Leslie RE14 Souvenirs – Entravée et enculée
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie RE14 Souvenirs – Entravée et enculée
Leslie RE14 – Les récits érotiques
Souvenirs – Entravée et enculée
Invitée par ma copine Claire pour son trentième anniversaire, je me suis, pour l’occasion, faite la plus jolie possible, ce qui dans mon cas n’est pas très difficile car d’après les personnes qui me connaissent je suis, comme il disent, un très joli petit bout de femme et les hommes qui me croisent dans la rue se retournent volontiers…
En effet, j’ai vingt-six ans et je suis brune aux cheveux très courts, petit bout de femme comme ils disent, pour sûr, avec mon mètre soixante-deux, effectivement je ne suis pas grande, un joli visage avec des yeux bleu clair me donnant un regard d’acier, intriguent ceux qui le croise. Ma silhouette mince, à la limite anorexique, étonne ceux qui me voient nue, mes côtes un peu apparentes sous ma petite poitrine d’adolescente me donnent un air fragile, mes seins aux petites aréoles foncés détonnent sur ma peau blanche et lorsque le regard descend on peut distinguer les os de mon bassin qui saillent légèrement de mon corps et aussi mes hanches étroites en feraient presque oublier mon pubis glabre aux lèvres brunes, quarante-cinq kilos c’est ce qui me donne ce côté fragile et pour terminer la description j’ai des fesses juste légèrement bombées sans pour cela être plate. En fait habillée de façon adéquate, je pourrais très bien passer pour un garçon.
Donc, pour cette occasion j’avais revêtu un pantalon moulant en cuir et un corsage blanc, style corsaire, grand col et des manches amples serrées au poignet et de jolis escarpins noirs aux talons de huit centimètres. Pour les dessous j’avais mis un string noir ouvert mais pas de soutien-gorge.
Claire est une collègue de boulot dans le cabinet d’avocat ou nous travaillons, étant associées avec un autre avocat comme nous, notre situation financière nous met à l’abri du besoin.
Nous nous entendons bien et sommes restées très liées même après notre liaison qui a durée quelque temps. Claire étant une lesbienne pure et dure cela ne pouvait pas fonctionner longtemps entre nous puisque je suis bisexuelle et que j’aime peut-être plus la compagnie des hommes que celle des femmes, et Claire ne supportait pas que je la trompe, comme elle disait, et encore plus avec des hommes, mais ces liaisons étaient vitales pour mon équilibre.
Il est certain que ce soir j’ai trop bu, que du champagne lors de l’apéritif et ensuite pendant le repas, puis encore après plusieurs coupes, si-bien qu’après je ne m’en souviens plus, j’ai dû m’endormir…
Je pensais m’être endormie ivre dans la voiture qui me raccompagnait chez moi, mais en reprenant peu à peu conscience, je me retrouve dans une pièce, avec toute sorte d’attirails dont je soupçonne l’utilisation, entravée sur une croix de Saint-André, chevilles et poignets immobilisés par des sangles, inutile de préciser que je suis nue.
En regardant je vois le spectacle d’une femme et un homme dans l’escalier qui mène au premier étage, elle est nue cambrée une main sur chaque rampe, ses genoux fléchis et ses jambes écartées, l’homme se tient debout derrière elle, bien en appui sur ses jambes et la besogne vigoureusement ses mains sur mes hanches de la femme.
Il la lime comme un fou, en haletant fortement pendant qu’elle criait fort en disant qu’elle jouissait comme une salope…
Le fait d’être attachée sur cette croix sans pouvoir bouger tout en faisant naître en moi la colère, réveillait en moi la crainte mêlée à l’appréhension de ne pas savoir ce qui allait suivre.
Dans la situation dans laquelle je me trouvais, nul doute qu’on allait abuser de moi et profiter de mon corps offert sur cette croix, les jambes largement écartées laissant mes orifices largement ouverts et disponibles
Un homme s’approcha et aussitôt me dit :
- Vous êtes là pour notre plaisir, offerte à notre merci, alors soyez docile !
Puis il disparut de mon champ de vision, j’avais les bras tendus au-dessus de ma tête, mais sans douleur aux poignets, la tête immobilisée par un collier qui devait être fixé à la croix sur laquelle j’étais entravée et les chevilles solidement fixées.
L’homme et la femme de l’escalier avaient disparus et je restais ainsi, seule dans la pièce, quelques instants quand dans mon dos j’entendis une porte s’ouvrir…
- Vous êtes très patiente, me soupirant homme dans mon dos, venant près de moi et me caressant les cheveux
Puis l’homme prit le contrôle de mon corps, ses doigts se mirent à fouiller mon intimité, puis un gode les remplaça. Les jambes écartées au maximum, l’homme savait y faire, et prenait du plaisir à me voir commencer à apprécier ce qu’il me faisait, mais les sensations de plaisir que ressentaient mon corps montaient malgré ma volonté…
Il dosait mon plaisir en contrôlant les mouvements du gode en moi à la limite de l’orgasme, me laissant toujours en manque, afin que je sois encore en demande pour qu’il me pervertisse juste l’instant d’après et pour en avoir davantage. Il devait se servir de différents godes de plus en plus gros, car je sentais ma chatte se remplir de plus en plus au fur et à mesure des entrées en moi, je n’en pouvais plus et l’envie d’une queue naquit en moi.
Je fus rapidement exhaussée il me rentra sa grosse queue en moi, me remplissant complètement, chaque mouvement de son sexe s’irradiait dans mon ventre, mettant ma vulve en feu, et sans vraiment le désirer, j’ai joui rapidement, tandis que lui continuait à me pistonner allant même me faire jouir une deuxième fois.
Etant trempée de mes jouissances il n’eut aucun mal à opérer de la même façon avec mon petit tous, il me goda l’anus pendant quelques temps, m’introduisant gode après gode pour me dilater consciencieusement, puis m’encula sans un mot.
Puis une fois qu’il se fut retiré un sexe brûlant et humide se collait déjà sur mon anus, me pénétrant lentement. Une douleur monta rapidement, puis s’estompa quand le sexe ressortit. De nouveau il entrait pour ressortir immédiatement dès qu’un spasme se produisait. Ainsi, il s’acheminait doucement dans mon conduit, entre douleur et brûlure, mettant du lubrifiant que je sentais couler le long de mon sillon.
L’homme qui tentait de m’enculer devait être super bien monté, car je n’avais jamais eu si mal, j’étais défoncée et surtout je sentais bien que ça ne rentrerait pas, mon orifice anal bien trop petit pour ce pieu qui déjà m’explosait l’anus. Un cri de douleur sortit de ma bouche, le sexe se stoppa et fit marche arrière. Restant à l’entrée de ma rosette, essayant de faire sa place, de creuser mon sillon par de petits coups répétés. Je sentais que je commençais à m’y habituer, mais quand il reprit sa course plus en avant, les larmes me montèrent aux yeux tandis que ce pieu entrait inexorablement en moi.
Mes cris redoublèrent quand il m’encula et ce pendant un long moment, je me sentais si fragile car le membre qui était en moi était énorme…
Après qu’i eu jouit au fond de mes entrailles, il se retira et je cru que s’en était fini de mes souffrances, mais bien au contraire un autre prit la place libérée sans mon trou grand ouvert, puis un autre, combien se sont succédé ainsi dans mon antre intime je ne pourrais le dire car à un certain moment j’ai perdu connaissance.
Toujours est-il qu’une fois libérée seul mon anus douloureux me rappela ce sui venait de se passer, il fallut trois jours pour que je ne souffre plus et je me suis jurer de ne plus boire autant…
A suivre…
Souvenirs – Entravée et enculée
Invitée par ma copine Claire pour son trentième anniversaire, je me suis, pour l’occasion, faite la plus jolie possible, ce qui dans mon cas n’est pas très difficile car d’après les personnes qui me connaissent je suis, comme il disent, un très joli petit bout de femme et les hommes qui me croisent dans la rue se retournent volontiers…
En effet, j’ai vingt-six ans et je suis brune aux cheveux très courts, petit bout de femme comme ils disent, pour sûr, avec mon mètre soixante-deux, effectivement je ne suis pas grande, un joli visage avec des yeux bleu clair me donnant un regard d’acier, intriguent ceux qui le croise. Ma silhouette mince, à la limite anorexique, étonne ceux qui me voient nue, mes côtes un peu apparentes sous ma petite poitrine d’adolescente me donnent un air fragile, mes seins aux petites aréoles foncés détonnent sur ma peau blanche et lorsque le regard descend on peut distinguer les os de mon bassin qui saillent légèrement de mon corps et aussi mes hanches étroites en feraient presque oublier mon pubis glabre aux lèvres brunes, quarante-cinq kilos c’est ce qui me donne ce côté fragile et pour terminer la description j’ai des fesses juste légèrement bombées sans pour cela être plate. En fait habillée de façon adéquate, je pourrais très bien passer pour un garçon.
Donc, pour cette occasion j’avais revêtu un pantalon moulant en cuir et un corsage blanc, style corsaire, grand col et des manches amples serrées au poignet et de jolis escarpins noirs aux talons de huit centimètres. Pour les dessous j’avais mis un string noir ouvert mais pas de soutien-gorge.
Claire est une collègue de boulot dans le cabinet d’avocat ou nous travaillons, étant associées avec un autre avocat comme nous, notre situation financière nous met à l’abri du besoin.
Nous nous entendons bien et sommes restées très liées même après notre liaison qui a durée quelque temps. Claire étant une lesbienne pure et dure cela ne pouvait pas fonctionner longtemps entre nous puisque je suis bisexuelle et que j’aime peut-être plus la compagnie des hommes que celle des femmes, et Claire ne supportait pas que je la trompe, comme elle disait, et encore plus avec des hommes, mais ces liaisons étaient vitales pour mon équilibre.
Il est certain que ce soir j’ai trop bu, que du champagne lors de l’apéritif et ensuite pendant le repas, puis encore après plusieurs coupes, si-bien qu’après je ne m’en souviens plus, j’ai dû m’endormir…
Je pensais m’être endormie ivre dans la voiture qui me raccompagnait chez moi, mais en reprenant peu à peu conscience, je me retrouve dans une pièce, avec toute sorte d’attirails dont je soupçonne l’utilisation, entravée sur une croix de Saint-André, chevilles et poignets immobilisés par des sangles, inutile de préciser que je suis nue.
En regardant je vois le spectacle d’une femme et un homme dans l’escalier qui mène au premier étage, elle est nue cambrée une main sur chaque rampe, ses genoux fléchis et ses jambes écartées, l’homme se tient debout derrière elle, bien en appui sur ses jambes et la besogne vigoureusement ses mains sur mes hanches de la femme.
Il la lime comme un fou, en haletant fortement pendant qu’elle criait fort en disant qu’elle jouissait comme une salope…
Le fait d’être attachée sur cette croix sans pouvoir bouger tout en faisant naître en moi la colère, réveillait en moi la crainte mêlée à l’appréhension de ne pas savoir ce qui allait suivre.
Dans la situation dans laquelle je me trouvais, nul doute qu’on allait abuser de moi et profiter de mon corps offert sur cette croix, les jambes largement écartées laissant mes orifices largement ouverts et disponibles
Un homme s’approcha et aussitôt me dit :
- Vous êtes là pour notre plaisir, offerte à notre merci, alors soyez docile !
Puis il disparut de mon champ de vision, j’avais les bras tendus au-dessus de ma tête, mais sans douleur aux poignets, la tête immobilisée par un collier qui devait être fixé à la croix sur laquelle j’étais entravée et les chevilles solidement fixées.
L’homme et la femme de l’escalier avaient disparus et je restais ainsi, seule dans la pièce, quelques instants quand dans mon dos j’entendis une porte s’ouvrir…
- Vous êtes très patiente, me soupirant homme dans mon dos, venant près de moi et me caressant les cheveux
Puis l’homme prit le contrôle de mon corps, ses doigts se mirent à fouiller mon intimité, puis un gode les remplaça. Les jambes écartées au maximum, l’homme savait y faire, et prenait du plaisir à me voir commencer à apprécier ce qu’il me faisait, mais les sensations de plaisir que ressentaient mon corps montaient malgré ma volonté…
Il dosait mon plaisir en contrôlant les mouvements du gode en moi à la limite de l’orgasme, me laissant toujours en manque, afin que je sois encore en demande pour qu’il me pervertisse juste l’instant d’après et pour en avoir davantage. Il devait se servir de différents godes de plus en plus gros, car je sentais ma chatte se remplir de plus en plus au fur et à mesure des entrées en moi, je n’en pouvais plus et l’envie d’une queue naquit en moi.
Je fus rapidement exhaussée il me rentra sa grosse queue en moi, me remplissant complètement, chaque mouvement de son sexe s’irradiait dans mon ventre, mettant ma vulve en feu, et sans vraiment le désirer, j’ai joui rapidement, tandis que lui continuait à me pistonner allant même me faire jouir une deuxième fois.
Etant trempée de mes jouissances il n’eut aucun mal à opérer de la même façon avec mon petit tous, il me goda l’anus pendant quelques temps, m’introduisant gode après gode pour me dilater consciencieusement, puis m’encula sans un mot.
Puis une fois qu’il se fut retiré un sexe brûlant et humide se collait déjà sur mon anus, me pénétrant lentement. Une douleur monta rapidement, puis s’estompa quand le sexe ressortit. De nouveau il entrait pour ressortir immédiatement dès qu’un spasme se produisait. Ainsi, il s’acheminait doucement dans mon conduit, entre douleur et brûlure, mettant du lubrifiant que je sentais couler le long de mon sillon.
L’homme qui tentait de m’enculer devait être super bien monté, car je n’avais jamais eu si mal, j’étais défoncée et surtout je sentais bien que ça ne rentrerait pas, mon orifice anal bien trop petit pour ce pieu qui déjà m’explosait l’anus. Un cri de douleur sortit de ma bouche, le sexe se stoppa et fit marche arrière. Restant à l’entrée de ma rosette, essayant de faire sa place, de creuser mon sillon par de petits coups répétés. Je sentais que je commençais à m’y habituer, mais quand il reprit sa course plus en avant, les larmes me montèrent aux yeux tandis que ce pieu entrait inexorablement en moi.
Mes cris redoublèrent quand il m’encula et ce pendant un long moment, je me sentais si fragile car le membre qui était en moi était énorme…
Après qu’i eu jouit au fond de mes entrailles, il se retira et je cru que s’en était fini de mes souffrances, mais bien au contraire un autre prit la place libérée sans mon trou grand ouvert, puis un autre, combien se sont succédé ainsi dans mon antre intime je ne pourrais le dire car à un certain moment j’ai perdu connaissance.
Toujours est-il qu’une fois libérée seul mon anus douloureux me rappela ce sui venait de se passer, il fallut trois jours pour que je ne souffre plus et je me suis jurer de ne plus boire autant…
A suivre…
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