Leslie VA01
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie VA01
Leslie VA01 – Vacances - Avec Laure
Revenons un peu dans le passé, jute après mon aventure avec Sumalee et tout ce qui s’en suivi, c’était en fait juste avant que Laure ne parte aux Etats-Unis en me laissant seule et juste aussi avant mon séjour à Epernay chez Delphine et Benoît, avec Anastasia. Je ne pouvais pas-vous conter cette période…
A la sortie de la maison de repos, Laure m’attendais, comme une compagne attend son homme lorsqu’il sort de prison, elle était là, d’ailleurs elle est toujours là.
Elle m’a serrée dans ses bras sans oser m’embrasser, puis nous somme allées dans ce qui était notre chez nous. Elle m’a installée dans notre chambre, où rien n’avait changé, sans un mot, puis m’a laissé me reposer.
Laure n’avait pas changé, toujours aussi attentionnée et discrète à la fois, je me suis endormie et j’ai rêvé.
Les jours qui suivirent furent ainsi, entre le lit et le salon, je n’avais envie de rien, juste laissé passer le temps et attendre je ne sais quoi.
Laure a dû s’absenter pour aller aux États-Unis, pour deux mois, me laissant seule et je vous ai raconté cette période, lorsqu’elle est revenue je voyais bien que même si elle savait que j’allais mieux, elle se faisait encore du souci et pensais que je n’étais pas encore remise de ma dépression, alors un soir en rentrant elle m’a dit :
- Demain nous partons en vacances au Grau du Roi !
C’est là-bas que Laure a vu que j’allais mieux et que j’étais sortie de ma dépression et que j’avais à nouveau le goût de vivre.
Heureusement que Laure avait fait des économies pendant que j’étais au repos et pendant qu’elle était en déplacement, car elle a fait de nombreuses dépenses en maillots de bain, en sous-vêtements et en robes légères, pour elle mais aussi pour moi.
Je n’arrêtais pas de répéter :
- C’est de la folie, mais elle m’entrainait dans les rayons pour refaire nos gardes robes.
En rentrant elle m’a demandé de faire des essais, et bien sûr je lui ai apparue nue, cela faisait si longtemps qu’elle ne m’avait pas vu nue, qu’elle m’a dit :
- Tu es toujours aussi belle.
J’ai bredouillé un merci sans conviction et je suis retourné m'allongée dans le lit.
La journée fut calme, mais le rapprochement le lendemain se fit doucement, quelques baisers échangés et des caresses, le soir nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.
Puis le troisième jour, les caresses et les baisers se sont faits plus intimes et le soir, nues sur le lit nous avons fait l’amour et avons recommencé le lendemain matin, tout redevenait comme avant comme si nous nous étions jamais séparées.
Le cinquième jour de notre séjour, alors que nous prenions le petit-déjeuner à l’hôtel, sur la terrasse donnant sur la mer, le réceptionniste vint nous trouver.
- Salut les filles, dîtes, je ne sais comment vous le dire, mais en bref, ça fait deux jours qu’un photographe voudrait faire des photos de vous et m’a demander de voir si ça pourrait vous intéresser.
Avant que je ne puisse répondre, Laure dit :
- Bien sûr que ça nous intéresse, c’est où ?
Le réceptionniste donna des explications à Laure, qui semblait voir où le studio se trouvait.
Moi, je ne me sentais pas prête pour me lancer dans une séance de photos, qui à coup sûr allait se terminer en partie de baise, mais Laure me dit :
- Ne refuse pas, Leslie, ce n’est pas méchant, juste une séance de photos et puis, tu pourras refuser si tu en éprouve l’envie et juste regarder.
Les yeux de Laure eurent raison de moi, j’avais envie de lui faire plaisir et puis je n’étais pas obliger de me soumettre aux volontés du photographe.
- En plus, rajouta Laure, ce ne prendra qu’une petite heure, deus tout au plus.
Nous sommes remontées dans notre chambre et j’enfilais un string et un soutien-gorge blancs, puis un chemisier blanc légèrement transparent et un jean assez moulant.
Laure, de son côté mit un string bleu, puis une robe blanche assez diaphane, sans soutien-gorge.
Puis, serrées l’une contre l’autre, nous nous sommes rendues au studio
Nous avons été reçus par une jeune asiatique.
- Bonjour, je suis Nadja, vous venez pour les photos, alors suivez-moi, je vais vous présenter à Karl.
L’homme en question était en train de trier des photos, mais il se leva aussitôt pour nous tendre une main chaleureuse.
Il s’appelait Karl, était photographe, il cherchait de nouveaux modèles et nous avait vu au bar de notre hôtel où il se rend de temps en temps prendre un verre.
Nous tombèrent silencieusement d’accord sur le fait que Karl était un homme vraiment craquant, avec ses larges épaules, son torse couvert de poils, que sa chemisette entrebâillée laissait découvrir et son port de tête impeccable, il avait du charme.
Laure se montra enchantée de passer tout de suite et Nadja donna les premières indications à Laure.
Visiblement, Laure trouvait également l’asiatique à son goût et, au faire et à mesure des poses, elle se montra de plus en plus allumeuse.
J’avoue que Nadja était très jolie, avec ses petits seins pointus moulés dans un petit haut rouge et noir et son très petit derrière cambré, serré dans un pantalon noir en stretch qui soulignait les bordures d’un slip en dentelle.
Laure ne détachait pas son regard de ces fesses charmantes, et qui releva très haut les pans de sa robe après avoir déboutonné le haut de son vêtement jusqu’à dévoiler les cercles sensuels de ses tétons.
Sans pudeur, elle se trémoussait devant l’appareil photos de Karl, qui jetait un coup d’œil intéressé à ses formes mouvantes.
Laure obéit de son mieux aux conseils de l’asiatique, prenant des poses lascives sur commande, arrangeant ses cheveux pour donner du volume, jouant avec ses lèvres et ses yeux pour s’offrir des moues rebelles, utilisant ses charmes pour se montrer en valeur et pour offrir son corps à demande.
Avec plaisir, elle s’aperçut que Karl la regardait intensément, et que les clichés défilaient.
Nadja, un autre appareil en main, tournait autour de Laure pour la prendre sous tous les angles et lui en demandait toujours plus. Uniquement concentrée sur les conseils de l’asiatique, Laure ne s’apercevait même pas du regard alléché de celle-ci, qui du fait que Laure avait déboutonné sa robe, offrait le splendide spectacle de ses seins gonflés et nus.
Bientôt, Karl lui fit abandonner sa robe, se retrouvant en string, il la reprit sous tous les angles, la faisant, s’asseoir, se lever, s’allonger, offrant sa peau nue aux projecteurs et à l’œil mécanique de l’appareil
Karl fut très gentil avec Laure en lui annonçant qu’elle était ce qu’il recherchait et que dès le lendemain il attendait pour une nouvelle séance.
Quand ce fut mon tour, je déclinais poliment et nous sommes rentrées à l’hôtel.
Puis nous avons été à la plage où nous avons reparlé de la séance, évoquant les manières abandonnées de Laure et les différentes poses toutes plus tordues les unes que les autres et surtout de la beauté de Franck, le photographe.
Laure parla de Nadja, et se fit élogieuse sur le charme que dégageait cette asiatique.
Laure me passa de la crème à bronzer et ses doigts agiles me firent bientôt de l’effet, lorsque ses mains remontèrent de mon genou sur mes cuisses, diffusant une sensation de douceur et de plaisir dans tout le bas de mon ventre.
Alors que les mains de Laure escaladaient mon corps, venant caresser mes cuisses puis, le bout des doigts de Laure frôler le devant de mon maillot, caressant de plus en plus de mon entrejambe qui réagissait aux douceurs de ma compagne.
Puis, laure s’arrêta et me passa de la crème sur tout le corps en me disant :
- Ce soir nous allons sortir et tu me feras l’amour !
A suivre…
Revenons un peu dans le passé, jute après mon aventure avec Sumalee et tout ce qui s’en suivi, c’était en fait juste avant que Laure ne parte aux Etats-Unis en me laissant seule et juste aussi avant mon séjour à Epernay chez Delphine et Benoît, avec Anastasia. Je ne pouvais pas-vous conter cette période…
A la sortie de la maison de repos, Laure m’attendais, comme une compagne attend son homme lorsqu’il sort de prison, elle était là, d’ailleurs elle est toujours là.
Elle m’a serrée dans ses bras sans oser m’embrasser, puis nous somme allées dans ce qui était notre chez nous. Elle m’a installée dans notre chambre, où rien n’avait changé, sans un mot, puis m’a laissé me reposer.
Laure n’avait pas changé, toujours aussi attentionnée et discrète à la fois, je me suis endormie et j’ai rêvé.
Les jours qui suivirent furent ainsi, entre le lit et le salon, je n’avais envie de rien, juste laissé passer le temps et attendre je ne sais quoi.
Laure a dû s’absenter pour aller aux États-Unis, pour deux mois, me laissant seule et je vous ai raconté cette période, lorsqu’elle est revenue je voyais bien que même si elle savait que j’allais mieux, elle se faisait encore du souci et pensais que je n’étais pas encore remise de ma dépression, alors un soir en rentrant elle m’a dit :
- Demain nous partons en vacances au Grau du Roi !
C’est là-bas que Laure a vu que j’allais mieux et que j’étais sortie de ma dépression et que j’avais à nouveau le goût de vivre.
Heureusement que Laure avait fait des économies pendant que j’étais au repos et pendant qu’elle était en déplacement, car elle a fait de nombreuses dépenses en maillots de bain, en sous-vêtements et en robes légères, pour elle mais aussi pour moi.
Je n’arrêtais pas de répéter :
- C’est de la folie, mais elle m’entrainait dans les rayons pour refaire nos gardes robes.
En rentrant elle m’a demandé de faire des essais, et bien sûr je lui ai apparue nue, cela faisait si longtemps qu’elle ne m’avait pas vu nue, qu’elle m’a dit :
- Tu es toujours aussi belle.
J’ai bredouillé un merci sans conviction et je suis retourné m'allongée dans le lit.
La journée fut calme, mais le rapprochement le lendemain se fit doucement, quelques baisers échangés et des caresses, le soir nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.
Puis le troisième jour, les caresses et les baisers se sont faits plus intimes et le soir, nues sur le lit nous avons fait l’amour et avons recommencé le lendemain matin, tout redevenait comme avant comme si nous nous étions jamais séparées.
Le cinquième jour de notre séjour, alors que nous prenions le petit-déjeuner à l’hôtel, sur la terrasse donnant sur la mer, le réceptionniste vint nous trouver.
- Salut les filles, dîtes, je ne sais comment vous le dire, mais en bref, ça fait deux jours qu’un photographe voudrait faire des photos de vous et m’a demander de voir si ça pourrait vous intéresser.
Avant que je ne puisse répondre, Laure dit :
- Bien sûr que ça nous intéresse, c’est où ?
Le réceptionniste donna des explications à Laure, qui semblait voir où le studio se trouvait.
Moi, je ne me sentais pas prête pour me lancer dans une séance de photos, qui à coup sûr allait se terminer en partie de baise, mais Laure me dit :
- Ne refuse pas, Leslie, ce n’est pas méchant, juste une séance de photos et puis, tu pourras refuser si tu en éprouve l’envie et juste regarder.
Les yeux de Laure eurent raison de moi, j’avais envie de lui faire plaisir et puis je n’étais pas obliger de me soumettre aux volontés du photographe.
- En plus, rajouta Laure, ce ne prendra qu’une petite heure, deus tout au plus.
Nous sommes remontées dans notre chambre et j’enfilais un string et un soutien-gorge blancs, puis un chemisier blanc légèrement transparent et un jean assez moulant.
Laure, de son côté mit un string bleu, puis une robe blanche assez diaphane, sans soutien-gorge.
Puis, serrées l’une contre l’autre, nous nous sommes rendues au studio
Nous avons été reçus par une jeune asiatique.
- Bonjour, je suis Nadja, vous venez pour les photos, alors suivez-moi, je vais vous présenter à Karl.
L’homme en question était en train de trier des photos, mais il se leva aussitôt pour nous tendre une main chaleureuse.
Il s’appelait Karl, était photographe, il cherchait de nouveaux modèles et nous avait vu au bar de notre hôtel où il se rend de temps en temps prendre un verre.
Nous tombèrent silencieusement d’accord sur le fait que Karl était un homme vraiment craquant, avec ses larges épaules, son torse couvert de poils, que sa chemisette entrebâillée laissait découvrir et son port de tête impeccable, il avait du charme.
Laure se montra enchantée de passer tout de suite et Nadja donna les premières indications à Laure.
Visiblement, Laure trouvait également l’asiatique à son goût et, au faire et à mesure des poses, elle se montra de plus en plus allumeuse.
J’avoue que Nadja était très jolie, avec ses petits seins pointus moulés dans un petit haut rouge et noir et son très petit derrière cambré, serré dans un pantalon noir en stretch qui soulignait les bordures d’un slip en dentelle.
Laure ne détachait pas son regard de ces fesses charmantes, et qui releva très haut les pans de sa robe après avoir déboutonné le haut de son vêtement jusqu’à dévoiler les cercles sensuels de ses tétons.
Sans pudeur, elle se trémoussait devant l’appareil photos de Karl, qui jetait un coup d’œil intéressé à ses formes mouvantes.
Laure obéit de son mieux aux conseils de l’asiatique, prenant des poses lascives sur commande, arrangeant ses cheveux pour donner du volume, jouant avec ses lèvres et ses yeux pour s’offrir des moues rebelles, utilisant ses charmes pour se montrer en valeur et pour offrir son corps à demande.
Avec plaisir, elle s’aperçut que Karl la regardait intensément, et que les clichés défilaient.
Nadja, un autre appareil en main, tournait autour de Laure pour la prendre sous tous les angles et lui en demandait toujours plus. Uniquement concentrée sur les conseils de l’asiatique, Laure ne s’apercevait même pas du regard alléché de celle-ci, qui du fait que Laure avait déboutonné sa robe, offrait le splendide spectacle de ses seins gonflés et nus.
Bientôt, Karl lui fit abandonner sa robe, se retrouvant en string, il la reprit sous tous les angles, la faisant, s’asseoir, se lever, s’allonger, offrant sa peau nue aux projecteurs et à l’œil mécanique de l’appareil
Karl fut très gentil avec Laure en lui annonçant qu’elle était ce qu’il recherchait et que dès le lendemain il attendait pour une nouvelle séance.
Quand ce fut mon tour, je déclinais poliment et nous sommes rentrées à l’hôtel.
Puis nous avons été à la plage où nous avons reparlé de la séance, évoquant les manières abandonnées de Laure et les différentes poses toutes plus tordues les unes que les autres et surtout de la beauté de Franck, le photographe.
Laure parla de Nadja, et se fit élogieuse sur le charme que dégageait cette asiatique.
Laure me passa de la crème à bronzer et ses doigts agiles me firent bientôt de l’effet, lorsque ses mains remontèrent de mon genou sur mes cuisses, diffusant une sensation de douceur et de plaisir dans tout le bas de mon ventre.
Alors que les mains de Laure escaladaient mon corps, venant caresser mes cuisses puis, le bout des doigts de Laure frôler le devant de mon maillot, caressant de plus en plus de mon entrejambe qui réagissait aux douceurs de ma compagne.
Puis, laure s’arrêta et me passa de la crème sur tout le corps en me disant :
- Ce soir nous allons sortir et tu me feras l’amour !
A suivre…
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