Leslie SE41 - histoire érotique

Leslie SE41 – Seule, promenade au bois, suite

Le chauve m’a enfin libéré les derniers remparts de mon pantalon qu’il s’empresse de baisser jusqu’à mes chevilles, mon sexe libéré se redresse, tandis qu’il se met aussitôt à caresser mes fesses maintenant nues et offertes à sa convoitise, j’adore ça et je me cambre pour l’encourager.
- Putain, que je l’aime ton cul, dit-il à mon oreille.
Il m’excite ce salaud avec ses caresses sur mes fesses, alors je relève la tête, toujours cambrée et offerte, pour lui montrer que j’apprécie ce genre de caresses en disant du bout des lèvres :
- Ohhh, oui !
Je suis au comble du bonheur entre ces deux hommes qui profitent de moi et je le manifeste par de petits gémissements encourageants.

Le chauve, ce salaud, sait y faire, ce doit être comme mon autre compagnon des habitués des lieux, car ses caresses bien ciblées sur mon cul me font bander comme une folle, d’ailleurs l’autre ne se prive pas d’empoigner mon sexe raide à pleine main en disant :
Eh bien dis donc, j’ai l’impression qu’on te fait de l’effet !
De plus la situation dans laquelle je suis dans ce sous-bois est vraiment très excitante, nous sommes légèrement isolés des regards, mais exposés pour ceux qui connaissent l’endroit et veulent se faire voyeur, à tel point que mes mains branlent de plus en plus énergiquement le sexe de mes deux comparses.
Je ne m’étais pas trompée, l’un possède un bel engin avec un gland bien décalotté et luisant, et l’autre, le chauve, un sexe court mais épais.

Mine de rien, mon embrasseur au beau sexe m’appuie des deux mains sur les épaules pour me faire comprendre son envie, alors je me penche vers son sexe pour le prendre entre mes lèvres, en me courbant vers le sexe de mon complice je prends soin de tendre et d’offrir encore plus mes fesses au chauve.
Il en profite et je sens un de ses doigts s’insinuer dans ma raie, je suis aux anges, le chauve commence à me doigter le trou alors que je m’apprête à pomper la belle queue raide de mon autre compagnon de jeu.
Je pose mes lèvres sur le gland de l’homme et son sexe réagit par réflexe au contact de ma bouche, de ma main droite, je saisis la hampe dure et palpitante.
- Oui, se contente-t-il de dire. Vas-y fait voir comment tu pompe bien !

J’entrouvre légèrement mes lèvres et je le regarde avec des yeux d’envie, mais prenant soin de retarder le moment où je vais l’emboucher. Mais il est impatient, alors il tend son ventre vers moi pour m’obliger à l’emboucher, alors je recule un peu la tête sans lâcher son sexe que je tiens dans ma main, puis lentement je fais passer et repasser son gland sur mes lèvres humides.
Il soupire de bonheur sous cette douce caresse, alors de la pointe de ma langue j’agace le méat, je sens l’impatience de cet homme attendant d’être sucé, il saisit ma tête par les cheveux voulant m’obliger à le prendre en bouche et voulant aussi imprimer un rythme à sa convenance, mais je résiste car je veux rester maîtresse du jeu.

Le chauve de son côté ne reste pas inactif, il m’embrasse les fesses en me doigtant l’anus, et visiblement il apprécie car je sens sa bouche fermée parcourir la peau de mon cul.
- Mais quel beau cul tu as, susurre-t-il.
- Je sais, dis-je, libérant une seconde le gland de l’autre.

Puis reprenant ma caresse, n’y tenant plus moi-même, j’enfonce la queue dans ma bouche grande ouverte, ce qui déclenche un grand :
- Ahhh !
Dans ce cri j’entends le plaisir chez mon compagnon de fortune, qui maintenant sucé parait être au comble du bonheur, et aussitôt il me force à accentuer le mouvement de ma tête sur son membre en s’aidant de ses deux mains.
Alors que je serre ses couilles de ma main gauche, il écarte les jambes pour m’ouvrir la voie de son cul, alors sans plus attendre je passe ma main entre ses jambes et du bout des doigts je vais lui caresser la rondelle, aussitôt cela le fait hurler de plaisir…

Le chauve qui s’occupait de mon cul, intrigué par les cris de satisfaction de l’autre complice, se relève, le résultat est que son membre raide vient caresser la raie de mes fesses me faisant frissonner de désir.
Mais avant qu’il puisse me planter son membre dans le cul, je le saisit par ma main et l’attire vers moi pour commencer une lente masturbation.
- Ohhh, quelle bonne salope ! Dit l’un.
- Trop bonne ! Enchaîne l’autre.

Encouragée par ces propos crus, je redouble d’ardeur de la bouche et de la main, puis reprenant mon souffle, je relève le visage et je m’aperçois que mes deux amoureux du moment sont en train de s’embrasser, un vrai baiser de mecs en chaleur.
Le plaisir n’a pas de limite et dans des endroits comme celui-ci, il faut s’attendre à tout, car il n’est pas rare de rencontrer des homosexuels en mal de sexe…
Alors je me redresse et les regarde en disant :
Branler vous petits salauds pendant que je vous regarde en me branlant !
Ils ne se le font pas dire deux fois, tout en reprenant leur baiser, ils empoignent le sexe de l’autre et se mettent à se masturber réciproquement, je suis certaine que si je leur avais demandé de se sucer, ils l’auraient fait…

Debout devant eux, jambes écartées, je commence à me masturber en les regardant, puis se détachant l’un de l’autre, ils saisissent alors chacun leur queue et se mettent à se branler. J’adore exciter les mecs et là en plein air, à l’ombre du sous-bois, à la vue d’éventuels voyeurs que je n’ai pas encore repéré, je prends plaisir à me masturber et offrir la vue de ma tenue débrailler laissant deviner les formes de mon corps.
Mais dans mon délire, j’ai envie de provoquer, montrer que je peux être une vraie allumeuse en laissant ma pudeur de côté, pour le peux que j’en ai encore, alors je lâche mon membre et je me retourne et commence à caresser mes fesses.
Ils peuvent voir mes mains sur mon cul et ils continuent de se branler vigoureusement en silence, les yeux rivés sur moi.
- Putain de salope, dit le chauve, elle se donne en spectacle, je n’ai jamais vu ça ici !
- En plus elle est vraiment bien foutue ! Dis l’autre.

Il ne m’en faut pas plus pour m’exciter encore un peu plus, alors je me penche et offre à leur regard mes fesses écartées par mes mains, je me cambre et je joue à la salope, excitée comme je suis je vais leur faire voir jusqu’où je peux aller.
D’un regard, je m’aperçois d’une certaine activité à l’orée du bois, à quelques cinq ou six mètres. Dans l’ombre, je discerne un mec habillé mais la queue sortie, en train de se branler en nous regardant.
Alors j’écarte encore plus mes fesses de mes deux mains pour leur offrir une vue imprenable sur ma raie maintenant largement écartée et mon anus entrouvert.
Puis je commence à me doigter devant eux en leur disant :
Aller regarder et cracher votre venin, un jour vous m’enculerez !
Pour les encourager, je commence à tortiller du cul tout en m’enfonçant le majeur profondément dans l’anus, et je sens qu’ils sont au comble de l’excitation et ne vont pas tarder à jouir, en plus j’imagine le voyeur planqué à quelques mètres de là qui doit lui aussi être dans un bel état.

Ils sentent la jouissance monter car ils tendent leur bassin vers le ciel pour éjaculer dans les airs en ahanant comme des bêtes en rut.
- Ohhh, je viens, dit le chauve.
- Moi aussi, dit l’autre.
Et dans un cri de bête et tendant leur corps comme un arc, ils lâchent plusieurs salves de sperme dans les airs, les jets se succèdent arrosant le feuillage et après quelques derniers soubresauts, ils s’arrêtent épuisés.
Je suis satisfaite de cet instant et je n’ai pas joui, mais je sais que mon après-midi n’est pas terminé.
- Tu veux que je te branle pour te finir ? Demande le chauve.
- Non, car je vais rester encore un moment.
Je ne me rajuste un peu, pas complètement car je pense que je vais faire d’autre rencontres rapidement, mais l’autre homme me demande :
- Tu as vraiment un beau cul, tu te fais enculer ?
- Ai-je une tête à être vierge et enfiler des perles, dis-je.
- Bon reviens quand tu veux, je serais là !
Je finis de me rhabiller. Je prends soin de laisser ouvert le haut de mon pantalon et mon corsage entrouvert sur ma poitrine nue, cela doit pouvoir susciter des envies.
- À plus, dis-je à mes deux comparses qui commencent à se rhabiller.
- À plus, petit cul !

A suivre…