Leslie RF07
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie RF07
Leslie RF07 – Rêves et fantasmes.
Laura, un si beau moment
Je viens de me réveiller en sueur, et je me demande si ce n’est pas le rêve que je viens de faire qui m’a laissé dans cet état…
« Je suis allongée nue sur un lit dans une chambre d’hôtel, mon membre encore bandé est prêt à un nouvel assaut, près de moi repose Laura, en chien de fusil dans une semi-inconscience après un orgasme de folie.
Je m’ennuyais clairement ce soir-là, mais en errant dans les rues de la capitale près de chez moi, je suis entrée dans un bar pour boire un verre et c’est là qu’elle m’a abordée et draguée, avant de m’emmener dans cet hôtel.
Laura, cette petite blonde aux reflets châtain qui avant que nous fassions l’amour, m’a dévoilé son corps sans pudeur, un corps fin, aux hanches étroites et aux tous petits seins et un pubis taillé très court. Une fois nue, elle m’a déshabillée et fut à peine étonnée de trouver dans mon string un sexe bandé, juste dans un souffle elle m’a dit le plus naturellement du monde :
- Fais-moi l’amour !
Je lui ai fait l’amour et elle m’a fait l’amour, sans un mot, les gémissements en disaient long, elle fût tempête puis douceur, elle mit le feu en moi et me calma, ensemble on s’est emportées et nous avons jouit, sans crier notre plaisir, nos yeux parlaient pour nous.
Maintenant, elle repose près de moi, nue, et encore pleine de désir, cette petite furie insatiable, je vois son sexe aux lèvres brunes brillées sous la lumière de la chambre, son petit trou encore ouvert par la sodomie qu’elle a réclamé, laisse échappé ma jouissance…
Je me rapproche d’elle, et colle mon ventre contre son dos, elle soupire et se cambre comme pour m’offrir à nouveau ses intimités, me laissant le choix de le pénétrer par où bon me semble…
Alors, toujours sans un mot, me laissant le choix de l’orifice, je commençais par pénétrer de nouveau sa chatte, qui me parut à nouveau très étroite, à croire qu’elle ne se faisait prendre que par derrière, c’était bon d’être ainsi à l’étroit et de sentir mon sexe complètement enveloppé par sa gaine vaginale, elle soupira et commença de nouveau à remuer, le plaisir montait en elle et elle ne se le refusait pas.
Longtemps elle se laissa pénétrer en soupirant et en râlant son plaisir, se cambrant au maximum pour m’offrir le meilleur d’elle-même, puis elle eut un orgasme qui la tétanisa un instant, la laissant pratiquement sans vie tandis que je retirais d’elle…
Peu de temps après, elle se leva et partit à la salle de bain, elle ferma le verrou et entendis l’eau qui commençait à couler. J’ai soupiré en mettant à l’aise sur le lit, adossée au mur, les reins calés par l’oreiller, les jambes étendues devant moi et ne pus m’empêcher de l’imaginer, nue sous la douche.
Je me suis senti à nouveau toute chose, en repensant aux moments passés, mais pour l’avoir serrer dans mes bras et lui avoir fait l’amour, je connaissais par cœur ses formes, et mon esprit fut complètement hanté par l’idée du jet d’eau sur sa peau…
Je ne fis même pas attention à ma main qui avait pris mon membre et commençait à me branler, j’ai fermé doucement les yeux, et me laissais aller dans ce doux branle qui me procurait du plaisir…
L’eau cessa de couler, je rouvris les yeux en essayant tant bien que mal de reprendre mes esprits… Elle ouvrit la porte et me vit assise le membre raide au milieu du lit.
- Ben, qu’est-ce qu’il t’arrive ? Me demanda-t-elle en rigolant.
- Heu, je…
- Toi, t’as encore envie de moi !
Ses cheveux pas bien encore secs laissaient couler quelques perles d’eau le long de sa nuque, sur ses épaules et dans son dos, humidifiant sa peau nue.
Elle monta sur le lit pour venir me rejoindre et prenant mon sexe en main elle approcha ses lèvres des miennes, en murmurant :
- Toi, tu es ma belle amante ambiguë !
Elle me prit le cou de sa main, ses doigts s’emmêlant jusqu’aux racines de mes cheveux qu’elle griffa avec délice, sa bouche se posa sur la mienne et nos langues se goûtèrent dans un baiser parfait.
Sa main déserta sa nuque pour descendre le long de mon dos caressant au passage mes épaules et mes reins, créant de doux frissons en moi, puis trouva le début de ma raie des fesses e en commença l’exploration, je me relevais un peu pour lui faciliter la tâche et alors que sa main continuait son exploration, je sentis un de ses doigt entrer au contact de mon anneau plissé, ce qui fit accélérer ma respiration.
Heureuse de me mettre dans un tel état, elle mis son doigt en action pour effectuer de petits cercles sur le bord de mon anus… Me faisant furieusement me tordre en deux en avant.
Elle ne me lâcha pas et continua de plus belle en accélérant, alors que je la suppliais d’arrêter, mais en vain, puis s’allongeant entre mes cuisses, sans cesser de me caresser l’anus, elle prit place entre mes jambes. Je l’entendis gémir, quand sa bouche s’empara de mon membre, je crue devenir folle, ses lèvres se refermèrent sur mon sexe et je sentis sa langue commencer à jouer avec le gland, me transportant aussitôt sur les rivages du plaisir.
Ma respiration se fit courte quand son doigt entra dans mon antre intime, et le souffle coupé, je ne pus plus respirer, mon corps prit de spasmes, je miaulais comme une chatte en chaleur…
Je me tordais de plaisir, alors je lui attrapais la nuque et la fis monter et descendre sur mon membre qui ne demandait qu’à remplir sa bouche de ma jouissance ;
Quand je sentis son deuxième doigt entrer dans mon fondement, j’ai serré les dents pour ne pas jouir, et la regardant et rentrais le ventre par réflexe… Me sentant de plus en plus à sa merci, passive, j’attendais la fin proche, sentant ses doigts accélérer la cadence, pour m’offrir un orgasme digne de ce nom…
Mais soudain elle s’arrêta, se détacha de moi pour se lever en disant :
- Je crois que je vais te sodomiser, tu en as tellement envie…
Et pendant qu’elle s’équipait de son gode ceinture sorti de je sais où, elle me demanda de me mettre en levrette et de lui offrir ma rondelle.
Je ne pensais pas qu’elle allait me sodomiser, mais c’est avec plaisir que je m’exécutais, elle se plaça entre mes jambes le gode fièrement dresse sur son pubis, elle palça le gland sur mon œillet et me pénétra doucement.
Ce ne devais pas être la première fois qu’elle enculait, car elle avait un savoir-faire hors du commun, et très rapidement le gode fut entièrement en moi, elle commença alors d’amples va et vient, qui me laissèrent sans voix, me procurant un plaisir fou et démentiel.
Nous avons ainsi jouées pendant une partie de la nuit, nous sodomisant à tour de rôle pour notre plus grand bonheur, Laura se montrait insatiable et trouvant à chaque fois une nouvelle position.
Bien plus tard, éreintées l’une et l’autre de ce que l’on venait de s’offrir, elle s’abandonna les cuisses largement écartées, ma permettant de m’abandonner, la bouche sur sa vulve, et tandis que je ma gouttais encore une nouvelle fois je tentais de calmer mon esprit qui voguait entre repos et souvenirs.
Tous nos sens en éveil nous savions qu’un rein réveillerait nos corps assoiffés de jouissance, je l’entendis sangloter avant que son souffle ne devienne calme et régulier, elle venait de s’endormir.
Alors avant de fermer les yeux, une dernière fois je déposais un baiser sur sa vulve, profitant aussi de ses effluves sucrées et le sommeil peu après m’emporta…
Elle me quitta au petit matin, les yeux cernés et embués de bonheur, mêlé à une certaine tristesse, elle me promit de me rappeler et de se revoir dès que possible.
Bien entendu, elle ne me rappela jamais… »
A suivre…
Laura, un si beau moment
Je viens de me réveiller en sueur, et je me demande si ce n’est pas le rêve que je viens de faire qui m’a laissé dans cet état…
« Je suis allongée nue sur un lit dans une chambre d’hôtel, mon membre encore bandé est prêt à un nouvel assaut, près de moi repose Laura, en chien de fusil dans une semi-inconscience après un orgasme de folie.
Je m’ennuyais clairement ce soir-là, mais en errant dans les rues de la capitale près de chez moi, je suis entrée dans un bar pour boire un verre et c’est là qu’elle m’a abordée et draguée, avant de m’emmener dans cet hôtel.
Laura, cette petite blonde aux reflets châtain qui avant que nous fassions l’amour, m’a dévoilé son corps sans pudeur, un corps fin, aux hanches étroites et aux tous petits seins et un pubis taillé très court. Une fois nue, elle m’a déshabillée et fut à peine étonnée de trouver dans mon string un sexe bandé, juste dans un souffle elle m’a dit le plus naturellement du monde :
- Fais-moi l’amour !
Je lui ai fait l’amour et elle m’a fait l’amour, sans un mot, les gémissements en disaient long, elle fût tempête puis douceur, elle mit le feu en moi et me calma, ensemble on s’est emportées et nous avons jouit, sans crier notre plaisir, nos yeux parlaient pour nous.
Maintenant, elle repose près de moi, nue, et encore pleine de désir, cette petite furie insatiable, je vois son sexe aux lèvres brunes brillées sous la lumière de la chambre, son petit trou encore ouvert par la sodomie qu’elle a réclamé, laisse échappé ma jouissance…
Je me rapproche d’elle, et colle mon ventre contre son dos, elle soupire et se cambre comme pour m’offrir à nouveau ses intimités, me laissant le choix de le pénétrer par où bon me semble…
Alors, toujours sans un mot, me laissant le choix de l’orifice, je commençais par pénétrer de nouveau sa chatte, qui me parut à nouveau très étroite, à croire qu’elle ne se faisait prendre que par derrière, c’était bon d’être ainsi à l’étroit et de sentir mon sexe complètement enveloppé par sa gaine vaginale, elle soupira et commença de nouveau à remuer, le plaisir montait en elle et elle ne se le refusait pas.
Longtemps elle se laissa pénétrer en soupirant et en râlant son plaisir, se cambrant au maximum pour m’offrir le meilleur d’elle-même, puis elle eut un orgasme qui la tétanisa un instant, la laissant pratiquement sans vie tandis que je retirais d’elle…
Peu de temps après, elle se leva et partit à la salle de bain, elle ferma le verrou et entendis l’eau qui commençait à couler. J’ai soupiré en mettant à l’aise sur le lit, adossée au mur, les reins calés par l’oreiller, les jambes étendues devant moi et ne pus m’empêcher de l’imaginer, nue sous la douche.
Je me suis senti à nouveau toute chose, en repensant aux moments passés, mais pour l’avoir serrer dans mes bras et lui avoir fait l’amour, je connaissais par cœur ses formes, et mon esprit fut complètement hanté par l’idée du jet d’eau sur sa peau…
Je ne fis même pas attention à ma main qui avait pris mon membre et commençait à me branler, j’ai fermé doucement les yeux, et me laissais aller dans ce doux branle qui me procurait du plaisir…
L’eau cessa de couler, je rouvris les yeux en essayant tant bien que mal de reprendre mes esprits… Elle ouvrit la porte et me vit assise le membre raide au milieu du lit.
- Ben, qu’est-ce qu’il t’arrive ? Me demanda-t-elle en rigolant.
- Heu, je…
- Toi, t’as encore envie de moi !
Ses cheveux pas bien encore secs laissaient couler quelques perles d’eau le long de sa nuque, sur ses épaules et dans son dos, humidifiant sa peau nue.
Elle monta sur le lit pour venir me rejoindre et prenant mon sexe en main elle approcha ses lèvres des miennes, en murmurant :
- Toi, tu es ma belle amante ambiguë !
Elle me prit le cou de sa main, ses doigts s’emmêlant jusqu’aux racines de mes cheveux qu’elle griffa avec délice, sa bouche se posa sur la mienne et nos langues se goûtèrent dans un baiser parfait.
Sa main déserta sa nuque pour descendre le long de mon dos caressant au passage mes épaules et mes reins, créant de doux frissons en moi, puis trouva le début de ma raie des fesses e en commença l’exploration, je me relevais un peu pour lui faciliter la tâche et alors que sa main continuait son exploration, je sentis un de ses doigt entrer au contact de mon anneau plissé, ce qui fit accélérer ma respiration.
Heureuse de me mettre dans un tel état, elle mis son doigt en action pour effectuer de petits cercles sur le bord de mon anus… Me faisant furieusement me tordre en deux en avant.
Elle ne me lâcha pas et continua de plus belle en accélérant, alors que je la suppliais d’arrêter, mais en vain, puis s’allongeant entre mes cuisses, sans cesser de me caresser l’anus, elle prit place entre mes jambes. Je l’entendis gémir, quand sa bouche s’empara de mon membre, je crue devenir folle, ses lèvres se refermèrent sur mon sexe et je sentis sa langue commencer à jouer avec le gland, me transportant aussitôt sur les rivages du plaisir.
Ma respiration se fit courte quand son doigt entra dans mon antre intime, et le souffle coupé, je ne pus plus respirer, mon corps prit de spasmes, je miaulais comme une chatte en chaleur…
Je me tordais de plaisir, alors je lui attrapais la nuque et la fis monter et descendre sur mon membre qui ne demandait qu’à remplir sa bouche de ma jouissance ;
Quand je sentis son deuxième doigt entrer dans mon fondement, j’ai serré les dents pour ne pas jouir, et la regardant et rentrais le ventre par réflexe… Me sentant de plus en plus à sa merci, passive, j’attendais la fin proche, sentant ses doigts accélérer la cadence, pour m’offrir un orgasme digne de ce nom…
Mais soudain elle s’arrêta, se détacha de moi pour se lever en disant :
- Je crois que je vais te sodomiser, tu en as tellement envie…
Et pendant qu’elle s’équipait de son gode ceinture sorti de je sais où, elle me demanda de me mettre en levrette et de lui offrir ma rondelle.
Je ne pensais pas qu’elle allait me sodomiser, mais c’est avec plaisir que je m’exécutais, elle se plaça entre mes jambes le gode fièrement dresse sur son pubis, elle palça le gland sur mon œillet et me pénétra doucement.
Ce ne devais pas être la première fois qu’elle enculait, car elle avait un savoir-faire hors du commun, et très rapidement le gode fut entièrement en moi, elle commença alors d’amples va et vient, qui me laissèrent sans voix, me procurant un plaisir fou et démentiel.
Nous avons ainsi jouées pendant une partie de la nuit, nous sodomisant à tour de rôle pour notre plus grand bonheur, Laura se montrait insatiable et trouvant à chaque fois une nouvelle position.
Bien plus tard, éreintées l’une et l’autre de ce que l’on venait de s’offrir, elle s’abandonna les cuisses largement écartées, ma permettant de m’abandonner, la bouche sur sa vulve, et tandis que je ma gouttais encore une nouvelle fois je tentais de calmer mon esprit qui voguait entre repos et souvenirs.
Tous nos sens en éveil nous savions qu’un rein réveillerait nos corps assoiffés de jouissance, je l’entendis sangloter avant que son souffle ne devienne calme et régulier, elle venait de s’endormir.
Alors avant de fermer les yeux, une dernière fois je déposais un baiser sur sa vulve, profitant aussi de ses effluves sucrées et le sommeil peu après m’emporta…
Elle me quitta au petit matin, les yeux cernés et embués de bonheur, mêlé à une certaine tristesse, elle me promit de me rappeler et de se revoir dès que possible.
Bien entendu, elle ne me rappela jamais… »
A suivre…
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