LesLie RE21
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LesLie RE21
Leslie RE21 – Les récits érotiques
Souvenirs – Un dernier client parmi tant d’autres
Le brouillard est tombé sur la ville par cette nuit sombre d’automne, enveloppant tout d’un épais voile de brume. Seules les lumières blafardes des réverbères transpercent la brume d’un faible halot, aucun mouvement ne vient troubler le silence de cette ville qui sans vie semble morte, hormis les cloches de l’église qui sonnent les douze coups de minuit, et préviennent qu’un samedi commence.
Je suis une ombre, cette silhouette sexy, habillée un peu provoquante dans cette nuit triste et sans vie d’un mois de novembre, je serais mieux au chaud chez moi que d’être là, assise sur le banc d’un abri bus à attendre pour vendre, pour quelques euros et le temps d’un instant, mes charmes à ceux qui veulent en profiter.
Une mini-jupe noire et les jambes gainées de bas auto-fixant, des chaussures aux talons de douze centimètres, le haut paré d’un chemisier blanc sans soutien-gorge, ma petite poitrine le permettant, et un blouson de cuir noir, je me trouve très sexy.
Au milieu de cette nuit de tapin, je réalise que voilà déjà deux heures que je patiente pour ne voir personne… Soudain une berline s’arrête à ma hauteur…
Un homme noir, la trentaine, le look classique costard-cravate baisse la vitre.
- Approche, ma belle ! Me lance-t-il.
- Tu es intéressé par les transsexuels ?
Je dis-je cela après m’être rapprochée en faisant quelques pas qui me séparent de l’auto dans une démarche sensuelle et en balançant mon petit cul aguicheur.
- Je les adore, Mais tu es bien jeune ?
- Je viens d’avoir dix-neuf ans, réponds-dis-je, en souriant.
- Tu es sûre ? Demande-t-il intrigué.
Je me penche vers lui pour qu’il puisse mater mes petits seins en lui disant :
- Ne t’inquiète pas, tu ne crains rien.
- Tu es très belle, me dit-il.
- Et en plus, je suis expérimentée.
- Active ou passive ?
- Les deux suivant tes désirs.
- C’est gros ?
- Vérifie par toi-même.
En disant cela je me suis collée à sa voiture pour qu’il puisse vérifier mon anatomie en passant sa main gauche sous ma minijupe pour tâter mon sexe. Ce qu’il fait et prenant mon sexe en main il me dit :
- Bel engin !
- Si tu veux jouer avec moi, tu ne seras pas déçu, ajoutais-je sur un ton de fillette délurée.
- Allez, je t’embarque, monte.
Je fais rapidement le tour de la voiture pour m’asseoir à côté de lui. Je me sens très excitée car ce n’est pas tous les soirs qu’un noir m’embarque pour me baiser.
- En général tu opères où ? Me demande-t-il.
- Si tu veux, je te guide pour aller sur un parking tranquille, dis-je.
- Bon on va dans l’hôtel où je suis descendu, à côté de l’aéroport, car j’aime prendre mon temps dans le confort.
- Ça me va, lui dis-je, dans une chambre c’est mieux que dans une voiture, le luxe quoi.
- Bon, je te propose deux-cents euros pour deux heures et le taxi de retour, qu’en dis-tu ?
- Moi, je suis ok !
- Ce soir je n’ai pas à me plaindre, les filles sexy comme toi ce n’est pas courant, j’en ai beaucoup rencontré et elles étaient moins sexy et en plus tu es féminine, une belle petite trans, jeune et fraîche qui tapine sur le trottoir, c’est rare !
Alors que nous roulons vers son hôtel, je me fais audacieuse et passe ma main sur son pantalon pour constater que sous l’étoffe se cache un membre d’un gros calibre, et d’une voie de chatte en chaleur, je lui dis :
- Tu bandes !
- C’est toi qui me fais bander comme un âne ! Car petites cochonnes dans ton genre me donnent une trique d’enfer, en plus je suis certain que tu dois être très étroite…
Un peu plus tard, il me fait entrer devant lui dans sa chambre d’hôtel, j’en profite pour lui montrer mon physique avantageux en adoptant une démarche sensuelle accompagnée d’un balancement provocateur de mon petit cul. J’ôte mon blouson de cuir et le pose négligemment sur le fauteuil.
Il me rejoint aussitôt après avoir fermé la porte de la chambre et plaque ses mains sur mes fesses et me fait pousser un petit cri de surprise et je me laisse prendre dans ses bras.
Il me retourne prestement et comme nos lèvres sont proches l’une des autres, il plaque les siennes sur les miennes pour un long baiser sensuel, non sans oublier de prendre mes petites fesses à pleines mains.
- Mais monsieur, qui vous a permis de toucher le cul, espèce de cochon ? dis-je sur un ton narquois.
- Je vais faire bien plus que le toucher, ma petite allumeuse ! me répond-il.
- Ohhh, j’espère bien que ce n’est pas qu’une promesse…
- T’inquiète, tu va-t’en souvenir longtemps !
- Mais surtout avant, n’oublie pas mon petit cadeau ! Répliqué-je.
- Petite ensorceleuse voilà pour ta peine, dit-il, en me tendant deux-cent-cinquante euros.
- Embrasse-moi encore, dis-je en me lovant tendrement dans ses bras après avoir prestement rangé les billets dans mon sac.
Il ne se fait pas prier et m’embrasse sur la bouche pendant que son genou glisse entre mes cuisses, j’en profite pour me frotter lascivement, ce qui fait que je me mets à bander.
Nos langues jouent dans nos bouches pendant que nous nous dénudons mutuellement. Cet homme qui vient de me racoler peu de temps avant sur le bord du trottoir, m’embrasse dans baiser torride, moi la petite pute trans, comme si j’étais sa petite copine.
Fébrilement, j’ôte sa veste et défais sa cravate, lui de son côté, il retire mon chemisier qui tombe à terre.
Il semble fasciné en contemplant mes petits seins aux tétons foncés et pointus qui dardent fièrement.
- Mais dis-moi, tu ne t’hormone pas ?
- Je dois t’avouer que je tiens à rester active, certains clients aiment les actives et les rencontrent rien que pour se faire enculer ! Alors je prends un traitement spécial pour avoir une petite poitrine et continuer à avoir de belles érections. Tu me dis cela parce que je ne suis pas ta première trans.
- En effet ma belle, mais d’aussi jolis petits seins chez une trans, c’est assez rare et t’avoue n’en avoir rarement vu.
- C’est vrai que la plupart des trans ont des poitrines opulentes.
- Pour ma part je préfère les petites poitrines.
Je me dégage de son étreinte et décide de lui faire un strip-tease, en premier lentement j’enlève ma jupe en ondulant, puis continuant mon numéro, je fais doucement glisser mon string, libérant d’entre mes cuisses mon sexe de mâle qui sans être raide est déjà de bonne taille. Je minaude en défilant lentement devant lui, montrant ma nudité sous tous les angles…
Et surtout pour lui laisser le temps de voir l’incongruité de mon sexe gonflé et assez imposant par rapport à la minceur de mon corps et ma petite poitrine.
Il m’observe presque avidement, et je vois à son entrejambe que je lui fais de l’effet et ne se gêne pas pour me le dire :
- Ohhh, une petite salope, très émouvant cette grosse queue sur ce corps si frêle, tu sens et inspire le sexe !
- Je suis toute à toi. Lui dis-je dans un souffle.
Il m’attrape d’une main et chope mes couilles de l’autre, les caresse un instant puis les enserre dans sa main puissante et les serre comme dans un étau.
- Doucement, fais attention, tu me fais mal. Dis-je en gémissant.
- Pas de panique ma belle, je veux te donner du plaisir, cela ne doit pas t’arriver souvent que tu prennes du plaisir lors de tes passes ?
- Pour tout t’avouer, c’est rare.
- Tu veux jouir avec moi ?
- J’aimerais bien, dis-je en soupirant lascivement.
Je me dirige vers lui, intégralement nue hormis mes bas et dégrafe son pantalon, puis avec dextérité je sors sa queue déjà raide de son boxer. Le sexe circoncis laisse apparaitre le gland luisant qui est déjà un peu mouillé. Je dois l’exciter vraiment car l’érection semble être présente depuis un moment.
J’en suis heureuse et comblée, j’adore les membres circoncis comme le mien, je trouve ça plus beau, voir esthétique, et surtout plus hygiénique, comme il a toujours été important pour moi de susciter le désir chez les hommes, les allumez et les séduire afin de constater l’effet que je leur fais.
- Dis-moi, je te trouve déjà bien excité ! Dis-je sur un ton provocateur.
- Tu aimes faire bander les mecs, petite pute ! Et tu excelles dans cet art, allumer les hommes c’est ton quotidien.
Je saisis son sexe en pleine érection, pas besoin de le décalotter il est circoncis, laissant le gland nu et luisant. Je m’accroupis pour caresser ses couilles. Ma langue touche son gland et je sens à cet instant son corps vibrer comme sous l’effet d’une décharge électrique.
Sa bite dans ma bouche, je réalise que son dard est très épais et je m’efforce de le sucer du mieux que je peux, puis j’accélère le rythme en faisant coulisser ma bouche le long de sa tige. Sa queue est assez longue et vient buter au fond de ma gorge, et je l’entends dire :
Il se relève, me prend dans ses bras et me soulève pour me poser sur le lit
Maintenant installée sur le dos, la tête appuyée sur les oreillers, je suis désormais offerte à ses caresses. Ses mains parcourent tout mon corps et me prodiguent mille caresses subtiles, mon érection est au summum, mon sexe est raide et le gland est offert.
Il pose ses doigts sur ma queue et elle se raidit encore plus. Je frissonne de plaisir en le regardant dans les yeux et en agrippant son bras.
Sentir sa main effleurer mes cuisses, peloter mon petit cul de salope, ses lèvres qui butinent mes jolis petits seins, tandis que son autre main me branle, jamais client ne m’avait fait cela, et si jamais il me suçait et que je le sodomise ce serait le pied…
Mais il vient de glisser ses doigts entre mes fesses et a trouvé mon petit trou qui palpite déjà. Je lui facilite le passage en écartant largement les cuisses et en remontant mon bassin. Mes fesses dévoilent mon petit anus qui, bien que très serré, laisse deviner les nombreuses pénétrations qu’il a déjà endurer, voir parfois subis, et lui prouve encore un peu plus que je suis peut-être une petite salope, mais aussi expérimentée.
Il me masse la verge qui tremble sous ses doigts et provoque l’écarquillement de mon petit trou qui semble réclamer son dû.
- Tu me rends folle. Dis-je dans un feulement.
- Regarde ma queue, tu peux voir à quel point tu m’excites !
- Ohhh, elle est splendide, on dirait un membre d’ébène…
Mon sexe tendu est agité de petits spasmes et je frissonne violemment quand il pousse son index dans mon anus qui l’accueille avec délice.
Alors qu’il me pénètre, je sens mon sexe qui gonfle et tressaute dans sa main. Je tortille du cul puis je me cambre sous l’effet de l’intrusion de deux autres doigts de mon bel amant noir dans mon cul.
Je le regarde, les yeux grands ouverts la bouche béante et gémissante, le corps agité de spasmes alors que ses doigts fouillent toujours mon anus qui les accueille avec plaisir.
Ma rondelle est humide, je commence à mouiller aussi du cul comme une bonne salope
Je me tords sous ses caresses et je suis éperdue de plaisir. J’apprécie beaucoup sa façon de faire, le contrôle qu’il a sur moi et mon plaisir, en vrai mâle expérimenté
- Ouvre-moi ton cul, ma belle ! Dit-il.
Je me cambre, écartant mes fesses de mes mains.
Dans l’état dans lequel je suis, je sais que je ne tiendrais pas longtemps, je ne suis plus cette petite pute qui vend ses charmes pour quelques euros, cet homme a réveillé en moi la femme que je ne suis pas et que je voudrais être. J’ai envie de jouir en le sentant lâcher son foutre au fond de moi.
Avec ses doigts il m’ouvre le cul, mon anus suinte, je suis lubrifiée naturellement.
Le beau noir présente doucement le gland de son membre imposant sur mon sphincter et enfonce son énorme pieu dans mon anus, complètement distendue, je me sens aussitôt remplie et comblée. Mais attentive au plaisir de mon client et afin qu’il connaisse mes talents, je resserre mon sphincter pour enserrer le membre de mon amant.
Je lève mes fines jambes gainées pour qu’il attrape mes chevilles et ainsi offrir pleinement mon cul à mon amant. Il les saisit délicatement mais fermement et commence un lent va-et-vient. La sensation merveilleusement féminine d’appartenance à un mec m’envahit à nouveau.
Le plaisir anal monte lentement tandis que le mouvement de piston du puissant dard de mon amant s’accélère. Après quelques minutes il jouit, et un énorme spasme le secoue. Je sens alors un flux chaud et puissant me remplir et je pousse aussitôt un cri aigu provoqué par une brutale jouissance anale pendant que mon sperme gicle sur mon ventre.
Mon amant profondément enfoncé dans mon puits d’amour pose ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser et ensuite il se retire doucement de mon anus et s’allonge à mon côté. Nous avons passé la nuit ensemble et ce n’est qu’au petit matin que je suis rentré chez moi.
Avant de que je ne quitte mon bel amant d’une nuit, il a tenu à ce que je lui donne mon numéro de téléphone…
La fin de cette aventure est un véritable d’un conte de fées…
Toute la journée du samedi, je suis restée dans mon studio p me reposer en écoutant de la musique, le soir alors que je m’apprêtais pour sortir tapiner, mon bel amant m’a téléphoné, il voulait me voir en me disant que c’était urgent, alors je lui ai dit de passer à la maison.
Il est arrivé trente minutes plus tard et m’a serré fort dans ses bras en m’embrassant.
Et une fois installé, il m’a dit que si je le voulais le tapin pour moi c’était terminé, il me demandait de le suivre pour m’installer chez lui dans une grande ville du Royaume-Uni, et vivre ensemble.
J’ai aussitôt accepté, il m’a donné de l’argent pour que je règle tout ici et afin que je ne retourne pas sur le trottoir, en rajoutant qu’il viendrait me rechercher la semaine prochaine.
Nous avons fait l’amour toute la nuit, en me quittant le dimanche matin, il m’a dit :
- Voilà, tu vas t’installer chez moi la semaine prochaine et nous allons vivre ensemble, ainsi nous pourrons nous aimer et toi être active si tu le désires…
Ce fut mon dernier client et mon premier homme…
A suivre…
Souvenirs – Un dernier client parmi tant d’autres
Le brouillard est tombé sur la ville par cette nuit sombre d’automne, enveloppant tout d’un épais voile de brume. Seules les lumières blafardes des réverbères transpercent la brume d’un faible halot, aucun mouvement ne vient troubler le silence de cette ville qui sans vie semble morte, hormis les cloches de l’église qui sonnent les douze coups de minuit, et préviennent qu’un samedi commence.
Je suis une ombre, cette silhouette sexy, habillée un peu provoquante dans cette nuit triste et sans vie d’un mois de novembre, je serais mieux au chaud chez moi que d’être là, assise sur le banc d’un abri bus à attendre pour vendre, pour quelques euros et le temps d’un instant, mes charmes à ceux qui veulent en profiter.
Une mini-jupe noire et les jambes gainées de bas auto-fixant, des chaussures aux talons de douze centimètres, le haut paré d’un chemisier blanc sans soutien-gorge, ma petite poitrine le permettant, et un blouson de cuir noir, je me trouve très sexy.
Au milieu de cette nuit de tapin, je réalise que voilà déjà deux heures que je patiente pour ne voir personne… Soudain une berline s’arrête à ma hauteur…
Un homme noir, la trentaine, le look classique costard-cravate baisse la vitre.
- Approche, ma belle ! Me lance-t-il.
- Tu es intéressé par les transsexuels ?
Je dis-je cela après m’être rapprochée en faisant quelques pas qui me séparent de l’auto dans une démarche sensuelle et en balançant mon petit cul aguicheur.
- Je les adore, Mais tu es bien jeune ?
- Je viens d’avoir dix-neuf ans, réponds-dis-je, en souriant.
- Tu es sûre ? Demande-t-il intrigué.
Je me penche vers lui pour qu’il puisse mater mes petits seins en lui disant :
- Ne t’inquiète pas, tu ne crains rien.
- Tu es très belle, me dit-il.
- Et en plus, je suis expérimentée.
- Active ou passive ?
- Les deux suivant tes désirs.
- C’est gros ?
- Vérifie par toi-même.
En disant cela je me suis collée à sa voiture pour qu’il puisse vérifier mon anatomie en passant sa main gauche sous ma minijupe pour tâter mon sexe. Ce qu’il fait et prenant mon sexe en main il me dit :
- Bel engin !
- Si tu veux jouer avec moi, tu ne seras pas déçu, ajoutais-je sur un ton de fillette délurée.
- Allez, je t’embarque, monte.
Je fais rapidement le tour de la voiture pour m’asseoir à côté de lui. Je me sens très excitée car ce n’est pas tous les soirs qu’un noir m’embarque pour me baiser.
- En général tu opères où ? Me demande-t-il.
- Si tu veux, je te guide pour aller sur un parking tranquille, dis-je.
- Bon on va dans l’hôtel où je suis descendu, à côté de l’aéroport, car j’aime prendre mon temps dans le confort.
- Ça me va, lui dis-je, dans une chambre c’est mieux que dans une voiture, le luxe quoi.
- Bon, je te propose deux-cents euros pour deux heures et le taxi de retour, qu’en dis-tu ?
- Moi, je suis ok !
- Ce soir je n’ai pas à me plaindre, les filles sexy comme toi ce n’est pas courant, j’en ai beaucoup rencontré et elles étaient moins sexy et en plus tu es féminine, une belle petite trans, jeune et fraîche qui tapine sur le trottoir, c’est rare !
Alors que nous roulons vers son hôtel, je me fais audacieuse et passe ma main sur son pantalon pour constater que sous l’étoffe se cache un membre d’un gros calibre, et d’une voie de chatte en chaleur, je lui dis :
- Tu bandes !
- C’est toi qui me fais bander comme un âne ! Car petites cochonnes dans ton genre me donnent une trique d’enfer, en plus je suis certain que tu dois être très étroite…
Un peu plus tard, il me fait entrer devant lui dans sa chambre d’hôtel, j’en profite pour lui montrer mon physique avantageux en adoptant une démarche sensuelle accompagnée d’un balancement provocateur de mon petit cul. J’ôte mon blouson de cuir et le pose négligemment sur le fauteuil.
Il me rejoint aussitôt après avoir fermé la porte de la chambre et plaque ses mains sur mes fesses et me fait pousser un petit cri de surprise et je me laisse prendre dans ses bras.
Il me retourne prestement et comme nos lèvres sont proches l’une des autres, il plaque les siennes sur les miennes pour un long baiser sensuel, non sans oublier de prendre mes petites fesses à pleines mains.
- Mais monsieur, qui vous a permis de toucher le cul, espèce de cochon ? dis-je sur un ton narquois.
- Je vais faire bien plus que le toucher, ma petite allumeuse ! me répond-il.
- Ohhh, j’espère bien que ce n’est pas qu’une promesse…
- T’inquiète, tu va-t’en souvenir longtemps !
- Mais surtout avant, n’oublie pas mon petit cadeau ! Répliqué-je.
- Petite ensorceleuse voilà pour ta peine, dit-il, en me tendant deux-cent-cinquante euros.
- Embrasse-moi encore, dis-je en me lovant tendrement dans ses bras après avoir prestement rangé les billets dans mon sac.
Il ne se fait pas prier et m’embrasse sur la bouche pendant que son genou glisse entre mes cuisses, j’en profite pour me frotter lascivement, ce qui fait que je me mets à bander.
Nos langues jouent dans nos bouches pendant que nous nous dénudons mutuellement. Cet homme qui vient de me racoler peu de temps avant sur le bord du trottoir, m’embrasse dans baiser torride, moi la petite pute trans, comme si j’étais sa petite copine.
Fébrilement, j’ôte sa veste et défais sa cravate, lui de son côté, il retire mon chemisier qui tombe à terre.
Il semble fasciné en contemplant mes petits seins aux tétons foncés et pointus qui dardent fièrement.
- Mais dis-moi, tu ne t’hormone pas ?
- Je dois t’avouer que je tiens à rester active, certains clients aiment les actives et les rencontrent rien que pour se faire enculer ! Alors je prends un traitement spécial pour avoir une petite poitrine et continuer à avoir de belles érections. Tu me dis cela parce que je ne suis pas ta première trans.
- En effet ma belle, mais d’aussi jolis petits seins chez une trans, c’est assez rare et t’avoue n’en avoir rarement vu.
- C’est vrai que la plupart des trans ont des poitrines opulentes.
- Pour ma part je préfère les petites poitrines.
Je me dégage de son étreinte et décide de lui faire un strip-tease, en premier lentement j’enlève ma jupe en ondulant, puis continuant mon numéro, je fais doucement glisser mon string, libérant d’entre mes cuisses mon sexe de mâle qui sans être raide est déjà de bonne taille. Je minaude en défilant lentement devant lui, montrant ma nudité sous tous les angles…
Et surtout pour lui laisser le temps de voir l’incongruité de mon sexe gonflé et assez imposant par rapport à la minceur de mon corps et ma petite poitrine.
Il m’observe presque avidement, et je vois à son entrejambe que je lui fais de l’effet et ne se gêne pas pour me le dire :
- Ohhh, une petite salope, très émouvant cette grosse queue sur ce corps si frêle, tu sens et inspire le sexe !
- Je suis toute à toi. Lui dis-je dans un souffle.
Il m’attrape d’une main et chope mes couilles de l’autre, les caresse un instant puis les enserre dans sa main puissante et les serre comme dans un étau.
- Doucement, fais attention, tu me fais mal. Dis-je en gémissant.
- Pas de panique ma belle, je veux te donner du plaisir, cela ne doit pas t’arriver souvent que tu prennes du plaisir lors de tes passes ?
- Pour tout t’avouer, c’est rare.
- Tu veux jouir avec moi ?
- J’aimerais bien, dis-je en soupirant lascivement.
Je me dirige vers lui, intégralement nue hormis mes bas et dégrafe son pantalon, puis avec dextérité je sors sa queue déjà raide de son boxer. Le sexe circoncis laisse apparaitre le gland luisant qui est déjà un peu mouillé. Je dois l’exciter vraiment car l’érection semble être présente depuis un moment.
J’en suis heureuse et comblée, j’adore les membres circoncis comme le mien, je trouve ça plus beau, voir esthétique, et surtout plus hygiénique, comme il a toujours été important pour moi de susciter le désir chez les hommes, les allumez et les séduire afin de constater l’effet que je leur fais.
- Dis-moi, je te trouve déjà bien excité ! Dis-je sur un ton provocateur.
- Tu aimes faire bander les mecs, petite pute ! Et tu excelles dans cet art, allumer les hommes c’est ton quotidien.
Je saisis son sexe en pleine érection, pas besoin de le décalotter il est circoncis, laissant le gland nu et luisant. Je m’accroupis pour caresser ses couilles. Ma langue touche son gland et je sens à cet instant son corps vibrer comme sous l’effet d’une décharge électrique.
Sa bite dans ma bouche, je réalise que son dard est très épais et je m’efforce de le sucer du mieux que je peux, puis j’accélère le rythme en faisant coulisser ma bouche le long de sa tige. Sa queue est assez longue et vient buter au fond de ma gorge, et je l’entends dire :
Il se relève, me prend dans ses bras et me soulève pour me poser sur le lit
Maintenant installée sur le dos, la tête appuyée sur les oreillers, je suis désormais offerte à ses caresses. Ses mains parcourent tout mon corps et me prodiguent mille caresses subtiles, mon érection est au summum, mon sexe est raide et le gland est offert.
Il pose ses doigts sur ma queue et elle se raidit encore plus. Je frissonne de plaisir en le regardant dans les yeux et en agrippant son bras.
Sentir sa main effleurer mes cuisses, peloter mon petit cul de salope, ses lèvres qui butinent mes jolis petits seins, tandis que son autre main me branle, jamais client ne m’avait fait cela, et si jamais il me suçait et que je le sodomise ce serait le pied…
Mais il vient de glisser ses doigts entre mes fesses et a trouvé mon petit trou qui palpite déjà. Je lui facilite le passage en écartant largement les cuisses et en remontant mon bassin. Mes fesses dévoilent mon petit anus qui, bien que très serré, laisse deviner les nombreuses pénétrations qu’il a déjà endurer, voir parfois subis, et lui prouve encore un peu plus que je suis peut-être une petite salope, mais aussi expérimentée.
Il me masse la verge qui tremble sous ses doigts et provoque l’écarquillement de mon petit trou qui semble réclamer son dû.
- Tu me rends folle. Dis-je dans un feulement.
- Regarde ma queue, tu peux voir à quel point tu m’excites !
- Ohhh, elle est splendide, on dirait un membre d’ébène…
Mon sexe tendu est agité de petits spasmes et je frissonne violemment quand il pousse son index dans mon anus qui l’accueille avec délice.
Alors qu’il me pénètre, je sens mon sexe qui gonfle et tressaute dans sa main. Je tortille du cul puis je me cambre sous l’effet de l’intrusion de deux autres doigts de mon bel amant noir dans mon cul.
Je le regarde, les yeux grands ouverts la bouche béante et gémissante, le corps agité de spasmes alors que ses doigts fouillent toujours mon anus qui les accueille avec plaisir.
Ma rondelle est humide, je commence à mouiller aussi du cul comme une bonne salope
Je me tords sous ses caresses et je suis éperdue de plaisir. J’apprécie beaucoup sa façon de faire, le contrôle qu’il a sur moi et mon plaisir, en vrai mâle expérimenté
- Ouvre-moi ton cul, ma belle ! Dit-il.
Je me cambre, écartant mes fesses de mes mains.
Dans l’état dans lequel je suis, je sais que je ne tiendrais pas longtemps, je ne suis plus cette petite pute qui vend ses charmes pour quelques euros, cet homme a réveillé en moi la femme que je ne suis pas et que je voudrais être. J’ai envie de jouir en le sentant lâcher son foutre au fond de moi.
Avec ses doigts il m’ouvre le cul, mon anus suinte, je suis lubrifiée naturellement.
Le beau noir présente doucement le gland de son membre imposant sur mon sphincter et enfonce son énorme pieu dans mon anus, complètement distendue, je me sens aussitôt remplie et comblée. Mais attentive au plaisir de mon client et afin qu’il connaisse mes talents, je resserre mon sphincter pour enserrer le membre de mon amant.
Je lève mes fines jambes gainées pour qu’il attrape mes chevilles et ainsi offrir pleinement mon cul à mon amant. Il les saisit délicatement mais fermement et commence un lent va-et-vient. La sensation merveilleusement féminine d’appartenance à un mec m’envahit à nouveau.
Le plaisir anal monte lentement tandis que le mouvement de piston du puissant dard de mon amant s’accélère. Après quelques minutes il jouit, et un énorme spasme le secoue. Je sens alors un flux chaud et puissant me remplir et je pousse aussitôt un cri aigu provoqué par une brutale jouissance anale pendant que mon sperme gicle sur mon ventre.
Mon amant profondément enfoncé dans mon puits d’amour pose ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser et ensuite il se retire doucement de mon anus et s’allonge à mon côté. Nous avons passé la nuit ensemble et ce n’est qu’au petit matin que je suis rentré chez moi.
Avant de que je ne quitte mon bel amant d’une nuit, il a tenu à ce que je lui donne mon numéro de téléphone…
La fin de cette aventure est un véritable d’un conte de fées…
Toute la journée du samedi, je suis restée dans mon studio p me reposer en écoutant de la musique, le soir alors que je m’apprêtais pour sortir tapiner, mon bel amant m’a téléphoné, il voulait me voir en me disant que c’était urgent, alors je lui ai dit de passer à la maison.
Il est arrivé trente minutes plus tard et m’a serré fort dans ses bras en m’embrassant.
Et une fois installé, il m’a dit que si je le voulais le tapin pour moi c’était terminé, il me demandait de le suivre pour m’installer chez lui dans une grande ville du Royaume-Uni, et vivre ensemble.
J’ai aussitôt accepté, il m’a donné de l’argent pour que je règle tout ici et afin que je ne retourne pas sur le trottoir, en rajoutant qu’il viendrait me rechercher la semaine prochaine.
Nous avons fait l’amour toute la nuit, en me quittant le dimanche matin, il m’a dit :
- Voilà, tu vas t’installer chez moi la semaine prochaine et nous allons vivre ensemble, ainsi nous pourrons nous aimer et toi être active si tu le désires…
Ce fut mon dernier client et mon premier homme…
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire très sensuelle ! J'adore !
Bonne continuation !
Bonne continuation !