Leslie SE24 - histoire érotique

Leslie SE24 – Seule, Delphine, suite et fin

Ensuite, je retourne dans ma chambre pour prendre une bonne douche.
Je redescends un moment plus tard, vêtue d’une petite robe d’intérieur, Delphine est assise dans le canapé et elle me demande d’approcher.
- Approche-toi Leslie, viens voir par ici.

Il est presque midi.
Je m’approche et je m’aperçois qu’elle est toujours équipée de son Share, la vision qu’elle offre est troublante, on dirait une petite transexuelle, prête pour l’amour.
Sur la table basse, deux verres avec du champagne et la bouteille dans le seau à glace.
- Nous allons fêter notre rencontre ma belle, avec du champagne.
Elle me tend un verre, nous trinquons les yeux dans les yeux. Puis elle nous ressert. Nous vidons finalement la bouteille en discutant de ce que nous allons faire cet après-midi.
Elle ne sait pas encore mais elle en a une petite idée.
J’ai chaud, le champagne me tourne la tête. J’ai encore envie de ses mains sur mon corps et de son jouet dans mon cul.

Sans un mot, doucement, elle me fait mettre à quatre pattes sur le canapé, puis relève ma robe et tombe nez à nez avec mon petit cul que j’ai volontairement laissé nu au cas où.
- Tu n’as pas mis de culotte, je vois que tu as des désirs !
- Je pensais que c’était mieux ainsi, dis-je.
- Très bien ! dit-elle en me mettant du gel sur l’anus et en enfonçant un doigt dedans.
- Ahhh !
- Chut ! dit-elle en ajoutant un deuxième.
- Ahhh !
Mon corps commence à s’enflammer et je sens que je suis prête.
Delphine me doigte l’anus de plus en plus fermement. Je monte déjà au septième ciel quand elle me remet sa queue dans la rondelle, je hurle de plaisir.
Elle m’encule à fond avec une force inouïe, oui, elle m’encule et j’adore, Delphine est vraiment merveilleuse, durant un long moment, elle me laboure le fondement à grands coups de reins. Je hurle mon plaisir. Je n’ai jamais autant joui, joui à en perdre connaissance. Au bout d’un temps que je ne pourrais quantifier, elle se retire, heureuse de m’avoir donné autant de plaisir.

Quand je reprends mes esprits elle est offerte en levrette, la poitrine sur la table basse, offerte elle me dit :
- Sodomise-moi encore, avant d’aller manger et de retourner chez Benoît !
C’est avec grand plaisir que je m’exécute et après avoir jouis nous nous préparons et partons manger en ville.
Ensuite nous nous rendons chez Benoît…

Quand nous arrivons chez Benoît, c’est un homme heureux qui nous accueille, il nous dit aussitôt :
- Je suis heureux de vous revoir, et je vous propose d’aller vous faire belle car ce soir nous sortons, je vous emmène manger à « l’Hostellerie la briqueterie » à Vinay
Nous montons dans nos chambres pour nous faire belle comme demandé, j’ai à peine le temps de me déshabiller que Benoît vient dans ma chambre me rejoindre en me disant :
- Tu m’as tant manqué ma chérie !
Et s’approchant de moi, il me fait l’amour et me sodomise à nouveau. Quelques instants plus tard il sort de ma chambre, me laissant pleine de désirs et va retrouver Delphine dans la sienne.
Aux cris que j’entends, je suppose qu’il fait de même à son ancienne amante, vraiment il est increvable.
Je passe sous la douche, complètement vidée, endolorie et l’anus complètement détruit. Après mettre séchée, je m’enduis l’anus de crème Nivea afin de l’hydrater, espérant que cela puisse calmer la douleur et le feu qui m’habite.
J’ai à peine terminé que Delphine entre dans la salle de bains en me disant :
- Incroyable, une vraie furie, je ne sais pas ce qui lui arrive, tu dois y être pour quelque chose, enfin préparons nous, la nuit va être chaude.
Vers sept heurs je décide de descendre et je retrouve mon amant qui s’est fait beau, en plus il sent bon, Delphine nous rejoint peu de temps après et nous voilà partis pour le restaurant.

Dans la voiture, je sens que la douche m’a détendue et que la Nivea à fait son effet, je n’ai presque plus mal, je revis.
Nous roulons un moment avant d’arriver à l’auberge, sympa le coin et l’ambiance cosy est tout à fait à mon goût.
Le service est impeccable et discret, les plats sont excellents et arrosés au champagne, Benoît fait vraiment bien les choses, si bien qu’à la fin du repas, avec Delphine nous sommes un peu pompettes.
Il fait nuit noire lorsque nous rentrons à la maison, Benoît se gare et nous descendons, puis nous entrons. Delphine est entrée la première, puis nous entrons à notre tour.
Sans même savoir pourquoi, elle se met à danser au milieu du salon et soulève sa robe pour montrer son intimité nue, elle n’a pas mis de dessous et commence un spectacle…
- Regardez, dis Delphine, je suis chaude et pleine de désirs !
Sans cesser de danser, Delphine passe ses doigts entre ses lèvres déjà trempées et introduis des doigts dans sa chatte et commence à se masturber profondément.

Benoît passe derrière moi et se colle à moi. Je sens déjà son sexe à demi bandé contre mes fesses.
- Tu aimes ? Ça te plait ? C’est magnifique n’est-ce pas ?
- Oui, Delphine est superbe, vraiment splendide, dis-je, en remuant mon cul contre sa queue.
- Soulève ta robe et caresse-toi doucement, me dis Benoît à l’oreille.
Je m’exécute et commence à me branler.
- Sors tes seins, je les adore.
Par-dessus le décolleté de la robe j’extirpe mes seins gonflés de désir. Il me les pelote.
- Penches-toi, montre-moi ton cul.
- C’est bien, ohhh oui, comme ça, oui. T’as un cul de dingue et j’ai envie de t’enculer !

Delphine, devant nous, les jambes écartées, se caresse la chatte par-devant, glissant de temps en temps un doigt sur son anus, jusqu’à ce qu’elle s’approche de nous et sort le membre de Benoît pour le prendre dans sa bouche.
Elle se le fourre dans la bouche sans ménagement, elle se baise la bouche comme une sauvage et l’aspire à fond aussi bien qu’elle le peut. L’alcool a fait son effet sur Delphine qui maintenant ne tient plus en place, elle nous regarde et dit :
- Il va t’enculer, puis ce sera mon tour, en attendant je vais vous regarder.

Alors Benoît me fourre un doigt dans le cul qu’il a lubrifié dans sa bouche, il me dilate bien l’anus pendant un moment, pour enfin y pointer son gland.
- Je vais vous casser le cul, mes belles salopes !
Puis il s’enfonce doucement mais à fond. Je sanglote, gémis, soupir, halète. J’adore cette sensation. Bref ! J’adore me faire enculer comme une chienne. Pendant de longues minutes, il me défonce l’anus jusqu’à ce que je sente son sexe être parcouru de soubresauts et sente sa semence m’inonder les intestins.

Il ressort de mon anus et c’est au tour de Delphine de subir ses assauts elle hurle mais dit :
- Que c’est bon.
La nuit sera longue, nous ferons l’amour dans toutes les positions, Delphine allant même à se servir de son Share dans le fondement de Benoît que j’avais préparé auparavant par une longue sodomie. Nous nous sommes visités tous nos trous, et cela à continuer le lendemain jusqu’au moment où ils m’ont raccompagnés à la gare.

- Quand tu reviendras, je te présenterais quelqu’un de génial, tu verras. Tu vas l’adorer.
Je monte dans le train pour rentrer à Paris, certainement que je reviendrais…
Dans le train, je m’assoupis et commence à rêver de ce qui m’attends si je reviens dans le coin…

A suivre…