Leslie SE40
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie SE40
Leslie SE40 – Seule, promenade au bois
J’ai déjà relaté, il y a longtemps, une de mes virées nocturnes au Bois de Boulogne à Paris, ce jour-là étant seule et libre une fin d’après-midi, Laure étant toujours en déplacement au loin et ayant une journée de repos, je décide d’aller faire une petite virée histoire de voir ce qui s’y passe et comment ce parc réputé dans le monde entier à évolué.
Je sais par des copines que ce n’est plus ce que c’était, mais d’après elle, il parait que lorsque l’on s’y promène on peut faire de belles rencontres aux détours d’un chemin, la patience étant, comme elles disent, la reine de toutes les réussites.
Après avoir bravé les embouteillages et garée ma voiture en lisière du bois, je me suis retrouvée au calme de ce bois à la réputation sulfureuse.
Après avoir apprécié l’environnement, je me suis promenée un peu avant de trouver un lieu paraissant intéressant pour vivre et apprécier une autre sorte d’environnement.
Nous sommes au mois de juin et il est aux alentours de dix-huit heures, il fait beau, donc tous les éléments apparemment sont favorables.
Je me suis habillé en fonction du temps et des circonstances, un pantalon moulant qui laisse deviner mon sexe moulé dans le tissu, sans culotte évidemment, et un corsage léger transparent sur ma poitrine nue et dont les deux derniers boutons du haut sont détachés et de petites sandales à talons plats pour marcher à l’aise.
Après un peu de marche pour me familiariser à l’endroit, je me suis enfoncée i=un peu plus loin dans le bois qui à première vue me semble bien désert. Au détour d’un chemin, j’entrevois un enchevêtrement d’arbustes, d’herbes folles et de troncs d’arbres plus importants et en regardant de plus près je m’aperçois assez vite qu’il existe d’étroits passages dans cette végétation dense et pas entretenue.
Visiblement, on passe et on repasse par là pour accéder à des lieux plus discrets et protéger de la vue de certaines indiscrétions, peut-être des endroits pour de brèves rencontres.
Mais c’est le premier indice que l’endroit de ce bois est régulièrement fréquenté.
Puis en me promenant encore quelques temps, je remarque la présence de quelques personnes, masculines évidemment, me prouvant que cet endroit apparemment désert est fréquenté et témoigne que je suis certainement au bon endroit, d’autant que je découvre aussi, des créatures à demie-dévêtues, et dont certaines exhibent de temps à autre un membre en érection afin d’attirer l’attention d’un éventuel intéressé.
Puis, tournant la tête à gauche j’aperçois un homme qui ne se gêne pas pour m’observer et voyant que je le vois, il me fait un sourire.
Je me dirige encore plus profondément dans le sous-bois et je m’aperçois que le bonhomme qui m’a souri tout à l’heure, me suit.
Sans le calculer, je continue mon investigation et découvre une entrée au travers des frondaisons épaisses qui mène à un petit endroit tranquille et abrité des regards indiscrets, je devine que c’est par ce chemin que je pourrais trouver ce que je suis venue chercher.
Mais j’hésite encore, c’est la première fois que je fréquente ce genre de lieu en pleine journée, mais le désir de la découverte est plus fort que l’appréhension, alors je surmonte la peur et m’enfonce dans cet endroit d’une démarche faussement nonchalante, comme une promeneuse qui erre sans but précis.
Toute à mes pensées et à mes interrogations, je ne me suis pas aperçu que tout en marchant, le gars de tout à l’heure est près de moi.
Un peu surprise, j’ai le temps de voir qu’il est jeune et qu’il porte un tee-shirt blanc et, surtout, qu’il est nu à partir de la taille et qu’il tient son sexe mollasson mais de belle taille dans sa main droite.
Je reste immobile quelques secondes et le regarde, mais l’homme s’est rapproché de moi et sans lâcher son membre, il me dit :
- Bonjour, ça va ?
- Euh… bonjour.
- Tu es nouvelle ici ? Je ne t’ai jamais vu.
- Euh… oui.
- Tu veux venir ? T’as vu ce que j’ai à t’offrir !
C’est vrai que sa bite a pris de la consistance, certainement par le désir qui doit l’envahir car visiblement je lui fais de l’effet.
- Pas maintenant, mais peut-être tout à l’heure, lui dis-je, je vais d’abord faire un petit tour dans le bois et voir un peu…
- Ok, va voir moi je ne bouge pas, dit-il en me faisant un clin d’œil entend, je viens souvent ici et l’endroit est calme et il n’y a pas de problème, tu peux revenir quand tu veux.
- Merci. Bon, j’y vais.
- À plus
La vue du sexe en demi-érection de l’homme m’a ému et je sens que le mien ne va pas tarder à réagir à la première sollicitation. L’excitation monte, mon cœur bat plus vite. Je suis soudain pressée de trouver ce que je suis venue chercher.
Il fait moins chaud dans le sous-bois, à l’ombre des grands arbres et noyée dans la végétation, je suis maintenant à l’affût, ne sachant pas comment ça se passe dans ce genre de lieux, je me dis que mon intuition aura raison et qu’il me suffit de me laisser guider par mon instinct.
Je regarde à droite et à gauche tout en avançant, en espérant trouver une présence qui me donnera l’envie d’aller vers elle, j’avance ainsi pendant quelques mètres.
Les trilles des oiseaux troublent l’atmosphère calme qui règne dans ce coin isolé, et je me retrouve dans une petite clairière envahie d’une végétation dense.
Il y a un jeune homme chauve, ou rasé complet, qui me regarde appuyé à un tronc d’arbre, il est dans un coin de végétation dense, prêt à se cacher seul ou accompagné.
Je m’avance vers lui, l’excitation sexuelle m’envahissant et une chaleur au creux du ventre, ce sentiment de découverte de l’inconnu m’excite, surtout qu’il m’observe.
Alors je déboutonne le troisième bouton de mon corsage, laissant découvrir la naissance de mes seins, et je mets mes mains dans les poches arrière de mon pantalon moulant.
Ce n’est pas facile, mais une fois les mains introduites, le tissu est encore plus tendu et mon sexe se dessine plus nettement à travers.
L’homme est torse nu et le sexe hors de son pantalon, petit, mais bien érigé.
Mon excitation monte d’un cran devant la vision de cet homme prêt à l’aventure, mon sexe occupe pleinement le peu de place dont il dispose dans mon pantalon.
Je sors mes mains de mes poches arrière, l’homme me regarde, il n’est pas spécialement beau, mais il empoigne sa tige pour entretenir son érection et cela lui donne un certain charme.
Même petite, cette bite m’attire et, répondant à mon instinct, je m’approche de l’homme qui me regarde intrigué, mais me sourit quand j’empoigne son sexe dans ma main.
C’est à cet instant que je sens une présence dans mon dos et qu’on me saisit par derrière, deux mains s’emparent de mes seins après s’être insinuées dans l’ouverture béante de mon corsage et un corps qui se colle contre mon dos.
Je suis un peu surprise et j’entends une voix dire :
Trop beau ton petit cul, bien moulé, il m’excite !
On va bien s’amuser avec toi, dit l’homme torse nu.
Puis je sens la bouche du mec derrière moi déposer un baiser dans mon cou, pendant qu’il pince mes tétons, déclenchant en moi une érection.
Je ne peux que gémir sous la caresse, ça y est, je suis dans le vif du sujet !
Je tourne la tête et découvre que l’homme qui m’a empoigné est celui que j’avais vu en premier et avec qui j’avais parlé et qu’il a dû me suivre.
Je me libère de son emprise et me tournant, je le saisis à mon tour et m’empare de ses lèvres, nos bouches se rejoignent et s’entrouvrent instantanément. Nos langues se mêlent dans un baiser fougueux.
Nos corps se frottent, tandis que ses mains saisissent mes fesses. Je sens son sexe nu contre ma cuisse, lui doit sentir le mien contre les siennes. Nous titubons, mais nos lèvres ne se lâchent pas. Des mains enserrent mes épaules et c’est alors que je comprends que ce doit être le chauve qui caresse mon cul, je le laisse faire sans abandonner les lèvres de l’autre homme.
C’est vrai que t’as un beau cul, dit l’homme au torse nu.
Depuis tout à l’heure je te suis, et ton cul moulé dans ton falzar me fait bander comme un cerf, dit à son tour l’homme qui vient d’abandonner mes lèvres.
J’étais loin de penser que ma tenue, pourtant choisie pour ça, pouvait exciter ainsi. L’homme, qui m’a suivi me roule une nouvelle pelle, juste après que j’ai pu entrevoir que la bite de l’autre maintenant fièrement dressée entre ses jambes n’est pas si petite que ça et qu’elle est même assez épaisse.
Il délaisse alors mes fesses et ses mains partent à la recherche de la boucle de ma ceinture. Je sens que je vais devenir le jouet de ces deux hommes, mais j’étais venu ici pour ça, non ?
Je recule mon bassin tout en continuant à embrasser à pleine langue, je facilite ainsi les mouvements de l’autre qui, certainement habitué à ce genre de manipulations, ne tarde pas à déboucler la ceinture avant de s’attaquer au bouton de mon pantalon prêt à lâcher, tant le tissu est tendu par mon érection.
Ma main droite part alors à l’aventure et ne tarde pas à trouver la bite de mon embrasseur, elle semble de belle taille et lui aussi recule le bassin pour faciliter ma tâche. Mais nous sommes tous les deux adeptes des longs baisers et nous continuons à nous embrasser fougueusement.
Il embrasse super bien et nous nous régalons, ma main gauche elle va rejoindre le sexe de l’autre et je me retrouve avec uns queue dans chaque main, que je branle délicatement.
Ohhh, la salope, elle nous branle, on va bien s’occuper d’elle !
A suivre…
J’ai déjà relaté, il y a longtemps, une de mes virées nocturnes au Bois de Boulogne à Paris, ce jour-là étant seule et libre une fin d’après-midi, Laure étant toujours en déplacement au loin et ayant une journée de repos, je décide d’aller faire une petite virée histoire de voir ce qui s’y passe et comment ce parc réputé dans le monde entier à évolué.
Je sais par des copines que ce n’est plus ce que c’était, mais d’après elle, il parait que lorsque l’on s’y promène on peut faire de belles rencontres aux détours d’un chemin, la patience étant, comme elles disent, la reine de toutes les réussites.
Après avoir bravé les embouteillages et garée ma voiture en lisière du bois, je me suis retrouvée au calme de ce bois à la réputation sulfureuse.
Après avoir apprécié l’environnement, je me suis promenée un peu avant de trouver un lieu paraissant intéressant pour vivre et apprécier une autre sorte d’environnement.
Nous sommes au mois de juin et il est aux alentours de dix-huit heures, il fait beau, donc tous les éléments apparemment sont favorables.
Je me suis habillé en fonction du temps et des circonstances, un pantalon moulant qui laisse deviner mon sexe moulé dans le tissu, sans culotte évidemment, et un corsage léger transparent sur ma poitrine nue et dont les deux derniers boutons du haut sont détachés et de petites sandales à talons plats pour marcher à l’aise.
Après un peu de marche pour me familiariser à l’endroit, je me suis enfoncée i=un peu plus loin dans le bois qui à première vue me semble bien désert. Au détour d’un chemin, j’entrevois un enchevêtrement d’arbustes, d’herbes folles et de troncs d’arbres plus importants et en regardant de plus près je m’aperçois assez vite qu’il existe d’étroits passages dans cette végétation dense et pas entretenue.
Visiblement, on passe et on repasse par là pour accéder à des lieux plus discrets et protéger de la vue de certaines indiscrétions, peut-être des endroits pour de brèves rencontres.
Mais c’est le premier indice que l’endroit de ce bois est régulièrement fréquenté.
Puis en me promenant encore quelques temps, je remarque la présence de quelques personnes, masculines évidemment, me prouvant que cet endroit apparemment désert est fréquenté et témoigne que je suis certainement au bon endroit, d’autant que je découvre aussi, des créatures à demie-dévêtues, et dont certaines exhibent de temps à autre un membre en érection afin d’attirer l’attention d’un éventuel intéressé.
Puis, tournant la tête à gauche j’aperçois un homme qui ne se gêne pas pour m’observer et voyant que je le vois, il me fait un sourire.
Je me dirige encore plus profondément dans le sous-bois et je m’aperçois que le bonhomme qui m’a souri tout à l’heure, me suit.
Sans le calculer, je continue mon investigation et découvre une entrée au travers des frondaisons épaisses qui mène à un petit endroit tranquille et abrité des regards indiscrets, je devine que c’est par ce chemin que je pourrais trouver ce que je suis venue chercher.
Mais j’hésite encore, c’est la première fois que je fréquente ce genre de lieu en pleine journée, mais le désir de la découverte est plus fort que l’appréhension, alors je surmonte la peur et m’enfonce dans cet endroit d’une démarche faussement nonchalante, comme une promeneuse qui erre sans but précis.
Toute à mes pensées et à mes interrogations, je ne me suis pas aperçu que tout en marchant, le gars de tout à l’heure est près de moi.
Un peu surprise, j’ai le temps de voir qu’il est jeune et qu’il porte un tee-shirt blanc et, surtout, qu’il est nu à partir de la taille et qu’il tient son sexe mollasson mais de belle taille dans sa main droite.
Je reste immobile quelques secondes et le regarde, mais l’homme s’est rapproché de moi et sans lâcher son membre, il me dit :
- Bonjour, ça va ?
- Euh… bonjour.
- Tu es nouvelle ici ? Je ne t’ai jamais vu.
- Euh… oui.
- Tu veux venir ? T’as vu ce que j’ai à t’offrir !
C’est vrai que sa bite a pris de la consistance, certainement par le désir qui doit l’envahir car visiblement je lui fais de l’effet.
- Pas maintenant, mais peut-être tout à l’heure, lui dis-je, je vais d’abord faire un petit tour dans le bois et voir un peu…
- Ok, va voir moi je ne bouge pas, dit-il en me faisant un clin d’œil entend, je viens souvent ici et l’endroit est calme et il n’y a pas de problème, tu peux revenir quand tu veux.
- Merci. Bon, j’y vais.
- À plus
La vue du sexe en demi-érection de l’homme m’a ému et je sens que le mien ne va pas tarder à réagir à la première sollicitation. L’excitation monte, mon cœur bat plus vite. Je suis soudain pressée de trouver ce que je suis venue chercher.
Il fait moins chaud dans le sous-bois, à l’ombre des grands arbres et noyée dans la végétation, je suis maintenant à l’affût, ne sachant pas comment ça se passe dans ce genre de lieux, je me dis que mon intuition aura raison et qu’il me suffit de me laisser guider par mon instinct.
Je regarde à droite et à gauche tout en avançant, en espérant trouver une présence qui me donnera l’envie d’aller vers elle, j’avance ainsi pendant quelques mètres.
Les trilles des oiseaux troublent l’atmosphère calme qui règne dans ce coin isolé, et je me retrouve dans une petite clairière envahie d’une végétation dense.
Il y a un jeune homme chauve, ou rasé complet, qui me regarde appuyé à un tronc d’arbre, il est dans un coin de végétation dense, prêt à se cacher seul ou accompagné.
Je m’avance vers lui, l’excitation sexuelle m’envahissant et une chaleur au creux du ventre, ce sentiment de découverte de l’inconnu m’excite, surtout qu’il m’observe.
Alors je déboutonne le troisième bouton de mon corsage, laissant découvrir la naissance de mes seins, et je mets mes mains dans les poches arrière de mon pantalon moulant.
Ce n’est pas facile, mais une fois les mains introduites, le tissu est encore plus tendu et mon sexe se dessine plus nettement à travers.
L’homme est torse nu et le sexe hors de son pantalon, petit, mais bien érigé.
Mon excitation monte d’un cran devant la vision de cet homme prêt à l’aventure, mon sexe occupe pleinement le peu de place dont il dispose dans mon pantalon.
Je sors mes mains de mes poches arrière, l’homme me regarde, il n’est pas spécialement beau, mais il empoigne sa tige pour entretenir son érection et cela lui donne un certain charme.
Même petite, cette bite m’attire et, répondant à mon instinct, je m’approche de l’homme qui me regarde intrigué, mais me sourit quand j’empoigne son sexe dans ma main.
C’est à cet instant que je sens une présence dans mon dos et qu’on me saisit par derrière, deux mains s’emparent de mes seins après s’être insinuées dans l’ouverture béante de mon corsage et un corps qui se colle contre mon dos.
Je suis un peu surprise et j’entends une voix dire :
Trop beau ton petit cul, bien moulé, il m’excite !
On va bien s’amuser avec toi, dit l’homme torse nu.
Puis je sens la bouche du mec derrière moi déposer un baiser dans mon cou, pendant qu’il pince mes tétons, déclenchant en moi une érection.
Je ne peux que gémir sous la caresse, ça y est, je suis dans le vif du sujet !
Je tourne la tête et découvre que l’homme qui m’a empoigné est celui que j’avais vu en premier et avec qui j’avais parlé et qu’il a dû me suivre.
Je me libère de son emprise et me tournant, je le saisis à mon tour et m’empare de ses lèvres, nos bouches se rejoignent et s’entrouvrent instantanément. Nos langues se mêlent dans un baiser fougueux.
Nos corps se frottent, tandis que ses mains saisissent mes fesses. Je sens son sexe nu contre ma cuisse, lui doit sentir le mien contre les siennes. Nous titubons, mais nos lèvres ne se lâchent pas. Des mains enserrent mes épaules et c’est alors que je comprends que ce doit être le chauve qui caresse mon cul, je le laisse faire sans abandonner les lèvres de l’autre homme.
C’est vrai que t’as un beau cul, dit l’homme au torse nu.
Depuis tout à l’heure je te suis, et ton cul moulé dans ton falzar me fait bander comme un cerf, dit à son tour l’homme qui vient d’abandonner mes lèvres.
J’étais loin de penser que ma tenue, pourtant choisie pour ça, pouvait exciter ainsi. L’homme, qui m’a suivi me roule une nouvelle pelle, juste après que j’ai pu entrevoir que la bite de l’autre maintenant fièrement dressée entre ses jambes n’est pas si petite que ça et qu’elle est même assez épaisse.
Il délaisse alors mes fesses et ses mains partent à la recherche de la boucle de ma ceinture. Je sens que je vais devenir le jouet de ces deux hommes, mais j’étais venu ici pour ça, non ?
Je recule mon bassin tout en continuant à embrasser à pleine langue, je facilite ainsi les mouvements de l’autre qui, certainement habitué à ce genre de manipulations, ne tarde pas à déboucler la ceinture avant de s’attaquer au bouton de mon pantalon prêt à lâcher, tant le tissu est tendu par mon érection.
Ma main droite part alors à l’aventure et ne tarde pas à trouver la bite de mon embrasseur, elle semble de belle taille et lui aussi recule le bassin pour faciliter ma tâche. Mais nous sommes tous les deux adeptes des longs baisers et nous continuons à nous embrasser fougueusement.
Il embrasse super bien et nous nous régalons, ma main gauche elle va rejoindre le sexe de l’autre et je me retrouve avec uns queue dans chaque main, que je branle délicatement.
Ohhh, la salope, elle nous branle, on va bien s’occuper d’elle !
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