Leslie SE16
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie SE16
Leslie SE16 – Seule, monstrueux empêchement, suite et fin
J’ai toujours le membre d’Alain dans la main, il ne faiblit pas et reste dur entre mes doigts, encore un long silence et Alain me dit :
- Tu sais, beaucoup n’encaissent pas…
- Elles n’encaissent pas, tu veux dire elles ne se laissent pas pénétrer ?
- Oui, elles se refusent, mais toi, tu crois que tu pourrais encaisser ?
- Euh… Oui, où, enfin….je pense que oui !
Je bafouille, comment lui dire ou-bien lui faire comprendre.
- Je veux dire que non seulement certaines refusent de se faire pénétrer, mais pour ce qui est de la sodomie, c’est hors de question, car tu as remarqué que je suis bien membré ?
- Ah ben ça, tu peux le dire ! J’avais remarqué.
- Et les coquines, comme toi qui m’excitent, j’adore les sodomisées !
- Ah oui ?
Il me met dans tous mes états, je bande comme une dingue, il faut que je lui dise…
Il me regarde et me dit :
- J’ai très envie de te sodomiser, tu veux !
Prenant mon courage à deux mains, je le regarde dans les yeux, je relève ma robe pour lui montrer mon sexe d’homme, et je lui dis :
- De toute façon avec moi tu n’as pas d’autres alternatives !
Il regarde mon string que mon sexe tendu déforme, surpris et heureux et sans lui laisser le temps de répondre, je me penche vers lui et enfourne son énorme gland dans ma bouche.
Il me la remplit et je ne peux pas prendre plus. Alain gémit, à mon avis il est un peu surpris que j’aie osé.
Pendant que je le suce, je l’entends gémir, mais je ne veux pas le faire jouir, je joue avec ma langue sur son gland puis replonge sur son sexe, parfois je serre ma main sur son membre, puis je recommence avec ma bouche sur sa verge.
Puis au bout d’un moment, je me relève avec le sourire aux lèvres, en disant :
- Alors, tu vois j’assume !
- Pour le moment je l’avoue, tu assume !
- Je suis bien une grande coquine ?
- Tu m’as excité comme une malade maintenant nous allons voir si tu peux m’accepter !
Pendant les cinq minutes qui suivent, nous ne disons pas un mot, je regarde la route, ma main tenant le sexe d’Alain qui ne débande pas, et je suis encore très excitée.
Il est vrai que j’ai très envie qu’il me sodomise, mais j’ai peur, car même si j’ai l’habitude d’être sodomisée, celle que je tiens dans ma main pourrait ne pas rentrer ou voir, me déchirer.
- Ne t’inquiètes pas, me dit Alain, j’ai tout ce qu’il faut dans le coffre.
- Ok !
Son sexe est pris de petits soubresauts, il a pris mon ok comme une acceptation et ce pervers doit être en train d’imaginer mon petit cul et sa grosse bite rentrant dans mon trou.
Enfin, une aire de repos, Alain y entre et s’arrête devant les toilettes, en me disant :
- Je prends ce qu’il faut dans le coffre, va dans les toilettes, attends-moi, je te rejoins.
Je me dirige vers les toilettes avec l’impression de faire le tapin et que je vais baiser avec le premier venu, me faire enculer par un client de passage, c’est bizarre comme sensation et je tremble de partout en me dirigeant vers les toilettes.
Je bande comme une folle quand je rentre dans les toilettes, pousse la porte et ne peux m’empêcher de me branler, les frissons remontent le long de mon dos et, dans un long gémissement je laisse le plaisir m’envahir. Je jouis comme une dingue.
À peine ai-je fini, que j’entends derrière la porte :
- Leslie ? Tu es là ?
- Oui, entre, c’est ouvert.
Alain entre et ferme la porte derrière lui. Il est grand en fait, ça doit être un ancien sportif, il est plus grand que moi et encore plus costaud qu’il n’y paraissait dans la voiture. Les toilettes sont étroites pour nous deux, je me sens prisonnière…
Il me retourne, et me fait mettre les mains contre le mur et m’écarte bien les jambes. Il remonte ma robe sur mes reins et abaisse mon string, puis il me le retire, en disant :
- Ainsi tu pourras bien t’écarter et te cambrer !
Et il rajoute :
- Tu as un cul magnifique !
- Surtout sois doux, lui dis-je dans un souffle, surtout au début.
- Oui, ne t’inquiètes pas, mais ça risque d’être difficile au début.
Le temps me paraît long, j’ai peur, j’entends Alain se masturber derrière moi, je reconnais au bruit qu’il a dû lubrifier son engin. J’imagine la vision qu’il doit avoir de moi, dans l’attente soumise et offerte.
Je n’ai jamais été autant excitée, alors je me cambre au maximum et tends mes fesses vers l’arrière comme pour l’inviter.
Après m’avoir enduit le cul de gel et entré un doigt, puis deux, Alain met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Aussitôt je sens une pression et mon trou légèrement s’ouvrir, jusque-là tout va bien…
- Détends-toi, me dit Alain, t’es crispée comme une pucelle !
Alain tente de rentrer son gland en poussant son membre sur ma rondelle, je sens mon cul sollicité comme jamais, mais son gland a du mal à passer, cet essai d’intrusion me fait mal et m’arrache une larme accompagnée de longs gémissements.
J’envisage de me retirer mais Alain met sa deuxième main sur mon autre hanche. Il me tient avec puissance et je comprends que je n’y échapperais pas, mais Alain arrête sa poussée, reste en place et me dit :
- Ça va aller, ne t’inquiète pas.
Il s’écarte de moi et me renduit l’anus de gel et en fait rentrer un maximum d’un doigt, puis il replace son gland sur mon œillet et d’un coup sec m’enfonce son gland dans mon cul, mon sphincter à céder et le trou me brule, je pousse un hurlement sous la douleur qui vrille mon anus et se répands dans tout mon corps, puis je sens le membre d’Alain progresser lentement en moi, distendant de façon infernale mes chairs intimes.
- Voilà, me dit Alain, rends-toi compte que tu vas avoir une queue de vingt-quatre centimètres dans ton cul.
- T’inquiète pas, je m’en rends compte ! Dis-je dans un râle
Aussitôt Alain recommence à s’enfoncer un peu plus en moi, je me sens investie, possédée. Le fait qu’il se soit arrêté un peu me permet de mieux supporter son avancée. Je sens mes fesses s’ouvrir, j’ai l’impression qu’il remonte jusque dans mon ventre et que jamais il ne s’arrêtera.
Petit à petit, la douleur se mélange au plaisir. Au bout d’un moment, je sens ses lourdes bourses venir se poser contre mes couilles, ça y est, il est entièrement en moi.
Je suis paralysée et les muscles de mon anus se contractent autour de cet épais membre, comme pour l’expulser, pourfendue par ce pieu de chair je râle de plaisir continu.
- Leslie, ton cul est génial, me dit Alain, maintenant, je vais te le défoncer.
- Ohhh oui, défonce-moi !
À ces mots, Alain entreprend un va-et-vient ample en moi, je le sens faire des mouvements d’au moins vingt centimètres. Au début, j’ai un peu mal, mais cette sensation est extraordinaire. Sentir un membre si large et long coulisser dans mes fesses, le sentir me remplir puis me libérer ! Jamais je n’ai ressenti ça !
Je sens mes muscles se relâcher complètement, Alain me tient fermement par les hanches et je suis maintenant toute à lui. Je gémis, je râle, je crie. Mes sensations ne changent pas, je suis entre les larmes de douleur et l’extase qui m’envahit, quelle sensation !
Je sens son rythme s’accélérer jusqu’à devenir brutal et très rapide, Alain se défoule complètement. Il me défonce et ne cesse de me répéter :
- Humm, ton cul, t’es trop bonne !
Je sens alors un frisson monter en moi, puis deux, puis trois, c’est vraiment très fort. Un orgasme incroyable vient me foudroyer le ventre, j’ai la tête qui tourne, mes jambes tremblent et je ne peux retenir mes cris et j’hurle mon plaisir.
Les gens dehors doivent m’entendre mais je ne peux pas retenir mes expressions. Quel orgasme !
Je n’en ai jamais eu de comme ça dans mon cul. Des larmes coulent sur mon visage, mais je n’ai plus mal du tout, au contraire, Alain glisse maintenant parfaitement en moi et ne faiblit pas.
Il continue de se défouler pendant de longues minutes et je ne tiens plus, le même orgasme remonte, un deuxième, je pleure d’extase et n’en reviens pas ! Comment un si gros membre qui m’a fait si mal en pénétrant peut-il me donner tant de plaisir ?
Je suis en extase, mes jambes ne me portent plus et c’est Alain qui me porte presque par les hanches.
Soudain, j’entends Alain grogner, comme une bête furieuse, son sexe se contracte au fond de moi, effectue quelques soubresauts, ses doigts s’enfoncent sur mes hanches et je sens mon ventre se remplir de sa semence, avec puissance il me remplit le cul.
C’est incroyable ce que je viens de prendre, je n’en reviens pas d’avoir jouit avec une telle intensité.
Alain relâche son étreinte sur mes hanches meurtries et cesse ses va-et-vient. J’en profite alors pour me retourner et l’embrasser à pleine bouche, tandis que je sens pendant ce temps mes fesses se vider, le sperme d’Alain coule sur mes cuisses.
Je me sens béante, et par curiosité je touche mon anus, il est grand ouvert.
Je suis une belle petite enculée.
- Tu avais raison, tu es une grande coquine, me dit Alain.
Nous retournons à la voiture. J’ai une sensation bizarre en marchant, je n’ai jamais senti mon anus si présent. Nous nous remettons en route sans dire un mot. Encore et toujours fascinée par cet homme et son sexe.
Au bout d’un moment Alain me dit :
- Écoute Leslie. Je vais réserver dans un hôtel et nous allons passer la nuit ensemble, tu es d’accord ?
Je ne réponds pas, me relève, prend mon téléphone portable et commence à écrire un message.
- Qu’est-ce que tu fais ?
Je téléphone à mon amie, pour qu’elle ne s’inquiète pas et lui dire que j’arrive que demain soir.
Je compose le numéro de Chris, qui décroche aussitôt.
- Allo !
- Chris, c’est Leslie, un monstrueux empêchement me retient pour ce soir et je n’arriverais que juste demain pour ta petite fête.
- Rien de grave ma chérie.
- Non, non ne t’inquiètes pas, je t’expliquerais demain soir…
- Mais quand tu dis monstrueux, tu entends quoi par-là ? Me demande Chris.
- Par-là, je n’entends rien, si tu vois ce que je veux dire, mais simplement que c’est monstrueux et que ça peut faire du bien par où ça passe !
- Alors là, me dit Chris, je vois bien, mais fait attention, nous n’en avons qu’un.
- Un quoi ? Demandais-je.
- Un trou du cul, pardi !
Et Chris raccroche, alors que je pars dans un fou rire.
- Simple, mais explicite, me dit Alain qui n’a tout entendu, tu es vraiment une grande coquine.
- Oui, mais j’espère que demain, je pourrais encore marcher !
- Il rigole aussi et me répond :
- Là, par contre, je ne m’engage pas là-dessus !
Et voilà, je suis avec un inconnu, de vingt ans mon aîné, au membre démesuré, je vais passer la nuit avec lui et il promet de défoncer mon cul comme jamais, je suis folle, ohhh oui, folle de son membre.
La fin de la journée et la nuit ont été incroyables, nous ne sommes pas sortis de la chambre d’hôtel, Alain à fait monter des plateaux repas et je n’ai jamais autant sucée en si peu de temps et surtout je n’ai jamais été sodomisée autant de fois en si peu de temps. Alain fut increvable et je pense qu’il a passé plus de temps dans mon cul que nul autre homme auparavant.
J’aimerais bien-vous conter la soirée et la nuit qui suivi, mais je risque d’être répétitive, toujours est-il que le lendemain j’avais mal au cul et avait de la difficulté à marcher, mais cela ne l’a pas empêché de me reprendre une nouvelle fois sur le capot de sa voiture avant de me quitter.
En arrivant chez Chris et ma démarche, elle ne fut pas dupe et à compris ce qu’était un monstrueux empêchement.
A suivre…
J’ai toujours le membre d’Alain dans la main, il ne faiblit pas et reste dur entre mes doigts, encore un long silence et Alain me dit :
- Tu sais, beaucoup n’encaissent pas…
- Elles n’encaissent pas, tu veux dire elles ne se laissent pas pénétrer ?
- Oui, elles se refusent, mais toi, tu crois que tu pourrais encaisser ?
- Euh… Oui, où, enfin….je pense que oui !
Je bafouille, comment lui dire ou-bien lui faire comprendre.
- Je veux dire que non seulement certaines refusent de se faire pénétrer, mais pour ce qui est de la sodomie, c’est hors de question, car tu as remarqué que je suis bien membré ?
- Ah ben ça, tu peux le dire ! J’avais remarqué.
- Et les coquines, comme toi qui m’excitent, j’adore les sodomisées !
- Ah oui ?
Il me met dans tous mes états, je bande comme une dingue, il faut que je lui dise…
Il me regarde et me dit :
- J’ai très envie de te sodomiser, tu veux !
Prenant mon courage à deux mains, je le regarde dans les yeux, je relève ma robe pour lui montrer mon sexe d’homme, et je lui dis :
- De toute façon avec moi tu n’as pas d’autres alternatives !
Il regarde mon string que mon sexe tendu déforme, surpris et heureux et sans lui laisser le temps de répondre, je me penche vers lui et enfourne son énorme gland dans ma bouche.
Il me la remplit et je ne peux pas prendre plus. Alain gémit, à mon avis il est un peu surpris que j’aie osé.
Pendant que je le suce, je l’entends gémir, mais je ne veux pas le faire jouir, je joue avec ma langue sur son gland puis replonge sur son sexe, parfois je serre ma main sur son membre, puis je recommence avec ma bouche sur sa verge.
Puis au bout d’un moment, je me relève avec le sourire aux lèvres, en disant :
- Alors, tu vois j’assume !
- Pour le moment je l’avoue, tu assume !
- Je suis bien une grande coquine ?
- Tu m’as excité comme une malade maintenant nous allons voir si tu peux m’accepter !
Pendant les cinq minutes qui suivent, nous ne disons pas un mot, je regarde la route, ma main tenant le sexe d’Alain qui ne débande pas, et je suis encore très excitée.
Il est vrai que j’ai très envie qu’il me sodomise, mais j’ai peur, car même si j’ai l’habitude d’être sodomisée, celle que je tiens dans ma main pourrait ne pas rentrer ou voir, me déchirer.
- Ne t’inquiètes pas, me dit Alain, j’ai tout ce qu’il faut dans le coffre.
- Ok !
Son sexe est pris de petits soubresauts, il a pris mon ok comme une acceptation et ce pervers doit être en train d’imaginer mon petit cul et sa grosse bite rentrant dans mon trou.
Enfin, une aire de repos, Alain y entre et s’arrête devant les toilettes, en me disant :
- Je prends ce qu’il faut dans le coffre, va dans les toilettes, attends-moi, je te rejoins.
Je me dirige vers les toilettes avec l’impression de faire le tapin et que je vais baiser avec le premier venu, me faire enculer par un client de passage, c’est bizarre comme sensation et je tremble de partout en me dirigeant vers les toilettes.
Je bande comme une folle quand je rentre dans les toilettes, pousse la porte et ne peux m’empêcher de me branler, les frissons remontent le long de mon dos et, dans un long gémissement je laisse le plaisir m’envahir. Je jouis comme une dingue.
À peine ai-je fini, que j’entends derrière la porte :
- Leslie ? Tu es là ?
- Oui, entre, c’est ouvert.
Alain entre et ferme la porte derrière lui. Il est grand en fait, ça doit être un ancien sportif, il est plus grand que moi et encore plus costaud qu’il n’y paraissait dans la voiture. Les toilettes sont étroites pour nous deux, je me sens prisonnière…
Il me retourne, et me fait mettre les mains contre le mur et m’écarte bien les jambes. Il remonte ma robe sur mes reins et abaisse mon string, puis il me le retire, en disant :
- Ainsi tu pourras bien t’écarter et te cambrer !
Et il rajoute :
- Tu as un cul magnifique !
- Surtout sois doux, lui dis-je dans un souffle, surtout au début.
- Oui, ne t’inquiètes pas, mais ça risque d’être difficile au début.
Le temps me paraît long, j’ai peur, j’entends Alain se masturber derrière moi, je reconnais au bruit qu’il a dû lubrifier son engin. J’imagine la vision qu’il doit avoir de moi, dans l’attente soumise et offerte.
Je n’ai jamais été autant excitée, alors je me cambre au maximum et tends mes fesses vers l’arrière comme pour l’inviter.
Après m’avoir enduit le cul de gel et entré un doigt, puis deux, Alain met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Aussitôt je sens une pression et mon trou légèrement s’ouvrir, jusque-là tout va bien…
- Détends-toi, me dit Alain, t’es crispée comme une pucelle !
Alain tente de rentrer son gland en poussant son membre sur ma rondelle, je sens mon cul sollicité comme jamais, mais son gland a du mal à passer, cet essai d’intrusion me fait mal et m’arrache une larme accompagnée de longs gémissements.
J’envisage de me retirer mais Alain met sa deuxième main sur mon autre hanche. Il me tient avec puissance et je comprends que je n’y échapperais pas, mais Alain arrête sa poussée, reste en place et me dit :
- Ça va aller, ne t’inquiète pas.
Il s’écarte de moi et me renduit l’anus de gel et en fait rentrer un maximum d’un doigt, puis il replace son gland sur mon œillet et d’un coup sec m’enfonce son gland dans mon cul, mon sphincter à céder et le trou me brule, je pousse un hurlement sous la douleur qui vrille mon anus et se répands dans tout mon corps, puis je sens le membre d’Alain progresser lentement en moi, distendant de façon infernale mes chairs intimes.
- Voilà, me dit Alain, rends-toi compte que tu vas avoir une queue de vingt-quatre centimètres dans ton cul.
- T’inquiète pas, je m’en rends compte ! Dis-je dans un râle
Aussitôt Alain recommence à s’enfoncer un peu plus en moi, je me sens investie, possédée. Le fait qu’il se soit arrêté un peu me permet de mieux supporter son avancée. Je sens mes fesses s’ouvrir, j’ai l’impression qu’il remonte jusque dans mon ventre et que jamais il ne s’arrêtera.
Petit à petit, la douleur se mélange au plaisir. Au bout d’un moment, je sens ses lourdes bourses venir se poser contre mes couilles, ça y est, il est entièrement en moi.
Je suis paralysée et les muscles de mon anus se contractent autour de cet épais membre, comme pour l’expulser, pourfendue par ce pieu de chair je râle de plaisir continu.
- Leslie, ton cul est génial, me dit Alain, maintenant, je vais te le défoncer.
- Ohhh oui, défonce-moi !
À ces mots, Alain entreprend un va-et-vient ample en moi, je le sens faire des mouvements d’au moins vingt centimètres. Au début, j’ai un peu mal, mais cette sensation est extraordinaire. Sentir un membre si large et long coulisser dans mes fesses, le sentir me remplir puis me libérer ! Jamais je n’ai ressenti ça !
Je sens mes muscles se relâcher complètement, Alain me tient fermement par les hanches et je suis maintenant toute à lui. Je gémis, je râle, je crie. Mes sensations ne changent pas, je suis entre les larmes de douleur et l’extase qui m’envahit, quelle sensation !
Je sens son rythme s’accélérer jusqu’à devenir brutal et très rapide, Alain se défoule complètement. Il me défonce et ne cesse de me répéter :
- Humm, ton cul, t’es trop bonne !
Je sens alors un frisson monter en moi, puis deux, puis trois, c’est vraiment très fort. Un orgasme incroyable vient me foudroyer le ventre, j’ai la tête qui tourne, mes jambes tremblent et je ne peux retenir mes cris et j’hurle mon plaisir.
Les gens dehors doivent m’entendre mais je ne peux pas retenir mes expressions. Quel orgasme !
Je n’en ai jamais eu de comme ça dans mon cul. Des larmes coulent sur mon visage, mais je n’ai plus mal du tout, au contraire, Alain glisse maintenant parfaitement en moi et ne faiblit pas.
Il continue de se défouler pendant de longues minutes et je ne tiens plus, le même orgasme remonte, un deuxième, je pleure d’extase et n’en reviens pas ! Comment un si gros membre qui m’a fait si mal en pénétrant peut-il me donner tant de plaisir ?
Je suis en extase, mes jambes ne me portent plus et c’est Alain qui me porte presque par les hanches.
Soudain, j’entends Alain grogner, comme une bête furieuse, son sexe se contracte au fond de moi, effectue quelques soubresauts, ses doigts s’enfoncent sur mes hanches et je sens mon ventre se remplir de sa semence, avec puissance il me remplit le cul.
C’est incroyable ce que je viens de prendre, je n’en reviens pas d’avoir jouit avec une telle intensité.
Alain relâche son étreinte sur mes hanches meurtries et cesse ses va-et-vient. J’en profite alors pour me retourner et l’embrasser à pleine bouche, tandis que je sens pendant ce temps mes fesses se vider, le sperme d’Alain coule sur mes cuisses.
Je me sens béante, et par curiosité je touche mon anus, il est grand ouvert.
Je suis une belle petite enculée.
- Tu avais raison, tu es une grande coquine, me dit Alain.
Nous retournons à la voiture. J’ai une sensation bizarre en marchant, je n’ai jamais senti mon anus si présent. Nous nous remettons en route sans dire un mot. Encore et toujours fascinée par cet homme et son sexe.
Au bout d’un moment Alain me dit :
- Écoute Leslie. Je vais réserver dans un hôtel et nous allons passer la nuit ensemble, tu es d’accord ?
Je ne réponds pas, me relève, prend mon téléphone portable et commence à écrire un message.
- Qu’est-ce que tu fais ?
Je téléphone à mon amie, pour qu’elle ne s’inquiète pas et lui dire que j’arrive que demain soir.
Je compose le numéro de Chris, qui décroche aussitôt.
- Allo !
- Chris, c’est Leslie, un monstrueux empêchement me retient pour ce soir et je n’arriverais que juste demain pour ta petite fête.
- Rien de grave ma chérie.
- Non, non ne t’inquiètes pas, je t’expliquerais demain soir…
- Mais quand tu dis monstrueux, tu entends quoi par-là ? Me demande Chris.
- Par-là, je n’entends rien, si tu vois ce que je veux dire, mais simplement que c’est monstrueux et que ça peut faire du bien par où ça passe !
- Alors là, me dit Chris, je vois bien, mais fait attention, nous n’en avons qu’un.
- Un quoi ? Demandais-je.
- Un trou du cul, pardi !
Et Chris raccroche, alors que je pars dans un fou rire.
- Simple, mais explicite, me dit Alain qui n’a tout entendu, tu es vraiment une grande coquine.
- Oui, mais j’espère que demain, je pourrais encore marcher !
- Il rigole aussi et me répond :
- Là, par contre, je ne m’engage pas là-dessus !
Et voilà, je suis avec un inconnu, de vingt ans mon aîné, au membre démesuré, je vais passer la nuit avec lui et il promet de défoncer mon cul comme jamais, je suis folle, ohhh oui, folle de son membre.
La fin de la journée et la nuit ont été incroyables, nous ne sommes pas sortis de la chambre d’hôtel, Alain à fait monter des plateaux repas et je n’ai jamais autant sucée en si peu de temps et surtout je n’ai jamais été sodomisée autant de fois en si peu de temps. Alain fut increvable et je pense qu’il a passé plus de temps dans mon cul que nul autre homme auparavant.
J’aimerais bien-vous conter la soirée et la nuit qui suivi, mais je risque d’être répétitive, toujours est-il que le lendemain j’avais mal au cul et avait de la difficulté à marcher, mais cela ne l’a pas empêché de me reprendre une nouvelle fois sur le capot de sa voiture avant de me quitter.
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