Leslie, transexuelle chapitre 15

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Leslie, transexuelle chapitre 15 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie, transexuelle chapitre 15
CHAPITRE 15 – Caroline, suite.

Je retrouve Caroline.
Huit semaines sont passées…..
Caro, mon amie amante est revenue, elle est à nouveau installée en ville à Marseille, elle est comme on dit revenue au pays et nous sommes voisines, c’est avec beaucoup de joie que nous nous revoyons, j’aime cette liberté que nous avons entre nous et à chaque entrevue nous avons un réel plaisir de nous retrouver.
J’ai fait des folies, je me suis achetée des habits que je vais étrennés ce soir lors de mon rendez-vous avec Caro, après un bon bain, je me suis parfumée et maquillée et maintenant devant ma glace je me regarde, je suis habillée d’un bustier en latex noir seins nus qui révèle un décolleté aguichant mettant ma petite poitrine en valeur, d’un jock-strap en latex noir, string ultra sexy qui recouvre de sa coquille mon sexe tout en laissant mes fesses nues et offertes, libres de toute contrainte, et des bas en latex noirs inspirant des cuissardes avec des escarpins à talons aiguilles.
Je suis prête pour mon rendez-vous de ce soir, j’enfile un manteau ultra long en vinyle noir brillant qui est cintré en haut et part en s'évasant à partir de la taille vers mes pieds, mon buste est bien serré grâce à une fermeture zippée, le bas du manteau prend mouvement à chacun de mes pas et dévoile mes cuisses.
C’est dans cette tenue que j’ai décidée de retrouver Caro, mon amoureuse, il ne me faut pas longtemps en voiture pour rejoindre Marseille en ce début de soirée, par la route départementale 859, et rejoindre Caro dans sa petite maison dans les faubourgs sud de la ville près du parc Borely.

Je sonne à la porte, Caro m'ouvre en souriant, elle est entièrement nue, elle me prend la main pour me faire entrer et me dit :
- Leslie, je suis heureuse que tu sois venue.
Elle m'enlève mon manteau et me regarde en disant :
- Leslie, comme tu es belle dans cette tenue et comme tu es désirable.
Elle m’embrasse sur les lèvres et descend aussitôt embrasser mes seins dressés par le bustier et s'attarde un instant sur pointes sensibles me faisant gémir, elle remarque mon string et découvre mes fesses nues.
- Tu es très excitante, Leslie, habillée comme cela je brûle d'envie de te baiser, s'exclame-t-elle.
Elle reprend son baiser en me fouillant avidement ma bouche avec sa langue, tout en me caressant les cuisses juste au dessus des bas-cuissardes d’une main et de l’autre elle me caresse les fesses, puis va s’attarder sur ma rosette qu'elle masse avec l'un de ses doigts, mon sexe bande dans la coquille du string, je me cambre sous sa caresse.
Sa main remonte sur ma cuisse, et satisfaite, elle caresse ma verge par-dessus le string et plonge son majeur de son autre main dans mon œillet, je soupire de plaisir et elle me chuchote à l'oreille.
- Je vais te prendre comme promis ma chérie.
Avec douceur, elle me fait asseoir dans le fauteuil du salon, écarte et relève mes jambes m’obligeant à lui présenter mon anus, puis tout en se masturbant le sexe elle m'enfile un doigt dans l'anus pour commencer à me dilater.
Le visage à la hauteur de son bassin, je vois son sexe grandir à vue d'œil, qui finit par être raide, j’ouvre la bouche et elle m'enfonce sa verge dans la gorge, un frisson me parcourt lorsqu'elle pousse son index dans mon œillet, puis me prend les hanche m’obligeant à me mettre en levrette devant elle.
Elle prend son sexe en main et l'applique contre ma rosette, et commence à peser de tout son poids pour me pénétrer.
- Comme c’est bon de te sentier si étroite, je vais être serrée dans ton fourreau, me dit-elle.
Elle exerce une pression en me tenant par les hanches et ma rosette finit par céder d'un coup en laissant s'engouffrer en moi son sexe. Je pousse un cri, puis de nouveau elle continue à s’enfoncer en moi et me fouille le ventre de son sexe, jusqu'à ce qu'il disparaisse en moi. Plusieurs fois de suite, elle se retire lentement pour observer ma rosette se dérouler sur son membre et s'enrouler à nouveau lorsqu'elle l'enfonce dans mes reins, sondant les moindres replis de mes entrailles.
Déchaînée, elle me pilonne sans arrêt les reins jusqu'à ce qu'elle me voie trembler lui annonçant ma jouissance, elle me masturbe tout en me sodomisant jusqu'à ce que mon sperme jaillisse par saccades.
Toujours entre mes jambes elle me défonce la rondelle, forçant mes sphincters à chaque coup de reins, mes plaintes redoublent son ardeur et c'est avec excitation qu'elle pousse son sexe en moi, je me sens prise et possédée, Caro me transperce les entrailles, insensible à mes cris de douleur, elle ne s'arrête pas, elle me travaille la rondelle de son sexe démoniaque, j’ai des contractions anales et hurle mon plaisir.
Elle se retire un instant pour me voir largement ouverte, puis elle replonge en moi investissant mon boyau et jouis en moi me remplissant les entrailles de son plaisir.
Après une courte pose, elle m'entraîne dans sa chambre et se couche sur le lit offerte.
- Fais-moi l'amour, me dit-elle.
Elle se met sur le ventre en ramenant son sexe sous elle, puis ouvre ses jambes pour me montrer son anus palpitant, légèrement ouvert par le désir, elle écarte ses fesses à deux mains pour m’ouvrir son intimité et je la pénètre avec fougue, une fois mon gland passé, je m'enfonce d'un coup jusqu'à la garde, elle contracte son muscle intime sur mon membre en disant :
- Ton sexe est comme dans mon souvenir, gros et puissant.
Je la vois se mordre les lèvres pour ne pas crier son plaisir, pendant que je vais en elle à grands coups de reins, puis je laisse échapper un cri de plaisir et déverse ma semence au fond de son ventre.
Elle se relève aussitôt et m'allonge sur le lit, sur le ventre et se glisse entre mes jambes, elle contemple un instant mes fesses qu’elle ouvre de ses deux mains.
- Tu as encore l'œillet bien ouvert, s'exclame-t-elle.
Puis excitée par ce spectacle, tenant de ses deux mains mes fesses écartées, elle m'encule à nouveau lentement, pesant de tout son poids, je m'ouvre progressivement à sa queue en frissonnant de plaisir. Elle me baise et sort parfois de mon fourreau pour mieux me transpercer en se laissant retomber sur moi en s'enfonçant en moi jusqu'à la racine de son sexe.
- Je suis à fond dans ton cul ma chérie, me dit-elle.
Caro râle de plaisir et sa jouissance remplit avec force mon fourreau. Je me sens envahir par un flot de sperme, elle gémit lorsque je contracte à nouveau mes sphincters, terrassée de jouissance elle m'embrasse à pleine bouche et s’écroule su moi.
Après quelques instants de repos elle me dit :
- Prends-moi encore une fois.
Nous sommes allongées sur le côté et je la pénètre d'autant que sa rondelle est encore bien ouverte. Je m’active en elle et elle se colle contre moi jusqu'à ce qu'elle sente mes convulsions. Je crie de plaisir en déchargeant dans son cul. Elle me garde dans ses fesses la queue tendue attendant mes caresses.
Je m'enfonce plus à fond dans ses fesses tout en branlant son membre, qui peu de temps plus tard explose en libérant de longs et puissants jets de sperme qui éclaboussent les draps.
Épuisées, je me couche sur le côté pour passer la nuit dans les bras de mon amante. Plusieurs fois dans la nuit, je sens Claire me prendre dans mon sommeil et me remplir de son sperme.
Au petit matin, heureuses de nos retrouvailles, nous ne pensons qu’à notre prochain rendez-vous.
- Maintenant que nous sommes voisines nous pouvons nous voir facilement, me dit Caro,
- Bien sur ma chérie, un coup de téléphone et voila.
- Pas de problème je t’appelle dès que je suis libre, réplique Caro.
Nous nous embrassons tendrement et, à regret, je quitte mon amante en me disant que je vais la revoir bientôt.

Après l’absence.
Voila deux jours que je n’ai pas revue Caro et ce samedi matin, le téléphone sonne…
- Allo, c’est Caro.
- Oui ma chérie, comment vas-tu ?
- Ohhh, Leslie si tu savais comme tu me manques, je pense à toi sans arrêt.
- Caro, lui dis-je, si tu n’as rien à faire, vient à la maison.
- J’arrive, me réponds t’elle, avant de raccrocher.
Je me dépêche de me préparée pour recevoir Caro, une douche et un brin de maquillage et j’enfile un petit ensemble que je trouve ravissant composé d’un top et pantalon ultra sexy dans un tissus marron très doux au toucher velouté, brodé et noué à la mode indienne dans le dos, il suffit de tirer sur les ficelles, juste pour voir ce que ça fait, et enfile des escarpins à talons aiguilles, je me trouve très aguichante pour recevoir mon amante.
Sitôt arrivée j’entraine Caro dans ma chambre à coucher.
Elle est belle et désirable, je me sens amoureuse, la chaleur envahie mon corps.
Je la regarde un instant dans sa mini jupe de cuir noir qui laisse dépasser ses jarretelles qui tendent des bas à coutures noirs eux aussi. Elle porte des cuissardes à talons aiguilles, son corsage noir transparent ne cache rien de sa poitrine nue sous l’étoffe, les cheveux blonds de Sandra contrastent avec la blondeur de ses cheveux longs.
Nous prenons le temps de nous embrasser fougueusement et de caresser nos corps frémissants de désirs réciproques, puis je me baisse pour me mettre à genoux devant elle et je remonte lentement de mes mains sa jupe le long de ses jambes, pour découvris un mignon petit string de dentelle noir qui ne peut à peine contenir son sexe déjà en érection, je pose mes lèvres sur la minuscule étoffe pour embrasser ce sexe qui palpite devant moi et lui retire son string. Son sexe libéré se dresse d'un coup devant mes yeux.
- Ecarte un peu tes cuisses ma chérie, je vais t'assouplir l'anneau, lui dis-je.
Elle me sourit et ouvre ses jambes avec grâce.
J’enfonce un doigt avec douceur dans sa grotte et l'entends étouffer un soupir de plaisir. Je sens ma queue se durcir quand ma main saisit son sexe rigide et dur par le plaisir naissant, et frissonne de plaisir quand j'embrasse sa peau à la limite de ses bas.
Je prends alors son sexe entre mes lèvres pour lui administrer une douce fellation qui lui tire de petits cris de plaisir, tout en enfonçant mon doigt au plus profond de son intimité, je sens son anus palpité sous cette intromission et légèrement s’ouvrir à mon doigt.
- Arrêtes tu m’existes top, je vais te sodomiser ma belle, me dit Caro.
Aussitôt elle me redresse m'enlace et m’embrasse à pleine bouche, puis me retourne d’un geste et me fait courber en avant, elle m’enlève le top qui couvre ma poitrine et tire sur le lacet de mon pantalon qui s’ouvre sur mes fesses et tombe à mes chevilles, je suis nue en deux secondes cambrée de dos devant mon amante, elle pose son sexe contre ma rosette en me serrant contre elle, elle pousse sans me laisser de répit et m’enfonce son sexe dans mes reins. Sans être préparée je ressens une légère douleur quand mes chairs s'écartent sous cette intrusion, mais Caro continue sa poussée et elle progresse petit à petit pour finir, son membre, complètement enfoncé dans mon cul.
- Ton cul est toujours aussi accueillant, me dit-elle.
Je bande comme une folle et elle sort son sexe de mes entrailles et m'entraîne vers le lit de la chambre, en me tenant par la queue, elle s’allonge sur le dos, provocante, ouvre lentement ses cuisses impudique, qu’elle écarte pour s'offrir à moi.
Je la contemple un moment, son anneau palpitant d'impatience et sa queue dressée, elle tressaille légèrement quand je m’enfonce en elle, un instant plus tard elle gémit doucement les yeux mi-clos sous mes introductions répétées.
La queue raide gonflée de désir, elle cambre les reins et excitée par son érection, j'ai une envie de m'empaler sur son sexe, je me retourne pour présenter mes fesses et je guide sa queue pour me l'enfoncer dans les reins.
Je creuse mon dos au maximum pour m'embrocher à fond et les mains posées sur sa poitrine, j'entame de lentes montées et descentes. Le souffle court, Caro m'implore d’arrêter.
La laissant allongée sur le dos, je me mets debout face à elle et pose ses talons aiguilles sur mes épaules, puis je pose mon gland à l’entrée son intimité anale, et commence à pousser, la pression de mon sexe efface peu à peu les plis de sa rosette qui cède rapidement, mon sexe s'engouffre une nouvelle fois entièrement dans ses fesses.
Je sodomise Caro avec lenteur, elle me sourit et contracte ses sphincters autour de mon sexe, ce qui me fait décharger convulsivement toute ma semence dans ses reins.
Après un court répit, elle m’allonge à mon tour sur le lit et me relevant à son tour les jambes elle pose son sexe sur mon œillet et elle l'enfonce lentement en moi, sans me quitter des yeux, puis quand elle voit mon regard se voiler de plaisir tout en continuant à me pilonner elle colle ses lèvres sur les miennes pour étouffer mes plaintes et m'encule à fond en poussant son sexe au plus profond de mes reins. Martelant mon œillet, Caro me sourit et me masturbe, en m’enculant, jusqu'à ce que je jouisse sur son ventre de longues giclées de sperme.
Puis elle me retourne sur le ventre en disant :
- Cambres-toi bien ma chérie, que je puisse t'enfiler le plus loin possible.
La tête dans l'oreiller, je fais ressortir ma croupe je m'offre à mon amante et elle m’enfonce son sexe lentement, le souffle court, je sens qu'elle écarte mes fesses pour s'enfoncer toujours plus profondément en moi en m'achevant de puissants coups de reins, avant de s'effondrer sur mon dos en se vidant en moi.
Ainsi, à sa guise, elle ouvre mes cuisses, plie mes genoux, place mes talons aiguilles à la hauteur de mon visage pour me prendre de toutes les façons, en cherchant surtout à me pénétrer le profondément possible. Lors de mes derniers spasmes, elle s'effondre sur mes seins en vidant sa liqueur brûlante dans mes reins.
Je croise alors mes jambes dans son dos pour la garder en moi et sentir ses ultimes contractions.
Nous restons quelques temps ainsi Caro le sexe enfoncé en moi profitant toutes les deux de cet instant magique, puis nous tombons sur le côté pour nous reposer intimement mêlées.
Lorsque Caro enleva son membre de moi, quelques temps plus tard, j’ai ressentie comme un vide, une absence et je sentie la tristesse montée du plus profond de moi, sans comprendre pourquoi.

Près de la piscine avec Caro, Chris et Sandra.
- Allons-nous baigner dans la piscine, lui dis-je.
- Oh oui, j’adore et nues toutes les deux cela sera formidable.
- Nous voila parties pour la piscine, mais contrairement à ce que je pensais il y a du monde déjà installé.
Chris et Sandra, une amie transexuelle de Chris, son installée nues au bord de la piscine, voila déjà plusieurs jours qu’elles sont ensemble à la maison, et nues en cette fin d’après-midi, elles profitent des doux rayons du soleil.
Chris et Sandra, se croyant seules sont accouplées, Chris à cheval sur Sandra est empalée sur le sexe de son amie membrée, le sexe de Sandra de bonnes dimensions laisse apparaître de grosses veines saillantes.
Le sexe de Chris n’offrant que peu de résistances à l'assaut du membre de son amante, nous pouvons voir l'organe palpitant de Sandra investir le sexe de Chris qui pousse de petits gémissements, Chris s'offre à la verge de sa compagne.
Le couple s’aperçoit de notre présence, et sans n’être nullement gênées les deux amantes continuent s’offrent à nos regards, alors Sandra attire Chris vers elle, la faisant se courber et offrir sa croupe.
- Venez, dit Sandra, qu’une de vous lui prenne le petit trou.
Caro le membre palpitant, sans se faire prier passe derrière Chris, pointe son sexe à l’orée de son anus et s'engouffre au dans l'antre de Chris, qui émet un soupir de contentement, puis les yeux fermés, perdue dans son plaisir elle reçoit les assauts des deux femmes membrées en elle et les membre en elle en poussant de longs gémissements de plaisir.
Pendant ce temps je me suis assise dans un transat et commence à me branler en profitant du spectacle que m’offrent mes trois amies du moment. Pendant un long moment Chris se fait pistonnée les deux trous par ses amantes de fortune, puis elles se séparent et vont se baigner.
Je suis debout quand Sandra sort la première de la piscine, elle passe derrière moi et son corps collé au mien, elle commence à me branler le sexe qui grossit à vue d'œil, je la sens excitée comme une puce par la vue de mon corps, son sexe durcit dans mes fesses et j'ai furieusement envie de lui sucer la queue, je me retourne et me place devant elle à genoux, je donne quelques coups de langue sur le gland de sa grosse bite arquée, elle est déjà dure, et j'embouche avec délice le gland circoncis, je la pompe avec délice lui tirant de petits cris de volupté.
Caro sort à son tour et vient à coté de moi, et se met à genoux devant Sandra, et ensemble nous lui léchons le sexe, nos bouches et nos langues se rencontrant sur le sommet du gland, Sandra est ravie et pousse de doux gémissements.
- Oh, mes petites salopes de trans que c'est bon, dit-elle.
Caro lui glisse une main entre les fesses et lui masse la rondelle avant d'enfoncer un doigt dans son anneau.
- Oh, elle m'encule avec son doigt, ajoute t’elle.
- Bon, dit Caro, maintenant il est temps de t'enculer.
Elle attrape un tube de gel dans son sac, s’enduit copieusement le membre en se masturbant doucement, et en dépose du bout des doigts sur le trou de Sandra.
Caro s’allonge sur le sol, le sexe dressé et Sandra se place au-dessus du membre, tournant le dos à son enculeuse, et s'empale d'un seul coup, le sexe de mon amante disparaît dan le fondement de Sandra.
Sandra remonte puis redescend sur la verge de Caro puis remonte lentement encore et encore de plus en plus vite, la queue de Sandra bande plus que jamais et ballote lourdement de haut en bas à chaque montée et descente.
- J'ai encore envie de cette queue qui ballotte et se tend vers moi, je m'approche et l'embouche pendant que Sandra continue ses va et vient.
Une nouvelle fois nous nous séparons.
Sandra ne me quitte pas, nos sexes se touchent, bandent l'un contre l'autre, nos lèvres se joignent pour un baiser passionné où nos langues se mélangent, sa main descend vers mon sexe et le masturbe doucement pendant que l'autre caresse mes fesses et les écarte pour dégager mon petit trou.
- Viens, me dis Sandra, encule-moi, je suis prête.
Cette fois, je m'allonge sur la pierre et c'est elle qui me chevauche de face cette fois, ma queue est serrée dans le fourreau de Sandra, son sexe bat sur mon ventre au rythme de ses mouvements, elle s’encule sur mon sexe avec une joie non dissimulée, les yeux mi-clos elle monte et descend à un rythme endiablé, puis elle s’arrache de mon sexe et se place à genoux sur la serviette de bains, cambrée et offerte, son trou est resté grand ouvert de ma sodomie, je m'enfonce dedans sur toute la longueur de mon sexe, je reste immobile au fond de son rectum, puis je ressors lentement pour la reprendre de plus belle.
- Vas-y encule-moi à fond.
Je la possède comme une forcenée à grands coups de reins, pendant que Caro lui place son membre entre les lèvres, je l'encule pendant qu’elle se masturbe.
- Je viens, dit Sandra, oh oui, je jouis.
Caro se cambre et jouis dans la gorge de Sandra, pendant que je lui remplis le fion, Sandra est remplie en haut et en bas pendant qu’elle finit de jouir entre ses mains.
Peu de temps après Chris nous rejoint et désire participer à nos ébats, après quelques remises en forme buccales et réciproque, aidées par le savoir faire de Chris, nous retrouvons toutes les trois de respectables érections.
Sandra s’allonge sur le dos, et Chris vient à cheval sur sa tête et lui offre sa vulve à lécher, j’en profite pou m’empaler sur le sexe de la belle androgyne en lui tournant le dos, Caro me présente son sexe pour que lui suce pendant que Chris me branle le membre, nous passons un moment ainsi à nous donner du plaisir, puis Caro passe derrière Chris et tandis que Sandra continue à lui agacé le clitoris, Caro s’enfonce dans le cul de Chris en lui arrachant un cri de bonheur.
C’est dans ces positions que nous jouissons toutes ensemble, Caro remplissant de sa jouissance le cul de Chris, qui prend un pied d’enfer sous les caresses de la bouche de Sandra, qui elle se déverse dans mon boyau et que je jouis sous la main branleuse de Chris.
Le soir même, Caro s’en alla en me promettant de me téléphoner, elle devait s’absenter quelques temps.
Une nouvelle fois je ressentie ce vide et je me suis dit, à ce moment là qu’un jour je ne reverrais plus Caro.

A suivre……

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