Leslie SE42
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie SE42
Leslie SE42 – Seule, promenade au bois, suite et fin
Le pantalon entrouvert laissant deviner mon pubis imberbe et le corsage à moitié ouvert sur ma poitrine nue, je m’apprête à reprendre ma promenade dans le sous-bois, mais je m’aperçois qu’un jeune homme est là, tapis derrière un arbre et masqué par un bosquet épais, le même qui a mâté mes ébats avec les deux hommes.
Il est là, immobile et m’observe, je le regarde, il est jeune, vingt ans tout au plus, en tee-shirt blanc, il semble avoir un corps athlétique, il porte un jean.
Tout en continuant à me regarder fixement, je m’aperçois que son jean est ouvert, mais rien n’est visible car il s’est certainement rajusté entre temps.
Je le regarde puis je me retourne et m’enfonce lentement dans le bois.
Je pense et je sens qu’il va me suivre, alors je décide de marcher lentement sans me retourner et de trouver un coin vraiment tranquille, avec une végétation épaisse sui aura le mérite de nous protéger de la chaleur et des regards indiscrets si j’avais envie de concrétiser…
De temps à autre je me retourne discrètement pour m’assurer qu’il me suit, je n’ai pas l’ombre d’une inquiétude en m’enfonçant dans l’épaisse végétation de ce bois, car a priori, ceux qui viennent ici veulent que se faire du bien, même si nous ne sommes jamais à l’abri d’un malade, mais à voir le mal partout on ne fait plus rien.
Devant l’homme j’avance. Je traverse des endroits déserts, tapissés de feuilles sèches, et tout autour de moi la végétation et le chant des oiseaux.
Je suis maintenant dans une végétation presque vierge, il ne doit pas y avoir beaucoup de passage dans le coin. Je juge l’endroit idéal pour attendre mon inconnu et l’aborder.
Quelques instants plus tard, je vois arriver mon beau jeune homme, certainement homosexuel car il a un petit côté efféminé, qui d’ailleurs ne me déplait pas, bien au contraire.
Je m’aperçois, lorsqu’il est près de moi, qu’il il a libéré son sexe et qu’il le tient dans sa main et le caresse. Arrivé à mes côtés, il s’arrête et attend.
Nous sommes par la végétation littéralement coupés du monde, seuls, excitée je lui souris et il me sourit en me montrant des yeux son sexe, comme une invitation à m’en occuper.
Alors sans qu’un seul mot ne soit échangé, me voilà me courbant pour prendre en bouche son sexe circoncis qui se révèle long, épais et déjà bien érigé. Je ne pouvais pas attendre moins d’un beau jeune homme, en pleine forme visiblement.
Dans ce genre de lieu il est inutile de se présenter, on sait pourquoi on est là, alors on va directement à l’essentiel, sans palabres et sans hésitation, sinon il vaut mieux passer son chemin.
Il pose une main sur la nuque pour m’encourager. D’une main, je saisis sa bite à la base, et il rejette la tête en arrière et laisse échapper un long feulement, me prouvant qu’il apprécie. Reprenant une de mes caresses favorites, je fais passer son gland sur mes lèvres entrouvertes et humides tout en titillant son méat du bout de la langue, il apprécie aussi et gémit doucement.
Je me concentre la queue de mon jeune partenaire qui ne tarde pas à être raide, et il profite de ma position pour me passer les mains sur les fesses. C’est à mon tour de réagir à ses caresses et je me tortille pour l’encourager à aller plus loin pendant que je m’active sur sa queue. Je le saisis alors aux hanches pour lui imprimer mon rythme, mais je le sens proche de la jouissance, alors il repousse ma tête en disant :
- Attends, pas tout de suite, profitons un peu.
- D’accord, que je lui réponds.
Il approche son visage du mien et pose ses lèvres sur les miennes, il se rajuste et me dit :
- Soit là dans une heure, excuse-moi mais je n’ai pas de protection alors je vais en chercher et je reviens.
Il tourne les talons et disparait me laissant seule avec mes désirs…
Je sors précautionneusement de ma cachette végétale et recommence à me promener, au détour d’un bosquet je découvre deux hommes qui sans se dissimiler se donnent du plaisir. En effet, en me rapprochant discrètement je vois l’un des hommes debout, les mains appuyées conte un arbre, le pantalon sur les chevilles cambré et offert à l’autre homme qui dans son dos est en train de l’enculer.
Ils ont l’air de prendre du plaisir sans se préoccuper des voyeurs qui les matent en se branlant le sexe, ce doit être des habitués quelque peu exhibitionnistes aussi.
Je continue un moment à les regarder puis les laisse à leur affaire pour reprendre ma promenade.
Après quelque temps je retourne dans mon endroit et commence à attendre, il ne faut pas longtemps pour que j’entende quelqu’un approcher, je tourne la tête et je vois mon jeune qui est revenu, il me regarde et je lui souris en lui disant :
- Alors bon achats ?
- Oui je suis équipé !
- Alors qu’attendons-nous ?
En me tortillant un peu pour l’encourager et faire revenir ses désirs, je me cambre et glisse mes mais dans mon pantalon pour caresser mes fesses et faire descendre mon pantalon. Je remarque qu’il a porté la main à sa braguette et se frotte le sexe à travers le son jean, il doit bander car je remarque la jolie bosse que fait son jean, il est maintenant dans mon repaire et prêt à tout pour assouvir ses désirs.
Je lui souris, lui présente mon cul que je tends vers lui, il n’a qu’a tendre la main pour le toucher, mais je lui ouvre son jean et sort son sexe pour le reprendre en bouche, nous voilà revenu au point où nous étions une heure auparavant.
Pas un mot de sa part. Il regarde mes fesses qu’il commence à caresser. Je le laisse faire et enlève mon pantalon afin de pouvoir écarter les jambes et m’offrir le plus possible. Sa s’insinue dans ma raie, il est maintenant derrière moi et ses doigts commencent leur exploration et comme le territoire n’est pas immense, il trouve sans peine mon petit trou, et au moment où son doigt investit mon fondement, il me pose ses lèvres dans mon cou et m’embrasse.
Son doigt arrête de me doigter et profitant de mes jambes écartées, il se colle à moi et son membre s’insinue à l’orée de mon anus, ce qui me fait pousser un profond soupir.
Il commence alors à pousser son membre en moi, je ne sais même pas s’il a eu le temps de se protéger, mais je ne n’ai pas le temps de vérifier vu l’état dans lequel je suis, je ne peux que lui faire confiance, et déjà je le sens aller plus loin en moi et commencer à faire aller et venir son membre en moi.
Pénétrée je sais que son membre est de belle consistance, longue et épaisse, car je me sens pleinement investie
Le cul tendu, offerte, je sens sa pénétration dans mon anus, sa queue glisse facilement en moi, le jeune homme est vigoureux et endurant, je pousse de longs gémissements de plaisir sous ses coups de reins.
Je suis à présent pliée en deux, nue à partir de la taille et les seins pendant hors de mon corsage, copieusement sodomisée par mon jeune amant du moment. Le cul tendu et offert, le sexe érigé que je masturbe d’une main et ce ventre qui cogne sur mes fesses à chaque pénétration, je suis au comble du bonheur, un bel après-midi…
- Tu aimes ça te faire enculer ? Me demande mon amant.
- Oui ! Dis-je dans un souffle.
Je sens ses deux mains écarter mes fesses, que par réflexe je tends encore plus, il veut aller plus loin en moi, me posséder complètement
J’adore ce moment non conforme, un endroit inconnu, un inconnu et un beau ses qui me remplit le fion, et en sodomie, il s’y connaît, le bougre.
Le temps n’a plus d’importance, il n’y a plus que de la place pour le plaisir., je remarque un emballage de préservatif au sol, il s’est protégé, alors je me détends et mon cul s’ouvre encore plus, je suis libérée, je ne suis plus qu’un cri…
Longtemps il va-et-vient en moi, c’est bon, je sens que je vais prendre un pied énorme, mon ventre est en feu et mon anus trépigne, c’est un pur bonheur.
Qui a déjà ressenti un tel bonheur, dans le plaisir de se faire prendre en se faisant sodomiser, moi j’aime ça et beaucoup pourraient un jour essayé.
Je me laisse complètement aller dans le plaisir qui monte en moi
Contre mes fesses, je sens le contact régulier du corps de mon amant. Il va lentement mais de plus en plus profondément, ce qui me permet de me redresser.
Je tourne la tête vers mon jeune amant pour lui offrir mes lèvres, qu’il s’empresse de d’accepter pour me rouler une pelle bien humide et profonde. Ma bouche avait besoin de ce baiser, un geste intime qui me fait monter les désirs.
Alors en plus comme un geste d’amour, la main du jeune homme me prend le sexe pour me branler doucement afin d’entretenir mon érection.
Puis il accélère son va-et-vient, cambrée le cul remplit, la queue branlée et la bouche investie, je délire en gémissant de plus belle.
Soudain, le jeune homme derrière moi se tend et s’enfonçant cette fois-ci violemment jusqu’au fond de mon cul, jouit en poussant un grand cri. Malgré le préservatif, je sens son sexe se contracter dans mon étroit conduit, pendant que je gicle ma jouissance dans les frondaisons du sous-bois.
Nous nous rajustons lentement et après m’avoir embrassé une dernière fois, le jeune homme me dit :
- Très trop top, je ne t’ai jamais vu ici, mais tu reviens quand tu veux.
- C’était la première fois, en effet.
- Tu es vraiment un bon coup, me dit le jeune, et j’aimerais te revoir.
- Je vais y penser, dis-je, mais je compte bien repasser bientôt...
A suivre…
Le pantalon entrouvert laissant deviner mon pubis imberbe et le corsage à moitié ouvert sur ma poitrine nue, je m’apprête à reprendre ma promenade dans le sous-bois, mais je m’aperçois qu’un jeune homme est là, tapis derrière un arbre et masqué par un bosquet épais, le même qui a mâté mes ébats avec les deux hommes.
Il est là, immobile et m’observe, je le regarde, il est jeune, vingt ans tout au plus, en tee-shirt blanc, il semble avoir un corps athlétique, il porte un jean.
Tout en continuant à me regarder fixement, je m’aperçois que son jean est ouvert, mais rien n’est visible car il s’est certainement rajusté entre temps.
Je le regarde puis je me retourne et m’enfonce lentement dans le bois.
Je pense et je sens qu’il va me suivre, alors je décide de marcher lentement sans me retourner et de trouver un coin vraiment tranquille, avec une végétation épaisse sui aura le mérite de nous protéger de la chaleur et des regards indiscrets si j’avais envie de concrétiser…
De temps à autre je me retourne discrètement pour m’assurer qu’il me suit, je n’ai pas l’ombre d’une inquiétude en m’enfonçant dans l’épaisse végétation de ce bois, car a priori, ceux qui viennent ici veulent que se faire du bien, même si nous ne sommes jamais à l’abri d’un malade, mais à voir le mal partout on ne fait plus rien.
Devant l’homme j’avance. Je traverse des endroits déserts, tapissés de feuilles sèches, et tout autour de moi la végétation et le chant des oiseaux.
Je suis maintenant dans une végétation presque vierge, il ne doit pas y avoir beaucoup de passage dans le coin. Je juge l’endroit idéal pour attendre mon inconnu et l’aborder.
Quelques instants plus tard, je vois arriver mon beau jeune homme, certainement homosexuel car il a un petit côté efféminé, qui d’ailleurs ne me déplait pas, bien au contraire.
Je m’aperçois, lorsqu’il est près de moi, qu’il il a libéré son sexe et qu’il le tient dans sa main et le caresse. Arrivé à mes côtés, il s’arrête et attend.
Nous sommes par la végétation littéralement coupés du monde, seuls, excitée je lui souris et il me sourit en me montrant des yeux son sexe, comme une invitation à m’en occuper.
Alors sans qu’un seul mot ne soit échangé, me voilà me courbant pour prendre en bouche son sexe circoncis qui se révèle long, épais et déjà bien érigé. Je ne pouvais pas attendre moins d’un beau jeune homme, en pleine forme visiblement.
Dans ce genre de lieu il est inutile de se présenter, on sait pourquoi on est là, alors on va directement à l’essentiel, sans palabres et sans hésitation, sinon il vaut mieux passer son chemin.
Il pose une main sur la nuque pour m’encourager. D’une main, je saisis sa bite à la base, et il rejette la tête en arrière et laisse échapper un long feulement, me prouvant qu’il apprécie. Reprenant une de mes caresses favorites, je fais passer son gland sur mes lèvres entrouvertes et humides tout en titillant son méat du bout de la langue, il apprécie aussi et gémit doucement.
Je me concentre la queue de mon jeune partenaire qui ne tarde pas à être raide, et il profite de ma position pour me passer les mains sur les fesses. C’est à mon tour de réagir à ses caresses et je me tortille pour l’encourager à aller plus loin pendant que je m’active sur sa queue. Je le saisis alors aux hanches pour lui imprimer mon rythme, mais je le sens proche de la jouissance, alors il repousse ma tête en disant :
- Attends, pas tout de suite, profitons un peu.
- D’accord, que je lui réponds.
Il approche son visage du mien et pose ses lèvres sur les miennes, il se rajuste et me dit :
- Soit là dans une heure, excuse-moi mais je n’ai pas de protection alors je vais en chercher et je reviens.
Il tourne les talons et disparait me laissant seule avec mes désirs…
Je sors précautionneusement de ma cachette végétale et recommence à me promener, au détour d’un bosquet je découvre deux hommes qui sans se dissimiler se donnent du plaisir. En effet, en me rapprochant discrètement je vois l’un des hommes debout, les mains appuyées conte un arbre, le pantalon sur les chevilles cambré et offert à l’autre homme qui dans son dos est en train de l’enculer.
Ils ont l’air de prendre du plaisir sans se préoccuper des voyeurs qui les matent en se branlant le sexe, ce doit être des habitués quelque peu exhibitionnistes aussi.
Je continue un moment à les regarder puis les laisse à leur affaire pour reprendre ma promenade.
Après quelque temps je retourne dans mon endroit et commence à attendre, il ne faut pas longtemps pour que j’entende quelqu’un approcher, je tourne la tête et je vois mon jeune qui est revenu, il me regarde et je lui souris en lui disant :
- Alors bon achats ?
- Oui je suis équipé !
- Alors qu’attendons-nous ?
En me tortillant un peu pour l’encourager et faire revenir ses désirs, je me cambre et glisse mes mais dans mon pantalon pour caresser mes fesses et faire descendre mon pantalon. Je remarque qu’il a porté la main à sa braguette et se frotte le sexe à travers le son jean, il doit bander car je remarque la jolie bosse que fait son jean, il est maintenant dans mon repaire et prêt à tout pour assouvir ses désirs.
Je lui souris, lui présente mon cul que je tends vers lui, il n’a qu’a tendre la main pour le toucher, mais je lui ouvre son jean et sort son sexe pour le reprendre en bouche, nous voilà revenu au point où nous étions une heure auparavant.
Pas un mot de sa part. Il regarde mes fesses qu’il commence à caresser. Je le laisse faire et enlève mon pantalon afin de pouvoir écarter les jambes et m’offrir le plus possible. Sa s’insinue dans ma raie, il est maintenant derrière moi et ses doigts commencent leur exploration et comme le territoire n’est pas immense, il trouve sans peine mon petit trou, et au moment où son doigt investit mon fondement, il me pose ses lèvres dans mon cou et m’embrasse.
Son doigt arrête de me doigter et profitant de mes jambes écartées, il se colle à moi et son membre s’insinue à l’orée de mon anus, ce qui me fait pousser un profond soupir.
Il commence alors à pousser son membre en moi, je ne sais même pas s’il a eu le temps de se protéger, mais je ne n’ai pas le temps de vérifier vu l’état dans lequel je suis, je ne peux que lui faire confiance, et déjà je le sens aller plus loin en moi et commencer à faire aller et venir son membre en moi.
Pénétrée je sais que son membre est de belle consistance, longue et épaisse, car je me sens pleinement investie
Le cul tendu, offerte, je sens sa pénétration dans mon anus, sa queue glisse facilement en moi, le jeune homme est vigoureux et endurant, je pousse de longs gémissements de plaisir sous ses coups de reins.
Je suis à présent pliée en deux, nue à partir de la taille et les seins pendant hors de mon corsage, copieusement sodomisée par mon jeune amant du moment. Le cul tendu et offert, le sexe érigé que je masturbe d’une main et ce ventre qui cogne sur mes fesses à chaque pénétration, je suis au comble du bonheur, un bel après-midi…
- Tu aimes ça te faire enculer ? Me demande mon amant.
- Oui ! Dis-je dans un souffle.
Je sens ses deux mains écarter mes fesses, que par réflexe je tends encore plus, il veut aller plus loin en moi, me posséder complètement
J’adore ce moment non conforme, un endroit inconnu, un inconnu et un beau ses qui me remplit le fion, et en sodomie, il s’y connaît, le bougre.
Le temps n’a plus d’importance, il n’y a plus que de la place pour le plaisir., je remarque un emballage de préservatif au sol, il s’est protégé, alors je me détends et mon cul s’ouvre encore plus, je suis libérée, je ne suis plus qu’un cri…
Longtemps il va-et-vient en moi, c’est bon, je sens que je vais prendre un pied énorme, mon ventre est en feu et mon anus trépigne, c’est un pur bonheur.
Qui a déjà ressenti un tel bonheur, dans le plaisir de se faire prendre en se faisant sodomiser, moi j’aime ça et beaucoup pourraient un jour essayé.
Je me laisse complètement aller dans le plaisir qui monte en moi
Contre mes fesses, je sens le contact régulier du corps de mon amant. Il va lentement mais de plus en plus profondément, ce qui me permet de me redresser.
Je tourne la tête vers mon jeune amant pour lui offrir mes lèvres, qu’il s’empresse de d’accepter pour me rouler une pelle bien humide et profonde. Ma bouche avait besoin de ce baiser, un geste intime qui me fait monter les désirs.
Alors en plus comme un geste d’amour, la main du jeune homme me prend le sexe pour me branler doucement afin d’entretenir mon érection.
Puis il accélère son va-et-vient, cambrée le cul remplit, la queue branlée et la bouche investie, je délire en gémissant de plus belle.
Soudain, le jeune homme derrière moi se tend et s’enfonçant cette fois-ci violemment jusqu’au fond de mon cul, jouit en poussant un grand cri. Malgré le préservatif, je sens son sexe se contracter dans mon étroit conduit, pendant que je gicle ma jouissance dans les frondaisons du sous-bois.
Nous nous rajustons lentement et après m’avoir embrassé une dernière fois, le jeune homme me dit :
- Très trop top, je ne t’ai jamais vu ici, mais tu reviens quand tu veux.
- C’était la première fois, en effet.
- Tu es vraiment un bon coup, me dit le jeune, et j’aimerais te revoir.
- Je vais y penser, dis-je, mais je compte bien repasser bientôt...
A suivre…
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