Leslie, transexuelle chapitre 14 - histoire érotique

CHAPITRE 14 – La rencontre de Caroline en club trans.

L’envie d’une rencontre.
Depuis déjà quelques temps je me disais que cela ne serait pas anormal de rencontrer, une nouvelle fois, une créature comme moi, une transexuelle, mon expérience avec Joyce avait été formidable et il me tardait de recommencer l’expérience.
Maintenant complètement féminisée je sortais et vivais en femme sans me cacher.
Complètement épilée avec ma petite poitrine arrogante et mon joli sexe, je me sentais capable de rivaliser avec plus d’une de ces créatures du 3 ème sexe. Ce soir là Chris était de sortie avec Jacques pour un diner d’affaires, n’ayant pas désirée me joindre à eux pour une soirée qui s’annonçait ennuyante, je me retrouvais seule à la maison. C’est pour cela que je me décidais à sortir pour concrétiser une rencontre de trans à trans.
Je me suis préparée comme d’habitude afin d’être la plus belle possible, je pris une douche, vernissais mes ongles et me maquillais, et je décidais pour l’occasion de changer de look, afin de mettre en valeur tous mes atouts et être la plus androgyne possible, je voulais attirer les regards et susciter les envies.
J’optais pour un pantalon beige à pince que je passais sans rien d’autre, afin d’être libre et prête, puis la veste assortie, que je passais aussi sans rien d’autre, ainsi juste boutonnée ma poitrine libre sous la veste pouvait se dévoiler suivant les positions que je prenais, chaussais des escarpins assortis aux talons de 6cm, ainsi habillée je me suis rendue dans un club réputé pour recevoir tous les styles de genre humain.

Dans un club de transexuelle, la rencontre.
Arrivée à la porte du club et voyant les yeux du videur se poser sur moi, je savais que je ne laisserais pas indifférente les personnes déjà à l’intérieur. Je pris une table et commandais un gin tonic, installée en attendant mon verre j’ai embrasée la salle d’un coup d’œil afin de me faire une petite idée des présences se trouvant déjà là. Il y avait du beau monde, de toutes sortes, des femmes superbes, des lesbiennes déjà en couple, des travestis et je pense quelques trans, mais comment savoir. Par contre peu d’homme se trouvaient là et je me suis dis que c’est mieux ainsi.
Tout en buvant mon verre, je me rendais compte que ma veste s’ouvrait sur ma poitrine dévoilant mes seins au public présent, et je remarquais une très belle créature qui ne perdait rien du spectacle que j’offrais. Waouh, je ne pouvais détourner mon regard de son corps splendide et surtout lorsqu’elle vint vers ma table, grande et élancée, cambrée à souhait avec de longs cheveux blonds allant au creux de ses reins, et une magnifique poitrine.
Tenant son verre à la main, elle s’approcha de la table en avançant vers moi je regardais cette créature qui balançait les hanches comme un mannequin lors d’un défilé de mode, dans son ensemble composé d’un pantalon et d’un spencer en cuir, et demanda si elle pouvait s’installer à mes côtés, bien sur qu’elle pouvait et même rester aussi longtemps qu’elle voulait, alors elle se plaça tout près de moi et je sentis les effluves de son parfum, si elle avait voulue je l’aurais suivie de suite et n’importe où, mais elle ne semblait pas pressée.
- Bonjour, me dit-elle, comme pour se présenter.
- Bonjour, c’est la première fois que je viens et….
- Je le sais, dit-elle, je suis une habituée et je t’aurais remarquée si tu étais passée par là.
Elle s’installa à mes côtés, comme une amie de toujours et me posant sa main sur la cuisse elle me dit :
- Tu es superbe, et je t’ai remarquée dès que tu es rentrée, une femme comme toi ne doit pas restée trop longtemps seule, sinon la place risque d’être prise rapidement et seul le regret devient notre compagnon, pour ma part j’ai fait le choix, c’est toi ma compagne de ce soir.
- Waouh, dis-je, vous n’y allez pas par quatre chemins et vous savez être claire ?
- Il le faut et comme tu me plais je ne voudrais pas que quelqu’un d’autre en profite, comment t’appelles tu ?
- Leslie.
- Joli prénom, moi c’est Caroline mais tout le monde m’appelle Caro, tu es venue pourquoi chérie, me demanda t’elle en me pressant la cuisse d’une main ferme mais douce à la fois.
- Hum, elle m’appelle chérie et nous venons de faire connaissance, je voulais faire une rencontre disons… spéciale.
- Ah oui et tu penses que cela va se faire ce soir, la rencontre spéciale.
- Bien je ne sais pas.
- Si je te plais, me demanda t’elle, serait’ il possible que je sois cette rencontre.
- Oui cela se pourrait, mais comment savoir si vous êtes ce que je cherche ?
Elle me prit la main et délicatement et avec une douceur extrême le posa sur son pubis ou je sentis une légère protubérance qui me fit savoir que sous une apparence féminine se cachait le pourquoi j’étais ici.
- Es tu venue pour cela Leslie.
J’étais troublée et je lâchais un petit « oui », pressant un peu plus ma main sur son sexe d’homme…..
- Les choses sont claires, me dit-elle, ne perdons pas notre temps ici, suit moi je t’enlève avant que tu ne sois pas remarquée par d’autres qui voudraient être à ma place.
Elle se leva et comme dans un rêve je la suivie, de suite elle me prit par la taille pour bien montrer que nous étions ensemble pour ce soir et qu’elle m’emmenait, me voulant pour elle seule.

Caroline m’emmène chez elle.
Dans la rue, elle me reprit la taille et ainsi nous marchâmes vers chez elle, comme deux amantes lesbiennes tout en conversant sur nous à voix feutrées. Caro me dit qu’elle avait 25 ans, qu’elle était transexuelle vraiment que depuis trois ans, et que je lui plaisais énormément. Elle s’arrêta devant une entrée d’immeuble et me tournant vers elle, elle se plaqua contre moi et me posa ses lèvres sur les miennes, puis passant sa langue entre mes lèvres elle chercha la mienne pour un baiser d’enfer, elle déboutonna ma veste et passa ses mains dans mon dos nu tout en mettant mes seins au contact du cuir de son spencer, je n’en pouvais plus et mon sexe était dur, descendant une main vers mon entre cuisses elle découvrit mon état et eue une mimique réjouit pour l’effet qu’elle me faisait, de l’autre main elle me caressa les seins. Elle me prit par la main et m’empêcha de reboutonner ma veste, voulant que je sois un peu impudique à son bras. Elle exultait en ma compagnie et je me sentais fière de susciter autant d’attention de sa part.
Nous arrivâmes au pied d’un immeuble où nous entrâmes, immeuble bourgeois de bonne facture, et me fit monter dans l’ascenseur en direction du dernier étage. Dans la cabine qui montait elle reprit ma bouche en se frottant contre moi, caressant mon sexe avec insistance et précision, ses caresses étaient diaboliques et je n’avais encore osée la toucher.
Sitôt dans la porte fermée elle reprit ses baisers, faisant passer ma veste par-dessus mes épaules, me mettant d’un coup à moitié nue contre elle, la frénésie s’emparait d’elle, elle déboutonna son spencer, pour l’envoyer sur le canapé se retrouvant seins nus et frotta sa poitrine contre la mienne, ses larges auréoles brunes dressées vers moi. Elle déboutonna son pantalon de cuir pour apparaître enfin nue, car comme moi elle n’avait rien mis dessous, je me reculais un peu pour admirer sa nudité, elle était superbe avec sa poitrine dressée pas trop volumineuse, 90B je pense, et son beau sexe, de taille moyenne, se dressant sur un pubis taillé très court.
Elle ouvrit mon pantalon faisant jaillir mon sexe qu’elle prit à pleine main en s’extasiant :
- Que tu es belle le sexe dressé pour moi, un bel outil Leslie, tu peux être fière et remercier dame nature, en plus le tatouage sur ton ventre est magnifique et ce diamant sur le nombril est du plus bel effet.
- Tu es très belle Caro, et ton sexe me plait beaucoup, je sens que je vais l’aimer.
- Viens suis moi…..
Elle m’entraine, toutes les deux nues, vers sa chambre habillée entièrement de miroirs, même le plafond, et ou trône un lit gigantesque, sur lequel elle me couche sur le dos, puis m’enjambant tête bêche, elle me prend le sexe en bouche pou me faire une fellation diabolique, son sexe est à portée de mes lèvres, j’embrasse le gland lui tirant un petit cri et l’enfourne entièrement jusqu’au fond de ma gorge, et nous voila parties pour un 69 d’anthologie. Ses lèvres serrées autour de mon sexe montent et descendent à une vitesse endiablée, je ne pourrais tenir très longtemps à ce rythme, surtout que jouant du bassin elle est en train de me baiser par la bouche, c’est sublime mon sexe est dur, je lui caresse les fesses, elle glousse. Nous roulons sur nous-mêmes sans quitter les membres enfouis dans nos bouches et alternons les mouvements, maintenant c’est à mon tour de lui baiser la bouche de mon sexe, pendant que je lui administre une pipe dont elle va se souvenir pendant longtemps. Nos corps sont en sueur et nos esprits chavirent, nos seins frôlent nos ventres, je lui caresse la rondelle pendant qu’un de ses doigt se perd dans mes profondeurs anales, elle me doigte le cul avec frénésie, j’insère un doigt dans son œillet qui s’ouvre pour l’accueillir, encore un moment et nous sommes prêtes mutuellement à nous enculer.
Je sors de sa bouche et me positionne à quatre pattes sur le lit, la tête sur l’oreiller, je cambre mes reins pour lui faire comprendre que je suis prête et d’accord pour l’accueillir dans mes reins, elle se positionne derrière moi.
- Ce tatouage en v dans le bas de ton dos me guide, dit-elle, on dirait une direction à suivre pour finir dans ton cul.
Et elle pose son membre sur ma rondelle frémissante, là ou fini la pointe du v, elle pousse un peu, je m’ouvre et son gland passe ouvrant le trou de mon cul, une autre poussée et son sexe disparait entièrement au fond de moi, elle est me possède entièrement. Une courte pose pour me dire :
- Leslie, tu me sens je suis entièrement en toi, au fond de ton cul, ton conduit m’enserre bien, c’est divin, je n’ai jamais ressentie cela et je crois que je suis entrain de tomber amoureuse…..
- Haie, Caro, attends un peu pour être amoureuse, pour l’instant je te sens et je te vois au travers de tous ces miroirs.
- Oui regardes comme je suis incrustée dans tes reins, regardes comme c’est beau de se voir enculée.
- Oui je te vois Caro, et je te sens, reste un peu que je m’habitue à cette vision.
- Non, dit-elle.
Et la voila qui s’active, ressortant et rentant dans mon cul en douceur d’abord, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort, une onde de jouissance envahie mes reins, Caro va me faire jouir du cul, elle me possède comme une femme, c’est fantastique, encore et encore de son sexe raide elle me pilonne, maintenant elle sort sa queue entièrement de moi, me laissant grande ouverte pour mieux se replanter dans mon cul et aller jusqu’au fond, elle me branle en même temps, encore et encore, et je sens les soubresauts annonciateurs d’une jouissance imminente, elle se boque bien au fond et jouis en moi, je me sens remplie par des flots de liquide chaud, elle est heureuse je la sent dans mon dos toute frémissante, ne bougeant plus pour rester bien au fond en moi, elle ne débande pas, je la sens toujours raide dans mon boyau.
Elle se redresse, et dit :
- A moi, maintenant je t’attends, je veux te voir me posséder.
Elle s’allonge sur le dos et redresse ses jambes, son trou est offert à ma vue et à ma queue, je lui administre une feuille de rose et rentre ma langue dans le trou offert, elle frémie, je me redresse et je place ma queue à l’entrée de sa rosette, je la sens frémir, son petit trou se contracte par la peur de ma sodomie.
- Vas y doucement, Leslie, je n’ai pas l’habitude avec un gros sexe comme le tien.
- Ne t’inquiètes pas, Caro, je vais être douce, mais détend toi tu es toute crispée.
Et je pousse un peu mon sexe sur l’entrée de son intimité, sa rondelle résiste et elle pousse un petit cri, je pousse encore et je passe le gland, son œillet enserre mon sexe, c’est vrai qu’elle est très serrée, elle souffle comme si l’air lui manquait, une courte pause et je repousse mon sexe pour l’enfouir au plus profond d’elle, elle hurle, mais je continue.
- Ah, ma salope, comme ton clitoris est gros, tu me casses en deux, oh, continue va au fond, je veux te sentir entièrement en moi, je m’ouvre complètement pour toi chérie.
Je suis au fond et mes couilles sont au contact de ses couilles, c’est bon je démarre un lent va et vient et ses cris redoublent, je l’encule comme une reine en mettant tout mon savoir et ma tendresse, je la pilonne à grands coups de reins, elle va rendre grâce dans pas longtemps :
- Je t’aime, Leslie, ton sexe me remplit…de bonheur, ohhh….
Je vais jouir dans son cul, je sens ma sève montée dans ma colonne de chair, je sens les contractions de son trou autour de ma queue, et je lui remplis le cul de ma semence pendant qu’elle hurle son bonheur, elle est heureuse.
Nous avons continué allongées sur le lit à nous caresser et nous branler, cet instant était magique.
Nous avons été ensemble deux mois, s’était la première fois de ma vie que j’avais, hormis avec Chris, une liaison suivie avec une personne, elle était très amoureuse et moi je commençais à être attachée à Caro, mais pour quelques temps la vie nous à séparée, Caro devait restée à Paris, les adieux furent très pénibles, j’aimerais bien la revoir et refaire l’amour avec elle, elle me manque.

A suivre……