Leslie SU02
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie SU02
Leslie SU02 – Sumalee, la rencontre
Le vendredi soir suivant, en sortant du boulot, je me rendis pour une séance d'UV dans l’institut de beauté où depuis une semaine j’avais l’habitude d’aller. En rentrant, je vis que l’institut proposait des massages thaïlandais. Je me renseignai donc auprès de Rachel, la patronne avec qui j’avais sympathisé au cours de mes visites à l’institut. Elle me proposa qu’après ma séance d’UV, je retrouve Sumalee, une vraie masseuse Thaï.
"Tu verras", Me dit Rachel, "Elle est super sympa et vous allez bien vous entendre. En plus, elle parle superbement français, ayant fait ses études au collège de France à Bangkok et,je te l’avoue, l’institut lui appartient, mais elle veut que personne ne le sache ; je suis juste associée avec elle"
Après le bronzage et la douche, je m’installai donc sur la table de massage, sur le ventre, nue.
Sumalee arrive et me dit bonjour. Contrairement à ce que j’attendais, Sumalee est couverte d’un tee-shirt et d’un short blanc.
Je lui réponds et elle me couvre le corps de serviettes, en m’expliquant :
"C’est juste pour ne pas refroidir trop vite les parties de votre corps une fois qu'elles seront massées"
Elle est belle, le visage et le corps fins, avec de grands yeux noirs en amandes et une longue chevelure noir de jais. Ses lèvres fines bien dessinées sont sensuelles, mais derrière cette beauté se cache une certaine fragilité.
Elle m’installe confortablement, la tête sur un coussin troué afin de me permettre de respirer et commence par les pieds puis les jambes après m’avoir enduit d’huile.
Ses mains sont douces, mais derrière sa fragilité apparente, Sumalee a une poigne de fer, je suis malaxée et triturée dans tous les sens.
Me contractant et gémissant lorsque Sumalee trouve un endroit douloureux, la vicieuse y revient, me faisant souffrir le martyr, mais me rassurant en disant :
"Il faut souffrir un peu pour être bien détendue, c’est pour votre bien"
Les cuisses y passent, puis c’est le tour du dos et des épaules, l’enfer, c’est presque insoutenable. Voilà une demi-heure que Sumalee me fait souffrir, s’arrêtant aux points stratégiques qui me font mal, passant et repassant dessus, me faisant gémir de douleur.
Elle se penche vers moi et me glisse à l’oreille :
"Chuttt, c’est bientôt fini"
Encore un instant de souffrance et Sumalee me dit :
"Retournez-vous pour que je fasse le devant"
Je me retourne et la serviette qui cache le bas de mon corps tombe à terre, dévoilant le bas de mon ventre.
"Ohhh !", S’exclame Sumalee, "vous êtes Kathoey"
Un peu surprise, mais gardant son sérieux, elle me dit :
"Ne t’inquiète pas, j’ai l’habitude chez moi dans mon pays, mais c’est la première fois que j’en masse un ici"
Intéressée, tout en continuant son massage, elle entreprend une conversation pour savoir tout de moi.
Après m’avoir torturée pendant encore une autre demi-heure, elle me demande :
"Tu veux que je m’occupe de toi un peu plus intimement ?"
"Je veux bien", Lui dis-je dans un souffle.
Je savais que cela n'irait pas très loin, elle devait respecter les lois de notre pays, mais elle voulait me donner un peu de plaisir, juste un moment, sans autre pensée.
Elle prit un petit pot de crème sur une étagère et commença à m’enduire le sexe avec, pour le masser de ses douces mains. Il n’y avait pas de gestes sexuels mais que de la tendresse pure.
Puis elle s’attarda sur le périnée et enfin autour de l’anus.
Là, je ressentis une étrange chaleur et je me mis à bander comme une damnée, à la plus grande joie de Sumalee.
"Ça te fait de l’effet mon traitement", Me dit Sumalee.
Je me laissais aller entre ses petites mains expertes, espérant que cela ne s’arrête jamais.
"Encore un peu et je m’arrête"
Et là-dessus, elle me remit une couche de crème sur le sexe et je ne pus retenir un râle sous la douceur de ses mains magiques.
J’ai cru que j’allais défaillir, et avant que je n’explose, elle me serra le sexe en déposant un baiser sur la bouche.
"C’était bon ?"
"Oui"
"Allez, il est temps de fermer la boutique, d’ailleurs Rachel doit-être déjà partie, on va boire un verre ensemble histoire de discuter un peu et de faire plus ample connaissance"
"D’accord", Lui dis-je.
J’étais sur un petit nuage, les effets du massage se faisaient sentir.
Attablées devant un cocktail, nous avons commencé à parler, de nous et de ce qui venait de nous arriver, car je me doutais bien que Sumalee ne réservait pas ce traitement à toutes ses clientes.
Elle m’expliqua que chez elle, il était courant d’aller jusqu’au bout de la relation et d’avoir des rapports sexuels tarifés dans les instituts, mais qu’elle, personnellement, n’était pas une professionnelle du sexe, elle était masseuse et cela lui suffisait pour vivre. Ce qui venait de se passer entre nous, c'était parce qu’elle l’avait désiré. Elle rajouta :
"Il suffit d’une fois et après, ta réputation est faite et je n’ai pas envie de me retrouver à la rue ou d’être expulsée"
Ce qui venait de m’arriver me laissait sans voix, je regardai Sumalee, encore sous le charme de sa douceur et de son savoir-faire.
Elle m’expliqua :
"Je suis libre, mais je ne mélange pas travail et vie personnelle, ce qui m’arrive aujourd’hui, je ne comprends pas, c’est la première fois. Peut-être que ton corps à réveillé des souvenirs. Tu sais, je suis bi, j’ai des rapports amicaux et sexuels avec d’autres filles et des mecs, mais je ne peux m’attacher"
Je sentis à cet instant le départ d’une amitié entre nous et je ne savais pas où cela allait nous conduire.
Je me sentais bien avec Sumalee, j’oubliais tout grâce à sa douceur, son charme. Elle était prévenante et savait s’occuper du plaisir de l’autre, j’avais juste peur d’aller plus loin, de m’attacher et de souffrir ensuite.
Sumalee, comme pour me rassurer, me dit :
"Tu sais, je sens ton appréhension et ta peur, il te faut vivre le temps présent sans attachement, et tu verras. Rassures-toi tu seras libre, je ne te retiendrai pas, de même que tu ne pourras me retenir"
Elle me proposa un dernier verre chez elle et, bien sûr, j’ai accepté avec enthousiasme, me doutant bien qu’elle avait une petite idée derrière la tête.
A suivre…
Le vendredi soir suivant, en sortant du boulot, je me rendis pour une séance d'UV dans l’institut de beauté où depuis une semaine j’avais l’habitude d’aller. En rentrant, je vis que l’institut proposait des massages thaïlandais. Je me renseignai donc auprès de Rachel, la patronne avec qui j’avais sympathisé au cours de mes visites à l’institut. Elle me proposa qu’après ma séance d’UV, je retrouve Sumalee, une vraie masseuse Thaï.
"Tu verras", Me dit Rachel, "Elle est super sympa et vous allez bien vous entendre. En plus, elle parle superbement français, ayant fait ses études au collège de France à Bangkok et,je te l’avoue, l’institut lui appartient, mais elle veut que personne ne le sache ; je suis juste associée avec elle"
Après le bronzage et la douche, je m’installai donc sur la table de massage, sur le ventre, nue.
Sumalee arrive et me dit bonjour. Contrairement à ce que j’attendais, Sumalee est couverte d’un tee-shirt et d’un short blanc.
Je lui réponds et elle me couvre le corps de serviettes, en m’expliquant :
"C’est juste pour ne pas refroidir trop vite les parties de votre corps une fois qu'elles seront massées"
Elle est belle, le visage et le corps fins, avec de grands yeux noirs en amandes et une longue chevelure noir de jais. Ses lèvres fines bien dessinées sont sensuelles, mais derrière cette beauté se cache une certaine fragilité.
Elle m’installe confortablement, la tête sur un coussin troué afin de me permettre de respirer et commence par les pieds puis les jambes après m’avoir enduit d’huile.
Ses mains sont douces, mais derrière sa fragilité apparente, Sumalee a une poigne de fer, je suis malaxée et triturée dans tous les sens.
Me contractant et gémissant lorsque Sumalee trouve un endroit douloureux, la vicieuse y revient, me faisant souffrir le martyr, mais me rassurant en disant :
"Il faut souffrir un peu pour être bien détendue, c’est pour votre bien"
Les cuisses y passent, puis c’est le tour du dos et des épaules, l’enfer, c’est presque insoutenable. Voilà une demi-heure que Sumalee me fait souffrir, s’arrêtant aux points stratégiques qui me font mal, passant et repassant dessus, me faisant gémir de douleur.
Elle se penche vers moi et me glisse à l’oreille :
"Chuttt, c’est bientôt fini"
Encore un instant de souffrance et Sumalee me dit :
"Retournez-vous pour que je fasse le devant"
Je me retourne et la serviette qui cache le bas de mon corps tombe à terre, dévoilant le bas de mon ventre.
"Ohhh !", S’exclame Sumalee, "vous êtes Kathoey"
Un peu surprise, mais gardant son sérieux, elle me dit :
"Ne t’inquiète pas, j’ai l’habitude chez moi dans mon pays, mais c’est la première fois que j’en masse un ici"
Intéressée, tout en continuant son massage, elle entreprend une conversation pour savoir tout de moi.
Après m’avoir torturée pendant encore une autre demi-heure, elle me demande :
"Tu veux que je m’occupe de toi un peu plus intimement ?"
"Je veux bien", Lui dis-je dans un souffle.
Je savais que cela n'irait pas très loin, elle devait respecter les lois de notre pays, mais elle voulait me donner un peu de plaisir, juste un moment, sans autre pensée.
Elle prit un petit pot de crème sur une étagère et commença à m’enduire le sexe avec, pour le masser de ses douces mains. Il n’y avait pas de gestes sexuels mais que de la tendresse pure.
Puis elle s’attarda sur le périnée et enfin autour de l’anus.
Là, je ressentis une étrange chaleur et je me mis à bander comme une damnée, à la plus grande joie de Sumalee.
"Ça te fait de l’effet mon traitement", Me dit Sumalee.
Je me laissais aller entre ses petites mains expertes, espérant que cela ne s’arrête jamais.
"Encore un peu et je m’arrête"
Et là-dessus, elle me remit une couche de crème sur le sexe et je ne pus retenir un râle sous la douceur de ses mains magiques.
J’ai cru que j’allais défaillir, et avant que je n’explose, elle me serra le sexe en déposant un baiser sur la bouche.
"C’était bon ?"
"Oui"
"Allez, il est temps de fermer la boutique, d’ailleurs Rachel doit-être déjà partie, on va boire un verre ensemble histoire de discuter un peu et de faire plus ample connaissance"
"D’accord", Lui dis-je.
J’étais sur un petit nuage, les effets du massage se faisaient sentir.
Attablées devant un cocktail, nous avons commencé à parler, de nous et de ce qui venait de nous arriver, car je me doutais bien que Sumalee ne réservait pas ce traitement à toutes ses clientes.
Elle m’expliqua que chez elle, il était courant d’aller jusqu’au bout de la relation et d’avoir des rapports sexuels tarifés dans les instituts, mais qu’elle, personnellement, n’était pas une professionnelle du sexe, elle était masseuse et cela lui suffisait pour vivre. Ce qui venait de se passer entre nous, c'était parce qu’elle l’avait désiré. Elle rajouta :
"Il suffit d’une fois et après, ta réputation est faite et je n’ai pas envie de me retrouver à la rue ou d’être expulsée"
Ce qui venait de m’arriver me laissait sans voix, je regardai Sumalee, encore sous le charme de sa douceur et de son savoir-faire.
Elle m’expliqua :
"Je suis libre, mais je ne mélange pas travail et vie personnelle, ce qui m’arrive aujourd’hui, je ne comprends pas, c’est la première fois. Peut-être que ton corps à réveillé des souvenirs. Tu sais, je suis bi, j’ai des rapports amicaux et sexuels avec d’autres filles et des mecs, mais je ne peux m’attacher"
Je sentis à cet instant le départ d’une amitié entre nous et je ne savais pas où cela allait nous conduire.
Je me sentais bien avec Sumalee, j’oubliais tout grâce à sa douceur, son charme. Elle était prévenante et savait s’occuper du plaisir de l’autre, j’avais juste peur d’aller plus loin, de m’attacher et de souffrir ensuite.
Sumalee, comme pour me rassurer, me dit :
"Tu sais, je sens ton appréhension et ta peur, il te faut vivre le temps présent sans attachement, et tu verras. Rassures-toi tu seras libre, je ne te retiendrai pas, de même que tu ne pourras me retenir"
Elle me proposa un dernier verre chez elle et, bien sûr, j’ai accepté avec enthousiasme, me doutant bien qu’elle avait une petite idée derrière la tête.
A suivre…
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