, avant que je puisse effectuer le moindre geste, se planta devant moi. Il attrapa l’arrière de ma tête et la ramena vers son sexe dressé.
J’en étais à quelques millimètres, sa pression sur le haut de ma nuque se faisait de plus en plus forte et son sexe dressé devant moi et vint heurter mes lèvres.
Mon dieu, non ! Il était énorme. Je détournais les yeux, à la recherche d’une excuse de dernière seconde, bien que j’en aie envie.
Je m’aperçus alors dans les portes miroirs de l’armoire murale du salon et je vis une belle brunette, assise face à un mec qui allait lui empaler la bouche.
L’effet sur moi fut immédiat, je bandais instantanément, heureusement j’étais assis, Alain ne pouvait le remarquer…
Sa queue se faisait toujours plus pressante. J’étais tiraillé entre ce qu’on allait faire et l’excitation de la scène. N’était-ce pas là le fantasme que j’espérais depuis que je m’habillais en femme ?
Son sexe butait maintenant régulièrement sur mes lèvres et ma résistance ne faisait que renforcer son excitation et son impatience.
- Arrête de faire ta mijaurée ! Tu vas sucer, salope !
Je jetais un œil vers le miroir mural et décidais d’aller au bout de l’expérience. Après tout je pouvais être fière d’être désirée par un homme, cela prouvait que j’étais belle. De plus, Alain était réputé pour ses conquêtes. C’était un beau garçon, alors je desserrais les dents, mes instincts et mes envies secrètes ayant finalement pris le dessus…
A peine ma bouche fut-elle entrouverte que son sexe y pénétra violemment. Manquant de m’étouffer, j’essayais de me reculer, en vain. Alain me tenait toujours fermement la tête.
Il enfonça son sexe aussi loin que possible. J’eu un hait le cœur et sa queue d’un coup sa se retira.
En relevant les yeux vers Alain, je le vis surexcité. Il me dit :
- Alors tu vois, petite garce ! Ce n’est pas la mer à boire ! Allez, ouvre grand qu’on s’amuse un peu.
Complètement déboussolé, je m’exécutais. Une fois de plus son sexe s’imposa dans ma cavité buccale. Puis Alain entama un mouvement de va-et-vient, prenant ma bouche pour un sexe féminin. Toutes les deux secondes, j’avais l’impression qu’on voulait m’étouffer.
- Ouvre grand ta bouche, tu me fais mal avec tes dents.
J’obéis. Il m’avait anéanti, je sentais maintenant que j’obéirais à tout ce qu’il me demanderait. Je continuais à nous regarder dans la glace et je trouvais le spectacle très excitant.
Je me sentais belle, fragile et surtout femme. Tout ce dont je rêvais depuis des mois, Alain qui me le faisait découvrir. À sa façon, certes, mais je devinais que je lui devais beaucoup.
Aussi y mis-je un peu du mien.
Petit à petit ma langue tourna autour du gland. C’était difficile, car Alain continuait à me défoncer la mâchoire. Cependant, il perçut mes efforts et relâcha son étreinte sur ma nuque. Lentement, délicatement j’embrassais ce sexe fièrement dressé.
J’essayais de me rappeler ce que j’avais vu dans certains films pornos. Je tenais la trique entre mes lèvres serrées tout en parcourant les bords du gland avec la langue, massant les testicules en même temps.
Après l’avoir bien léché, je le pompais avidement jusqu’à en avoir des crampes aux joues. De temps en temps, je prenais du repos, en le branlant doucement, délaissant sa queue pour lui lécher délicatement les couilles. Il avait l’air d’aimer ça, malgré ma maladresse de débutant. Cette fois-ci c’est moi qui menais la danse. J’allais et venais, doucement, en faisant attention que mes dents ne le blessent pas.
- Mais on dirait que tu y prends goût ! T’es vraiment qu’une grosse pute sous tes airs de jeunette effarouchée !
Devant ces encouragements et pour lui faire plaisir, j’essayais d’enfoncer son pénis le plus loin possible dans la bouche. Un haut-le-cœur me rappela rapidement que c’était la première fois et qu’il fallait que je m’habitue. Je me forçais tant bien que mal et, peu à peu, pompais sur un rythme soutenu.
Un regard dans le miroir me renvoya l’image d’une véritable chienne en chaleur. J’étais excité au plus haut point. Au milieu des respirations saccadées et des bruits de succion, j’entendis les premiers gémissements d’Alain. Le sentant au bout, je le masturbais encore plus vite en accompagnant ma bouche de ma main.
Soudain il me repoussa violemment dans le fauteuil, attrapa son sexe, se masturba énergiquement tout me reprenant la nuque.
- Ouvre la bouche et tire la langue, pétasse !
Je m’exécutais, sachant trop bien ce qui allait se passer. La bouche grande ouverte, les yeux fermés, j’attendis l’explosion. Avec un râle profond, Alain m’éjacula en pleine face. Cela devait faire un moment qu’il n’avait pas fait l’amour car ce fut un véritable raz-de-marée. Une première giclée éclaboussa mon visage par un liquide chaud et visqueux. La deuxième vint remplir le fond de ma gorge, au point que je ne pus déglutir.
Par réflexe, je recrachais la semence.
Enfin la troisième giclée vint s’échouer sur mon cou et le haut de ma chemise
En regardant son sexe toujours dressé je me demandais ce qui allait se passer maintenant.
Alain rentra son sexe dans son pantalon et partit rapidement en disant :
- Tiens-toi prête, je reviendrais te voir !
Perplexe, assise dans mon fauteuil, je gambergeais longuement sur ce qui venait de se produire et sur ce qui allait se passer prochainement, avec Alain, même s’il m’avait un peu poussé, je ne m’étais jamais sentie aussi femme.
Mais étais-je prête à lui offrir ma virginité anale ? »
Ce rêve est revenu plusieurs fois dans mes nuits, mais jamais je n’ai rêvé qu’Alain me prenait par le petit trou et de fait, que je perdais avec lui ma virginité Alain…
A suivre…
Rêverie d’enfance, premiers pas…
La vie est ainsi faite, chaque nuit nous rêvons, parfois le souvenir de ce rêve reste en nous et parfois il disparait, s’effaçant de notre mémoire à tout jamais, mais parfois il reste en notre mémoire et au petit matin on s’en souvient…
Ceux dont je me souviens et qui sont encore dans ma mémoire me donne l’occasion d’écrire une nouvelle série, dans ces récits de mes rêves, de mes fantasmes ou de mes confidences intimes, il y a beaucoup d’intimité et parfois certains de mes fantasmes.
D’ailleurs parfois, certains me hantent encore et d’autres même je les ai fait parfois plusieurs fois, venant hanter mes nuits et me laissant à mon réveil, pour certains, en en sueur, parfois haletante et pleine de désirs, prête à faire n’importe quoi…
Nous rêvons de situations parfois peu improbables, des situations qui nous font vivre des moments irréels ou des phénomènes sortant de la réalité, qui n’a pas rêvé de gros sexe et de se faire prendre par des membres aux dimensions hors normes, faire l’amour dans des lieux insolites ou vivre des situations, parfois, à peine croyables.
C’est le lot des rêves que nous faisons la nuit, mais je pense que vous allez comprendre pourquoi, voici une première série de mes rêves que je vais vous conter…
« Lorsque j’étais jeune adolescent, pas encore Leslie la transexuelle que je suis aujourd’hui, simplement Lilian, j’ai fait un rêve étrange me prédisposant peut-être à ma vie future.
Bien sûr, déjà à cette époque, j’étais disposé à devenir celle que je suis maintenant car j’avais à l’époque déjà un physique pouvant porter à la confusion, d’ailleurs les amies de ma mère disaient gentiment que j’ai un visage d’ange.
Dans ce rêve mes parents m’avaient loué un appartement pour que j’étudie tranquillement et pour que j’aie une certaine autonomie, et je me voyais acheter des fringues féminines pour me travestir sitôt seul dans mon appartement.
Sensations extraordinaires. Je me trouvais belle dans ces habits en me contemplant dans le miroir de la chambre.
A chaque occasion, je fonçais faire les magasins pour étoffer et améliorer ma garde-robe. Rapidement, je me retrouvais avec plusieurs paires de chaussures et différentes possibilités d’ensembles. Des produits de maquillage, une perruque et divers bijoux et accessoires venaient compléter la panoplie.
Chaque soir c’était le même cérémonial, je m’habillais avec mes nouvelles acquisitions, passais un long moment à me maquiller et finissais par une séance de masturbation devant le miroir.
Je rêvais quand rentrant dans un magasin, on me lance un :
- Bonjour Mademoiselle !
Dans mon rêve je me voyais un jour, lors d’un week-end, habillé et maquillé come prêt pour sortir et vivre ma vie de femme.
J’avais les cheveux longs m’arrivant jusqu’aux épaules, en sous-vêtements habillé d’un ensemble culotte soutien-gorge, noir et rose, en dentelle et satin.
Un tailleur veste-pantalon noir avec de fines rayures blanches et complété par une paire d’escarpins à petits talons.
Un coup d’œil dans le miroir pour vérifier ma beauté et c’est à cet instant que la porte de la chambre, que j’avais oublié de fermer à clé, s’ouvre.
- Salut, c’est moi !
Alain, mon meilleur ami, est dans l’encadrement de la porte et il me regarde en demandant
- Excusez-moi, je suis bien chez Lilian ?
- Oui lui répondis-je, c’est moi !
- Ohhh, putain, je ne t’aurais pas reconnue, t’es drôlement belle, enfin beau !
Tout en parlant, je sentais Alain, me reluquer de la tête aux pieds, et je voyais bien qu’il allait me draguer, je savais par les bruits qui courraient qu’Alain allait avec les filles, mais aussi avec les mecs.
- Tu sais t’es bien fringuée et finalement tu n’es pas si mal en gonzesse.
- Mais…
- Tu aimes t’habiller en femme, pas de problème pour moi, d’ailleurs je te trouve très bandante ainsi fringué.
- Tu trouves…
- Ouais ! T’es vraiment superbe et sache que tu m’excites beaucoup.
Et il commença à me draguer ouvertement en me disant que je le faisais bander et qu’il s’occuperait bien de mon petit cul, d’ailleurs il me dit :
- Ca me changerait des mecs en ayant l’impression d’enculer une gonzesse ;
Et Alain descendit lentement sa main vers sa braguette, l’ouvrit délicatement et sortit son chibre turgescent et doucement se mit à se masturber.
Complètement interloqué, je lui dis :
- Mais… Alain ! Ça ne va pas ?
- Si, d’ailleurs tu pourrais commencer par me faire une bonne petite pipe !
- Quoi ? T’es malade !
- Moi ? Non, et si tu le veux bien, tu seras ma petite pute et je t’enculerais tous les jours.
- Mais…
- Allez, laisses-toi aller, et puis je suis certain que tu en meurs d’envie ! Sinon pourquoi t’habiller en femme ?
- Mais je n’ai jamais sucé !
- Je vais t’apprendre et tu verras tu seras une vraie pro ensuite.
- Et j’ai le petit trou vierge !
- Super, j’adore les petits trous serré.
Alain se leva d’un bond et, avant que je puisse effectuer le moindre geste, se planta devant moi. Il attrapa l’arrière de ma tête et la ramena vers son sexe dressé.
J’en étais à quelques millimètres, sa pression sur le haut de ma nuque se faisait de plus en plus forte et son sexe dressé devant moi et vint heurter mes lèvres.
Mon dieu, non ! Il était énorme. Je détournais les yeux, à la recherche d’une excuse de dernière seconde, bien que j’en aie envie.
Je m’aperçus alors dans les portes miroirs de l’armoire murale du salon et je vis une belle brunette, assise face à un mec qui allait lui empaler la bouche.
L’effet sur moi fut immédiat, je bandais instantanément, heureusement j’étais assis, Alain ne pouvait le remarquer…
Sa queue se faisait toujours plus pressante. J’étais tiraillé entre ce qu’on allait faire et l’excitation de la scène. N’était-ce pas là le fantasme que j’espérais depuis que je m’habillais en femme ?
Son sexe butait maintenant régulièrement sur mes lèvres et ma résistance ne faisait que renforcer son excitation et son impatience.
- Arrête de faire ta mijaurée ! Tu vas sucer, salope !
Je jetais un œil vers le miroir mural et décidais d’aller au bout de l’expérience. Après tout je pouvais être fière d’être désirée par un homme, cela prouvait que j’étais belle. De plus, Alain était réputé pour ses conquêtes. C’était un beau garçon, alors je desserrais les dents, mes instincts et mes envies secrètes ayant finalement pris le dessus…
A peine ma bouche fut-elle entrouverte que son sexe y pénétra violemment. Manquant de m’étouffer, j’essayais de me reculer, en vain. Alain me tenait toujours fermement la tête.
Il enfonça son sexe aussi loin que possible. J’eu un hait le cœur et sa queue d’un coup sa se retira.
En relevant les yeux vers Alain, je le vis surexcité. Il me dit :
- Alors tu vois, petite garce ! Ce n’est pas la mer à boire ! Allez, ouvre grand qu’on s’amuse un peu.
Complètement déboussolé, je m’exécutais. Une fois de plus son sexe s’imposa dans ma cavité buccale. Puis Alain entama un mouvement de va-et-vient, prenant ma bouche pour un sexe féminin. Toutes les deux secondes, j’avais l’impression qu’on voulait m’étouffer.
- Ouvre grand ta bouche, tu me fais mal avec tes dents.
J’obéis. Il m’avait anéanti, je sentais maintenant que j’obéirais à tout ce qu’il me demanderait. Je continuais à nous regarder dans la glace et je trouvais le spectacle très excitant.
Je me sentais belle, fragile et surtout femme. Tout ce dont je rêvais depuis des mois, Alain qui me le faisait découvrir. À sa façon, certes, mais je devinais que je lui devais beaucoup.
Aussi y mis-je un peu du mien.
Petit à petit ma langue tourna autour du gland. C’était difficile, car Alain continuait à me défoncer la mâchoire. Cependant, il perçut mes efforts et relâcha son étreinte sur ma nuque. Lentement, délicatement j’embrassais ce sexe fièrement dressé.
J’essayais de me rappeler ce que j’avais vu dans certains films pornos. Je tenais la trique entre mes lèvres serrées tout en parcourant les bords du gland avec la langue, massant les testicules en même temps.
Après l’avoir bien léché, je le pompais avidement jusqu’à en avoir des crampes aux joues. De temps en temps, je prenais du repos, en le branlant doucement, délaissant sa queue pour lui lécher délicatement les couilles. Il avait l’air d’aimer ça, malgré ma maladresse de débutant. Cette fois-ci c’est moi qui menais la danse. J’allais et venais, doucement, en faisant attention que mes dents ne le blessent pas.
- Mais on dirait que tu y prends goût ! T’es vraiment qu’une grosse pute sous tes airs de jeunette effarouchée !
Devant ces encouragements et pour lui faire plaisir, j’essayais d’enfoncer son pénis le plus loin possible dans la bouche. Un haut-le-cœur me rappela rapidement que c’était la première fois et qu’il fallait que je m’habitue. Je me forçais tant bien que mal et, peu à peu, pompais sur un rythme soutenu.
Un regard dans le miroir me renvoya l’image d’une véritable chienne en chaleur. J’étais excité au plus haut point. Au milieu des respirations saccadées et des bruits de succion, j’entendis les premiers gémissements d’Alain. Le sentant au bout, je le masturbais encore plus vite en accompagnant ma bouche de ma main.
Soudain il me repoussa violemment dans le fauteuil, attrapa son sexe, se masturba énergiquement tout me reprenant la nuque.
- Ouvre la bouche et tire la langue, pétasse !
Je m’exécutais, sachant trop bien ce qui allait se passer. La bouche grande ouverte, les yeux fermés, j’attendis l’explosion. Avec un râle profond, Alain m’éjacula en pleine face. Cela devait faire un moment qu’il n’avait pas fait l’amour car ce fut un véritable raz-de-marée. Une première giclée éclaboussa mon visage par un liquide chaud et visqueux. La deuxième vint remplir le fond de ma gorge, au point que je ne pus déglutir.
Par réflexe, je recrachais la semence.
Enfin la troisième giclée vint s’échouer sur mon cou et le haut de ma chemise
En regardant son sexe toujours dressé je me demandais ce qui allait se passer maintenant.
Alain rentra son sexe dans son pantalon et partit rapidement en disant :
- Tiens-toi prête, je reviendrais te voir !
Perplexe, assise dans mon fauteuil, je gambergeais longuement sur ce qui venait de se produire et sur ce qui allait se passer prochainement, avec Alain, même s’il m’avait un peu poussé, je ne m’étais jamais sentie aussi femme.
Mais étais-je prête à lui offrir ma virginité anale ? »
Ce rêve est revenu plusieurs fois dans mes nuits, mais jamais je n’ai rêvé qu’Alain me prenait par le petit trou et de fait, que je perdais avec lui ma virginité Alain…
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