Leslie SU19
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie SU19
Leslie SU19 - Sumalee, Rachel, comment cela à commencer
Avec Sumalee nous coulions des jours de vrai bonheur, notre vie commune était sans
nuages et nous étions heureuses.
Je me suis absentée, pour le travail pendant une semaine, laissant seule Sumalee, nous
nous téléphonions aussi souvent que possible et ainsi la semaine passa vite.
Le dernier jour, au matin, avant de terminer mon déplacement et rentrer, j’ai
téléphoné comme chaque jour à Sumalee.
- Allo, Sumalee, c’est Leslie.
- Ohhh, mon amour comment vas-tu.
- Bien chérie, et toi ?
- Bien j’ai impatience de te retrouver.
- Moi aussi, que fais-tu ?
- Je suis encore au lit.
- Tu te caresses ?
- Non.
- Alors branles-toi en pensant à moi et ce soir tu me raconteras.
- Ok, baisers.
- Baisers.
L’essentiel était dit, Sumalee au fond de son lit commença à se caresser et les
souvenirs revinrent :
« Ce soir-là, alors qu’elle se donnait du plaisir seule dans sa chambre, Rachel
l’avait surprise nue sur son lit engodée et soupirant de plaisir.
Il est certain, pense Sumalee, que je plaisais Rachel, qui de son côté ne se cachait
pas de ses penchants pour le même sexe qu’elle, mais elle ne m’avait jamais fait
d’avances depuis que nous étions installées dans le même appartement.
Elle ne se privait pas, parfois, de me raconter qu’elle avait vu une femme superbe,
avec qui elle aurait bien prit un peu de plaisir, parlant aussi de son phantasme de
faire l’amour avec une asiatique, mais rien de plus. »
Sumalee se caresse et son bouton est gonflé de désirs, il ne lui faudra pas plus de
cinq minutes pour jouir, les jambes et la bouche largement ouvertes, elle ne peut
étouffer un cri de bien-être.
Le plaisir prend possession de son ventre, d’une main elle frotte son clitoris gonflé,
de l’autre elle titille la pointe de ses seins. Sa jouissance est rapide tant les
souvenirs qui reviennent sont chauds. Elle se surprend même à dire « Rachel ! » au
moment de jouir.
Cet à cet instant que Rachel fit irruption dans la chambre de Sumalee.
Surprise par Rachel, Sumalee ne sait que dire, juste par reflexe elle se couvre du
drap et ainsi voilé son intimité et retrouver sa pudeur.
Mais Rachel a vue Sumalee nue et ne se prive pas pour lui dire :
- Tu es très belle, je crois que je ne vais plus chercher ce qui se trouve à la
maison.
- Mais…dis Sumalee.
- Ne t’inquiètes pas, la coupe Rachel, ce n’est pas le moment, mais maintenant
attends-toi à ce que je te fasse des avances !
Deux jours sont passés et rien n’a changé entre les deux jeunes femmes, simplement que
la veille au soir Rachel a ramené une jeune femme blonde, de vingt ans tout au plus et
qu’elles ont passées la nuit ensembles.
Sans la nuit, Sumalee les a entendues et, les cris de plaisir que poussait la petite
blonde n’était pas feins, Sumalee à mal dormit et comme c’est sa journée de repos elle
se prélasse dans le lit.
Soudain le téléphone sonne, il est dix heures, c’est Rachel qui appelle Sumalee pour
l’inviter.
Sumalee tourne en rond. Elle panique un peu, comment s’habiller.
Elle ne veut pas faire provocatrice, bien qu’elle se doute de l’issu de ce rendez-
vous. Pantalon, pas très pratique et pas féminin, mini-jupe, ce serait avouer son
désir qui monte en elle, alors elle opte pour une robe légère fermée sur le devant par
des boutons, pas de soutien-gorge, sa petite poitrine peut s’en passer, puis une
petite ceinture pour dessiner ma taille.
Dehors il fait bon par ce début de printemps, elle passe des bas tops et un petit
string presque assorti à sa robe, une belle paire d’escarpins à talons mi hauts, son
long manteau en veau retourné et la voilà prête.
Dans le bus les regards qui se pose sur elle, lui confirme que sa beauté asiatique ne
laisse pas indifférents les hommes et les femmes.
Enfin elle arrive au petit restaurant près de l’institut, où elles ont souvent mangé
avec Rachel comme deux copines.
Elle est la première et préfère une table discrète dans la salle du fond et commande
un whisky, histoire de tenter de se calmer.
Elle est glacée, ses jambes tremblent et le rouge a envahi ses joues.
Son petit cœur s’emballe lorsqu’elle la voit franchir la porte du restaurant, tous les
yeux se retournent vers elle, et pour cause. Elle est vêtue d’un petit blouson de cuir
noir, ouvert sur un bustier rouge à lacets qui serre sa poitrine et d’une minijupe de
la même couleur. Bien sûr, elle porte des bas-résilles et elle est chaussée de talons
hauts.
- Bonjour ma chérie, comme je suis contente de te voir en dehors de
l’appartement.
- Moi aussi, mais ton invitation est si inattendue !
- C’est que je suis imprévisible.
Lors du repas, Rachel me conte ses conquêtes et ses aventures. Arrivé au café, elle se
lève et vient s’asseoir près de moi sur la banquette. Elle passe son bras autour de
mes épaules et me presse légèrement contre elle et lui demande :
- Aller, dis-moi, qu’est-ce qui ne vas pas ?
- Si, ça va, enfin, disons quand ce moment je suis toute chose.
- Alors allons chez nous et je m’occuperais de ton malaise.
Nous arrivons à l’appartement et mes jambes tremblent plus que jamais. Sans réfléchir
je jette mon manteau sur une chaise et je m’installe dans le canapé, en fait je pose
mes fesses sur le bord du canapé.
- Bon, t’es installée, je vais faire un café.
Deux minutes plus tard, elle revient avec deux tasses bouillantes, puis elle s’assoit
près de moi, bien au fond du canapé. Elle avale son café et pose sa tasse sur la table
basse. Un frisson me parcourt lorsque sa main caresse mon dos. Surprise, je manque de
m’étrangler et je dois poser la tasse sur la table basse.
- Laisse-le refroidir et viens près de moi.
Je m’enfonce dans le cuir et elle se rapproche de moi. Comme au restaurant, elle passe
son bras autour de mes épaules et de son autre main, elle caresse délicatement ma
joue.
- Alors, ma chérie ! Il semble que tu sois tendue ?
Je n’arrive pas à répondre.
- Tu sais, ce n’est pas très compliqué, deux filles ensemble peuvent se donner
du plaisir.
Alors elle prend ma main et la pose sur sa cuisse. Sa jupe est si courte qu’elle la
pose sur son bas. Sous mes doigts je sens la résille qui gratte un peu.
À son tour, elle pose sa main sur mon genou et remonte très lentement, en petites
caresses, sur ma cuisse. Elle passe sous ma robe. Je suis terriblement excitée, le feu
monte dans mon ventre et je ne vais bientôt plus pouvoir me contrôler.
Je pense que Rachel le sent car elle monte sa main un peu plus haut sur ma cuisse, si
elle tendait les doigts elle pourrait me toucher la chatte.
- Tu es excitée comme une puce, chérie, ça te plait ?
Je tourne la tête timidement et je plonge dans ses yeux, son regard à cet instant est
envoûtant et de nouveaux frissons me parcourent.
J’ai envie d’elle, alors, dans comme un cri de désespoir, je lui dis :
- Embrasse-moi !
Elle ne se le fait pas dire deux fois et se penche vers moi, ses lèvres touchent
d’abord délicatement les miennes, puis s’entrouvrent et sa langue se fait présente sur
le bord de mes lèvres. Et c’est tout naturellement que j’entrouvre ma bouche pour que
sa langue l’investir. Très vite nos baisers deviennent fougueux et je me surprends à
glisser mes doigts plus loin sur sa cuisse.
Ses doigts dégrafent fébrilement les boutons de ma robe et le tissu s’écarte
doucement, tandis que je sens la pointe de mes seins se durcir. En un rien de temps je
me retrouve en string entre ses bras
Une main caresse ma poitrine et l’autre se perd sur mon string et commence à me
caresser au travers du tissu. Puis sa tête descend vers mes seins qu’elle prend dans
sa bouche, puis elle titille de sa langue un des deux tétons.
Dans la position où elle est je sens ses cheveux parfumés encore de l’odeur de son
shampoing, son dos m’est offert et j’y passe ma main et je fais sauter les agrafes de
son bustier qui bientôt tombe au bout de ses bras.
Agilement, elle s’en dégage et le fait voler au milieu de la pièce. Désormais je
caresse la peau douce de son dos, alors que délicatement, tout en léchant et aspirant
mes seins, elle passe sa main dans mon string et trouve mon petit bouton, elle le
caresse un moment et se redresse, toujours vêtue de sa mini rouge, pour me contempler
en disant :
- Mon dieu ! Que tu es belle !
Elle est devenue mon amante et nous avons vécue dans la même chambre à partir de cet
instant…
A suivre…
Avec Sumalee nous coulions des jours de vrai bonheur, notre vie commune était sans
nuages et nous étions heureuses.
Je me suis absentée, pour le travail pendant une semaine, laissant seule Sumalee, nous
nous téléphonions aussi souvent que possible et ainsi la semaine passa vite.
Le dernier jour, au matin, avant de terminer mon déplacement et rentrer, j’ai
téléphoné comme chaque jour à Sumalee.
- Allo, Sumalee, c’est Leslie.
- Ohhh, mon amour comment vas-tu.
- Bien chérie, et toi ?
- Bien j’ai impatience de te retrouver.
- Moi aussi, que fais-tu ?
- Je suis encore au lit.
- Tu te caresses ?
- Non.
- Alors branles-toi en pensant à moi et ce soir tu me raconteras.
- Ok, baisers.
- Baisers.
L’essentiel était dit, Sumalee au fond de son lit commença à se caresser et les
souvenirs revinrent :
« Ce soir-là, alors qu’elle se donnait du plaisir seule dans sa chambre, Rachel
l’avait surprise nue sur son lit engodée et soupirant de plaisir.
Il est certain, pense Sumalee, que je plaisais Rachel, qui de son côté ne se cachait
pas de ses penchants pour le même sexe qu’elle, mais elle ne m’avait jamais fait
d’avances depuis que nous étions installées dans le même appartement.
Elle ne se privait pas, parfois, de me raconter qu’elle avait vu une femme superbe,
avec qui elle aurait bien prit un peu de plaisir, parlant aussi de son phantasme de
faire l’amour avec une asiatique, mais rien de plus. »
Sumalee se caresse et son bouton est gonflé de désirs, il ne lui faudra pas plus de
cinq minutes pour jouir, les jambes et la bouche largement ouvertes, elle ne peut
étouffer un cri de bien-être.
Le plaisir prend possession de son ventre, d’une main elle frotte son clitoris gonflé,
de l’autre elle titille la pointe de ses seins. Sa jouissance est rapide tant les
souvenirs qui reviennent sont chauds. Elle se surprend même à dire « Rachel ! » au
moment de jouir.
Cet à cet instant que Rachel fit irruption dans la chambre de Sumalee.
Surprise par Rachel, Sumalee ne sait que dire, juste par reflexe elle se couvre du
drap et ainsi voilé son intimité et retrouver sa pudeur.
Mais Rachel a vue Sumalee nue et ne se prive pas pour lui dire :
- Tu es très belle, je crois que je ne vais plus chercher ce qui se trouve à la
maison.
- Mais…dis Sumalee.
- Ne t’inquiètes pas, la coupe Rachel, ce n’est pas le moment, mais maintenant
attends-toi à ce que je te fasse des avances !
Deux jours sont passés et rien n’a changé entre les deux jeunes femmes, simplement que
la veille au soir Rachel a ramené une jeune femme blonde, de vingt ans tout au plus et
qu’elles ont passées la nuit ensembles.
Sans la nuit, Sumalee les a entendues et, les cris de plaisir que poussait la petite
blonde n’était pas feins, Sumalee à mal dormit et comme c’est sa journée de repos elle
se prélasse dans le lit.
Soudain le téléphone sonne, il est dix heures, c’est Rachel qui appelle Sumalee pour
l’inviter.
Sumalee tourne en rond. Elle panique un peu, comment s’habiller.
Elle ne veut pas faire provocatrice, bien qu’elle se doute de l’issu de ce rendez-
vous. Pantalon, pas très pratique et pas féminin, mini-jupe, ce serait avouer son
désir qui monte en elle, alors elle opte pour une robe légère fermée sur le devant par
des boutons, pas de soutien-gorge, sa petite poitrine peut s’en passer, puis une
petite ceinture pour dessiner ma taille.
Dehors il fait bon par ce début de printemps, elle passe des bas tops et un petit
string presque assorti à sa robe, une belle paire d’escarpins à talons mi hauts, son
long manteau en veau retourné et la voilà prête.
Dans le bus les regards qui se pose sur elle, lui confirme que sa beauté asiatique ne
laisse pas indifférents les hommes et les femmes.
Enfin elle arrive au petit restaurant près de l’institut, où elles ont souvent mangé
avec Rachel comme deux copines.
Elle est la première et préfère une table discrète dans la salle du fond et commande
un whisky, histoire de tenter de se calmer.
Elle est glacée, ses jambes tremblent et le rouge a envahi ses joues.
Son petit cœur s’emballe lorsqu’elle la voit franchir la porte du restaurant, tous les
yeux se retournent vers elle, et pour cause. Elle est vêtue d’un petit blouson de cuir
noir, ouvert sur un bustier rouge à lacets qui serre sa poitrine et d’une minijupe de
la même couleur. Bien sûr, elle porte des bas-résilles et elle est chaussée de talons
hauts.
- Bonjour ma chérie, comme je suis contente de te voir en dehors de
l’appartement.
- Moi aussi, mais ton invitation est si inattendue !
- C’est que je suis imprévisible.
Lors du repas, Rachel me conte ses conquêtes et ses aventures. Arrivé au café, elle se
lève et vient s’asseoir près de moi sur la banquette. Elle passe son bras autour de
mes épaules et me presse légèrement contre elle et lui demande :
- Aller, dis-moi, qu’est-ce qui ne vas pas ?
- Si, ça va, enfin, disons quand ce moment je suis toute chose.
- Alors allons chez nous et je m’occuperais de ton malaise.
Nous arrivons à l’appartement et mes jambes tremblent plus que jamais. Sans réfléchir
je jette mon manteau sur une chaise et je m’installe dans le canapé, en fait je pose
mes fesses sur le bord du canapé.
- Bon, t’es installée, je vais faire un café.
Deux minutes plus tard, elle revient avec deux tasses bouillantes, puis elle s’assoit
près de moi, bien au fond du canapé. Elle avale son café et pose sa tasse sur la table
basse. Un frisson me parcourt lorsque sa main caresse mon dos. Surprise, je manque de
m’étrangler et je dois poser la tasse sur la table basse.
- Laisse-le refroidir et viens près de moi.
Je m’enfonce dans le cuir et elle se rapproche de moi. Comme au restaurant, elle passe
son bras autour de mes épaules et de son autre main, elle caresse délicatement ma
joue.
- Alors, ma chérie ! Il semble que tu sois tendue ?
Je n’arrive pas à répondre.
- Tu sais, ce n’est pas très compliqué, deux filles ensemble peuvent se donner
du plaisir.
Alors elle prend ma main et la pose sur sa cuisse. Sa jupe est si courte qu’elle la
pose sur son bas. Sous mes doigts je sens la résille qui gratte un peu.
À son tour, elle pose sa main sur mon genou et remonte très lentement, en petites
caresses, sur ma cuisse. Elle passe sous ma robe. Je suis terriblement excitée, le feu
monte dans mon ventre et je ne vais bientôt plus pouvoir me contrôler.
Je pense que Rachel le sent car elle monte sa main un peu plus haut sur ma cuisse, si
elle tendait les doigts elle pourrait me toucher la chatte.
- Tu es excitée comme une puce, chérie, ça te plait ?
Je tourne la tête timidement et je plonge dans ses yeux, son regard à cet instant est
envoûtant et de nouveaux frissons me parcourent.
J’ai envie d’elle, alors, dans comme un cri de désespoir, je lui dis :
- Embrasse-moi !
Elle ne se le fait pas dire deux fois et se penche vers moi, ses lèvres touchent
d’abord délicatement les miennes, puis s’entrouvrent et sa langue se fait présente sur
le bord de mes lèvres. Et c’est tout naturellement que j’entrouvre ma bouche pour que
sa langue l’investir. Très vite nos baisers deviennent fougueux et je me surprends à
glisser mes doigts plus loin sur sa cuisse.
Ses doigts dégrafent fébrilement les boutons de ma robe et le tissu s’écarte
doucement, tandis que je sens la pointe de mes seins se durcir. En un rien de temps je
me retrouve en string entre ses bras
Une main caresse ma poitrine et l’autre se perd sur mon string et commence à me
caresser au travers du tissu. Puis sa tête descend vers mes seins qu’elle prend dans
sa bouche, puis elle titille de sa langue un des deux tétons.
Dans la position où elle est je sens ses cheveux parfumés encore de l’odeur de son
shampoing, son dos m’est offert et j’y passe ma main et je fais sauter les agrafes de
son bustier qui bientôt tombe au bout de ses bras.
Agilement, elle s’en dégage et le fait voler au milieu de la pièce. Désormais je
caresse la peau douce de son dos, alors que délicatement, tout en léchant et aspirant
mes seins, elle passe sa main dans mon string et trouve mon petit bouton, elle le
caresse un moment et se redresse, toujours vêtue de sa mini rouge, pour me contempler
en disant :
- Mon dieu ! Que tu es belle !
Elle est devenue mon amante et nous avons vécue dans la même chambre à partir de cet
instant…
A suivre…
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