Leslie RE07
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie RE07
Leslie RE07 – Rêves.
Le gros sexe du père de mon amie Clara, suite et fin
« Je n’ai parlé de rien à Clara, mais lors du diner du soir j’ai bien sentis les yeux des deux femmes sur moi, car elles avaient bien remarqué qu’Ugo me regardait bien souvent et d’un drôle d’air.
Après le diner, la mère de Clara vint me retrouver dans ma chambre et m’expliqua qu’elle avait deviné les désirs de son mari à mon égard, mais cela lui importait peu car cet homme l’avait déjà trompé, mais en couple libre elle acceptait car elle aussi se permettait des aventures extra-conjugales de temps en temps. Elle me demanda juste de faire attention à ce que sa fille, Clara, ne soit au courant de rien.
Je me suis endormie en pensant que si je me faisais casser le cul par le père de mon amie, et que ce serait avec l’assentiment de sa mère
Le lendemain, Ugo est venu me réveiller, en m’annonçant que les femmes étaient parties pour la journée et que je pouvais descendre prendre le petit déjeuner.
A cet instant il porte un grand peignoir en éponge et je remarque qu’il s’est coiffé et rasé, en fait il est prêt pour reprendre notre aventure, alors, je sors du lit, décoiffée et ne portant qu’un long tee-shirt jusqu’à mi-cuisses, nue dessous, laissant admirer mes jambes et ma poitrine moulée dans la fine étoffe.
Je bâille et m’étire langoureusement en levant les bras, faisant volontairement saillir ma petite poitrine dont les pointes dressées marquent encore plus le tissu et laisse certainement mon sexe découvert que le tissu ne cache plus.
- Alors Leslie… As-tu bien dormi ? demande Ugo.
- Oh oui ! Comme une marmotte, dis-je en me frottant les yeux.
- Super !
- Je prendrais bien une douche avant de descendre prendre un petit café et déjeuner.
- Il y a des croissants et le café est au chaud.
- Merci, tu es un ange ! Allez, je descends dans un moment. À tout de suite !
Ugo a du mal à quitter ma chambre, il aurait certainement préféré me pendre là, de suite sans autres formes de procédures, mais respectueux, il s’efface et repart me laissant seule.
Dix minutes après je descends, coiffée, fraîche et souriante, je n’ai passé qu’un autre tee-shirt propre, mais par rapport à celui de celui de la nuit, celui-ci est très large et échancré sur le devant laissant parfois voir ma poitrine par l’échancrure ou laissé un sein sortir du tissu, mais juste avant de descendre j’ai quand même pris soin de me graisser la rondelle ayant peur de me faire prendre par Ugo sans trop de précautions, car sans nul doute je suis certaine qu’il va me sauter dessus et que ce matin je vais y passer…
A peine installée, Ugo me sert le café et je surprends ses regards qui plongent sur moi, tentant de voir mes seins par l’échancrure de mon tee-shirt.
Une fois terminé je m’étire langoureusement en souriant tandis qu’Ugo débarrasse la table, je vais à la cuisine et revient avec un torchon à la main pour essuyer la table, je me penche sur la table pour en ramasser les miettes.
Face à moi, une nouvelle fois je vois les yeux d’Ugo plonger dans l’échancrure de mon tee-shirt, qui bâille largement sur les seins nus, et je suis certaine qu’à cet instant il voit toute ma poitrine offerte, mais je ne fais rien pour se soustraire aux regards et, en souriant, je lui dis :
- Vilain curieux, tu n’as pas honte ? Ne profite pas que nous soyons seuls pour abuser du spectacle…
- Je regarde seulement ce qui m’est offert et comme tu es belle et attirante, j’en profite !
- Ce n’est pas une raison, dis-je.
- Tu sais que tu es attirante, car tu en uses et en abuses, et d’ailleurs, n’avons-nous pas quelque chose à terminer ?
- Coquin, tu n’oublies rien, dis-je, toujours penchée sur la table.
J’allonge le bras pour terminer d’essuyer la nappe, laissant un sein s’échapper du tee-shirt, suivi de l’autre, et cette fois, mes seins libres apparaissent en totalité, oscillant doucement dans mon mouvement.
- Cette fois, tu abuses vraiment et je vais te violer sur place ! s’exclame Ugo en riant.
Il vient rapidement vers moi en contournant la table, me saisit par derrière, me collant à lui, je tente mollement de lui échapper, mais c’est plutôt une fuite vers le plaisir qu’un mouvement pour me libérer, car je fais des ondulations lascives des reins contre le bas-ventre de mon gentil agresseur.
Ugo a relâché son étreinte pour glisser les mains sur mes hanches, pour retrousser mon tee-shirt au-dessus de ma poitrine et libérer deux seins que ses paumes soupèsent en une lente caresse…
Ses mains courent de mes seins à mon ventre et de mon ventre à mes seins, tandis que ma main se glisse entre nos deux corps pour saisir dans mon dos, le sexe d’Ugo, que son peignoir ouvert à laisser libre et nu.
Je commence à caresser lentement son membre sur toute sa longueur et le résultat ne se fait pas attendre, Ugo bande comme un cerf !
D’un geste, Ugo me retourne face à lui, et me bascule sur la table. Penché sur moi, il pétrit mes seins, gobe un mamelon érigé. Ses lèvres courent sur ma peau offerte…
Puis de ses deux mains, il saisit mes cuisses et les ouvre largement, dévoilant mon sexe dressé.
- Belle pièce ! Dit-il
Juste avant de plonger son visage sur mon membre et de se mettre à le sucer. Je me tortille littéralement sous la caresse, les doigts crispés dans les cheveux de mon amant qui me dévore le sexe.
Ugo me suce avec vigueur et mes seins aux pointes dressées vers le ciel, se balancent au gré des mouvements de mon amant, je sens un doigt me pénétrer l’anus et j’entends Ugo me dire :
- Tu es déjà bien ouverte, je ne serais pas le premier !
Le résultat ne se fait pas attendre… Je laisse échapper un long feulement, le corps tremblant, les yeux fermés, emportée par le plaisir, Ugo se retire rapidement afin que je ne jouisse pas, enfin pas encore.
Ugo se redresse, admirant mon corps abandonné qu’il couvre de lentes et douces caresses de ses mains, longeant mes flancs encore agités d’une houle qui s’apaise, empaumant mes seins orgueilleux, il redescend jusqu’au bas de mon ventre pour effleurer mon sexe lisse et dressé et une de ses mains le prend pour doucement me branler, tandis que l’autre disparaît sous mes fesse pour aller chercher à nouveau ma rondelle.
Mon ventre commence à onduler au contact des doigts qui me fouillent l’anus. Gémissante, je pose les mains sur ses seins que je pétris lentement, agaçant les pointes tendues par le plaisir qui monte à nouveau en moi.
Le petit jeu d’Ugo dure quelques minutes et je m’abandonne à plusieurs reprises le sexe offert, attendant le moment de jouir de nouveau.
Maintenant je me tords et avance le cul vers les doigts de mon amant, quémandant le plaisir et la jouissance.
Ugo reste impassible, Mais défait la ceinture de son peignoir qu’il ôte pour se présenter nu, le sexe parfaitement tendu comme une énorme corne.
Des deux mains, il saisit mes genoux, les relèves et je m’écris :
- Non, non, pas toi !
- Mais tu en as envie, dis que tu en as envie.
- Oui, j’en ai envie, mais t’es trop gros !
Mais rien n’y fait, trop excité, il s’enfonce d’une seule poussée dans mon cul brûlant, et planté en moi jusqu’à la garde, il s’immobilise alors qu’un cri sourd échappe de ma gorge, totalement investie par la hampe de chair palpitante qui dilate mes chairs enfin comblées, heureusement que j’avais pris le temps de m’enduire le cul de gel.
Débute alors un lent ballet ponctué par mes gémissements et par de petits cris à chaque fois que l’énorme membre est complètement au fond de moi.
La cadence s’accélère, Ugo enserre mes hanches pour me maintenir au bord de la table. Il laboure maintenant mon anus offert à grands coups de reins.
Son énorme mandrin s’échappe de mon cul pour y replonger entièrement, presque brutalement…
Mon corps se tend, mon ventre se soulève à la cadence de la possession comme pour réclamer encore plus de sensations, de plaisir et enfin un orgasme fulgurant m’arrache un long cri, je suis tétanisée par la jouissance.
Ugo, toujours planté en moi, calme mon corps abandonné par de lentes caresses. Ses mains parcourent mes flancs, mes seins et je reprends doucement conscience.
Ugo recule légèrement, s’arrachant de mon anneau et je vois que son sexe est toujours aussi monstrueux, tendu, luisant, il n’a pas joui en moi !
- C’était fabuleux ! Dis-je en me redressant, mais tu n’as pas joui, toi ?
Je dis cela en posant pose une main sur son membre dressé.
- Non, mais je crois que cela ne va pas tarder, répond Ugo en riant.
Il revient vers moi et me saisit par les épaules, me retournant face à la table. Je pose les mains sur le rebord, penchée en avant tandis qu’Ugo se colle à moi, empaumant mes seins encore gonflés du plaisir que je viens d’avoir.
- Tu ne vas pas recommencer ? Dis-je en gémissant.
- Oh, que si ! Je suis dans un tel état que je te veux encore !
D’une main habile, il relève, une nouvelle fois mon tee-shirt sur mes reins cambrés, me saisit aux hanches, se baisse pour poser ses lèvres sur mes fesses offertes à ses caresses. Il écarte mes globes soyeux et sa bouche glisse le long de ma raie et je pousse un petit cri lorsque sa langue venir titiller mon œillet impudiquement offert.
- Humm… Tu es en train de me rendre folle ! Ohhh c’est bon ! Oui… Tu n’as pas honte de maltraiter l’amie de ta fille comme cela ?
- Pas du tout ! Et ce n’est pas fini !
Debout maintenant derrière moi, Ugo passe une main entre mes fesses offertes et ses doigts glissent dans ma raie des fesses, un doigt s’arrête sur mon anus un court instant et s’engouffre dans mon œillet.
- Non, Ugo, pas encore… !
- Si ! Je vais jouir en toi !
- J’ai trop mal… Non… Ugo…
- Tu es complètement ouverte, ça va aller tout seul…
Mes protestations faiblissent, sous l’action du doigt d’Ugo dans mon fondement, mais pas les mouvements du doigt inquisiteur de mon amant.
Il a pris, une nouvelle fois, possession de mon intimité la plus secrète qu’il viole d’un doigt expert, d’ailleurs prise de plaisir, je me mets à onduler des hanches, allant au-devant du doigt qui vrille mes reins. Ugo retire son doigt et je le sens guider sa tige énorme entre mes fesses qu’il maintient écartés de son autre main.
- Non, Ugo, non, arrête !
- Petite allumeuse !
- Ahhh…
D’un seul et ample mouvement en avant, Ugo s’enfonce dans mes reins m’arrachant un cri de douleur. Son ventre est collé à mes fesses, désormais planté jusqu’à la garde dans mon anus.
Me maintenant toujours fermement par les hanches, il se retire doucement puis entreprend de courts va-et-vient pour assouplir mon sphincter serré et douloureux. Les douleurs de mon anneau intime s’apaisent et sont bientôt remplacées des ondes de plaisir qui me font pousser des gémissements de bonheur, me faisant lentement onduler des reins sous les doux assauts de mon amant.
Ugo, maintenant à accélérer le rythme et fouille mes reins de plus en plus vite et ses pénétrations sont désormais amplifiées par mes mouvements de hanches, me faisant aller au-devant de cette possession virile.
Soudain, je me mets à hurler sans discontinuer, emportée par un nouvel orgasme. Mon corps se tend comme un arc et dans un ultime mouvement, Ugo s’enfonce dans mon corps offert, les mains crispées sur mes hanches et il m’inonde longuement le fondement.
Toujours planté en moi, il caresse tendrement mes hanches, mon dos, mes épaules, mes seins et nos corps s’apaisent lentement. Nous nous redressons pour nous unir à nouveau dans un long baiser.
- Alors, content d’avoir violé la jeune amie de ta fille ! Dis-je
- Tu étais consentante, ce n’est pas un viol !
- Oui, si on veut, mais je l’ai senti passer.
- Mais tu es prête à recommencer…
- Quand mon petit trou sera moins douloureux, pourquoi pas…
En riant, je rabaisse mon tee-shirt, pour aller sous la douche, en espérant secrètement renouveler cette expérience…
A suivre…
Le gros sexe du père de mon amie Clara, suite et fin
« Je n’ai parlé de rien à Clara, mais lors du diner du soir j’ai bien sentis les yeux des deux femmes sur moi, car elles avaient bien remarqué qu’Ugo me regardait bien souvent et d’un drôle d’air.
Après le diner, la mère de Clara vint me retrouver dans ma chambre et m’expliqua qu’elle avait deviné les désirs de son mari à mon égard, mais cela lui importait peu car cet homme l’avait déjà trompé, mais en couple libre elle acceptait car elle aussi se permettait des aventures extra-conjugales de temps en temps. Elle me demanda juste de faire attention à ce que sa fille, Clara, ne soit au courant de rien.
Je me suis endormie en pensant que si je me faisais casser le cul par le père de mon amie, et que ce serait avec l’assentiment de sa mère
Le lendemain, Ugo est venu me réveiller, en m’annonçant que les femmes étaient parties pour la journée et que je pouvais descendre prendre le petit déjeuner.
A cet instant il porte un grand peignoir en éponge et je remarque qu’il s’est coiffé et rasé, en fait il est prêt pour reprendre notre aventure, alors, je sors du lit, décoiffée et ne portant qu’un long tee-shirt jusqu’à mi-cuisses, nue dessous, laissant admirer mes jambes et ma poitrine moulée dans la fine étoffe.
Je bâille et m’étire langoureusement en levant les bras, faisant volontairement saillir ma petite poitrine dont les pointes dressées marquent encore plus le tissu et laisse certainement mon sexe découvert que le tissu ne cache plus.
- Alors Leslie… As-tu bien dormi ? demande Ugo.
- Oh oui ! Comme une marmotte, dis-je en me frottant les yeux.
- Super !
- Je prendrais bien une douche avant de descendre prendre un petit café et déjeuner.
- Il y a des croissants et le café est au chaud.
- Merci, tu es un ange ! Allez, je descends dans un moment. À tout de suite !
Ugo a du mal à quitter ma chambre, il aurait certainement préféré me pendre là, de suite sans autres formes de procédures, mais respectueux, il s’efface et repart me laissant seule.
Dix minutes après je descends, coiffée, fraîche et souriante, je n’ai passé qu’un autre tee-shirt propre, mais par rapport à celui de celui de la nuit, celui-ci est très large et échancré sur le devant laissant parfois voir ma poitrine par l’échancrure ou laissé un sein sortir du tissu, mais juste avant de descendre j’ai quand même pris soin de me graisser la rondelle ayant peur de me faire prendre par Ugo sans trop de précautions, car sans nul doute je suis certaine qu’il va me sauter dessus et que ce matin je vais y passer…
A peine installée, Ugo me sert le café et je surprends ses regards qui plongent sur moi, tentant de voir mes seins par l’échancrure de mon tee-shirt.
Une fois terminé je m’étire langoureusement en souriant tandis qu’Ugo débarrasse la table, je vais à la cuisine et revient avec un torchon à la main pour essuyer la table, je me penche sur la table pour en ramasser les miettes.
Face à moi, une nouvelle fois je vois les yeux d’Ugo plonger dans l’échancrure de mon tee-shirt, qui bâille largement sur les seins nus, et je suis certaine qu’à cet instant il voit toute ma poitrine offerte, mais je ne fais rien pour se soustraire aux regards et, en souriant, je lui dis :
- Vilain curieux, tu n’as pas honte ? Ne profite pas que nous soyons seuls pour abuser du spectacle…
- Je regarde seulement ce qui m’est offert et comme tu es belle et attirante, j’en profite !
- Ce n’est pas une raison, dis-je.
- Tu sais que tu es attirante, car tu en uses et en abuses, et d’ailleurs, n’avons-nous pas quelque chose à terminer ?
- Coquin, tu n’oublies rien, dis-je, toujours penchée sur la table.
J’allonge le bras pour terminer d’essuyer la nappe, laissant un sein s’échapper du tee-shirt, suivi de l’autre, et cette fois, mes seins libres apparaissent en totalité, oscillant doucement dans mon mouvement.
- Cette fois, tu abuses vraiment et je vais te violer sur place ! s’exclame Ugo en riant.
Il vient rapidement vers moi en contournant la table, me saisit par derrière, me collant à lui, je tente mollement de lui échapper, mais c’est plutôt une fuite vers le plaisir qu’un mouvement pour me libérer, car je fais des ondulations lascives des reins contre le bas-ventre de mon gentil agresseur.
Ugo a relâché son étreinte pour glisser les mains sur mes hanches, pour retrousser mon tee-shirt au-dessus de ma poitrine et libérer deux seins que ses paumes soupèsent en une lente caresse…
Ses mains courent de mes seins à mon ventre et de mon ventre à mes seins, tandis que ma main se glisse entre nos deux corps pour saisir dans mon dos, le sexe d’Ugo, que son peignoir ouvert à laisser libre et nu.
Je commence à caresser lentement son membre sur toute sa longueur et le résultat ne se fait pas attendre, Ugo bande comme un cerf !
D’un geste, Ugo me retourne face à lui, et me bascule sur la table. Penché sur moi, il pétrit mes seins, gobe un mamelon érigé. Ses lèvres courent sur ma peau offerte…
Puis de ses deux mains, il saisit mes cuisses et les ouvre largement, dévoilant mon sexe dressé.
- Belle pièce ! Dit-il
Juste avant de plonger son visage sur mon membre et de se mettre à le sucer. Je me tortille littéralement sous la caresse, les doigts crispés dans les cheveux de mon amant qui me dévore le sexe.
Ugo me suce avec vigueur et mes seins aux pointes dressées vers le ciel, se balancent au gré des mouvements de mon amant, je sens un doigt me pénétrer l’anus et j’entends Ugo me dire :
- Tu es déjà bien ouverte, je ne serais pas le premier !
Le résultat ne se fait pas attendre… Je laisse échapper un long feulement, le corps tremblant, les yeux fermés, emportée par le plaisir, Ugo se retire rapidement afin que je ne jouisse pas, enfin pas encore.
Ugo se redresse, admirant mon corps abandonné qu’il couvre de lentes et douces caresses de ses mains, longeant mes flancs encore agités d’une houle qui s’apaise, empaumant mes seins orgueilleux, il redescend jusqu’au bas de mon ventre pour effleurer mon sexe lisse et dressé et une de ses mains le prend pour doucement me branler, tandis que l’autre disparaît sous mes fesse pour aller chercher à nouveau ma rondelle.
Mon ventre commence à onduler au contact des doigts qui me fouillent l’anus. Gémissante, je pose les mains sur ses seins que je pétris lentement, agaçant les pointes tendues par le plaisir qui monte à nouveau en moi.
Le petit jeu d’Ugo dure quelques minutes et je m’abandonne à plusieurs reprises le sexe offert, attendant le moment de jouir de nouveau.
Maintenant je me tords et avance le cul vers les doigts de mon amant, quémandant le plaisir et la jouissance.
Ugo reste impassible, Mais défait la ceinture de son peignoir qu’il ôte pour se présenter nu, le sexe parfaitement tendu comme une énorme corne.
Des deux mains, il saisit mes genoux, les relèves et je m’écris :
- Non, non, pas toi !
- Mais tu en as envie, dis que tu en as envie.
- Oui, j’en ai envie, mais t’es trop gros !
Mais rien n’y fait, trop excité, il s’enfonce d’une seule poussée dans mon cul brûlant, et planté en moi jusqu’à la garde, il s’immobilise alors qu’un cri sourd échappe de ma gorge, totalement investie par la hampe de chair palpitante qui dilate mes chairs enfin comblées, heureusement que j’avais pris le temps de m’enduire le cul de gel.
Débute alors un lent ballet ponctué par mes gémissements et par de petits cris à chaque fois que l’énorme membre est complètement au fond de moi.
La cadence s’accélère, Ugo enserre mes hanches pour me maintenir au bord de la table. Il laboure maintenant mon anus offert à grands coups de reins.
Son énorme mandrin s’échappe de mon cul pour y replonger entièrement, presque brutalement…
Mon corps se tend, mon ventre se soulève à la cadence de la possession comme pour réclamer encore plus de sensations, de plaisir et enfin un orgasme fulgurant m’arrache un long cri, je suis tétanisée par la jouissance.
Ugo, toujours planté en moi, calme mon corps abandonné par de lentes caresses. Ses mains parcourent mes flancs, mes seins et je reprends doucement conscience.
Ugo recule légèrement, s’arrachant de mon anneau et je vois que son sexe est toujours aussi monstrueux, tendu, luisant, il n’a pas joui en moi !
- C’était fabuleux ! Dis-je en me redressant, mais tu n’as pas joui, toi ?
Je dis cela en posant pose une main sur son membre dressé.
- Non, mais je crois que cela ne va pas tarder, répond Ugo en riant.
Il revient vers moi et me saisit par les épaules, me retournant face à la table. Je pose les mains sur le rebord, penchée en avant tandis qu’Ugo se colle à moi, empaumant mes seins encore gonflés du plaisir que je viens d’avoir.
- Tu ne vas pas recommencer ? Dis-je en gémissant.
- Oh, que si ! Je suis dans un tel état que je te veux encore !
D’une main habile, il relève, une nouvelle fois mon tee-shirt sur mes reins cambrés, me saisit aux hanches, se baisse pour poser ses lèvres sur mes fesses offertes à ses caresses. Il écarte mes globes soyeux et sa bouche glisse le long de ma raie et je pousse un petit cri lorsque sa langue venir titiller mon œillet impudiquement offert.
- Humm… Tu es en train de me rendre folle ! Ohhh c’est bon ! Oui… Tu n’as pas honte de maltraiter l’amie de ta fille comme cela ?
- Pas du tout ! Et ce n’est pas fini !
Debout maintenant derrière moi, Ugo passe une main entre mes fesses offertes et ses doigts glissent dans ma raie des fesses, un doigt s’arrête sur mon anus un court instant et s’engouffre dans mon œillet.
- Non, Ugo, pas encore… !
- Si ! Je vais jouir en toi !
- J’ai trop mal… Non… Ugo…
- Tu es complètement ouverte, ça va aller tout seul…
Mes protestations faiblissent, sous l’action du doigt d’Ugo dans mon fondement, mais pas les mouvements du doigt inquisiteur de mon amant.
Il a pris, une nouvelle fois, possession de mon intimité la plus secrète qu’il viole d’un doigt expert, d’ailleurs prise de plaisir, je me mets à onduler des hanches, allant au-devant du doigt qui vrille mes reins. Ugo retire son doigt et je le sens guider sa tige énorme entre mes fesses qu’il maintient écartés de son autre main.
- Non, Ugo, non, arrête !
- Petite allumeuse !
- Ahhh…
D’un seul et ample mouvement en avant, Ugo s’enfonce dans mes reins m’arrachant un cri de douleur. Son ventre est collé à mes fesses, désormais planté jusqu’à la garde dans mon anus.
Me maintenant toujours fermement par les hanches, il se retire doucement puis entreprend de courts va-et-vient pour assouplir mon sphincter serré et douloureux. Les douleurs de mon anneau intime s’apaisent et sont bientôt remplacées des ondes de plaisir qui me font pousser des gémissements de bonheur, me faisant lentement onduler des reins sous les doux assauts de mon amant.
Ugo, maintenant à accélérer le rythme et fouille mes reins de plus en plus vite et ses pénétrations sont désormais amplifiées par mes mouvements de hanches, me faisant aller au-devant de cette possession virile.
Soudain, je me mets à hurler sans discontinuer, emportée par un nouvel orgasme. Mon corps se tend comme un arc et dans un ultime mouvement, Ugo s’enfonce dans mon corps offert, les mains crispées sur mes hanches et il m’inonde longuement le fondement.
Toujours planté en moi, il caresse tendrement mes hanches, mon dos, mes épaules, mes seins et nos corps s’apaisent lentement. Nous nous redressons pour nous unir à nouveau dans un long baiser.
- Alors, content d’avoir violé la jeune amie de ta fille ! Dis-je
- Tu étais consentante, ce n’est pas un viol !
- Oui, si on veut, mais je l’ai senti passer.
- Mais tu es prête à recommencer…
- Quand mon petit trou sera moins douloureux, pourquoi pas…
En riant, je rabaisse mon tee-shirt, pour aller sous la douche, en espérant secrètement renouveler cette expérience…
A suivre…
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