Leslie SE17
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie SE17
Leslie SE17 – Seule, un client entreprenant
Début août, pour fêter la signature d’un contrat, Michel nous a emmener au piano bar du Concorde La Fayette, porte Maillot, situé au trente-quatrième étage, la vue sur Paris est formidable.
Il a invité l’équipe du projet, deux collègues et moi, et nos deux clients hollandais.
Nous avons fêté dignement l’évènement, comme il se doit, et à minuit un des clients était parti se coucher, suivi de peu par les deux collègues du cabinet.
Puis le deuxième client, celui avec qui j’avais le contact, un beau blond va lui aussi se coucher, dans sa chambre qu’il a louée dans l’hôtel.
Pas mal le gars, grand, athlétique, belle gueule, la quarantaine, souriant, parlant parfaitement le français, avec un léger accent
Il s’en va en me remerciant pour l’aboutissement du projet, cinq mois de dur labeur et de mise au point laborieuse, salut Michel et nous quitte. Nous le regardons partir en finissant notre dernier verre.
Cinq minutes se passent, quand soudain mon téléphone portable sonne, et je remarque sur l’écran que c’est mon client hollandais qui m’appelle.
- Leslie, bonsoir
- Oui Leslie, j’ai oublié mes clefs de voiture sur la table basse du bar, pourriez-vous me les ramener ?
Je jette un coup œil, et effectivement le trousseau s’y trouve.
- Je vous les amène de suite, répondis –je.
- Merci Leslie, vous êtes un ange, chambre 2411, au vingt-quatrième étage.
J’explique à Michel la situation, et en rigolant il me dit :
- Satisfaction client Leslie, mais bonne nuit quand même.
Là il pousse le bouchon, mais dans l’ascenseur, je me demande si cet oubli est volontaire ou non. De la drague, ma foi pourquoi pas, il est bel homme et je ne serais pas difficile à convaincre de finir la nuit avec lui.
Devant la porte, je frappe doucement et il me répond de rentrer, que c’est ouvert.
Une fois à l’intérieur, je lui remets les clefs, et il me remercie d’un grand sourire, en me disant :
- Un dernier verre ?
Et il me tend une coupe de champagne et me fait assoir dans un le canapé de sa chambre, en me disant :
- J’ai été heureux de notre collaboration et DE cette soirée auprès de vous.
Nous trinquons et buvons, et il rajoute :
- Nous n’aurons peut-être pas l’occasion de nous revoir et cela me rends triste.
Et tout en me parlant, il pose une main sur ma cuisse, je ne laisse passer aucune réaction, mais ne retire pas sa main de ma cuisse pour autant, chose qu’il considère pour une invitation à aller plus loin.
- Leslie, me dit-il, vous êtes si différente !
- Si vous saviez comme je le suis, dis-je.
- Je pense savoir ce que vous me laissez entendre et sachez que cela ne me dérange pas.
Sa main, en disant cela, est remontée un peu plus, doucement le long de ma cuisse vers mon sexe, et le bout de ses doigts viennent jusqu’à toucher mon intimité.
Le résultat, de la pression de ses doigts sur mon sexe, ne se fait pas attendre, une petite érection me gagne aussitôt, qui vite devient grosse et dure sous sa caresse maintenant plus précise.
Il me tend ses lèvres, et je réponds à son baiser, en oubliant Michel qui m’attend.
Nos mains se caressent mutuellement, ma main cherche sa verge et je sens qu’il devient bien dur à travers son pantalon. Il a l’air d’être bien gâté, vu ce que je tiens dans ma main, et mon désir de femelle prend le dessus.
Je lui ouvre la braguette, sort sa verge, il ne porte pas de caleçon, alors je commence à la lécher, effectivement, ce mec est monté bien comme il faut, une belle verge surmonter d’un gros gland circoncis, et de suite sans attendre, je le prends en bouche.
Il sent bon le sexe, propre, mais avec cette typique odeur de sexe, légèrement musquée. Je le dévore littéralement, le suçant sauvagement, ma langue gigotant du bas jusqu’au méat, pour ensuite me l’enfoncer jusqu’au gosier, m’arrêtant juste avant le haut le cœur de nausée, quand ça va trop loin dans le fond de la gorge.
Puis je le regarde dans les yeux, la bouche pleine, tout en le branlant de la main, et ses soupirs montrent qu’il apprécie mes caresses.
C’est à cet instant que mon portable sonne, je me dégage de notre étreinte pour répondre.
- Leslie, c’est Michel, je pars, amuses-toi bien.
- Merci, t’es un cœur, dis-je.
- A demain.
Et il raccroche.
Je reprends la verge d’Eelke en bouche et continue ma fellation, soudain, je le sens grossir un peu plus encore, Eelke me retient la tête, et m’annonce :
Je vais jouir.
Je pourrais me dégager si je le voulais, mais je décide de garder sa queue en bouche et quelques secondes plus tard, plusieurs jets de sperme viennent arroser le fond de ma gorge, et j’avale la jouissance d’Eelke.
Je le suce jusqu’à la dernière goutte, pour son plus grand plaisir et ma fellation terminée, il me prend la tête et m’embrasse tendrement, joignant sa langue à la mienne, goutant par la même occasion le goût de sa semence et le grand jeu commence.
Nous nous caressons partout et en moins de 5 minutes, nous sommes nus, bandés et excités à souhait.
Il me relève et me plaque contre le mur de la chambre et il se met à genoux par terre, et approche sa bouche de mon sexe qui n’attend que ça, il me prend lentement dans sa bouche, ses deux mains sur mes cuisses qu’il maintient écartées, afin d’avoir l’accès à mon petit trou.
Quelques instants plus tard, alors que son doigt me taraude l’anus, je suis prête à venir, mais ne le désire pas, et lui demande de se calmer, vu que la soirée va être longue.
Pour toute réponse, il me retourne et écarte mes fesses pour accéder à mon anus, je me cambre au maximum pour lui présenter mon petit trou qu’il investit de sa langue.
Il lèche mon anus de sa langue souple et adroite, mais d’une manière brusque et très efficace, le plaisir rapidement monte le long de ma colonne vertébrale, amenant en moi ce sentiment de bien-être, qu’une feuille de rose bien appliquée fait naître en ceux qui la subissent.
Il pénètre de la pointe de sa langue dans mon fondement en y mettant une pression forte mais sans brutalité. Je sens mon anus s’ouvrir doucement à ses caresses, et des soupirs sortent de ma bouche sans vraiment le vouloir.
Il sait, dans ses caresses éveiller mon côté femelle, me laissant offerte à ses désirs et à sa volonté, me laissant aussi sans réticence aux futurs assauts qu’il va m’infliger.
Par sa douceur et sa fermeté, il me fait complètement oublier sa verge monstrueuse qui va me perforer l’anus dans un instant.
Il se relève, et me pousse face contre le mur, me croise les bras au-dessus de la tête, et les maintiens de sa main droite. Avec la gauche, il me titille très doucement mon sexe en érection, je ferme les yeux et savoure le toucher de sa main sur mon sexe.
Puis quittant mon sexe, sa main prend sa verge en main et la présente à mon anneau, d’un coup de reins il me l’enfonce dans l’anus me coupant le souffle.
Eelke me sodomise debout, plaquée contre le mur.
Longtemps il me pénètre ainsi, totalement envahie du plaisir qui me ronge, malgré la grosseur de sa verge qui me coupe le souffle. Dans son excitation il a oublié de se protéger, mais qu’importe pour l’instant je suis aux anges.
Puis il se retire et il me roule un patin d’enfer, et m’emmène de nouveau sur le divan en position de levrette.
Sa langue retourne à mon anus afin de le lubrifier, se protège d’une capote, un peu de gel, et pose son gland à l’entrée. Il pousse doucement et le gland rentre assez facilement, vu la précédente intrusion, et mon habitude de me faire sodomiser.
Il ne met pas longtemps à se trouver au fond de moi. Je le sens bien, gros et puissant, il me claque les fesses et commence un mouvement de va-et-vient, lentement d’abord en accélérant doucement la cadence.
Je suis offerte totalement, et commence à gémir à chaque poussée, ses couilles viennent frapper la base des miennes, il me tient fermement par les hanches et m’encule comme une petite femelle qui ne demande que cela.
J’ai des bouffées de chaleur, et la jouissance anale arrive vite, je crie maintenant que c’est bon, qu’il aille plus fort et plus profond. Je transpire à grosses gouttes et m’écroule. Mes bras ne me tiennent plus, ce qui lui offre encore plus mon cul qu’il continue à pénétrer fortement pendant encore un moment.
Puis, il me remet en levrette et me reprend, en me maintenant par les épaules pour me pénétrer encore plus profondément, je râle de bonheur.
Puis tout en me sodomisant, il commence à me branler vivement tout en étant en action.
Je ne peux me retenir bien longtemps et je crache ma semence sur les draps, mais il maintient la masturbation après éjaculation, ce qui me fait grimper au ciel.
Puis il se crispe, émet un cri rauque et jouit en moi longuement. Il reste longtemps encore en moi, savourant les crispations de mon sphincter autour de sa verge, ne débandant pas, il me reprend à nouveau en se faisant plus tendre dans ses mouvements.
Ensuite il se retire doucement de mon fondement, me laissant un grand vide et le trou bien ouvert.
Nous nous blottissons dans les bras l’un de l’autre, et reprenons nos esprits pendant quelques instants, puis il me propose un verre et nous restons longtemps, ainsi afin de reprendre des forces, pour une suite inéluctable.
Nous remettons ça un quart d’heure plus tard, mais en changeant de position. Couchée sur le lit, mes jambes sur ses épaules, il m’a pénétré encore longuement mais plus en douceur cette fois.
Pendant toute la pénétration, il me branle doucement afin de maintenir mon érection pendant sa sodomie infernale. Il a le don extraordinaire de maintenir en état d’érection constante, au bord de l’éjaculation, mais sans aller trop loin.
Puis il se retire, se débarrasse de sa capote, et me reprend et me remplir les entrailles de sa semence chaude et épaisse.
Nous allons enfin prendre une douche, puis nous nous couchons pour nous endormir enlacés.
J’ai finit la nuit dans son lit entre ses bras, et il est parti le matin avant que je ne me rende à mon travail.
J’ai bien apprécié cette nuit, sa puissance, avec cette sensation de me sentir femme avec lui, quelque peu soumise et aussi un peu salope.
A suivre…
Début août, pour fêter la signature d’un contrat, Michel nous a emmener au piano bar du Concorde La Fayette, porte Maillot, situé au trente-quatrième étage, la vue sur Paris est formidable.
Il a invité l’équipe du projet, deux collègues et moi, et nos deux clients hollandais.
Nous avons fêté dignement l’évènement, comme il se doit, et à minuit un des clients était parti se coucher, suivi de peu par les deux collègues du cabinet.
Puis le deuxième client, celui avec qui j’avais le contact, un beau blond va lui aussi se coucher, dans sa chambre qu’il a louée dans l’hôtel.
Pas mal le gars, grand, athlétique, belle gueule, la quarantaine, souriant, parlant parfaitement le français, avec un léger accent
Il s’en va en me remerciant pour l’aboutissement du projet, cinq mois de dur labeur et de mise au point laborieuse, salut Michel et nous quitte. Nous le regardons partir en finissant notre dernier verre.
Cinq minutes se passent, quand soudain mon téléphone portable sonne, et je remarque sur l’écran que c’est mon client hollandais qui m’appelle.
- Leslie, bonsoir
- Oui Leslie, j’ai oublié mes clefs de voiture sur la table basse du bar, pourriez-vous me les ramener ?
Je jette un coup œil, et effectivement le trousseau s’y trouve.
- Je vous les amène de suite, répondis –je.
- Merci Leslie, vous êtes un ange, chambre 2411, au vingt-quatrième étage.
J’explique à Michel la situation, et en rigolant il me dit :
- Satisfaction client Leslie, mais bonne nuit quand même.
Là il pousse le bouchon, mais dans l’ascenseur, je me demande si cet oubli est volontaire ou non. De la drague, ma foi pourquoi pas, il est bel homme et je ne serais pas difficile à convaincre de finir la nuit avec lui.
Devant la porte, je frappe doucement et il me répond de rentrer, que c’est ouvert.
Une fois à l’intérieur, je lui remets les clefs, et il me remercie d’un grand sourire, en me disant :
- Un dernier verre ?
Et il me tend une coupe de champagne et me fait assoir dans un le canapé de sa chambre, en me disant :
- J’ai été heureux de notre collaboration et DE cette soirée auprès de vous.
Nous trinquons et buvons, et il rajoute :
- Nous n’aurons peut-être pas l’occasion de nous revoir et cela me rends triste.
Et tout en me parlant, il pose une main sur ma cuisse, je ne laisse passer aucune réaction, mais ne retire pas sa main de ma cuisse pour autant, chose qu’il considère pour une invitation à aller plus loin.
- Leslie, me dit-il, vous êtes si différente !
- Si vous saviez comme je le suis, dis-je.
- Je pense savoir ce que vous me laissez entendre et sachez que cela ne me dérange pas.
Sa main, en disant cela, est remontée un peu plus, doucement le long de ma cuisse vers mon sexe, et le bout de ses doigts viennent jusqu’à toucher mon intimité.
Le résultat, de la pression de ses doigts sur mon sexe, ne se fait pas attendre, une petite érection me gagne aussitôt, qui vite devient grosse et dure sous sa caresse maintenant plus précise.
Il me tend ses lèvres, et je réponds à son baiser, en oubliant Michel qui m’attend.
Nos mains se caressent mutuellement, ma main cherche sa verge et je sens qu’il devient bien dur à travers son pantalon. Il a l’air d’être bien gâté, vu ce que je tiens dans ma main, et mon désir de femelle prend le dessus.
Je lui ouvre la braguette, sort sa verge, il ne porte pas de caleçon, alors je commence à la lécher, effectivement, ce mec est monté bien comme il faut, une belle verge surmonter d’un gros gland circoncis, et de suite sans attendre, je le prends en bouche.
Il sent bon le sexe, propre, mais avec cette typique odeur de sexe, légèrement musquée. Je le dévore littéralement, le suçant sauvagement, ma langue gigotant du bas jusqu’au méat, pour ensuite me l’enfoncer jusqu’au gosier, m’arrêtant juste avant le haut le cœur de nausée, quand ça va trop loin dans le fond de la gorge.
Puis je le regarde dans les yeux, la bouche pleine, tout en le branlant de la main, et ses soupirs montrent qu’il apprécie mes caresses.
C’est à cet instant que mon portable sonne, je me dégage de notre étreinte pour répondre.
- Leslie, c’est Michel, je pars, amuses-toi bien.
- Merci, t’es un cœur, dis-je.
- A demain.
Et il raccroche.
Je reprends la verge d’Eelke en bouche et continue ma fellation, soudain, je le sens grossir un peu plus encore, Eelke me retient la tête, et m’annonce :
Je vais jouir.
Je pourrais me dégager si je le voulais, mais je décide de garder sa queue en bouche et quelques secondes plus tard, plusieurs jets de sperme viennent arroser le fond de ma gorge, et j’avale la jouissance d’Eelke.
Je le suce jusqu’à la dernière goutte, pour son plus grand plaisir et ma fellation terminée, il me prend la tête et m’embrasse tendrement, joignant sa langue à la mienne, goutant par la même occasion le goût de sa semence et le grand jeu commence.
Nous nous caressons partout et en moins de 5 minutes, nous sommes nus, bandés et excités à souhait.
Il me relève et me plaque contre le mur de la chambre et il se met à genoux par terre, et approche sa bouche de mon sexe qui n’attend que ça, il me prend lentement dans sa bouche, ses deux mains sur mes cuisses qu’il maintient écartées, afin d’avoir l’accès à mon petit trou.
Quelques instants plus tard, alors que son doigt me taraude l’anus, je suis prête à venir, mais ne le désire pas, et lui demande de se calmer, vu que la soirée va être longue.
Pour toute réponse, il me retourne et écarte mes fesses pour accéder à mon anus, je me cambre au maximum pour lui présenter mon petit trou qu’il investit de sa langue.
Il lèche mon anus de sa langue souple et adroite, mais d’une manière brusque et très efficace, le plaisir rapidement monte le long de ma colonne vertébrale, amenant en moi ce sentiment de bien-être, qu’une feuille de rose bien appliquée fait naître en ceux qui la subissent.
Il pénètre de la pointe de sa langue dans mon fondement en y mettant une pression forte mais sans brutalité. Je sens mon anus s’ouvrir doucement à ses caresses, et des soupirs sortent de ma bouche sans vraiment le vouloir.
Il sait, dans ses caresses éveiller mon côté femelle, me laissant offerte à ses désirs et à sa volonté, me laissant aussi sans réticence aux futurs assauts qu’il va m’infliger.
Par sa douceur et sa fermeté, il me fait complètement oublier sa verge monstrueuse qui va me perforer l’anus dans un instant.
Il se relève, et me pousse face contre le mur, me croise les bras au-dessus de la tête, et les maintiens de sa main droite. Avec la gauche, il me titille très doucement mon sexe en érection, je ferme les yeux et savoure le toucher de sa main sur mon sexe.
Puis quittant mon sexe, sa main prend sa verge en main et la présente à mon anneau, d’un coup de reins il me l’enfonce dans l’anus me coupant le souffle.
Eelke me sodomise debout, plaquée contre le mur.
Longtemps il me pénètre ainsi, totalement envahie du plaisir qui me ronge, malgré la grosseur de sa verge qui me coupe le souffle. Dans son excitation il a oublié de se protéger, mais qu’importe pour l’instant je suis aux anges.
Puis il se retire et il me roule un patin d’enfer, et m’emmène de nouveau sur le divan en position de levrette.
Sa langue retourne à mon anus afin de le lubrifier, se protège d’une capote, un peu de gel, et pose son gland à l’entrée. Il pousse doucement et le gland rentre assez facilement, vu la précédente intrusion, et mon habitude de me faire sodomiser.
Il ne met pas longtemps à se trouver au fond de moi. Je le sens bien, gros et puissant, il me claque les fesses et commence un mouvement de va-et-vient, lentement d’abord en accélérant doucement la cadence.
Je suis offerte totalement, et commence à gémir à chaque poussée, ses couilles viennent frapper la base des miennes, il me tient fermement par les hanches et m’encule comme une petite femelle qui ne demande que cela.
J’ai des bouffées de chaleur, et la jouissance anale arrive vite, je crie maintenant que c’est bon, qu’il aille plus fort et plus profond. Je transpire à grosses gouttes et m’écroule. Mes bras ne me tiennent plus, ce qui lui offre encore plus mon cul qu’il continue à pénétrer fortement pendant encore un moment.
Puis, il me remet en levrette et me reprend, en me maintenant par les épaules pour me pénétrer encore plus profondément, je râle de bonheur.
Puis tout en me sodomisant, il commence à me branler vivement tout en étant en action.
Je ne peux me retenir bien longtemps et je crache ma semence sur les draps, mais il maintient la masturbation après éjaculation, ce qui me fait grimper au ciel.
Puis il se crispe, émet un cri rauque et jouit en moi longuement. Il reste longtemps encore en moi, savourant les crispations de mon sphincter autour de sa verge, ne débandant pas, il me reprend à nouveau en se faisant plus tendre dans ses mouvements.
Ensuite il se retire doucement de mon fondement, me laissant un grand vide et le trou bien ouvert.
Nous nous blottissons dans les bras l’un de l’autre, et reprenons nos esprits pendant quelques instants, puis il me propose un verre et nous restons longtemps, ainsi afin de reprendre des forces, pour une suite inéluctable.
Nous remettons ça un quart d’heure plus tard, mais en changeant de position. Couchée sur le lit, mes jambes sur ses épaules, il m’a pénétré encore longuement mais plus en douceur cette fois.
Pendant toute la pénétration, il me branle doucement afin de maintenir mon érection pendant sa sodomie infernale. Il a le don extraordinaire de maintenir en état d’érection constante, au bord de l’éjaculation, mais sans aller trop loin.
Puis il se retire, se débarrasse de sa capote, et me reprend et me remplir les entrailles de sa semence chaude et épaisse.
Nous allons enfin prendre une douche, puis nous nous couchons pour nous endormir enlacés.
J’ai finit la nuit dans son lit entre ses bras, et il est parti le matin avant que je ne me rende à mon travail.
J’ai bien apprécié cette nuit, sa puissance, avec cette sensation de me sentir femme avec lui, quelque peu soumise et aussi un peu salope.
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