Leslie RE22
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie RE22
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Leslie RE22 – Les récits érotiquesSouvenirs – Grossière erreur
Quelle grossière erreur avais-je fais…Parfois on se retrouve dans des situations que l’on a provoquées, consciemment ou inconsciemment, et dans lesquelles on se retrouvent sans vraiment les avoir désirées, mais à cet instant il est souvent trop tard.
Cela faisait un moment que dans l’entreprise où je travaille je prenais un certain plaisir a allumé mon collègue, un beau black, je m’amusais de lui et prenait du plaisir à le voir me tourner autour plein de désirs et d’espoir …Mais lors de cette soirée de fin d’année je ne me suis pas méfiée et, pour oublier le départ de ma copine qui venait de me quitter, je me suis laissé aller dans l'alcool, tout en aguichant mon collègue black, volontairement au début de la soirée et certainement inconsciemment à la fin, refusant ses demandes et ses avances et en me moquant ouvertement de lui, et le provoquant en dansant lascivement avec l'ensemble des convives présents.
Mais à un certain moment de la soirée, je me suis sentie mal, comme prise de nausées et de vertiges, puis j’ai eu le sentiment que mes jambes se dérobaient sous moi, que l’on me retenait, puis que l’on me transportait, et soudain plus rien, le noir complet…Et je me réveille là, à une heure du matin, allongée nue sur le ventre avec les chevilles et les poignets solidement attachés à la table, la poitrine écrasée contre le bois, désormais à la merci de cet immense black, les fesses offertes à ses désirs et sa perversité…Je pouvais crier, tous les invités étaient partis sans se soucier de mon absence, et me voilà maintenant incarcérée et bâillonnée dans la salle de réunion de l’entreprise.
Il avait su être patient lors de cette soirée pour me faire payer mes affronts passés et cette soirée où je l’ai carrément snobé allant parfois jusqu’à me moquer de lui, lors de mon malaise il m'avait certainement de façon discrète enlevée alors que dans le même temps la soirée touchait à sa fin et attendre patiemment le départ de tous du salon de réception de l’entreprise.
A cet instant, je regretterais amèrement mon attitude du début de la soirée et celle des jours passés, mon inconscience m’avaient mené là où je me trouvais et il la tenait sa vengeance !
Il commença par me caresser soigneusement le corps, le dos en partant des épaules jusqu’aux fesses en passant par les hanches… Doucement, lentement puis s’arrêta sur mes fesses pour les malaxer de ses mains immenses…Soudain, il insista sur ma raie, glissant ses doigts à l’intérieur, puis ensuite il se mit à titiller mon anus du bout de ses doigts, mais cependant, sans le pénétrer…A trente ans j’avais eu de nombreuses aventures avec des hommes, mais j’avais toujours refusé cet endroit intime de mon anatomie à mes amants, non pas que je trouvais l’acte de la sodomie comme sale, mais pour offrir cette partie de mon corps à un amant, il fallait que je sois très amoureuse et que ce soit comme un acte de confiance, mais cela ne s’étant jamais présenté j'étais encore vierge de cet endroit et ne m'imaginait pas qu'il allait, cette nuit, faire l'objet d'assauts redoutables et douloureux…Mon vagin suintait certainement pour donner suite aux caresses que mon corps avait reçu, mais c’est la honte qui me dominait et non le désir d’être pénétrée vaginalement et encore moins analement.
Soudainement, je compris et eu la certitude de son intention, quand il commença à s’attarder longuement sur mon anus, comme s'il testait son élasticité et se rendre compte de la capacité d’accueil de cet orifice...
Ce que je pressentais devint une terreur qui s’empara de moi…Il appuyait terriblement sur ma rosette avec ses doigts sans me pénétrer, jouant seulement avec le trou, pour que je comprenne et sois certaine de ce qui allait m’arriver…J’ai pleuré et supplié, mais il resta sourd comme je l’avais pu l’être à ses avances dans un passé proche…- Tu vas voir espèce de petite allumeuse, après ce qui va t’arriver et ce que tu vas subir, tu ne seras jamais plus la même !
En disant cela il me présenta son membre pour que je me rende compte de l’engin qui allait me posséder, un frisson me parcourut quand j’ai découvert la bête, vingt-quatre centimètres de long pour six de diamètre environ, noueux avec les veines apparentes et visiblement très ferme, circoncis il laissait le gland bien apparent, très large et j’ai compris que j'allais déguster…Puis il recula et il disparut de mon champ de vision et peu de temps après je sentis qu'il graissait de gel mon anus inviolé évitant soigneusement de le pénétrer se laissant certainement le soin de le dépuceler avec son pieu…Il monta sur la table et m’enjamba, puis je sentis alors son pénis se poser sur ma rosette, présentant son gland à l'entrée de mon trou intime, si étroit…
La grosseur du mandrin encore présente dans ma mémoire, je chialais de honte et d'effroi e pensant à ce chibre qui allait dans un instant me perforer ma rondelle…Il appuya silencieusement son gland sur mon intimité et poussa son membre avec insistance pot l’introduire, il poussait comme un forcené sans pouvoir pénétrer car le muscle anal tenait bon, il força sans succès pendant au moins deux bonnes minutes...
Voyant que son action restait sans succès, il introduisit des doigts mon vagin en effleurant mon clitoris, la surprise me fit lâcher un cri rauque et l’effleurement des doigts sur mon clitoris détendit mon corps et fit détendre mes fesses, offrant mon anus à son gourdin, d'un coup de hanche violent il réussit à percer mon sphincter, me faisant hurler de douleur…
Mon sphincter de céder d'un coup et j'étais en proie à une vive douleur…Alors il m'attrapa par les hanches et força mon anus pour y pénétrer la moitié du membre... Quelle douleur, sentir mon anus explosé et brûlant de douleur, avec la sensation d'être écartelée et complètement offerte sans rien pouvoir y faire…Il m'attrapa les cheveux pour me tirer la tête en arrière et je l’entendis dire à mon oreille :Alors petite allumeuse, tu fais moins la précieuse avec mon mandrin dans ton cul !
Je compris que malgré la douleur et mes supplications il irait jusqu’au bout et m’enculerais comme un forcené.
J'étais déchirée et lui pas encore complètement en moi, il me laboura en petites pénétrations gagnant à chaque poussée un peu de terrain en moi, si-bien qu’au bout de quinze minutes il était entièrement en moi…Son membre immense était en moi et travaillait mes boyaux… Il me chevauchait, me tenant fermement par les hanches, il ne m'épargna pas et me défonça le cul pendant une bonne demi-heure…Il m'injuriait en m’enculant, moi la petite allumeuse qui l'avait snobé, une petite blanche enculée par un nègre, puis soudain son membre grossit en moi et il explosa, son sperme chaud remplissant mes entrailles…Il stoppa sa pénétration et resta en moi pendant cinq minutes m'imposant son membre en moi qui ne débandait pas… Puis forçant encore plus pour le rentrer au plus profond, réveillant en moi la douleur, il me dit :- Tu as le choix, soit je te laisse ainsi sur la table et demain les collègues vont te trouver ainsi avec le cul ouvert ou tu me jure de ne plus te moquer de moi, sinon tu sais maintenant ce que tu risques !
Bien-sûr que je promis de ne plus me moquer de lui, mais lui promis aussi sous son insistance de m’offrir trois fois à lui dans les jours à venir…
Je suis rentrée chez moi l’anus béant et suintant de sperme. Trois fois comme promis il me sodomisa dans les jours suivants et je me dis que si je voulais me faire à nouveau sodomiser, il m’avait préparé pour de belles sodomies …
A suivre…
Leslie RE22 – Les récits érotiquesSouvenirs – Grossière erreur
Quelle grossière erreur avais-je fais…Parfois on se retrouve dans des situations que l’on a provoquées, consciemment ou inconsciemment, et dans lesquelles on se retrouvent sans vraiment les avoir désirées, mais à cet instant il est souvent trop tard.
Cela faisait un moment que dans l’entreprise où je travaille je prenais un certain plaisir a allumé mon collègue, un beau black, je m’amusais de lui et prenait du plaisir à le voir me tourner autour plein de désirs et d’espoir …Mais lors de cette soirée de fin d’année je ne me suis pas méfiée et, pour oublier le départ de ma copine qui venait de me quitter, je me suis laissé aller dans l'alcool, tout en aguichant mon collègue black, volontairement au début de la soirée et certainement inconsciemment à la fin, refusant ses demandes et ses avances et en me moquant ouvertement de lui, et le provoquant en dansant lascivement avec l'ensemble des convives présents.
Mais à un certain moment de la soirée, je me suis sentie mal, comme prise de nausées et de vertiges, puis j’ai eu le sentiment que mes jambes se dérobaient sous moi, que l’on me retenait, puis que l’on me transportait, et soudain plus rien, le noir complet…Et je me réveille là, à une heure du matin, allongée nue sur le ventre avec les chevilles et les poignets solidement attachés à la table, la poitrine écrasée contre le bois, désormais à la merci de cet immense black, les fesses offertes à ses désirs et sa perversité…Je pouvais crier, tous les invités étaient partis sans se soucier de mon absence, et me voilà maintenant incarcérée et bâillonnée dans la salle de réunion de l’entreprise.
Il avait su être patient lors de cette soirée pour me faire payer mes affronts passés et cette soirée où je l’ai carrément snobé allant parfois jusqu’à me moquer de lui, lors de mon malaise il m'avait certainement de façon discrète enlevée alors que dans le même temps la soirée touchait à sa fin et attendre patiemment le départ de tous du salon de réception de l’entreprise.
A cet instant, je regretterais amèrement mon attitude du début de la soirée et celle des jours passés, mon inconscience m’avaient mené là où je me trouvais et il la tenait sa vengeance !
Il commença par me caresser soigneusement le corps, le dos en partant des épaules jusqu’aux fesses en passant par les hanches… Doucement, lentement puis s’arrêta sur mes fesses pour les malaxer de ses mains immenses…Soudain, il insista sur ma raie, glissant ses doigts à l’intérieur, puis ensuite il se mit à titiller mon anus du bout de ses doigts, mais cependant, sans le pénétrer…A trente ans j’avais eu de nombreuses aventures avec des hommes, mais j’avais toujours refusé cet endroit intime de mon anatomie à mes amants, non pas que je trouvais l’acte de la sodomie comme sale, mais pour offrir cette partie de mon corps à un amant, il fallait que je sois très amoureuse et que ce soit comme un acte de confiance, mais cela ne s’étant jamais présenté j'étais encore vierge de cet endroit et ne m'imaginait pas qu'il allait, cette nuit, faire l'objet d'assauts redoutables et douloureux…Mon vagin suintait certainement pour donner suite aux caresses que mon corps avait reçu, mais c’est la honte qui me dominait et non le désir d’être pénétrée vaginalement et encore moins analement.
Soudainement, je compris et eu la certitude de son intention, quand il commença à s’attarder longuement sur mon anus, comme s'il testait son élasticité et se rendre compte de la capacité d’accueil de cet orifice...
Ce que je pressentais devint une terreur qui s’empara de moi…Il appuyait terriblement sur ma rosette avec ses doigts sans me pénétrer, jouant seulement avec le trou, pour que je comprenne et sois certaine de ce qui allait m’arriver…J’ai pleuré et supplié, mais il resta sourd comme je l’avais pu l’être à ses avances dans un passé proche…- Tu vas voir espèce de petite allumeuse, après ce qui va t’arriver et ce que tu vas subir, tu ne seras jamais plus la même !
En disant cela il me présenta son membre pour que je me rende compte de l’engin qui allait me posséder, un frisson me parcourut quand j’ai découvert la bête, vingt-quatre centimètres de long pour six de diamètre environ, noueux avec les veines apparentes et visiblement très ferme, circoncis il laissait le gland bien apparent, très large et j’ai compris que j'allais déguster…Puis il recula et il disparut de mon champ de vision et peu de temps après je sentis qu'il graissait de gel mon anus inviolé évitant soigneusement de le pénétrer se laissant certainement le soin de le dépuceler avec son pieu…Il monta sur la table et m’enjamba, puis je sentis alors son pénis se poser sur ma rosette, présentant son gland à l'entrée de mon trou intime, si étroit…
La grosseur du mandrin encore présente dans ma mémoire, je chialais de honte et d'effroi e pensant à ce chibre qui allait dans un instant me perforer ma rondelle…Il appuya silencieusement son gland sur mon intimité et poussa son membre avec insistance pot l’introduire, il poussait comme un forcené sans pouvoir pénétrer car le muscle anal tenait bon, il força sans succès pendant au moins deux bonnes minutes...
Voyant que son action restait sans succès, il introduisit des doigts mon vagin en effleurant mon clitoris, la surprise me fit lâcher un cri rauque et l’effleurement des doigts sur mon clitoris détendit mon corps et fit détendre mes fesses, offrant mon anus à son gourdin, d'un coup de hanche violent il réussit à percer mon sphincter, me faisant hurler de douleur…
Mon sphincter de céder d'un coup et j'étais en proie à une vive douleur…Alors il m'attrapa par les hanches et força mon anus pour y pénétrer la moitié du membre... Quelle douleur, sentir mon anus explosé et brûlant de douleur, avec la sensation d'être écartelée et complètement offerte sans rien pouvoir y faire…Il m'attrapa les cheveux pour me tirer la tête en arrière et je l’entendis dire à mon oreille :Alors petite allumeuse, tu fais moins la précieuse avec mon mandrin dans ton cul !
Je compris que malgré la douleur et mes supplications il irait jusqu’au bout et m’enculerais comme un forcené.
J'étais déchirée et lui pas encore complètement en moi, il me laboura en petites pénétrations gagnant à chaque poussée un peu de terrain en moi, si-bien qu’au bout de quinze minutes il était entièrement en moi…Son membre immense était en moi et travaillait mes boyaux… Il me chevauchait, me tenant fermement par les hanches, il ne m'épargna pas et me défonça le cul pendant une bonne demi-heure…Il m'injuriait en m’enculant, moi la petite allumeuse qui l'avait snobé, une petite blanche enculée par un nègre, puis soudain son membre grossit en moi et il explosa, son sperme chaud remplissant mes entrailles…Il stoppa sa pénétration et resta en moi pendant cinq minutes m'imposant son membre en moi qui ne débandait pas… Puis forçant encore plus pour le rentrer au plus profond, réveillant en moi la douleur, il me dit :- Tu as le choix, soit je te laisse ainsi sur la table et demain les collègues vont te trouver ainsi avec le cul ouvert ou tu me jure de ne plus te moquer de moi, sinon tu sais maintenant ce que tu risques !
Bien-sûr que je promis de ne plus me moquer de lui, mais lui promis aussi sous son insistance de m’offrir trois fois à lui dans les jours à venir…
Je suis rentrée chez moi l’anus béant et suintant de sperme. Trois fois comme promis il me sodomisa dans les jours suivants et je me dis que si je voulais me faire à nouveau sodomiser, il m’avait préparé pour de belles sodomies …
A suivre…
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