Leslie, transexuellechapitre 6
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2008 dans la catégorie Fétichisme
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Leslie, transexuellechapitre 6
CHAPITRE 06 –Ma transformation.
Incontournable : l’épilation.
Jacques et Chris, à ma grande joie voulurent aussi que je me fasse épiler de façon définitive, et Jacques m’emmena dans un institut spécialisé où Mathilde, une esthéticienne de sa connaissance, bisexuelle et certainement ancienne amante de Jacques. Il me confia que cela ne l’étonnerait pas qu’elle soit attirée par mon anatomie à un certain moment du traitement, mais que ce n’était pas le but de notre visite.
Arrivée au salon je fus prise en charge par une hôtesse qui m’expliqua comment allait se dérouler mon épilation, puis je fus installée, entièrement nue dans un petit salon ou mon hôtesse m’allongea sur une table de massage.
Une femme entra quelques instants plus tard.
- Bonjour Leslie, je suis Mathilde.
Mathilde est une belle femme d'une trentaine d'années, sa nudité recouverte d’une simple blouse blanche transparente, ses seins révélés au travers du tissu sont magnifiques, et son pubis est complètement glabre.
Mathilde m’expliqua que l’épilation définitive se déroulerait sur plusieurs séances et que cela durerait sur plusieurs semaines et que seule la patience donnerait de bons résultats.
Lors des premières séances, Mathilde, tout en pratiquant son art, fit la conversation et nous parlâmes sachant que j’étais un homme du pourquoi d’une épilation totale sur tout le corps, mes explications sur mon dégoût des poils ne la convainquirent pas entièrement et il fallut parler de ma transformation et de mon désir de devenir transsexuelle, alors qu’elle s’occupait de mon visage pour commencer.
Puis, lors des séances suivantes, ce fut les aisselles et les bras, puis les jambes, puis peu de temps plus tard arrivant en haut de mes cuisses, elle fut subjuguée par mon anatomie, les yeux remplis de convoitise, Mathilde me fit savoir qu’un engin pareil devait être consommé sur le champ et joignant le geste à la parole, elle plaqua ma bite sur mon ventre avec sa main, et commença à me lécher doucement entre les couilles. Elle les prenait l'une après l'autre dans sa bouche, alternait, puis remontait le long de ma bite avec la pointe de sa langue, jusqu'au gland désormais écarlate de plaisir. Mon sexe se fit rapidement raide et dur sous les caresses de cette experte.
Elle m'administra une magistrale fellation, tout en prenant mon gland entre ses lèvres, elle caressait mes couilles, mon gland coulissait entre ses lèvres, sa langue descendait le long de ma bite, revenait plus haut, redescendait. Elle avalait ma bite sur toute sa longueur.
Sa main s'aventura alors entre mes fesses et c'est bien volontiers que je lui facilitais le passage, son doigt jouait à l'entrée de mon anus, elle suça son doigt, m'écarta doucement les fesses, et titillait mon anus habitué à ce plaisir. Voyant le chemin ouvert elle se plaça entre mes cuisses, prenant d'une main ma queue pour la tenir fermement, elle se mit à me lécher fougueusement le cul, sa langue pénétrant dans mon anus. Sans crier gare, elle se remit en position, et de remit à me sucer à rythme soutenu, tout en me branlant d'une main et en me caressant les couilles et les fesses de l'autre. Elle sentait que j'allais venir replongea sur mon sexe avec sa bouche, accéléra et elle m'enfonça son majeur dans le cul, me faisant éjaculer tout ce que je pouvais donner, continua de me sucer sans faiblir jusqu'à la dernière goutte.
- Pour aujourd’hui nous n’irons pas plus loin, mais dès la prochaine séance je veux que tu t’occupes bien de moi.
Lors de la séance suivante, Mathilde m’attend avec une certaine impatience et dès que la porte fut fermée, elle laisse tomber sa blouse et se retrouve nue devant moi, elle ne s'embarrasse pas de préliminaires et va directement s'agenouiller sur le fauteuil de son cabinet en me tendant son cul, et me dit :
- Approches-toi et montres-moi si tu aimes mon petit cul. J'ai envie de ta langue dans ma raie.
Au moins c'est clair. Elle écarte ses fesses et me présente son petit trou brun. À genoux derrière elle je glisse ma langue dedans. J'enfonce la pointe de la langue, elle a l'air d'apprécier. Elle pousse son cul vers moi, elle m'encourage à aller plus loin.
Je comprends bientôt qu'il faut que je rajoute un doigt. Il rentre dans son œillet comme dans du beurre. Un doigt d’abord, puis un deuxième, son anneau semble très souple.
- Branle-moi le cul avec tes doigts, j'aime qu'on s'occupe de mon cul ! me dit-elle.
Mathilde, je ne la reconnais plus, elle est une vraie obsédée qui ne parle que de son petit trou.
Deux doigts elle glousse, et un troisième son petit trou s’ouvre encore et elle commence à gémir, son petit trou je l'assouplis, je le prépare :
- Vas-y, encules moi avec ta grosse tige, me dit-elle.
Je rentre sans trop forcer, entièrement, jusqu'à la garde. Je suis accueilli par un « Humm » de reconnaissance. Elle à l'air d’aimer ça, son visage ne montre rien, elle reste sereine sur le coussin, alors j'y vais de bon cœur dans ses entrailles. Je la pilonne, je la martèle. Elle commence par gémir, elle finit par crier. Elle me sent venir, elle jouit en même temps que moi.
Ensuite elle se dégage. Je vois le gros trou que j'ai fait à son cul. Je trouve ça excitant de la voir ainsi percée.
Et avec l'autre main je frotte sa chatte imberbe. Elle n'en peut plus, elle crie de toutes ses forces, une jouissance inhumaine sort de ses entrailles.
- Humm, tu aimes m'éclater le cul ? Me demande Mathilde, repue.
- Oui et t'es vraiment obscène avec ton cul percé
- Alors vas-y, recommence, j'ai encore envie de ta bite en moi.
Cette fois-ci, je l'installe sur le dos.
- J'aime me faire enculer ! Crie-t-elle bien fort.
Je la bourre bien fort. Elle me regarde avec des yeux particulièrement lubriques. Elle en veut encore, j'accélère la cadence, je lui explose l'anus. Encore dix bonnes minutes et je m'épanche en elle.
Je passais donc de longues séances chez cette très belle femme, déroutante parfois, qui avec son laser me laissa, de séance en séance de plus en plus imberbe, de la tête jusqu’aux pieds.
Les séances se suivent et à chaque séance j’affiche de belles érection qui nous donnent l’occasion d’aller plus loin ensemble, elle à voulue tout connaître et chaque fois prend un orgasme fabuleux, ses cris remplissent le salon et c’est avec un vrai plaisir que je m’exécute lorsqu’elle me demande à chaque séance et comme la première fois de la sodomiser.
De plus je suis certaine qu’elle à pris un pied terrible quand elle m’a épilée l’anus, car elle fait des commentaires sur mes réactions, faisant dresser mon sexe devant elle, alors comme pour me calmer, tout en caressant mon anneau, elle me suce, prenant bien soin de ne pas me faire jouir.
Les séances se suivent ainsi pendant plusieurs semaines, m’amenant de plus en plus à être de plus en plus lisse sur tout le corps, je suis vraiment ravie du résultat.
Je me souviens aussi que lors d’une séance un collègue à elle était présent, elle m’expliqua qu’il était intéressé par l’épilation intégrale, mais qu’il n’en avait jamais pratiqué, alors il était là pour se rendre compte, je pense plutôt qu’elle lui avait parlée de moi et qu’il s’intéressait plus à mon cul, qu’à l’épilation.
Lors de cette séance, alors qu’elle termine l’épilation de mon anus, je remarque l’agitation de son collègue, car tout en m’épilant cette salope m’avait fourrée son pouce dans le cul provoquant sur moi une belle érection, elle se mit sur le côté et me prit dans sa bouche, la position indécente que j’offrais devait être sans équivoque, les jambes en l’air et le cul offert, il dégrafa son pantalon d’où sortit sa bite gonflée et raide, puis se plaçant entre mes jambes, le sexe à la hauteur de mon trou, il m’enficha le trou d’un trait avec sa queue fine et courbée, me tirant un cri, il m’enculait à sec le salaud, et je pense que Mathilde avait tout manigancée, pendant qu’il me limait, elle redoubla d’ardeurs sur ma tige et je lui remplit la bouche pendant qu’il me remplissait le cul.
Avant de partir, Mathilde me dit qu’il me faudrait revenir de temps en temps de façon régulière afin d’enlever les derniers poils qui pourraient repoussés, cela ne prendrait pas trop de temps mais c’était la condition essentielle pour garder une épilation parfaite.
Plusieurs mois plus tard mon corps était glabre de partout et ne présentait plus aucun poil à ma grande satisfaction.
Ma féminisation.
Mathilde étant bisexuelle je ne fus pas étonnée quand elle me fit connaître une amie à elle, docteur, avec qui elle avait certainement du parler de mes attributs et lui demanda de me prendre en charge pour me développer ma poitrine.
Depuis toujours je rêvais d’avoir une petite poitrine, car je trouve les petites poitrines plus arrogantes que les grosses, une poitrine petite pour garder ce côté androgyne et ambiguë que j’avais naturellement, mais juste ce qu’il faut pour que mes partenaires puissent jouer avec pendant nos ébats amoureux.
Alors, Sophie, me conseilla de prendre des hormones et de faire un suivi, afin d’arrêter le moment voulu. Je pris les hormones prescrites avec une joie non dissimulée en pensant à ma future poitrine.
Les hormones firent l’effet attendu, mais pendant le suivi avec Sophie non seulement elle suivait ma poitrine, mais, attirée par mon physique et mon côté masculin, elle s’occupait ardemment de mon sexe, et le suivi se passa comme avec mon esthéticienne.
Ce qui fit que Mathilde, et les visites médicales se terminaient chaque fois en séances de cul, Mathilde ne se plaignais pas de la chose car les deux femmes complices étaient aussi salopes l’une que l’autre.
Grâce à Mathilde et Sophie, en l’absence de ma Chris chérie, ma vie sexuelle à ce moment fut des mieux remplie près de ces femmes, le côté face, active pour elles, dans les bras de l’une ou dans les bras de l’autre, et dans la chatte de chacune d’elle au gré des séances et à la maison avec Jacques qui s’occupait très bien du côté pile, étant passive avec lui.
Lorsque l’épilation et les hormones furent terminées, j’étais glabre entièrement, lisse sur toute la surface de mon corps et possédait une poitrine arrogante d’un 80B qui me ravissait, mes larges auréoles brunes étant mises en valeur par cette petite poitrine qui serait la mienne désormais et les tétons dressés sur deux globes bien fermes.
Nous fêtâmes ensemble, Mathilde et Sophie, accompagnée de Jacques, cette fin de transformation réussie, soirée que nous avons terminés tous les quatre dans un même lit le soir même dans une complicité et un respect intense, chacun suçant tout ce qui passait à la portée de ses lèvres, sexes natures et sexes latex étaient de la fête cette nuit là, afin que chacun de nous les joies de donner ou de recevoir suivant l’instant, Mathilde et Sophie voulurent me sodomiser avec un gode ceinture, ce qu’elle firent avec application, puis voulurent se faire sodomiser à tour de rôle par Jacques et par moi-même, enfin chacun donna ou pris dans chacun de ses trous quelque chose et à aucun moment un trou fut laissé disponible, mais l’image dont j’ai le souvenir est celui ou chacune embrochée par la chatte avec un double dong, et pendant qu’elles s’embrassaient à pleines bouches, nous les sodomisions comme des forcenés laissant leurs anus largement ouverts par nos intromissions répétitives.
La transition.
Je sortais habillée en fille, j’allais ainsi au cabinet et dans la rue personne ne s’apercevais de la supercherie, j’étais aux anges et pensais secrètement aux fabuleuses années à venir. Je sortais seule parfois allant en boite ou simplement me promener sous les étoiles de la nuit au volant du cabriolet de Jacques, me faisant siffler et complimenter par les piétons, comme il est souvent dit : « je ne laissais pas indifférente ».
Jacques allais avec moi pour choisir mes tenues et commentais le plus possible mon maquillage, et mes tenue rectifiant un petit rien pour être encore plus désirable, comme aujourd’hui je portais les cheveux courts, style garçonne, et pour me changer de look il m’offrit ma première perruque blonde aux cheveux longs et mes premières cuissardes noires. Il voulut les entraîner dès le soir même, c’est ainsi qu’en blonde les cheveux à mi dos, entièrement nue en cuissardes appuyées sur les accoudoirs du salon et lui tournant le dos, il me sodomisa tel un forcené en me disant que j’étais bonne….
Pendant cette année là, Jacques prépara mes parents à l’horrible nouvelle, mais comme ils le dirent puisque mon choix était celui-ci, ils ne voyaient pas d’inconvénient, sauf celui de venir traîner près de chez eux dans ma nouvelle apparence et mettre en cause leur respectabilité, ce qui secrètement me mis en joie car le bonheur auprès de Jacques était total.
L’année de mes 19 ans avait été fabuleusement remplie, maintenant que j’avais une petite poitrine et un corps entièrement épilé, je me sentais vraiment moi-même, je savais aussi que désormais je pourrais toujours vivre en femme.
Chris revint de son voyage d’études et me trouva transformée, elle me complimenta sur mon physique, et nous firent l’amour tout un week-end, ne sortant de la chambre que pour nous restaurer et nous baigner dans la piscine, j’en profitais pour lui conter les mois passés sans elle, nos retrouvailles furent merveilleuses et remplis de cris de plaisir.
L’arrivée de Val, à la fin de ses études, remplit la maison de joie et de bonheur, je retrouvais ma sœur et pouvais lui confier mes secrets, puis Val s’installa, peu de temps après, en ville et devint pendant quelques temps l’amante de Jacques, elle supportait de moins en moins le fait d’être ma sœur et de ne pouvoir vivre des aventure avec moi, alors nos rencontres furent de moins en moins fréquentes, et après avoir démissionnée du cabinet, elle s’en alla s’installer à Marseille.
Chris et Jacques s’occupaient de moi et me choyaient au maximum, mes nuits en trio entre Chris et Jacques étaient bien remplies, comme celles avec Chris mon amante, nous faisions l’amour aussi souvent que nous le pouvions, Chris était heureuse de me retrouver épilée intégralement et avec ma petite poitrine qu’elle adorait, en plus elle avait ramenée avec elle des accessoires qui amenaient un plus dans nos rapports amoureux, et tout particulièrement un gode ceinture dont elle se servait avec moi, ainsi elle me donnait le change en me sodomisant.
Certaines fois, Jacques se joignait à nous et nous faisions des trios sexuels.
Mais maintenant il me fallait savoir l’effet que je pourrais produire seule, il me faillait faire des rencontres.
A suivre……
Incontournable : l’épilation.
Jacques et Chris, à ma grande joie voulurent aussi que je me fasse épiler de façon définitive, et Jacques m’emmena dans un institut spécialisé où Mathilde, une esthéticienne de sa connaissance, bisexuelle et certainement ancienne amante de Jacques. Il me confia que cela ne l’étonnerait pas qu’elle soit attirée par mon anatomie à un certain moment du traitement, mais que ce n’était pas le but de notre visite.
Arrivée au salon je fus prise en charge par une hôtesse qui m’expliqua comment allait se dérouler mon épilation, puis je fus installée, entièrement nue dans un petit salon ou mon hôtesse m’allongea sur une table de massage.
Une femme entra quelques instants plus tard.
- Bonjour Leslie, je suis Mathilde.
Mathilde est une belle femme d'une trentaine d'années, sa nudité recouverte d’une simple blouse blanche transparente, ses seins révélés au travers du tissu sont magnifiques, et son pubis est complètement glabre.
Mathilde m’expliqua que l’épilation définitive se déroulerait sur plusieurs séances et que cela durerait sur plusieurs semaines et que seule la patience donnerait de bons résultats.
Lors des premières séances, Mathilde, tout en pratiquant son art, fit la conversation et nous parlâmes sachant que j’étais un homme du pourquoi d’une épilation totale sur tout le corps, mes explications sur mon dégoût des poils ne la convainquirent pas entièrement et il fallut parler de ma transformation et de mon désir de devenir transsexuelle, alors qu’elle s’occupait de mon visage pour commencer.
Puis, lors des séances suivantes, ce fut les aisselles et les bras, puis les jambes, puis peu de temps plus tard arrivant en haut de mes cuisses, elle fut subjuguée par mon anatomie, les yeux remplis de convoitise, Mathilde me fit savoir qu’un engin pareil devait être consommé sur le champ et joignant le geste à la parole, elle plaqua ma bite sur mon ventre avec sa main, et commença à me lécher doucement entre les couilles. Elle les prenait l'une après l'autre dans sa bouche, alternait, puis remontait le long de ma bite avec la pointe de sa langue, jusqu'au gland désormais écarlate de plaisir. Mon sexe se fit rapidement raide et dur sous les caresses de cette experte.
Elle m'administra une magistrale fellation, tout en prenant mon gland entre ses lèvres, elle caressait mes couilles, mon gland coulissait entre ses lèvres, sa langue descendait le long de ma bite, revenait plus haut, redescendait. Elle avalait ma bite sur toute sa longueur.
Sa main s'aventura alors entre mes fesses et c'est bien volontiers que je lui facilitais le passage, son doigt jouait à l'entrée de mon anus, elle suça son doigt, m'écarta doucement les fesses, et titillait mon anus habitué à ce plaisir. Voyant le chemin ouvert elle se plaça entre mes cuisses, prenant d'une main ma queue pour la tenir fermement, elle se mit à me lécher fougueusement le cul, sa langue pénétrant dans mon anus. Sans crier gare, elle se remit en position, et de remit à me sucer à rythme soutenu, tout en me branlant d'une main et en me caressant les couilles et les fesses de l'autre. Elle sentait que j'allais venir replongea sur mon sexe avec sa bouche, accéléra et elle m'enfonça son majeur dans le cul, me faisant éjaculer tout ce que je pouvais donner, continua de me sucer sans faiblir jusqu'à la dernière goutte.
- Pour aujourd’hui nous n’irons pas plus loin, mais dès la prochaine séance je veux que tu t’occupes bien de moi.
Lors de la séance suivante, Mathilde m’attend avec une certaine impatience et dès que la porte fut fermée, elle laisse tomber sa blouse et se retrouve nue devant moi, elle ne s'embarrasse pas de préliminaires et va directement s'agenouiller sur le fauteuil de son cabinet en me tendant son cul, et me dit :
- Approches-toi et montres-moi si tu aimes mon petit cul. J'ai envie de ta langue dans ma raie.
Au moins c'est clair. Elle écarte ses fesses et me présente son petit trou brun. À genoux derrière elle je glisse ma langue dedans. J'enfonce la pointe de la langue, elle a l'air d'apprécier. Elle pousse son cul vers moi, elle m'encourage à aller plus loin.
Je comprends bientôt qu'il faut que je rajoute un doigt. Il rentre dans son œillet comme dans du beurre. Un doigt d’abord, puis un deuxième, son anneau semble très souple.
- Branle-moi le cul avec tes doigts, j'aime qu'on s'occupe de mon cul ! me dit-elle.
Mathilde, je ne la reconnais plus, elle est une vraie obsédée qui ne parle que de son petit trou.
Deux doigts elle glousse, et un troisième son petit trou s’ouvre encore et elle commence à gémir, son petit trou je l'assouplis, je le prépare :
- Vas-y, encules moi avec ta grosse tige, me dit-elle.
Je rentre sans trop forcer, entièrement, jusqu'à la garde. Je suis accueilli par un « Humm » de reconnaissance. Elle à l'air d’aimer ça, son visage ne montre rien, elle reste sereine sur le coussin, alors j'y vais de bon cœur dans ses entrailles. Je la pilonne, je la martèle. Elle commence par gémir, elle finit par crier. Elle me sent venir, elle jouit en même temps que moi.
Ensuite elle se dégage. Je vois le gros trou que j'ai fait à son cul. Je trouve ça excitant de la voir ainsi percée.
Et avec l'autre main je frotte sa chatte imberbe. Elle n'en peut plus, elle crie de toutes ses forces, une jouissance inhumaine sort de ses entrailles.
- Humm, tu aimes m'éclater le cul ? Me demande Mathilde, repue.
- Oui et t'es vraiment obscène avec ton cul percé
- Alors vas-y, recommence, j'ai encore envie de ta bite en moi.
Cette fois-ci, je l'installe sur le dos.
- J'aime me faire enculer ! Crie-t-elle bien fort.
Je la bourre bien fort. Elle me regarde avec des yeux particulièrement lubriques. Elle en veut encore, j'accélère la cadence, je lui explose l'anus. Encore dix bonnes minutes et je m'épanche en elle.
Je passais donc de longues séances chez cette très belle femme, déroutante parfois, qui avec son laser me laissa, de séance en séance de plus en plus imberbe, de la tête jusqu’aux pieds.
Les séances se suivent et à chaque séance j’affiche de belles érection qui nous donnent l’occasion d’aller plus loin ensemble, elle à voulue tout connaître et chaque fois prend un orgasme fabuleux, ses cris remplissent le salon et c’est avec un vrai plaisir que je m’exécute lorsqu’elle me demande à chaque séance et comme la première fois de la sodomiser.
De plus je suis certaine qu’elle à pris un pied terrible quand elle m’a épilée l’anus, car elle fait des commentaires sur mes réactions, faisant dresser mon sexe devant elle, alors comme pour me calmer, tout en caressant mon anneau, elle me suce, prenant bien soin de ne pas me faire jouir.
Les séances se suivent ainsi pendant plusieurs semaines, m’amenant de plus en plus à être de plus en plus lisse sur tout le corps, je suis vraiment ravie du résultat.
Je me souviens aussi que lors d’une séance un collègue à elle était présent, elle m’expliqua qu’il était intéressé par l’épilation intégrale, mais qu’il n’en avait jamais pratiqué, alors il était là pour se rendre compte, je pense plutôt qu’elle lui avait parlée de moi et qu’il s’intéressait plus à mon cul, qu’à l’épilation.
Lors de cette séance, alors qu’elle termine l’épilation de mon anus, je remarque l’agitation de son collègue, car tout en m’épilant cette salope m’avait fourrée son pouce dans le cul provoquant sur moi une belle érection, elle se mit sur le côté et me prit dans sa bouche, la position indécente que j’offrais devait être sans équivoque, les jambes en l’air et le cul offert, il dégrafa son pantalon d’où sortit sa bite gonflée et raide, puis se plaçant entre mes jambes, le sexe à la hauteur de mon trou, il m’enficha le trou d’un trait avec sa queue fine et courbée, me tirant un cri, il m’enculait à sec le salaud, et je pense que Mathilde avait tout manigancée, pendant qu’il me limait, elle redoubla d’ardeurs sur ma tige et je lui remplit la bouche pendant qu’il me remplissait le cul.
Avant de partir, Mathilde me dit qu’il me faudrait revenir de temps en temps de façon régulière afin d’enlever les derniers poils qui pourraient repoussés, cela ne prendrait pas trop de temps mais c’était la condition essentielle pour garder une épilation parfaite.
Plusieurs mois plus tard mon corps était glabre de partout et ne présentait plus aucun poil à ma grande satisfaction.
Ma féminisation.
Mathilde étant bisexuelle je ne fus pas étonnée quand elle me fit connaître une amie à elle, docteur, avec qui elle avait certainement du parler de mes attributs et lui demanda de me prendre en charge pour me développer ma poitrine.
Depuis toujours je rêvais d’avoir une petite poitrine, car je trouve les petites poitrines plus arrogantes que les grosses, une poitrine petite pour garder ce côté androgyne et ambiguë que j’avais naturellement, mais juste ce qu’il faut pour que mes partenaires puissent jouer avec pendant nos ébats amoureux.
Alors, Sophie, me conseilla de prendre des hormones et de faire un suivi, afin d’arrêter le moment voulu. Je pris les hormones prescrites avec une joie non dissimulée en pensant à ma future poitrine.
Les hormones firent l’effet attendu, mais pendant le suivi avec Sophie non seulement elle suivait ma poitrine, mais, attirée par mon physique et mon côté masculin, elle s’occupait ardemment de mon sexe, et le suivi se passa comme avec mon esthéticienne.
Ce qui fit que Mathilde, et les visites médicales se terminaient chaque fois en séances de cul, Mathilde ne se plaignais pas de la chose car les deux femmes complices étaient aussi salopes l’une que l’autre.
Grâce à Mathilde et Sophie, en l’absence de ma Chris chérie, ma vie sexuelle à ce moment fut des mieux remplie près de ces femmes, le côté face, active pour elles, dans les bras de l’une ou dans les bras de l’autre, et dans la chatte de chacune d’elle au gré des séances et à la maison avec Jacques qui s’occupait très bien du côté pile, étant passive avec lui.
Lorsque l’épilation et les hormones furent terminées, j’étais glabre entièrement, lisse sur toute la surface de mon corps et possédait une poitrine arrogante d’un 80B qui me ravissait, mes larges auréoles brunes étant mises en valeur par cette petite poitrine qui serait la mienne désormais et les tétons dressés sur deux globes bien fermes.
Nous fêtâmes ensemble, Mathilde et Sophie, accompagnée de Jacques, cette fin de transformation réussie, soirée que nous avons terminés tous les quatre dans un même lit le soir même dans une complicité et un respect intense, chacun suçant tout ce qui passait à la portée de ses lèvres, sexes natures et sexes latex étaient de la fête cette nuit là, afin que chacun de nous les joies de donner ou de recevoir suivant l’instant, Mathilde et Sophie voulurent me sodomiser avec un gode ceinture, ce qu’elle firent avec application, puis voulurent se faire sodomiser à tour de rôle par Jacques et par moi-même, enfin chacun donna ou pris dans chacun de ses trous quelque chose et à aucun moment un trou fut laissé disponible, mais l’image dont j’ai le souvenir est celui ou chacune embrochée par la chatte avec un double dong, et pendant qu’elles s’embrassaient à pleines bouches, nous les sodomisions comme des forcenés laissant leurs anus largement ouverts par nos intromissions répétitives.
La transition.
Je sortais habillée en fille, j’allais ainsi au cabinet et dans la rue personne ne s’apercevais de la supercherie, j’étais aux anges et pensais secrètement aux fabuleuses années à venir. Je sortais seule parfois allant en boite ou simplement me promener sous les étoiles de la nuit au volant du cabriolet de Jacques, me faisant siffler et complimenter par les piétons, comme il est souvent dit : « je ne laissais pas indifférente ».
Jacques allais avec moi pour choisir mes tenues et commentais le plus possible mon maquillage, et mes tenue rectifiant un petit rien pour être encore plus désirable, comme aujourd’hui je portais les cheveux courts, style garçonne, et pour me changer de look il m’offrit ma première perruque blonde aux cheveux longs et mes premières cuissardes noires. Il voulut les entraîner dès le soir même, c’est ainsi qu’en blonde les cheveux à mi dos, entièrement nue en cuissardes appuyées sur les accoudoirs du salon et lui tournant le dos, il me sodomisa tel un forcené en me disant que j’étais bonne….
Pendant cette année là, Jacques prépara mes parents à l’horrible nouvelle, mais comme ils le dirent puisque mon choix était celui-ci, ils ne voyaient pas d’inconvénient, sauf celui de venir traîner près de chez eux dans ma nouvelle apparence et mettre en cause leur respectabilité, ce qui secrètement me mis en joie car le bonheur auprès de Jacques était total.
L’année de mes 19 ans avait été fabuleusement remplie, maintenant que j’avais une petite poitrine et un corps entièrement épilé, je me sentais vraiment moi-même, je savais aussi que désormais je pourrais toujours vivre en femme.
Chris revint de son voyage d’études et me trouva transformée, elle me complimenta sur mon physique, et nous firent l’amour tout un week-end, ne sortant de la chambre que pour nous restaurer et nous baigner dans la piscine, j’en profitais pour lui conter les mois passés sans elle, nos retrouvailles furent merveilleuses et remplis de cris de plaisir.
L’arrivée de Val, à la fin de ses études, remplit la maison de joie et de bonheur, je retrouvais ma sœur et pouvais lui confier mes secrets, puis Val s’installa, peu de temps après, en ville et devint pendant quelques temps l’amante de Jacques, elle supportait de moins en moins le fait d’être ma sœur et de ne pouvoir vivre des aventure avec moi, alors nos rencontres furent de moins en moins fréquentes, et après avoir démissionnée du cabinet, elle s’en alla s’installer à Marseille.
Chris et Jacques s’occupaient de moi et me choyaient au maximum, mes nuits en trio entre Chris et Jacques étaient bien remplies, comme celles avec Chris mon amante, nous faisions l’amour aussi souvent que nous le pouvions, Chris était heureuse de me retrouver épilée intégralement et avec ma petite poitrine qu’elle adorait, en plus elle avait ramenée avec elle des accessoires qui amenaient un plus dans nos rapports amoureux, et tout particulièrement un gode ceinture dont elle se servait avec moi, ainsi elle me donnait le change en me sodomisant.
Certaines fois, Jacques se joignait à nous et nous faisions des trios sexuels.
Mais maintenant il me fallait savoir l’effet que je pourrais produire seule, il me faillait faire des rencontres.
A suivre……
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