Leslie transexuelle chapitre 58
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 812 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Leslie ont reçu un total de 3 084 646 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 195 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Leslie transexuelle chapitre 58
CHAPITRE 58 – Déplacement professionnel à Paris.
A l’atelier d’architecture de Jacques, nous avons terminés le projet de villa pour un des amis et Jacques ne pouvant rendre à Paris à tenu à ce que je me rende seule à Paris pour faire la présentation et la finalisation du projet.
Le rendez-vous fut pris et je me suis rendue en TGV à Paris pour cette présentation qui ne doit pas prendre plus de deux heures, un aller et retour dans la journée rien de bien dramatique.
Jean Michel, bel homme d’une quarantaine d’années que j’ai rencontrée deux fois auparavant lors de la mise au point du projet est dirigeant d’entreprise, il m’a reçu, vers onze heures, dans son luxueux appartement, rue de la Pompe, et durant toute la présentation j’ai sentie Jean Michel plus intéressé à ma personne que par le projet en lui-même, confirmant ainsi mes premières impressions sur lui.
Jean Michel étant très proche de Jacques je ne sais pas ce que les deux amis ont échangés ensemble à mon sujet, mais le temps passe et l’attitude et les propos de Jean Michel sont sans équivoque, il est entrain de me draguer ouvertement et ne sachant pas quelle attitude adopter l’atmosphère devient vite lourde et oppressante, d’autant plus que la femme de Jean Michel est absente et que nous sommes seuls.
Nous sommes allés déjeuner dans un petit restaurant au coin de la rue près de chez Jean Michel, seul le silence étant entrecoupé par les propos de Jean Michel faisant des allusions sur les couples libertins et les échanges de partenaire, je l’écoute un peu gênée sans faire de commentaires. Après le déjeuner, nous retournons chez Jean Michel.
A notre retour, alors que je suis entrain de finir ma présentation et que Jean Michel n’a fait aucun commentaires sinon que de continuer à me complimenter sur ma beauté et du plaisir qu’il a d’être en ma compagnie, il se place derrière moi et pose ses mains sur mes hanches en se collant à moi et me dit :
- Tu sais je sais tout de toi, Jacques m’a parlé et depuis je phantasme sur toi.
Je suis confuse et tout en moi se bouscule, en un instant tout à basculer et un désir fou m’étreint et sans pudeur aucune j’ai envie de l’embrasser et de le caresser, des bouffées montent en moi et nos regards se croisent, alors il me demande :
- A quoi penses-tu, Leslie ?
Trop troublée pour répondre aucun son ne sort de ma gorge, il se colle encore plus contre moi et je sens la bosse qui déforme son pantalon se coller à mes fesses, je renverse la tête en arrière et ses lèvres se collent aux miennes et il m’embrasse fougueusement, j’entrouvre mes lèvres et sa langue vient rejoindre la mienne et tandis que nous continuons à nous embrasser il descend une main sur la bosse qui déforme désormais ma jupe, en me faisant émettre un :
- Oui.
Tout en nous embrassant et en nous caressant, il me conduit jusque dans une chambre.
Il m’enlève ma jupe et mon string, puis défait mon corsage et l’enlève aussi, je suis nue dans ses bras soumise à sa volonté, il me bascule sur le lit et debout devant moi se met nu à son tour, m’offrant en spectacle son corps et son membre dressé qu’il présente à mes lèvres.
J’approche ma bouche et lèche son gland, il gémit montrant qu’il apprécie, j’entrouvre les lèvres et lui entoure le gland, alors il me prend par les cheveux et me rentre son membre au fond de ma bouche et démarre un va et vient, me tenant par la tête Jean Michel me lime la bouche de son sexe.
Après quelques minutes il m’enlève son sexe de la bouche et dit :
- Tu aimes ça ?
- Oui, je lui répons dans un souffle.
- Alors tu vas aimer ce que je vais te faire.
Et sur ce il me retourne, me fait poser les mains sur le lit, et de ce fait je suis courbée , cambrée , le cul offert au désir de mon partenaire qui se met à me caresser la raie et passer un doigt sur l’anus, puis à me pénétrer d’un l’anus qui s’ouvre sous cette caresses experte, je pousses des petits grognements et me cambre encore plus pour lui faire part de mes désirs, je sens ses mains se positionner sur mes hanches et sa verge qui se colle à ma rondelle et qui tente de me pénétrer.
Il rentre en moi lentement et viens buter au fond de moi, je prends un pied monstrueux sous cette pénétration car sa verge de taille raisonnable ne me remplie pas moins le fondement de manière délicieuse. Je sens ses mouvements qui s’accélère s’accélèrent en moi et je gémis de plaisir sous les pénétrations qui s’enchainent, il accélère et ralentit, puis accélère encore avant de sortir entièrement pour m’empaler à nouveau, il renouvèle ainsi plusieurs fois me rendant folle et me tirant des gémissements qui n’en finissent pas.
Au bord de l’explosion il s’empale en moi au plus profond explose dans mon cul. C’est chaud et je sens sa semence me remplir avant que nous nous écroulions tout les deux sur le lit.
Nous restons ainsi quelques minutes, puis il me dit :
- Maintenant à toi de me donner du plaisir.
Sans me laisser le temps de réfléchir il se met en levrette sur le lit et il me dit :
- Défonces moi, Leslie, ne craint rien je suis bi et j’ai l’habitude.
Je l’encule en une seule fois sans effort constatant que son anus est bien dilaté et à du souvent recevoir des sexes de toutes dimensions, et je commence alors des vas et viens en lui, je sens son anus qui se contracte sur ma verge en même temps que je l’encule, j’accélère et sens que je vais venir, et je me répands en lui en longues giclées qui lui tirent des soupirs de bonheur.
Après avoir jouit de nous, nous reposons, nus côte à côte. Le temps à passé et je ne pense même pas à mon retour, d’ailleurs j’ai certainement ratée mon train et je suis si bien que je me laisse aller dans cette douce fin d’après midi auprès de mon amant du jour.
Je commence à m’assoupir quand je suis tirée de ma douce torpeur par les caresses de Jean Michel, une main sur ma poitrine agace mon téton qui durcit entre ses doigts, tandis que l’autre main explore à nouveau ma raie des fesses et qu’un doigt s’enfonce en moi. Je me cambre sous les caresses qui réveillent en moi tous mes désirs. Je me retourne sur le ventre de façon à présenter mes fesses à mon amant, qui s’en se faire prier m’enjambe et se positionne pour me sodomiser une nouvelle fois, je sens son membre raide s’incruster dans mes chairs intimes et entrer dans mon œillet lubrifié de la précédente jouissance de mon amant.
Jean Michel s’enfonce en moi doucement et je suis heureuse d’être à nouveau possédée.
Tandis que Jean Michel me possède, le téléphone se mit à sonner et sans sortir de moi Jean Michel répond, après une brève conversation Jean Michel raccroche et il me dit :
Ma femme sera là d’un moment à l’autre et te demande de rester, tu as entendu, étant très libre je lui ai expliqué la situation, elle me demande de l’attendre, elle vient avec son amant et ils veulent faire ta connaissance.
Je suis un peu ahurie par les propos de Jean Michel, son membre en moi, je lui demande :
- Tu sais qu’elle a un amant et tu le connais ?
- Oui et de plus il est aussi le mien, nous nous entendons très bien et en plus il a un beau sexe qui nous comble tous les deux.
- Ah, dis-je de plus en plus étonnée.
- Tu sais Leslie, dans la vie tout n’est pas blanc ou noir, en acceptant la situation, je rends ma femme heureuse et vit ma bisexualité avec elle, parfois Steeve ramène une copine à lui et nous faisons une petite partie où chacun de nous peut vivre ses fantasmes.
Je reste ainsi pendant de longues minutes sur le lit, allongée immobile sur le ventre et clouée par le sexe de Jean Michel au fond de mon anus, par de petites contractions de mon muscle je resserre mon anneau autour de la verge de Jean Michel qui ne bouge plus afin de bien profiter des sensations que je lui apporte, et comme dans un jeu nous restons ainsi sans bouger.
C’est ainsi que Claire, la femme de Jean Michel et Steeve, son amant, nous trouvèrent en rentrant à la maison, et devant le spectacle offert ils ne purent dire :
- Eh bien, on ne s’embête pas ici, serions nous de trop ?
- Non, dit Jean Michel trop heureux.
En un rien de temps les deux amants se retrouvent nus dans la chambre près du lit de nos ébats.
Claire est une femme mince d’environ trente ans, avec de petits seins menus et un ventre plat, son pubis est imberbe et lui donne l’apparence d’une jeune fille, un air diaphane émane d’elle et sa minceur lui donne un air de fragilité, mais cette impression s’estompe vite quand on regarde le corps de son amant, cet homme de trente ans au corps musclé possède un sexe qui au repos promet d’être imposant en érection, et le corps frêle de Claire accepte certainement ce membre dans tous ses orifices, mon corps se met à frémir en y pensant.
D’ailleurs, Claire sans se faire prier, se met à genoux devant son amant et se met à le sucer, le prenant dans sa petite bouche étroite aux lèvres fines, Steeve ne tarde pas à avoir une jolie érection à faire pâlir plus d’un homme, le sexe de Steeve est monstrueux et déforme la petite bouche de Claire qui n’en prend pas moins de plaisir à sucer son amant, et je comprends alors pourquoi je n’ai eue aucun mal pour sodomiser Jean Michel.
Steeve quitte la bouche de Claire et se positionne à la tête du lit et approche son membre de ma bouche, et tandis que Jean Michel toujours profondément ancré dans mon anus commence des allers et retours, j’administre à Steeve une fellation.
Claire pendant ce temps se met à quatre pattes sur la moquette et cambrée, le cul en l’air attend patiemment qu’un sexe vienne la posséder. Jean Michel va rejoindre sa compagne faisant place à Steeve pour m’investir le cul.
Steeve se positionne à la place de Jean Michel, me soulève les reins pour me relever les fesses, tandis que Claire se fait investir le cul par Jean Michel, je sens le membre long et chaud de Steeve qui entre en moi, j’ai mal mais c’est bon, l’énorme pieu de Steeve me distend les chairs, il s’enfonce lentement en moi d’une seule poussée jusqu’à venir buté au fond de mes entrailles, puis il commence à faire quelques va et vient et se retire entièrement, puis me reprend d’un coup, ses coups de butoirs me coupent le souffle.
Nous changeons de position et je vais investir le cul de Jean Michel qui sodomise Claire, tandis que Steeve me reprend à son tour le cul, ainsi embrochés tous les quatre nous nous sommes répandus, à tour de rôle, dans l’intimité de nos partenaires.
Après s’être séparés, tandis que Jean Michel et Steeve s’allongent sur le lit en 69 pour se sucer mutuellement, je regarde Claire avec envie, son physique m’attire terriblement car la minceur de son corps, qui lui donne l’air de fragilité, me fait bander, Claire s’en aperçoit et vient près de moi et entame de sa petite bouche une douce fellation sur mon membre déjà raide d’envie, au bout d’un moment se mettant en levrette sur la moquette, elle me dit .
- A ton tour Leslie, encule-moi.
Je me positionne entre ses jambes et sodomise Claire.
Le petit cul de Claire est serré et je prends un plaisir immense au fond de ce petit cul accueillant, d’autant plus que Claire joue de ses muscles intimes pour enserrer encore plus mon membre qui va et vient en elle. Le fourreau de Claire est doux et soyeux et d’après les gémissements émis, Claire apprécie de se faire sodomiser.
Pendant ce temps, Steeve sodomise Jean Michel pendant une bonne dizaine de minutes, le faisant feuler telle une femme en chaleur, puis échangeant les positions c’est au tour de Jean Michel de profiter du cul de Steeve, les deux amants d’entendent bien et paraissent très complices du fait d’une longue habitude et d’une grande complicité, les gémissements des deux hommes remplissent la chambre.
C’est à ce moment je sens mon plaisir monté et ne peux me retenir, après quelques coups de butoirs, je jouis dans le cul de Claire.
C’est une nouvelle fois Steeve qui encule Jean Michel, les va et vient sont puissants et font gueuler Jean Michel de plaisir, puis
Steeve se dégage entièrement et pousse une nouvelle fois son membre en Jean Michel pour le prendre d'un coup sec, se crispe et se répand en lui dans un long grognement de jouissance.
Nous avons fait l'amour à plusieurs reprises jusque tard dans la nuit, Claire s’équipant même d’un gode ceinture pour nous sodomiser à tour de rôle, son amant y compris, puis désira que je la sodomise pendant que Jean Michel se faisait bourrer le cul par Steeve, à la fin les cris de Claire se faisant enculer, à nouveau, par Steeve, pendant que je le sodomisais, remplirent le silence de la nuit, avant que nous nous endormions ivres de jouissance et le cul défoncé.
A suivre……
A l’atelier d’architecture de Jacques, nous avons terminés le projet de villa pour un des amis et Jacques ne pouvant rendre à Paris à tenu à ce que je me rende seule à Paris pour faire la présentation et la finalisation du projet.
Le rendez-vous fut pris et je me suis rendue en TGV à Paris pour cette présentation qui ne doit pas prendre plus de deux heures, un aller et retour dans la journée rien de bien dramatique.
Jean Michel, bel homme d’une quarantaine d’années que j’ai rencontrée deux fois auparavant lors de la mise au point du projet est dirigeant d’entreprise, il m’a reçu, vers onze heures, dans son luxueux appartement, rue de la Pompe, et durant toute la présentation j’ai sentie Jean Michel plus intéressé à ma personne que par le projet en lui-même, confirmant ainsi mes premières impressions sur lui.
Jean Michel étant très proche de Jacques je ne sais pas ce que les deux amis ont échangés ensemble à mon sujet, mais le temps passe et l’attitude et les propos de Jean Michel sont sans équivoque, il est entrain de me draguer ouvertement et ne sachant pas quelle attitude adopter l’atmosphère devient vite lourde et oppressante, d’autant plus que la femme de Jean Michel est absente et que nous sommes seuls.
Nous sommes allés déjeuner dans un petit restaurant au coin de la rue près de chez Jean Michel, seul le silence étant entrecoupé par les propos de Jean Michel faisant des allusions sur les couples libertins et les échanges de partenaire, je l’écoute un peu gênée sans faire de commentaires. Après le déjeuner, nous retournons chez Jean Michel.
A notre retour, alors que je suis entrain de finir ma présentation et que Jean Michel n’a fait aucun commentaires sinon que de continuer à me complimenter sur ma beauté et du plaisir qu’il a d’être en ma compagnie, il se place derrière moi et pose ses mains sur mes hanches en se collant à moi et me dit :
- Tu sais je sais tout de toi, Jacques m’a parlé et depuis je phantasme sur toi.
Je suis confuse et tout en moi se bouscule, en un instant tout à basculer et un désir fou m’étreint et sans pudeur aucune j’ai envie de l’embrasser et de le caresser, des bouffées montent en moi et nos regards se croisent, alors il me demande :
- A quoi penses-tu, Leslie ?
Trop troublée pour répondre aucun son ne sort de ma gorge, il se colle encore plus contre moi et je sens la bosse qui déforme son pantalon se coller à mes fesses, je renverse la tête en arrière et ses lèvres se collent aux miennes et il m’embrasse fougueusement, j’entrouvre mes lèvres et sa langue vient rejoindre la mienne et tandis que nous continuons à nous embrasser il descend une main sur la bosse qui déforme désormais ma jupe, en me faisant émettre un :
- Oui.
Tout en nous embrassant et en nous caressant, il me conduit jusque dans une chambre.
Il m’enlève ma jupe et mon string, puis défait mon corsage et l’enlève aussi, je suis nue dans ses bras soumise à sa volonté, il me bascule sur le lit et debout devant moi se met nu à son tour, m’offrant en spectacle son corps et son membre dressé qu’il présente à mes lèvres.
J’approche ma bouche et lèche son gland, il gémit montrant qu’il apprécie, j’entrouvre les lèvres et lui entoure le gland, alors il me prend par les cheveux et me rentre son membre au fond de ma bouche et démarre un va et vient, me tenant par la tête Jean Michel me lime la bouche de son sexe.
Après quelques minutes il m’enlève son sexe de la bouche et dit :
- Tu aimes ça ?
- Oui, je lui répons dans un souffle.
- Alors tu vas aimer ce que je vais te faire.
Et sur ce il me retourne, me fait poser les mains sur le lit, et de ce fait je suis courbée , cambrée , le cul offert au désir de mon partenaire qui se met à me caresser la raie et passer un doigt sur l’anus, puis à me pénétrer d’un l’anus qui s’ouvre sous cette caresses experte, je pousses des petits grognements et me cambre encore plus pour lui faire part de mes désirs, je sens ses mains se positionner sur mes hanches et sa verge qui se colle à ma rondelle et qui tente de me pénétrer.
Il rentre en moi lentement et viens buter au fond de moi, je prends un pied monstrueux sous cette pénétration car sa verge de taille raisonnable ne me remplie pas moins le fondement de manière délicieuse. Je sens ses mouvements qui s’accélère s’accélèrent en moi et je gémis de plaisir sous les pénétrations qui s’enchainent, il accélère et ralentit, puis accélère encore avant de sortir entièrement pour m’empaler à nouveau, il renouvèle ainsi plusieurs fois me rendant folle et me tirant des gémissements qui n’en finissent pas.
Au bord de l’explosion il s’empale en moi au plus profond explose dans mon cul. C’est chaud et je sens sa semence me remplir avant que nous nous écroulions tout les deux sur le lit.
Nous restons ainsi quelques minutes, puis il me dit :
- Maintenant à toi de me donner du plaisir.
Sans me laisser le temps de réfléchir il se met en levrette sur le lit et il me dit :
- Défonces moi, Leslie, ne craint rien je suis bi et j’ai l’habitude.
Je l’encule en une seule fois sans effort constatant que son anus est bien dilaté et à du souvent recevoir des sexes de toutes dimensions, et je commence alors des vas et viens en lui, je sens son anus qui se contracte sur ma verge en même temps que je l’encule, j’accélère et sens que je vais venir, et je me répands en lui en longues giclées qui lui tirent des soupirs de bonheur.
Après avoir jouit de nous, nous reposons, nus côte à côte. Le temps à passé et je ne pense même pas à mon retour, d’ailleurs j’ai certainement ratée mon train et je suis si bien que je me laisse aller dans cette douce fin d’après midi auprès de mon amant du jour.
Je commence à m’assoupir quand je suis tirée de ma douce torpeur par les caresses de Jean Michel, une main sur ma poitrine agace mon téton qui durcit entre ses doigts, tandis que l’autre main explore à nouveau ma raie des fesses et qu’un doigt s’enfonce en moi. Je me cambre sous les caresses qui réveillent en moi tous mes désirs. Je me retourne sur le ventre de façon à présenter mes fesses à mon amant, qui s’en se faire prier m’enjambe et se positionne pour me sodomiser une nouvelle fois, je sens son membre raide s’incruster dans mes chairs intimes et entrer dans mon œillet lubrifié de la précédente jouissance de mon amant.
Jean Michel s’enfonce en moi doucement et je suis heureuse d’être à nouveau possédée.
Tandis que Jean Michel me possède, le téléphone se mit à sonner et sans sortir de moi Jean Michel répond, après une brève conversation Jean Michel raccroche et il me dit :
Ma femme sera là d’un moment à l’autre et te demande de rester, tu as entendu, étant très libre je lui ai expliqué la situation, elle me demande de l’attendre, elle vient avec son amant et ils veulent faire ta connaissance.
Je suis un peu ahurie par les propos de Jean Michel, son membre en moi, je lui demande :
- Tu sais qu’elle a un amant et tu le connais ?
- Oui et de plus il est aussi le mien, nous nous entendons très bien et en plus il a un beau sexe qui nous comble tous les deux.
- Ah, dis-je de plus en plus étonnée.
- Tu sais Leslie, dans la vie tout n’est pas blanc ou noir, en acceptant la situation, je rends ma femme heureuse et vit ma bisexualité avec elle, parfois Steeve ramène une copine à lui et nous faisons une petite partie où chacun de nous peut vivre ses fantasmes.
Je reste ainsi pendant de longues minutes sur le lit, allongée immobile sur le ventre et clouée par le sexe de Jean Michel au fond de mon anus, par de petites contractions de mon muscle je resserre mon anneau autour de la verge de Jean Michel qui ne bouge plus afin de bien profiter des sensations que je lui apporte, et comme dans un jeu nous restons ainsi sans bouger.
C’est ainsi que Claire, la femme de Jean Michel et Steeve, son amant, nous trouvèrent en rentrant à la maison, et devant le spectacle offert ils ne purent dire :
- Eh bien, on ne s’embête pas ici, serions nous de trop ?
- Non, dit Jean Michel trop heureux.
En un rien de temps les deux amants se retrouvent nus dans la chambre près du lit de nos ébats.
Claire est une femme mince d’environ trente ans, avec de petits seins menus et un ventre plat, son pubis est imberbe et lui donne l’apparence d’une jeune fille, un air diaphane émane d’elle et sa minceur lui donne un air de fragilité, mais cette impression s’estompe vite quand on regarde le corps de son amant, cet homme de trente ans au corps musclé possède un sexe qui au repos promet d’être imposant en érection, et le corps frêle de Claire accepte certainement ce membre dans tous ses orifices, mon corps se met à frémir en y pensant.
D’ailleurs, Claire sans se faire prier, se met à genoux devant son amant et se met à le sucer, le prenant dans sa petite bouche étroite aux lèvres fines, Steeve ne tarde pas à avoir une jolie érection à faire pâlir plus d’un homme, le sexe de Steeve est monstrueux et déforme la petite bouche de Claire qui n’en prend pas moins de plaisir à sucer son amant, et je comprends alors pourquoi je n’ai eue aucun mal pour sodomiser Jean Michel.
Steeve quitte la bouche de Claire et se positionne à la tête du lit et approche son membre de ma bouche, et tandis que Jean Michel toujours profondément ancré dans mon anus commence des allers et retours, j’administre à Steeve une fellation.
Claire pendant ce temps se met à quatre pattes sur la moquette et cambrée, le cul en l’air attend patiemment qu’un sexe vienne la posséder. Jean Michel va rejoindre sa compagne faisant place à Steeve pour m’investir le cul.
Steeve se positionne à la place de Jean Michel, me soulève les reins pour me relever les fesses, tandis que Claire se fait investir le cul par Jean Michel, je sens le membre long et chaud de Steeve qui entre en moi, j’ai mal mais c’est bon, l’énorme pieu de Steeve me distend les chairs, il s’enfonce lentement en moi d’une seule poussée jusqu’à venir buté au fond de mes entrailles, puis il commence à faire quelques va et vient et se retire entièrement, puis me reprend d’un coup, ses coups de butoirs me coupent le souffle.
Nous changeons de position et je vais investir le cul de Jean Michel qui sodomise Claire, tandis que Steeve me reprend à son tour le cul, ainsi embrochés tous les quatre nous nous sommes répandus, à tour de rôle, dans l’intimité de nos partenaires.
Après s’être séparés, tandis que Jean Michel et Steeve s’allongent sur le lit en 69 pour se sucer mutuellement, je regarde Claire avec envie, son physique m’attire terriblement car la minceur de son corps, qui lui donne l’air de fragilité, me fait bander, Claire s’en aperçoit et vient près de moi et entame de sa petite bouche une douce fellation sur mon membre déjà raide d’envie, au bout d’un moment se mettant en levrette sur la moquette, elle me dit .
- A ton tour Leslie, encule-moi.
Je me positionne entre ses jambes et sodomise Claire.
Le petit cul de Claire est serré et je prends un plaisir immense au fond de ce petit cul accueillant, d’autant plus que Claire joue de ses muscles intimes pour enserrer encore plus mon membre qui va et vient en elle. Le fourreau de Claire est doux et soyeux et d’après les gémissements émis, Claire apprécie de se faire sodomiser.
Pendant ce temps, Steeve sodomise Jean Michel pendant une bonne dizaine de minutes, le faisant feuler telle une femme en chaleur, puis échangeant les positions c’est au tour de Jean Michel de profiter du cul de Steeve, les deux amants d’entendent bien et paraissent très complices du fait d’une longue habitude et d’une grande complicité, les gémissements des deux hommes remplissent la chambre.
C’est à ce moment je sens mon plaisir monté et ne peux me retenir, après quelques coups de butoirs, je jouis dans le cul de Claire.
C’est une nouvelle fois Steeve qui encule Jean Michel, les va et vient sont puissants et font gueuler Jean Michel de plaisir, puis
Steeve se dégage entièrement et pousse une nouvelle fois son membre en Jean Michel pour le prendre d'un coup sec, se crispe et se répand en lui dans un long grognement de jouissance.
Nous avons fait l'amour à plusieurs reprises jusque tard dans la nuit, Claire s’équipant même d’un gode ceinture pour nous sodomiser à tour de rôle, son amant y compris, puis désira que je la sodomise pendant que Jean Michel se faisait bourrer le cul par Steeve, à la fin les cris de Claire se faisant enculer, à nouveau, par Steeve, pendant que je le sodomisais, remplirent le silence de la nuit, avant que nous nous endormions ivres de jouissance et le cul défoncé.
A suivre……
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Leslie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...