Leslie SE32
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie SE32
Leslie SE32 – Seule, l’asiatique
Seule à Paris, je l’ai vu pour la première fois, dans le quartier de la place des Ternes, à Paris. Ce jour-là, je déjeunais en compagnie de Morgane, mon amante depuis deux jours, dans une brasserie sur la place, La Lorraine.
Elle est entrée, cette petite asiatique, avec un vieux monsieur qui pouvait être son père, apparemment habitués des lieux, ils furent salués par le propriétaire et furent installés non loin de nous, je l’avais face à moi et put ainsi l’observer à loisirs…
Elle était séduisante à souhait, le portrait typique de la jeune fille sage, bien des hommes devaient fantasmer sur elle, si jolie et si sage. Elle portait une petite jupe courte, et un blazer noir qui dissimulait un corsage blanc, et des chaussettes hautes blanches et des chaussures vernies à talons plats, l’allure typique d’une petite écolière pour vieux pervers.
Je l’ai observé discrètement pendant le repas, afin de ne pas éveiller la curiosité de mon amante, parfois nos yeux se croisaient et, brièvement une lueur illuminait son regard.
Nous sommes sorties, alors qu’elle terminait son désert et sur le trottoir, avec Morgane nous nous sommes embrassées avant de se quitter et que je lui dise :
- A ce soir !
En partant j’ai lancé un regard à l’intérieur de la brasserie et j’ai surprit cette petite asiatique, regarder dans ma direction.
Pendant plusieurs jours, le midi, je suis venue dans le quartier, ne travaillant pas très loin, il m’était facile pendant la pause déjeuner de la chercher.
Ce n’est que la semaine suivante que, recherchant toujours ma petite asiatique, mon regard à remarquer sa silhouette, au loin, s’éloignant sur le trottoir de l’avenue de Wagram, elle marchait rapidement et avançait vers le métro.
Je l’ai suivi et nous nous sommes engouffrées dans le métro Ternes et, dans le même wagon mais éloignées l’une de l’autre, nous avons pris le métro.
Sans me cacher vraiment je me faisais la plus discrète possible, attendant le bon moment pour aborder cette jeune fille.
Elle est descendue à la station Blanche et a remonté le boulevard de Clichy d’un pas plus lent, prenant son temps sans se presser.
Puis elle a tourné la tête pour fixer la vitrine d’un magasin, je vis sur la devanture Rebecca Rils, une boutique dédiée au plaisir de la femme, sorte de supermarché érotique proposant divers sex-toys, vêtements sexy et lingerie coquine, et autres accessoires pour le plaisir.
Mettant rapprochée et regardant la vitrine moi-aussi, je voyais son regard attiré par les diverses tenues en vitrine et après une courte hésitation, m’avait-elle remarquée, je ne saurais le dire, mais elle est entrée dans le magasin,
Après une brève hésitation, je suis rentrée à mon tour.
Loin l’une de l’autre nous avons regardées les rayons, je voyais tout ce qui t’intéressait et ce que tu allais acheter, à aucun moment tu ne m’as regardé et après avoir payé, alors que je m’approchais pour sortir et peut-être t’aborder, tu as laissé tomber un morceau de papier et tu es partie les bras chargés.
Le temps de ramasser le papier et de sortir de la boutique, tu avais disparue…
Ce n’est qu’une fois à la maison que j’ai déplié le morceau de papier que j’avais ramassé dans la boutique et mon cœur s’est mis à battre quand j’ai lu :
Wanni – Thaïlandaise
Viens me rejoindre ce soir, sur « un site web de contact… »
Le soir même, je me suis connecté au site de Wanni et je l’ai trouvé, elle était là, en exhibition, j’ai tenté de la brancher en lui disant que j’étais la fille du magasin de cet après-midi et que je voulais converser en privé, voir en webcam.
Mais elle ne m’a pas répondu.
Je l’ai regardé sur ce site, ses yeux agrandis de curiosité cherchant peut-être à savoir qui la regardait, ses cuisses sagement serrées l’une contre l’autre au début, puis les desserrant lentement pour laisser entrevoir ta petite chatte nue aux poils noirs lissés sur ton pubis.
Puis ta main s’aventura vers ton intimité et tes doigts se mirent à jouer avec ses chairs, provoquant chez tes voyeurs l’excitation, puis après un moment, ton image disparue pour laisser place à une mode de paiement pour continuer de te mater.
Je m’endormi avec les images de toi dans ma tête, comme j’aurais aimé te parler…
Les jours qui suivirent, je retournais plusieurs fois sur ce site, pour revoir Wanni et qui sait faire le premier contact et se brancher ensemble par vidéo-cam pour un instant intime et privilégié. Mais pendant plus d’une semaine le contact ne se fit pas, la jeune asiatique ne se montra pas sur le web et alors, je m’endormais en pensant à elle prenant du plaisir en se masturbant avidement avec ses doigts, dans son lit.
Ce n’est que deux jours plus tard, alors que je cherchais toujours ma belle asiatique, qu’elle est enfin venue se brancher sur le site, et aussitôt je l’ai contacté et elle m’a donné rencart dix minutes plus tard sur skipe pour dialoguer et pourquoi pas un show privé.
Une attente interminable, mais dix minutes plus tard, elle m’apparaissait devant la caméra en show privé pour moi.
Nous avons commencé à dialoguer, sur nos vies, nos préférences et nos hobbies, petit à petit nous allions de plus en plus loin dans les confidences en arrivant finalement sur les questions de sexe. Je lui avouais ma transsexualité et elle me dit que cela ne lui posait pas de problème ayant elle-même des amis dans ma situation.
Au bout d’une heure nous avons décidé de découvrir nos corps au travers de la caméra, ainsi il serait plus facile d’elle me fasse un show en regardant mes réactions.
Peu de temps après sur l’écran, je regardais une superbe fille nue, au visage fin avec des yeux marrons bridés en forme d’amande et une bouche sensuelle, les cheveux longs châtains clair lui donnait un air angélique, et un corps à la peau ambrée et certainement d’une douceur incroyable, des seins joliment formés sans être trop gros et un pubis naturel et taillé en triangle.
Elle me félicita de ma beauté et de la taille de mon membre et me dit :
Je pense qu’il n’est pas nécessaire de dire « et plus si affinités »…
Et elle commença à se caresser, rapidement elle gémit et prit un gode dans le tiroir de sa commode, puis après l’avoir placé sur le chevet bas, elle s’empala sans retenue dessus.
Le gode lui transperça la chatte d’un seul coup, la faisant feuler et sa main alla directement sur son intimité pour se branler.
Elle gémissait sous ses propres assauts, mais rapidement le gode et ses doigts ne furent plus suffisants, elle en demandait beaucoup plus, et en la voyant son autre main partir dans son dos je me suis dit qu’elle venait de se doigter l’anus.
Empalée et se masturbant sans vergogne devant la caméra elle faisait monter en moi les désirs les plus fous, et quand j’ai pris mon sexe en main et que j’ai commencé à me branler, elle devenue une furie.
Elle s’activa de plus belle, la respiration courte et son miel coulant de sa chatte et faisant luire le gode allant et venant en elle, et dans un dernier cri, alors qu’elle jouissait, elle me dit en affichant se carte de visite :
- Viens me rejoindre…
Après m’être habillée, avec toujours en mémoire l’orgasme de ma belle asiatique sur l’écran, je suis descendue dans la rue et je me suis dirigée vers chez Siam, le prénom que j’avais lu sur la carte de visite.
Arrivée chez elle, j’ai sonné à sa porte et elle m’a reçue en lingerie, puis en entrant chez elle, je découvris un monde de lumières tamisées, dans une ambiance feutrée où les ombres fugitives, projetées sur les murs, jouaient avec la réalités.
Après m’avoir embrassée sur les lèvres, elle prit un plateau avec deux verres, une coupelle de glaçons et une bouteille de whisky et m’emmena dans sa chambre en disant :
- Nous y serons beaucoup mieux.
Dans la chambre de Siam, même ambiance feutrée, un grand lit, deux fauteuils et une table basse, mais en entrant mon regard s’arrêta sur un coffre de jouets, un peu particuliers je dois l’avouer.
En effet, vibrants ou non, en verre ou en caoutchouc, spécial anus, des accessoires et des godes de différentes tailles, que des jouets très spéciaux pour satisfaire ses amantes ou elle-même dans tes moments de solitude.
Une respiration se fit entendre derrière toi, Siam dans mon dos commençait à m’enlever mes vêtements. Puis me retournant une fois nue, je me retrouvais face à ma jeune asiatique qui me demanda :
- Il y a un jouet particulier qui t’intéresse ?
Je me mordis la lèvre inférieure pour tenter de calmer la brûlante excitation qui s’était allumée en moi à la vision des jouets, je la regardais et répondis :
- Ces deux-là !
En répondant je venais de montrer du doigt un gode-ceinture et un autre gode ressemblant à un vrai sexe d’homme.
Siam prit le phallus factice en premier et dit en me le montrant :
- Tu sais, c’est un très gros modèle. Tu as déjà essayé quelque chose d’aussi énorme ?
- Non jamais, d’ailleurs qui peut accepter un tel engin en elle ?
- Moi ! Dis Siam en me fixant dans les yeux.
Elle l’approcha d’elle, étrangement en confiance avec cet énorme pal en mains, en continuant :
- Tu vois je suis toute menue et pourtant…
- Tu es très séduisante, lui dis-je.
Mon regard se tourna vers le jouet dans les mains de Siam qui me sourit en disant :
- Moi, personnellement je préfère celui-là.
Elle me désigna un gode ventouse, très gros et très impressionnant, réaliste et vibrant, ce gode de couleur chair avec les veines saillantes, lui donnent un côté très virile, de vingt-deux centimètres de long pour un peu plus de cinq de largeur il devait couper le souffle à celles où ceux qui en usaient, d’autant qu’une télécommande pouvait faire varier les vibrations.
- Tu peux le prendre et le toucher, tu verras on dirait un vrai…
Ma main s’approcha lentement du gode, semblable à un membre en pleine érection, sa texture semblait réelle, comme de la peau et les longues veines apparentes sur toute sa longueur, lui donnait vraiment un côté réel.
Mes doigts le touchèrent, le caressèrent sur tout son long et un frisson me parcourut le dos, tandis que mon sexe se mit à bander, et le gland était d’une réalité surprenante, tous les détails étaient là.
Siam m’entraina sur le lit en prenant le gode ceinture, un plug anal et son gode favori, je sentais en elle des envies folle de sexe et de jouissance, elle n’avait certainement qu’une envie, s’enfoncer profondément ce gode dans son sexe, se pilonner brutalement avec, pendant qui sait que je la sodomiserais.
A suivre…
Seule à Paris, je l’ai vu pour la première fois, dans le quartier de la place des Ternes, à Paris. Ce jour-là, je déjeunais en compagnie de Morgane, mon amante depuis deux jours, dans une brasserie sur la place, La Lorraine.
Elle est entrée, cette petite asiatique, avec un vieux monsieur qui pouvait être son père, apparemment habitués des lieux, ils furent salués par le propriétaire et furent installés non loin de nous, je l’avais face à moi et put ainsi l’observer à loisirs…
Elle était séduisante à souhait, le portrait typique de la jeune fille sage, bien des hommes devaient fantasmer sur elle, si jolie et si sage. Elle portait une petite jupe courte, et un blazer noir qui dissimulait un corsage blanc, et des chaussettes hautes blanches et des chaussures vernies à talons plats, l’allure typique d’une petite écolière pour vieux pervers.
Je l’ai observé discrètement pendant le repas, afin de ne pas éveiller la curiosité de mon amante, parfois nos yeux se croisaient et, brièvement une lueur illuminait son regard.
Nous sommes sorties, alors qu’elle terminait son désert et sur le trottoir, avec Morgane nous nous sommes embrassées avant de se quitter et que je lui dise :
- A ce soir !
En partant j’ai lancé un regard à l’intérieur de la brasserie et j’ai surprit cette petite asiatique, regarder dans ma direction.
Pendant plusieurs jours, le midi, je suis venue dans le quartier, ne travaillant pas très loin, il m’était facile pendant la pause déjeuner de la chercher.
Ce n’est que la semaine suivante que, recherchant toujours ma petite asiatique, mon regard à remarquer sa silhouette, au loin, s’éloignant sur le trottoir de l’avenue de Wagram, elle marchait rapidement et avançait vers le métro.
Je l’ai suivi et nous nous sommes engouffrées dans le métro Ternes et, dans le même wagon mais éloignées l’une de l’autre, nous avons pris le métro.
Sans me cacher vraiment je me faisais la plus discrète possible, attendant le bon moment pour aborder cette jeune fille.
Elle est descendue à la station Blanche et a remonté le boulevard de Clichy d’un pas plus lent, prenant son temps sans se presser.
Puis elle a tourné la tête pour fixer la vitrine d’un magasin, je vis sur la devanture Rebecca Rils, une boutique dédiée au plaisir de la femme, sorte de supermarché érotique proposant divers sex-toys, vêtements sexy et lingerie coquine, et autres accessoires pour le plaisir.
Mettant rapprochée et regardant la vitrine moi-aussi, je voyais son regard attiré par les diverses tenues en vitrine et après une courte hésitation, m’avait-elle remarquée, je ne saurais le dire, mais elle est entrée dans le magasin,
Après une brève hésitation, je suis rentrée à mon tour.
Loin l’une de l’autre nous avons regardées les rayons, je voyais tout ce qui t’intéressait et ce que tu allais acheter, à aucun moment tu ne m’as regardé et après avoir payé, alors que je m’approchais pour sortir et peut-être t’aborder, tu as laissé tomber un morceau de papier et tu es partie les bras chargés.
Le temps de ramasser le papier et de sortir de la boutique, tu avais disparue…
Ce n’est qu’une fois à la maison que j’ai déplié le morceau de papier que j’avais ramassé dans la boutique et mon cœur s’est mis à battre quand j’ai lu :
Wanni – Thaïlandaise
Viens me rejoindre ce soir, sur « un site web de contact… »
Le soir même, je me suis connecté au site de Wanni et je l’ai trouvé, elle était là, en exhibition, j’ai tenté de la brancher en lui disant que j’étais la fille du magasin de cet après-midi et que je voulais converser en privé, voir en webcam.
Mais elle ne m’a pas répondu.
Je l’ai regardé sur ce site, ses yeux agrandis de curiosité cherchant peut-être à savoir qui la regardait, ses cuisses sagement serrées l’une contre l’autre au début, puis les desserrant lentement pour laisser entrevoir ta petite chatte nue aux poils noirs lissés sur ton pubis.
Puis ta main s’aventura vers ton intimité et tes doigts se mirent à jouer avec ses chairs, provoquant chez tes voyeurs l’excitation, puis après un moment, ton image disparue pour laisser place à une mode de paiement pour continuer de te mater.
Je m’endormi avec les images de toi dans ma tête, comme j’aurais aimé te parler…
Les jours qui suivirent, je retournais plusieurs fois sur ce site, pour revoir Wanni et qui sait faire le premier contact et se brancher ensemble par vidéo-cam pour un instant intime et privilégié. Mais pendant plus d’une semaine le contact ne se fit pas, la jeune asiatique ne se montra pas sur le web et alors, je m’endormais en pensant à elle prenant du plaisir en se masturbant avidement avec ses doigts, dans son lit.
Ce n’est que deux jours plus tard, alors que je cherchais toujours ma belle asiatique, qu’elle est enfin venue se brancher sur le site, et aussitôt je l’ai contacté et elle m’a donné rencart dix minutes plus tard sur skipe pour dialoguer et pourquoi pas un show privé.
Une attente interminable, mais dix minutes plus tard, elle m’apparaissait devant la caméra en show privé pour moi.
Nous avons commencé à dialoguer, sur nos vies, nos préférences et nos hobbies, petit à petit nous allions de plus en plus loin dans les confidences en arrivant finalement sur les questions de sexe. Je lui avouais ma transsexualité et elle me dit que cela ne lui posait pas de problème ayant elle-même des amis dans ma situation.
Au bout d’une heure nous avons décidé de découvrir nos corps au travers de la caméra, ainsi il serait plus facile d’elle me fasse un show en regardant mes réactions.
Peu de temps après sur l’écran, je regardais une superbe fille nue, au visage fin avec des yeux marrons bridés en forme d’amande et une bouche sensuelle, les cheveux longs châtains clair lui donnait un air angélique, et un corps à la peau ambrée et certainement d’une douceur incroyable, des seins joliment formés sans être trop gros et un pubis naturel et taillé en triangle.
Elle me félicita de ma beauté et de la taille de mon membre et me dit :
Je pense qu’il n’est pas nécessaire de dire « et plus si affinités »…
Et elle commença à se caresser, rapidement elle gémit et prit un gode dans le tiroir de sa commode, puis après l’avoir placé sur le chevet bas, elle s’empala sans retenue dessus.
Le gode lui transperça la chatte d’un seul coup, la faisant feuler et sa main alla directement sur son intimité pour se branler.
Elle gémissait sous ses propres assauts, mais rapidement le gode et ses doigts ne furent plus suffisants, elle en demandait beaucoup plus, et en la voyant son autre main partir dans son dos je me suis dit qu’elle venait de se doigter l’anus.
Empalée et se masturbant sans vergogne devant la caméra elle faisait monter en moi les désirs les plus fous, et quand j’ai pris mon sexe en main et que j’ai commencé à me branler, elle devenue une furie.
Elle s’activa de plus belle, la respiration courte et son miel coulant de sa chatte et faisant luire le gode allant et venant en elle, et dans un dernier cri, alors qu’elle jouissait, elle me dit en affichant se carte de visite :
- Viens me rejoindre…
Après m’être habillée, avec toujours en mémoire l’orgasme de ma belle asiatique sur l’écran, je suis descendue dans la rue et je me suis dirigée vers chez Siam, le prénom que j’avais lu sur la carte de visite.
Arrivée chez elle, j’ai sonné à sa porte et elle m’a reçue en lingerie, puis en entrant chez elle, je découvris un monde de lumières tamisées, dans une ambiance feutrée où les ombres fugitives, projetées sur les murs, jouaient avec la réalités.
Après m’avoir embrassée sur les lèvres, elle prit un plateau avec deux verres, une coupelle de glaçons et une bouteille de whisky et m’emmena dans sa chambre en disant :
- Nous y serons beaucoup mieux.
Dans la chambre de Siam, même ambiance feutrée, un grand lit, deux fauteuils et une table basse, mais en entrant mon regard s’arrêta sur un coffre de jouets, un peu particuliers je dois l’avouer.
En effet, vibrants ou non, en verre ou en caoutchouc, spécial anus, des accessoires et des godes de différentes tailles, que des jouets très spéciaux pour satisfaire ses amantes ou elle-même dans tes moments de solitude.
Une respiration se fit entendre derrière toi, Siam dans mon dos commençait à m’enlever mes vêtements. Puis me retournant une fois nue, je me retrouvais face à ma jeune asiatique qui me demanda :
- Il y a un jouet particulier qui t’intéresse ?
Je me mordis la lèvre inférieure pour tenter de calmer la brûlante excitation qui s’était allumée en moi à la vision des jouets, je la regardais et répondis :
- Ces deux-là !
En répondant je venais de montrer du doigt un gode-ceinture et un autre gode ressemblant à un vrai sexe d’homme.
Siam prit le phallus factice en premier et dit en me le montrant :
- Tu sais, c’est un très gros modèle. Tu as déjà essayé quelque chose d’aussi énorme ?
- Non jamais, d’ailleurs qui peut accepter un tel engin en elle ?
- Moi ! Dis Siam en me fixant dans les yeux.
Elle l’approcha d’elle, étrangement en confiance avec cet énorme pal en mains, en continuant :
- Tu vois je suis toute menue et pourtant…
- Tu es très séduisante, lui dis-je.
Mon regard se tourna vers le jouet dans les mains de Siam qui me sourit en disant :
- Moi, personnellement je préfère celui-là.
Elle me désigna un gode ventouse, très gros et très impressionnant, réaliste et vibrant, ce gode de couleur chair avec les veines saillantes, lui donnent un côté très virile, de vingt-deux centimètres de long pour un peu plus de cinq de largeur il devait couper le souffle à celles où ceux qui en usaient, d’autant qu’une télécommande pouvait faire varier les vibrations.
- Tu peux le prendre et le toucher, tu verras on dirait un vrai…
Ma main s’approcha lentement du gode, semblable à un membre en pleine érection, sa texture semblait réelle, comme de la peau et les longues veines apparentes sur toute sa longueur, lui donnait vraiment un côté réel.
Mes doigts le touchèrent, le caressèrent sur tout son long et un frisson me parcourut le dos, tandis que mon sexe se mit à bander, et le gland était d’une réalité surprenante, tous les détails étaient là.
Siam m’entraina sur le lit en prenant le gode ceinture, un plug anal et son gode favori, je sentais en elle des envies folle de sexe et de jouissance, elle n’avait certainement qu’une envie, s’enfoncer profondément ce gode dans son sexe, se pilonner brutalement avec, pendant qui sait que je la sodomiserais.
A suivre…
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