Leslie VA09
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie VA09
Leslie VA09 – Vacances - Avec Laure, suite
Après avoir fait l’amour sur la plage et s’être baignées, nous sommes rentrées nous changer à l’hôtel, nous avons mangé, puis Laure m’a annoncé :
- Tu sais, ce soir je ne suis pas disponible, je sors.
- Avec Kevin ? Lui demandais-je.
- Non avec lui c’est terminé, j’ai un rendez-vous avec une jeune femme et je pense que je rentrerai tard, voire demain matin !
- Une nouvelle conquête ?
- Pas tout à fait, me dit Laure, mais je pense que nous allons passer un bon moment toutes les deux, alors ne m’attends pas.
- Pas de problème, je vais dire à Nadja de me rejoindre et nous nous retrouverons demain matin.
- Vicieuse, tu avais prévu ton coup, me dit Laure.
- Pas du tout, mais je ne vais pas me morfondre seule dans mon lit.
- Tu as bien raison, conclut Laure.
Après avoir pris notre café à la terrasse, Laure est partie se changer et je ne l’ai pas revue de la journée.
J’ai flâné au bord de la piscine et, allongée sur mon transat, je me suis faite draguer par un jeune mâle, en maillot de bain, en mal de relations. Mais je l’ai gentiment éconduit, lui expliquant que je n’étais pas libre. Si je n’avais pas eu en tête de retrouver Nadja, je me serais volontiers laissée draguer, car la bosse qui déformait son maillot de bain était source de promesses ; mais peut-être aurai-je l’occasion de voir cela de plus près lors d’une prochaine occasion.
J’ai téléphoné à Nadja, qui fut ravie d’une rencontre, mais elle m’annonça qu’elle ne serait libre que pour le diner et nous nous sommes donné rendez-vous pour vingt heures au bar de l’hôtel.
Il était à peine quinze heures de l’après-midi et j’avais quelques heures à tuer avant de retrouver Nadja. En regardant autour de la piscine, j’ai revu mon beau mâle allongé sur un transat, seul.
L’occasion était trop belle, et venait au bon moment, alors je me suis levée et je me suis dirigée vers le mâle esseulé…
- Que diriez-vous de prendre un verre pour faire connaissance ? Dis-je.
Relevant la tête il me dévisagea en disant :
- Vous voilà libre à présent ?
- Une après-midi à tuer en charmante compagnie, ça me branche. Et vous ?
- Moi aussi ça me branche. Allons prendre ce verre pour voir ce que nous pourrions faire après et tuer cette après-midi comme vous dites.
Assis dans les fauteuils du bar, nous avons bu en parlant de choses et d’autres, mais très rapidement il me proposa d’aller dans sa chambre pour continuer à faire connaissance…
- Faire connaissance, disons plus intimement ? Lui demandais-je.
- Nous savions tous les deux que cela allait se terminer ainsi, sinon pourquoi être revenue me relancer au bord de la piscine ?
- Pour ce que tu as dans le maillot, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.
- Alors là, petite vicieuse, tu vas être servie !
- Je crois m’être fait une opinion, mais je pense que je ne serai pas la seule surprise.
- Allez viens, tu m’excites déjà, me dit-il.
Puis me prenant pas la main il m’entraina vers les ascenseurs. Aussitôt les portes refermées derrière nous, il me prit dans ses bras et m’embrassa sur les lèvres, juste le temps de parcourir les cinq étages, et les portes s’ouvrèrent, nous laissant un petit goût de trop court.
Puis il me conduisit dans sa chambre et la porte refermée il me prit une nouvelle fois dans ses bras pour m’embrasser, mais cette fois sa langue força mes lèvres et le baiser fut profond et fougueux. Ses mains commencèrent à caresser mon corps, tout en le dénudant lentement avec une précision implacable, mon chemisier tomba au sol révélant ma poitrine nue à mon futur amant, puis ma robe rejoignit rapidement mon corsage au sol. Je n’avais plus sur moi que mon string, protégeant mon sexe durcissant, mais que le malheureux bout de tissu avait du mal à contenir.
Ses mains avaient pris possession de mes fesses qu’il malaxait en douceur ; mais avec une fermeté qui m’envoyait des ondes de plaisir dans tout le bas du ventre. Il enleva prestement son maillot pour me faire découvrir un membre dressé qui était un des plus beaux sexes qui j’avais eu l’occasion de voir et bientôt de tenir dans ma main. Il était entièrement épilé, ce qui rendait encore plus agressif ce membre tendu, parcouru de veines, très épais et d’une longueur assez conséquente, plus de vingt centimètres en tout cas.
Je le pris dans ma main, et je constatais qu’il était vraiment très épais puisque mes doigts n’en faisaient pas le tour… Ma prise en main de son membre déclencha chez moi une subite érection, ce qui ne passa pas inaperçu aux yeux de mon futur amant.
- Petite cachotière, tu n’es pas une vraie femme ?
- Cela te dérange ? Lui demandais-je.
- Pas le moins du monde, je suis bisexuel et je sens que nous allons passer un merveilleux moment joignant nos désirs en commun.
- On ne peut être plus clair, dis-je.
Mon string rejoignit mes autres affaires sur le sol et le jeune-homme me demanda :
- Nous sommes nus tous les deux, tenant nos membres dans nos mains, cela fait partie d’une certaine présentation, mais quel est ton prénom, belle ambigüe ?
- Leslie, dis-je.
- Et moi c’est Jean-Michel.
Tout naturellement et sans me demander mon avis, il posa ses mains sur mes épaules et m’appuyant doucement dessus, il me fit comprendre qu’en me mettant accroupie devant lui je pourrais le sucer.
Descendant lentement le long de son corps je me suis accroupie et je me suis retrouvée avec son sexe devant les yeux. J’ai déposé mes lèvres sur le gland gorgé de désirs et j’ai déposé quelque baisers légers dessus.
Puis avec ma langue, j’ai léché le gland en faisant le tour, il était circoncis et ma langue a parcouru le tour du gland découvert, le faisant gémir doucement.
Jean-Michel a pris ma tête entre ses deux mains, et m’attirant à lui, il me fit clairement comprendre ses intentions, il voulait que je le prenne complètement en bouche afin de sentir la chaleur de celle-ci autour de son sexe.
J’ai entrouvert mes lèvres pour laisser passer le gland et le laisser doucement coulisser à l’intérieur. L’épaisseur de ce membre m’a obligée, au fur et à mesure qu’il entrait dans ma bouche, à ouvrir de plus en plus mes lèvres, si bien qu’une fois entré, pas complètement d’ailleurs, je sentais ma bouche complètement distendue autour de son membre qui palpitait de plaisir.
De ses mains il m’a imposé son rythme, lent et régulier, afin de bien ressentir toutes les sensations que lui procurait ma fellation, de ma main droite je me branlais en levant les yeux de temps en temps afin de trouver son regard et voir les sensations que lui procurait ma caresse buccale.
Je m’activais sur ce membre qui maintenant était dur et prêt à exploser. Il me fit me relever et nous avons été sur le lit. Il m’a disposée à genoux au bord du lit les jambes bien écartées afin que je sois offerte entièrement à ses désirs.
Il a pris un flacon de gel dans le tiroir de la commode et m’a enduit copieusement l’anus avec, sans oublier de se lubrifier le membre aussi. Il a introduit discrètement un doigt en moi, ce qui m’a fait frémir et il a dit :
- N’hésite pas de me dire si je te fais mal, tu as l’air serrée et étroite.
- Je n’ai pas été sodomisée depuis longtemps et mon anneau s’est certainement rétracté.
Quand j’ai senti son gland se poser à l’orée de mon œillet, j’ai été parcourue de frissons, et me tenant par les hanches, doucement, il a poussé son sexe en moi. Le gland n’est pas passé du premier coup, il a été obligé de s’y reprendre à trois fois, non sans avoir rajouté du gel sur mon petit trou qui faisait de la résistance…
Puis le gland est entré, me distendant les chaires intimes au maximum, une douleur sourde m’a vrillé le bas du dos, me faisant hurler. Il est resté ainsi sans bouger attendant que mes parois s’habituent à cette introduction hors normes.
Pour la reprise de mes activités anales, je n’avais pas choisi la meilleure taille et la souffrance dominait le plaisir qu’aurait dû me procurer cette sodomie. Puis je me suis détendue, j’ai senti mon cul s’ouvrir et prêt à accepter mon amant, alors je lui ai dit :
- Je suis prête, encule-moi, mon chéri.
Il ne se l’est pas fait dire une deuxième fois et je l’ai senti aussitôt s’activer dans mon antre ; d’abord lentement et doucement, puis de façon plus appuyée et plus profonde. Littéralement pourfendue en deux, avec l’impression d’être distendue au maximum, je dégustais et hurlais sous les assauts répétés de Jean-Michel. Puis petit à petit la douleur s’est estompée, faisant place à une douce chaleur qui dans un premier temps a envahi mon cul puis s’est rependue dans tout le bas de mon ventre, des sensations irradiant le bas de mon dos et mes reins.
C’est en hurlant de plaisir que j’ai fait part de mon orgasme à mon amant qui continuait sans relâche à me labourer le cul de son membre turgescent.
Alors que je perdais pied, perdant toute conscience du temps, je l’ai senti se répandre en moi en grognant sa jouissance…
A suivre…
Après avoir fait l’amour sur la plage et s’être baignées, nous sommes rentrées nous changer à l’hôtel, nous avons mangé, puis Laure m’a annoncé :
- Tu sais, ce soir je ne suis pas disponible, je sors.
- Avec Kevin ? Lui demandais-je.
- Non avec lui c’est terminé, j’ai un rendez-vous avec une jeune femme et je pense que je rentrerai tard, voire demain matin !
- Une nouvelle conquête ?
- Pas tout à fait, me dit Laure, mais je pense que nous allons passer un bon moment toutes les deux, alors ne m’attends pas.
- Pas de problème, je vais dire à Nadja de me rejoindre et nous nous retrouverons demain matin.
- Vicieuse, tu avais prévu ton coup, me dit Laure.
- Pas du tout, mais je ne vais pas me morfondre seule dans mon lit.
- Tu as bien raison, conclut Laure.
Après avoir pris notre café à la terrasse, Laure est partie se changer et je ne l’ai pas revue de la journée.
J’ai flâné au bord de la piscine et, allongée sur mon transat, je me suis faite draguer par un jeune mâle, en maillot de bain, en mal de relations. Mais je l’ai gentiment éconduit, lui expliquant que je n’étais pas libre. Si je n’avais pas eu en tête de retrouver Nadja, je me serais volontiers laissée draguer, car la bosse qui déformait son maillot de bain était source de promesses ; mais peut-être aurai-je l’occasion de voir cela de plus près lors d’une prochaine occasion.
J’ai téléphoné à Nadja, qui fut ravie d’une rencontre, mais elle m’annonça qu’elle ne serait libre que pour le diner et nous nous sommes donné rendez-vous pour vingt heures au bar de l’hôtel.
Il était à peine quinze heures de l’après-midi et j’avais quelques heures à tuer avant de retrouver Nadja. En regardant autour de la piscine, j’ai revu mon beau mâle allongé sur un transat, seul.
L’occasion était trop belle, et venait au bon moment, alors je me suis levée et je me suis dirigée vers le mâle esseulé…
- Que diriez-vous de prendre un verre pour faire connaissance ? Dis-je.
Relevant la tête il me dévisagea en disant :
- Vous voilà libre à présent ?
- Une après-midi à tuer en charmante compagnie, ça me branche. Et vous ?
- Moi aussi ça me branche. Allons prendre ce verre pour voir ce que nous pourrions faire après et tuer cette après-midi comme vous dites.
Assis dans les fauteuils du bar, nous avons bu en parlant de choses et d’autres, mais très rapidement il me proposa d’aller dans sa chambre pour continuer à faire connaissance…
- Faire connaissance, disons plus intimement ? Lui demandais-je.
- Nous savions tous les deux que cela allait se terminer ainsi, sinon pourquoi être revenue me relancer au bord de la piscine ?
- Pour ce que tu as dans le maillot, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.
- Alors là, petite vicieuse, tu vas être servie !
- Je crois m’être fait une opinion, mais je pense que je ne serai pas la seule surprise.
- Allez viens, tu m’excites déjà, me dit-il.
Puis me prenant pas la main il m’entraina vers les ascenseurs. Aussitôt les portes refermées derrière nous, il me prit dans ses bras et m’embrassa sur les lèvres, juste le temps de parcourir les cinq étages, et les portes s’ouvrèrent, nous laissant un petit goût de trop court.
Puis il me conduisit dans sa chambre et la porte refermée il me prit une nouvelle fois dans ses bras pour m’embrasser, mais cette fois sa langue força mes lèvres et le baiser fut profond et fougueux. Ses mains commencèrent à caresser mon corps, tout en le dénudant lentement avec une précision implacable, mon chemisier tomba au sol révélant ma poitrine nue à mon futur amant, puis ma robe rejoignit rapidement mon corsage au sol. Je n’avais plus sur moi que mon string, protégeant mon sexe durcissant, mais que le malheureux bout de tissu avait du mal à contenir.
Ses mains avaient pris possession de mes fesses qu’il malaxait en douceur ; mais avec une fermeté qui m’envoyait des ondes de plaisir dans tout le bas du ventre. Il enleva prestement son maillot pour me faire découvrir un membre dressé qui était un des plus beaux sexes qui j’avais eu l’occasion de voir et bientôt de tenir dans ma main. Il était entièrement épilé, ce qui rendait encore plus agressif ce membre tendu, parcouru de veines, très épais et d’une longueur assez conséquente, plus de vingt centimètres en tout cas.
Je le pris dans ma main, et je constatais qu’il était vraiment très épais puisque mes doigts n’en faisaient pas le tour… Ma prise en main de son membre déclencha chez moi une subite érection, ce qui ne passa pas inaperçu aux yeux de mon futur amant.
- Petite cachotière, tu n’es pas une vraie femme ?
- Cela te dérange ? Lui demandais-je.
- Pas le moins du monde, je suis bisexuel et je sens que nous allons passer un merveilleux moment joignant nos désirs en commun.
- On ne peut être plus clair, dis-je.
Mon string rejoignit mes autres affaires sur le sol et le jeune-homme me demanda :
- Nous sommes nus tous les deux, tenant nos membres dans nos mains, cela fait partie d’une certaine présentation, mais quel est ton prénom, belle ambigüe ?
- Leslie, dis-je.
- Et moi c’est Jean-Michel.
Tout naturellement et sans me demander mon avis, il posa ses mains sur mes épaules et m’appuyant doucement dessus, il me fit comprendre qu’en me mettant accroupie devant lui je pourrais le sucer.
Descendant lentement le long de son corps je me suis accroupie et je me suis retrouvée avec son sexe devant les yeux. J’ai déposé mes lèvres sur le gland gorgé de désirs et j’ai déposé quelque baisers légers dessus.
Puis avec ma langue, j’ai léché le gland en faisant le tour, il était circoncis et ma langue a parcouru le tour du gland découvert, le faisant gémir doucement.
Jean-Michel a pris ma tête entre ses deux mains, et m’attirant à lui, il me fit clairement comprendre ses intentions, il voulait que je le prenne complètement en bouche afin de sentir la chaleur de celle-ci autour de son sexe.
J’ai entrouvert mes lèvres pour laisser passer le gland et le laisser doucement coulisser à l’intérieur. L’épaisseur de ce membre m’a obligée, au fur et à mesure qu’il entrait dans ma bouche, à ouvrir de plus en plus mes lèvres, si bien qu’une fois entré, pas complètement d’ailleurs, je sentais ma bouche complètement distendue autour de son membre qui palpitait de plaisir.
De ses mains il m’a imposé son rythme, lent et régulier, afin de bien ressentir toutes les sensations que lui procurait ma fellation, de ma main droite je me branlais en levant les yeux de temps en temps afin de trouver son regard et voir les sensations que lui procurait ma caresse buccale.
Je m’activais sur ce membre qui maintenant était dur et prêt à exploser. Il me fit me relever et nous avons été sur le lit. Il m’a disposée à genoux au bord du lit les jambes bien écartées afin que je sois offerte entièrement à ses désirs.
Il a pris un flacon de gel dans le tiroir de la commode et m’a enduit copieusement l’anus avec, sans oublier de se lubrifier le membre aussi. Il a introduit discrètement un doigt en moi, ce qui m’a fait frémir et il a dit :
- N’hésite pas de me dire si je te fais mal, tu as l’air serrée et étroite.
- Je n’ai pas été sodomisée depuis longtemps et mon anneau s’est certainement rétracté.
Quand j’ai senti son gland se poser à l’orée de mon œillet, j’ai été parcourue de frissons, et me tenant par les hanches, doucement, il a poussé son sexe en moi. Le gland n’est pas passé du premier coup, il a été obligé de s’y reprendre à trois fois, non sans avoir rajouté du gel sur mon petit trou qui faisait de la résistance…
Puis le gland est entré, me distendant les chaires intimes au maximum, une douleur sourde m’a vrillé le bas du dos, me faisant hurler. Il est resté ainsi sans bouger attendant que mes parois s’habituent à cette introduction hors normes.
Pour la reprise de mes activités anales, je n’avais pas choisi la meilleure taille et la souffrance dominait le plaisir qu’aurait dû me procurer cette sodomie. Puis je me suis détendue, j’ai senti mon cul s’ouvrir et prêt à accepter mon amant, alors je lui ai dit :
- Je suis prête, encule-moi, mon chéri.
Il ne se l’est pas fait dire une deuxième fois et je l’ai senti aussitôt s’activer dans mon antre ; d’abord lentement et doucement, puis de façon plus appuyée et plus profonde. Littéralement pourfendue en deux, avec l’impression d’être distendue au maximum, je dégustais et hurlais sous les assauts répétés de Jean-Michel. Puis petit à petit la douleur s’est estompée, faisant place à une douce chaleur qui dans un premier temps a envahi mon cul puis s’est rependue dans tout le bas de mon ventre, des sensations irradiant le bas de mon dos et mes reins.
C’est en hurlant de plaisir que j’ai fait part de mon orgasme à mon amant qui continuait sans relâche à me labourer le cul de son membre turgescent.
Alors que je perdais pied, perdant toute conscience du temps, je l’ai senti se répandre en moi en grognant sa jouissance…
A suivre…
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