Leslie SE19
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie SE19
Leslie SE19 – Seule, Delphine
Je suis toute excitée par mon départ en week-end, Laure est toujours en déplacement et étant seule à Paris, en ce mois d’août, j’ai programmé un séjour de trois jours dans la région champenoise.
Lors d’un séjour en champagne pour un week-end de folie, avec Lilou, j’avais rencontré une de ses anciennes amantes, un petit bout de femme que j’avais trouvé fort à mon goût, et avec qui j’avais adoré faire l’amour, Delphine.
Un soir, j’ai téléphoné à Benoît pour lui parler de mon désir de revoir Delphine et savoir s’il pouvait m’arranger une entrevue.
La semaine suivante il m’a rappelé pour me dire que tout était arrangé pour le week-end suivant et qu’il serait heureux de me revoir et m’héberger avec Delphine, sa douce étant au pays.
Il m’expliqua que Delphine serait chez lui dès le vendredi soir à diner et qu’elle était heureuse de me revoir, sachant que c’était pour une raison bien précise, celle de faire l’amour et de dormir ensemble chez lui, avant de passer le samedi entre filles.
Suite à nos aventures, lors de nos conversations téléphoniques, Benoît ne m’avait jamais caché son désir de me revoir et de revivre des moments charnels avec moi, et l’occasion était trop belle pour qu’il la laisse passer et faire un petit trio avec son ancienne amante et moi.
Nous nous sommes donnés rendez-vous en gare d’Epernay le vendredi en fin d’après-midi, il viendra me chercher et nous irons chez lui où Delphine viendra nous rejoindre pour le diner du soir.
Sachant que j’allais rejoindre Benoît, j’ai choisis une petite jupe très courte, coupée largement au-dessus des genoux et un chemisier léger, très transparent, sans soutien-gorge afin de laisser discrètement deviner ma poitrine nue, et aux pieds des escarpins à hauts talons.
L’ouverture de mon chemisier, laissé volontairement ouvert sur ma poitrine nue, laisse deviner ma poitrine sans pour autant rien dévoiler, sauf au-travers de l’étoffe transparente.
Un spencer vient compléter le tout, me faisant l’effet d’une fille en mal de sexe qui va rejoindre un amant fabuleux.
Arrivée en gare d’Epernay, Benoît m’attendait et nous voilà partis pour sa demeure, il est dix-huit heures et nous voilà en route. Nous arriverons dans quarante minutes pour l’apéro.
Le trajet est agréable et je sens le regard de Benoît sur mes cuisses qui du fait de l’étroitesse de ma jupe et son côté effrontément court, découvre mes cuises qui son, je le sais tout à fait à son goût.
Je m’en suis rendu compte dès que je suis montée dans sa voiture, et après tout je n’y vois pas de mal, même si son regard me rend toute chose. Il essaye de deviner ma poitrine sous mon corsage, mon ventre et mes cuisses dénudées, et cela me trouble.
Je vois une grosse bosse dans son pantalon, il est dans tous ses états mon pauvre chéri.
Je ferme les yeux un instant et mon esprit se met à vagabonder en repensant à certaines scènes de films ou certains de mes amants avec qui j’ai eu des relations et certains étaient particulièrement doués. Parfois même pervers et vicieux et j’avoue y avoir pris goût. Leur perversité, leur langage cru, leurs mots, leurs insultes mettaient le feu en moi.
Je mets un long moment à me calmer car des milliers d’images toutes plus salaces les unes que les autres défilent dans ma tête et je sens mon sexe durcir, j’ai envie de me caresser.
En pleine campagne Benoît pose sa main sur mon épaule en me disant :
– Nous allons nous arrêter, j’ai des désirs pour toi !
– Bonne idée. J’ai aussi très envie aussi.
– Oui je me doute, ça fait longtemps que je te désire, dès que tu es descendue du train.
Il s’arrête dans un petit chemin et je sors de la voiture. Je m’étire les bras en l’air faisant ainsi relever et bien saillir ma poitrine. Benoît me regarde et a visiblement du mal à contenir son érection.
La situation m’amuse, je suis fière de faire bander Benoît et de me dire que nous allons prendre du plaisir en raz campagne. Mon corps réagit à ces pensées, mon sexe s’érige et mes tétons se dressent malgré moi sous mon chemisier.
Il a fait le tour de la voiture et est maintenant près de moi, il me prend dans ses bras et nous échangeons un baiser profond pendant lequel il en profite pour me caresser les fesses.
Je n’en peux plus et m’accroupie devant lui, j’ouvre son pantalon et son sexe jaillit dressé à mes yeux, Benoît n’a pas de slip et est prêt à se faire sucer.
Je l’embouche et lui taille une pipe d’enfer à laquelle il ne résiste pas et se met à bander comme un forcené en un rien de temps. Puis il me retourne et m’allonge sur le capot, retrousse ma petite jupe et après avoir écarté le string qui me protégeait s’enfonce en moi d’un coup de reins.
Je me fait enculer sur le bord de la route dans la campagne champenoise et j’y prends du plaisir, peu de temps après je le sens se répandre en moi en poussant des cris de plaisir.
Nous nous rajustons rapidement et continuons notre trajet vers sa maison…
La maison est telle que ce que j’avais dans ma mémoire.
Rapidement nous vidons la voiture et il me donne la chambre à côté de la sienne, celle de l’autre côté étant réservé à Delphine, mais c’est surement dans la sienne que nous passerons a nuit.
Pour l’instant je n’ai qu’une idée en tête, celle de prendre une douche, pour me laver le cul souillé du sperme de Benoît, me branler pour jouir et me faire belle pour l’arrivée de Delphine.
Il me dit qu’après le dîner nous pourrons aller en club et quand attendant Delphine je peux me préparer.
J’entre dans la salle de bain et me déshabille. Dans la douche, dont le verre est totalement transparent, je fais couler l’eau. Hum l’eau tiède sur ma peau me redonne vraiment un coup de fouet. Je passe la pomme de douche sur mes seins qui réagissent au quart de tour, les images, à nouveau, se bousculent dans ma tête, mon Dieu j’ai tellement envie de jouir, je passe entre mes fesses et arrose mon petit trou d’amour, je me sens défaillir au moment même où l’eau frappe mon anus, je ferme les yeux et prends mon sexe en main et très vite, je sens que ça vient, je vais jouir, ma respiration s’affole, j’ai les tétons tendus à m’en faire mal, c’est irrémédiable, je vais exploser là, maintenant.
Mes jambes menacent de céder sous la pression de mon orgasme, il m’a fallu toute la force de mon corps pour ne pas hurler. Mon Dieu que c’est bon !
Je mets un moment à reprendre mes esprits mais je ne suis pas calmée pour autant. Je m’engouffre dans ma robe de chambre et file dans la chambre pour me préparer.
J’opte pour une autre petite jupe courte et un autre petit chemisier. Effectivement je me regarde dans la glace elle arrive mi-cuisse, voire un peu au-dessus, j’enfile un string blanc en dentelle transparent, et reste la poitrine nue pour la laisser se balancer naturellement.
Le chemisier ne se ferme pas trop haut ce qui permet de laisser un joli décolleté et une vue imprenable sur ma poitrine nue si je me penche un peu plus que ce qui est raisonnable. Le tout est correct si on ne fait pas d’acrobatie et si je m’assoie normalement. Je finis avec la paire d’escarpins du trajet.
En sortant de la chambre, Benoît me félicite sur mon choix et me dit que je suis ravissante, je le remercie en rougissant un peu.
Peu de temps Delphine arrive…
A suivre…
Je suis toute excitée par mon départ en week-end, Laure est toujours en déplacement et étant seule à Paris, en ce mois d’août, j’ai programmé un séjour de trois jours dans la région champenoise.
Lors d’un séjour en champagne pour un week-end de folie, avec Lilou, j’avais rencontré une de ses anciennes amantes, un petit bout de femme que j’avais trouvé fort à mon goût, et avec qui j’avais adoré faire l’amour, Delphine.
Un soir, j’ai téléphoné à Benoît pour lui parler de mon désir de revoir Delphine et savoir s’il pouvait m’arranger une entrevue.
La semaine suivante il m’a rappelé pour me dire que tout était arrangé pour le week-end suivant et qu’il serait heureux de me revoir et m’héberger avec Delphine, sa douce étant au pays.
Il m’expliqua que Delphine serait chez lui dès le vendredi soir à diner et qu’elle était heureuse de me revoir, sachant que c’était pour une raison bien précise, celle de faire l’amour et de dormir ensemble chez lui, avant de passer le samedi entre filles.
Suite à nos aventures, lors de nos conversations téléphoniques, Benoît ne m’avait jamais caché son désir de me revoir et de revivre des moments charnels avec moi, et l’occasion était trop belle pour qu’il la laisse passer et faire un petit trio avec son ancienne amante et moi.
Nous nous sommes donnés rendez-vous en gare d’Epernay le vendredi en fin d’après-midi, il viendra me chercher et nous irons chez lui où Delphine viendra nous rejoindre pour le diner du soir.
Sachant que j’allais rejoindre Benoît, j’ai choisis une petite jupe très courte, coupée largement au-dessus des genoux et un chemisier léger, très transparent, sans soutien-gorge afin de laisser discrètement deviner ma poitrine nue, et aux pieds des escarpins à hauts talons.
L’ouverture de mon chemisier, laissé volontairement ouvert sur ma poitrine nue, laisse deviner ma poitrine sans pour autant rien dévoiler, sauf au-travers de l’étoffe transparente.
Un spencer vient compléter le tout, me faisant l’effet d’une fille en mal de sexe qui va rejoindre un amant fabuleux.
Arrivée en gare d’Epernay, Benoît m’attendait et nous voilà partis pour sa demeure, il est dix-huit heures et nous voilà en route. Nous arriverons dans quarante minutes pour l’apéro.
Le trajet est agréable et je sens le regard de Benoît sur mes cuisses qui du fait de l’étroitesse de ma jupe et son côté effrontément court, découvre mes cuises qui son, je le sais tout à fait à son goût.
Je m’en suis rendu compte dès que je suis montée dans sa voiture, et après tout je n’y vois pas de mal, même si son regard me rend toute chose. Il essaye de deviner ma poitrine sous mon corsage, mon ventre et mes cuisses dénudées, et cela me trouble.
Je vois une grosse bosse dans son pantalon, il est dans tous ses états mon pauvre chéri.
Je ferme les yeux un instant et mon esprit se met à vagabonder en repensant à certaines scènes de films ou certains de mes amants avec qui j’ai eu des relations et certains étaient particulièrement doués. Parfois même pervers et vicieux et j’avoue y avoir pris goût. Leur perversité, leur langage cru, leurs mots, leurs insultes mettaient le feu en moi.
Je mets un long moment à me calmer car des milliers d’images toutes plus salaces les unes que les autres défilent dans ma tête et je sens mon sexe durcir, j’ai envie de me caresser.
En pleine campagne Benoît pose sa main sur mon épaule en me disant :
– Nous allons nous arrêter, j’ai des désirs pour toi !
– Bonne idée. J’ai aussi très envie aussi.
– Oui je me doute, ça fait longtemps que je te désire, dès que tu es descendue du train.
Il s’arrête dans un petit chemin et je sors de la voiture. Je m’étire les bras en l’air faisant ainsi relever et bien saillir ma poitrine. Benoît me regarde et a visiblement du mal à contenir son érection.
La situation m’amuse, je suis fière de faire bander Benoît et de me dire que nous allons prendre du plaisir en raz campagne. Mon corps réagit à ces pensées, mon sexe s’érige et mes tétons se dressent malgré moi sous mon chemisier.
Il a fait le tour de la voiture et est maintenant près de moi, il me prend dans ses bras et nous échangeons un baiser profond pendant lequel il en profite pour me caresser les fesses.
Je n’en peux plus et m’accroupie devant lui, j’ouvre son pantalon et son sexe jaillit dressé à mes yeux, Benoît n’a pas de slip et est prêt à se faire sucer.
Je l’embouche et lui taille une pipe d’enfer à laquelle il ne résiste pas et se met à bander comme un forcené en un rien de temps. Puis il me retourne et m’allonge sur le capot, retrousse ma petite jupe et après avoir écarté le string qui me protégeait s’enfonce en moi d’un coup de reins.
Je me fait enculer sur le bord de la route dans la campagne champenoise et j’y prends du plaisir, peu de temps après je le sens se répandre en moi en poussant des cris de plaisir.
Nous nous rajustons rapidement et continuons notre trajet vers sa maison…
La maison est telle que ce que j’avais dans ma mémoire.
Rapidement nous vidons la voiture et il me donne la chambre à côté de la sienne, celle de l’autre côté étant réservé à Delphine, mais c’est surement dans la sienne que nous passerons a nuit.
Pour l’instant je n’ai qu’une idée en tête, celle de prendre une douche, pour me laver le cul souillé du sperme de Benoît, me branler pour jouir et me faire belle pour l’arrivée de Delphine.
Il me dit qu’après le dîner nous pourrons aller en club et quand attendant Delphine je peux me préparer.
J’entre dans la salle de bain et me déshabille. Dans la douche, dont le verre est totalement transparent, je fais couler l’eau. Hum l’eau tiède sur ma peau me redonne vraiment un coup de fouet. Je passe la pomme de douche sur mes seins qui réagissent au quart de tour, les images, à nouveau, se bousculent dans ma tête, mon Dieu j’ai tellement envie de jouir, je passe entre mes fesses et arrose mon petit trou d’amour, je me sens défaillir au moment même où l’eau frappe mon anus, je ferme les yeux et prends mon sexe en main et très vite, je sens que ça vient, je vais jouir, ma respiration s’affole, j’ai les tétons tendus à m’en faire mal, c’est irrémédiable, je vais exploser là, maintenant.
Mes jambes menacent de céder sous la pression de mon orgasme, il m’a fallu toute la force de mon corps pour ne pas hurler. Mon Dieu que c’est bon !
Je mets un moment à reprendre mes esprits mais je ne suis pas calmée pour autant. Je m’engouffre dans ma robe de chambre et file dans la chambre pour me préparer.
J’opte pour une autre petite jupe courte et un autre petit chemisier. Effectivement je me regarde dans la glace elle arrive mi-cuisse, voire un peu au-dessus, j’enfile un string blanc en dentelle transparent, et reste la poitrine nue pour la laisser se balancer naturellement.
Le chemisier ne se ferme pas trop haut ce qui permet de laisser un joli décolleté et une vue imprenable sur ma poitrine nue si je me penche un peu plus que ce qui est raisonnable. Le tout est correct si on ne fait pas d’acrobatie et si je m’assoie normalement. Je finis avec la paire d’escarpins du trajet.
En sortant de la chambre, Benoît me félicite sur mon choix et me dit que je suis ravissante, je le remercie en rougissant un peu.
Peu de temps Delphine arrive…
A suivre…
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