Leslie VA19
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2014 dans la catégorie Plus on est
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Leslie VA19
Leslie VA19 – Vacances - Avec Laure, suite
Effectivement le repas fut superbe et le service impeccable, à la fin du repas après le café, pour finir avec Laure nous avons dégusté un vieil armagnac et nous sommes retournées à la plage au même endroit que ce matin, toutes les deux un peu guillerettes, mais nous étions pleines d’espoir pour une éventuelle rencontre.
Il y avait une dizaine de personnes parsemées sur la plage, quatre couples et deux femmes seules isolées, tout ce petit monde à poil évidemment.
Tout ce petit monde était dispersé sur le sable et chacun profitait du soleil en se faisant bronzer sous les chauds rayons du soleil.
Les couples se tenaient près des dunes ou près des rochers, légèrement à l’écart des deux femmes, en s’embrassant de temps à autre et se caressant avec des gestes discrets, ne voulant certainement pas se faire remarquer.
Une des femmes attira particulièrement notre attention, isolée complètement à l’abri du regard des autres, elle était allongée sur sa serviette, les jambes ouvertes découvrant impudiquement son sexe imberbe, ce que nous avons découvert avec Laure en s’installant non loin d’elle.
Elle était brune et avait tout au plus la trentaine, elle portait une chaine autour de la taille et une autre autour de la cheville gauche, ce détail serait-il une marque de reconnaissance pour dire qu’elle est lesbienne et bi à la fois, qui sait.
Alors que nous installions, elle se redressa et elle lança un regard vers nous et nous souriant, puis elle hocha de la tête comme pour nous saluer.
Nous nous sommes déshabiller et lorsque j’ai enlevé mon string, découvrant mon membre, j’ai remarqué le regard intéressé de la femme sur mon corps. Laure vit aussi l’intérêt porté par notre voisine à mon égard et, à peine installée et comme pour donner le change elle m’embrassa devant les yeux brillants de la voisine.
Laure me saisit la nuque et nos lèvres fusionnèrent pour un baiser qui dura, me sembla-t-il une éternité.
Laure relâcha mes lèvres et s’écarta de moi, puis se couvrit le corps d’huile au parfum de cannelle, puis le corps luisant, elle se leva.
En voyant sa silhouette, je me dis que la femme d’à côté ne supporterait pas plus longtemps d’être loin de nous, surtout que Laure prenait des poses subjectives et montrait les moindres détails de son corps à la femme.
Il n’en fallut pas plus pour qu’elle fasse signe à Laure de la rejoindre et vienne s’installer près d’elle, Laure arrêta sa manœuvre et se rapprocha de la femme pour se mettre près d’elle et se laisser embrasser sur les lèvres, le menton, le cou et les seins.
La brune observa Laure, penchée sur ses seins gonflés de désir, léchant leur galbe avec délicatesse. Puis, elle sentit la main de Laure glisser le long de sa jambe, s’infiltrer entre ses cuisses et venir masser son sexe du plat de la main.
Laure était très habile à ce jeu-là, et la brune commença à gémir doucement, se laissant faire avec plaisir, puis d’un doigt agile Laure s’attaqua au clitoris de la brune qui s’arqua aussitôt sous la caresse intime que lui infligeait mon amante.
C’était visible, elles débordaient d’envie de se faire jouir, ce fut Laure qui lança l’offensive, elle repoussa lentement la brune et la fit s’allonger sur sa serviette de bains, sa bouche frôlant déjà l’intimité imberbe de la brune, puis Laure plongea sa langue entre les lèvres intimes de sa nouvelle amante qui s’offrait aux caresses, lui arrachant de doux gémissements et des flots de plaisir.
La brune prit ses seins dans ses mains et les malaxa au rythme des investigations de la langue de Laure.
Pendant un long moment elles se gouinèrent sans pudeur, se caressant la vulve de leur main et roulant l’une sur l’autre, je me suis approchée lentement et une fois près d’elles, alors que la brune chevauchait Laure, j’ai posé mes doigts sur l’intimité de la femme.
Lorsqu’elle sentit mon doigt glisser sur son intimité, elle comprit que dans la position où elle se trouvait, les fesses bien en l’air, elle avait, si ce n’était bien longtemps auparavant, réussi à attirer mon attention.
Elle se sentit embrasser et lécher sa raie, puis mon membre s’introduire dans sa fente. Elle devait me trouver massif en elle, tant elle était étroite et serré et dut retirer sa bouche de celle de Laure pour ne pas la mordre en hurlant.
J’entamais un lent va-et-vient systématique dans ce conduit si serré de la brune qui fut bien incapable de retenir ses cris, et préféra utiliser ses doigts pour faire jouir Laure.
Elles furent bientôt simultanément secouées par un orgasme, puis se ruèrent toutes les deux sur mon sexe dur, inondé des sécrétions intimes de notre amante brune, leurs langues allant et venant sur les veines gonflées de mon sexe, se rencontrant parfois.
Je caressais leurs cheveux en les incitant à continuer, puis je saisis Laure par la nuque et la fit s’allonger. J’entrais violemment en elle sous les regards enfiévrés de la brune, qui glissa sa main entre ses jambes.
Tout en se masturbant, elle suçait les seins de Laure et observait les mouvements de mon sexe allant et venant, humide du plaisir de Laure.
Puis, insatiable, je pris la brune avec la même violence sur le côté, embrassant alternativement la brune et Laure.
C’est alors que Laure me chuchota à l’oreille :
- J’ai envie de te voir l’enculer !
Alors faisant mettre notre complice à quatre pattes, je lui préparais le fion avant de la pénétrer par le cul. Elle cria beaucoup, de douleur d’abord, puis de plaisir ensuite, ,e cessant de répéter :
- Ohhh, comme c’est gros, tu m’éclates le cul !
Mais bientôt le plaisir s’empara de la brune, lorsqu’elle jouit en hurlant alors que je me déversais en elle.
Nous avons été nous baigner, puis allongées sur nos serviette nos avons parlé un peu, tout en se caressant mutuellement.
Elle s’appelait Claire et était de la région et venait souvent l’après-midi bronzer sur cette page et profiter des occasions qui se présentaient.
Elle était célibataire depuis maintenant près d’un an, après trois ans avec son ami qu’elle avait quitté, suite à son infidélité. Mais depuis Claire avait compris qu’il fallait profiter de chaque instant sans se poser de question, et nous avoua que de faire l’amour sans un mot comme nous venions de le faire, lui avait procuré un intense plaisir et qu’elle aimerait bien finir la journée en notre compagnie.
- Je vous invite à diner au restaurant, nous dit-elle.
Nous avons bien sûr accepté, alors Claire rajouta :
- Et nous pourrons finir la nuit ensembles.
- Ohhh, mais bien sûr, dis Laure.
« Lorsque Claire rentra chez elle pour se changer et avant de venir nous retrouver pour la soirée, elle se sentait changée, cette nouvelle aventure lui avait ouvert les yeux, elle la femme si réservée s’était donnée offerte à deux inconnues dont l’une était transexuelle.
Sous sa mini-jupe, elle ne portait rien, pour la première fois de sa vie, elle s’était laissé enculer par une transexuelle qu’elle ne connaissait même pas une heure auparavant et bien que cette sodomie l’avait un peu irritée, elle n’en gardait qu’un heureux souvenir et se sentait prête à recommencer, elle allait passer une bonne soirée en présence de ses deux nouvelles complices et espérait secrètement que la nuit lui laisserait qu’un bon souvenir ».
Arrivées à l’hôtel, Laure remonta rapidement dans sa chambre, elle se changea pour passer une robe blanche moulante qui du fait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge laissait deviner sa poitrine et ses bouts de seins, et décida de ne pas mettre de culotte, ainsi elle pourrait s’offrir dès que l’occasion se présenterait.
Pour ma part, j’ai passé une jupe fendue et un corsage transparent, poitrine libre, et un string contenant avec difficulté mon sexe qui ne demandait qu’à s’en échapper.
Nous nous sommes toutes les trois retrouvées dans la salle de restaurant de l’hôtel et sitôt assises, Laure demanda à Claire :
- Alors ? C’était bien cet après-midi ?
- Divin, réplique Claire.
Laure lui sourit et la prit par la main pour lui faire sentir ses désirs.
- Je ne m’attendais pas à te voir habiller ainsi, surtout avec le joli petit cul que tu as, tu vas attirer les convoitises des mâles présents, dis-je.
Claire me regarda avec des yeux vicieux en me disant :
- C’est qu’il est resté entrouvert depuis cet après-midi.
- Claire avait passé une robe si transparente que rien de son anatomie n’était caché, la robe moulait ses fesses de façon indécente et au travers du tissu on pouvait deviner son pubis glabre, mais cela n’avait l’air de la gêner, bien au contraire.
Avec Laure nous sommes restées silencieuses et Claire s’inquiéta :
- Qu’est-ce qu’il y a ? C’est si horrible que ça ?
- Oh non, dis-je, mais tu es très provocante ainsi habillée et en te regardant j’ai juste eue une petite érection, c’est tout…
Claire ajouta :
- Je me suis lubrifiée avant de venir, ainsi quand tu voudras tu pourras me prendre.
Tout naturellement elle me disait en me regardant droit dans les yeux, puis regardant Laure, elle aouta :
- Toi aussi d’ailleurs, je suis certaine que tu dois avoir un gode ceinture.
- Tu aimes qu’une femme te prenne, demanda Laure.
- Oui, c’est vraiment très bon.
Claire éclata de rire en regardant Laure et nous avons diné en parlant que de sexe.
Après le diner nous sommes montées dans la chambre de Laure et tout naturellement elles se retrouvèrent bientôt allongées, sur le lit, l’une sur l’autre, leurs lèvres collées et leurs langues jouant ensemble. Elles respiraient leurs parfums respectifs et goûtaient leurs salives. Il n’y avait plus rien d’important hormis l’instant présent...
A suivre…
Effectivement le repas fut superbe et le service impeccable, à la fin du repas après le café, pour finir avec Laure nous avons dégusté un vieil armagnac et nous sommes retournées à la plage au même endroit que ce matin, toutes les deux un peu guillerettes, mais nous étions pleines d’espoir pour une éventuelle rencontre.
Il y avait une dizaine de personnes parsemées sur la plage, quatre couples et deux femmes seules isolées, tout ce petit monde à poil évidemment.
Tout ce petit monde était dispersé sur le sable et chacun profitait du soleil en se faisant bronzer sous les chauds rayons du soleil.
Les couples se tenaient près des dunes ou près des rochers, légèrement à l’écart des deux femmes, en s’embrassant de temps à autre et se caressant avec des gestes discrets, ne voulant certainement pas se faire remarquer.
Une des femmes attira particulièrement notre attention, isolée complètement à l’abri du regard des autres, elle était allongée sur sa serviette, les jambes ouvertes découvrant impudiquement son sexe imberbe, ce que nous avons découvert avec Laure en s’installant non loin d’elle.
Elle était brune et avait tout au plus la trentaine, elle portait une chaine autour de la taille et une autre autour de la cheville gauche, ce détail serait-il une marque de reconnaissance pour dire qu’elle est lesbienne et bi à la fois, qui sait.
Alors que nous installions, elle se redressa et elle lança un regard vers nous et nous souriant, puis elle hocha de la tête comme pour nous saluer.
Nous nous sommes déshabiller et lorsque j’ai enlevé mon string, découvrant mon membre, j’ai remarqué le regard intéressé de la femme sur mon corps. Laure vit aussi l’intérêt porté par notre voisine à mon égard et, à peine installée et comme pour donner le change elle m’embrassa devant les yeux brillants de la voisine.
Laure me saisit la nuque et nos lèvres fusionnèrent pour un baiser qui dura, me sembla-t-il une éternité.
Laure relâcha mes lèvres et s’écarta de moi, puis se couvrit le corps d’huile au parfum de cannelle, puis le corps luisant, elle se leva.
En voyant sa silhouette, je me dis que la femme d’à côté ne supporterait pas plus longtemps d’être loin de nous, surtout que Laure prenait des poses subjectives et montrait les moindres détails de son corps à la femme.
Il n’en fallut pas plus pour qu’elle fasse signe à Laure de la rejoindre et vienne s’installer près d’elle, Laure arrêta sa manœuvre et se rapprocha de la femme pour se mettre près d’elle et se laisser embrasser sur les lèvres, le menton, le cou et les seins.
La brune observa Laure, penchée sur ses seins gonflés de désir, léchant leur galbe avec délicatesse. Puis, elle sentit la main de Laure glisser le long de sa jambe, s’infiltrer entre ses cuisses et venir masser son sexe du plat de la main.
Laure était très habile à ce jeu-là, et la brune commença à gémir doucement, se laissant faire avec plaisir, puis d’un doigt agile Laure s’attaqua au clitoris de la brune qui s’arqua aussitôt sous la caresse intime que lui infligeait mon amante.
C’était visible, elles débordaient d’envie de se faire jouir, ce fut Laure qui lança l’offensive, elle repoussa lentement la brune et la fit s’allonger sur sa serviette de bains, sa bouche frôlant déjà l’intimité imberbe de la brune, puis Laure plongea sa langue entre les lèvres intimes de sa nouvelle amante qui s’offrait aux caresses, lui arrachant de doux gémissements et des flots de plaisir.
La brune prit ses seins dans ses mains et les malaxa au rythme des investigations de la langue de Laure.
Pendant un long moment elles se gouinèrent sans pudeur, se caressant la vulve de leur main et roulant l’une sur l’autre, je me suis approchée lentement et une fois près d’elles, alors que la brune chevauchait Laure, j’ai posé mes doigts sur l’intimité de la femme.
Lorsqu’elle sentit mon doigt glisser sur son intimité, elle comprit que dans la position où elle se trouvait, les fesses bien en l’air, elle avait, si ce n’était bien longtemps auparavant, réussi à attirer mon attention.
Elle se sentit embrasser et lécher sa raie, puis mon membre s’introduire dans sa fente. Elle devait me trouver massif en elle, tant elle était étroite et serré et dut retirer sa bouche de celle de Laure pour ne pas la mordre en hurlant.
J’entamais un lent va-et-vient systématique dans ce conduit si serré de la brune qui fut bien incapable de retenir ses cris, et préféra utiliser ses doigts pour faire jouir Laure.
Elles furent bientôt simultanément secouées par un orgasme, puis se ruèrent toutes les deux sur mon sexe dur, inondé des sécrétions intimes de notre amante brune, leurs langues allant et venant sur les veines gonflées de mon sexe, se rencontrant parfois.
Je caressais leurs cheveux en les incitant à continuer, puis je saisis Laure par la nuque et la fit s’allonger. J’entrais violemment en elle sous les regards enfiévrés de la brune, qui glissa sa main entre ses jambes.
Tout en se masturbant, elle suçait les seins de Laure et observait les mouvements de mon sexe allant et venant, humide du plaisir de Laure.
Puis, insatiable, je pris la brune avec la même violence sur le côté, embrassant alternativement la brune et Laure.
C’est alors que Laure me chuchota à l’oreille :
- J’ai envie de te voir l’enculer !
Alors faisant mettre notre complice à quatre pattes, je lui préparais le fion avant de la pénétrer par le cul. Elle cria beaucoup, de douleur d’abord, puis de plaisir ensuite, ,e cessant de répéter :
- Ohhh, comme c’est gros, tu m’éclates le cul !
Mais bientôt le plaisir s’empara de la brune, lorsqu’elle jouit en hurlant alors que je me déversais en elle.
Nous avons été nous baigner, puis allongées sur nos serviette nos avons parlé un peu, tout en se caressant mutuellement.
Elle s’appelait Claire et était de la région et venait souvent l’après-midi bronzer sur cette page et profiter des occasions qui se présentaient.
Elle était célibataire depuis maintenant près d’un an, après trois ans avec son ami qu’elle avait quitté, suite à son infidélité. Mais depuis Claire avait compris qu’il fallait profiter de chaque instant sans se poser de question, et nous avoua que de faire l’amour sans un mot comme nous venions de le faire, lui avait procuré un intense plaisir et qu’elle aimerait bien finir la journée en notre compagnie.
- Je vous invite à diner au restaurant, nous dit-elle.
Nous avons bien sûr accepté, alors Claire rajouta :
- Et nous pourrons finir la nuit ensembles.
- Ohhh, mais bien sûr, dis Laure.
« Lorsque Claire rentra chez elle pour se changer et avant de venir nous retrouver pour la soirée, elle se sentait changée, cette nouvelle aventure lui avait ouvert les yeux, elle la femme si réservée s’était donnée offerte à deux inconnues dont l’une était transexuelle.
Sous sa mini-jupe, elle ne portait rien, pour la première fois de sa vie, elle s’était laissé enculer par une transexuelle qu’elle ne connaissait même pas une heure auparavant et bien que cette sodomie l’avait un peu irritée, elle n’en gardait qu’un heureux souvenir et se sentait prête à recommencer, elle allait passer une bonne soirée en présence de ses deux nouvelles complices et espérait secrètement que la nuit lui laisserait qu’un bon souvenir ».
Arrivées à l’hôtel, Laure remonta rapidement dans sa chambre, elle se changea pour passer une robe blanche moulante qui du fait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge laissait deviner sa poitrine et ses bouts de seins, et décida de ne pas mettre de culotte, ainsi elle pourrait s’offrir dès que l’occasion se présenterait.
Pour ma part, j’ai passé une jupe fendue et un corsage transparent, poitrine libre, et un string contenant avec difficulté mon sexe qui ne demandait qu’à s’en échapper.
Nous nous sommes toutes les trois retrouvées dans la salle de restaurant de l’hôtel et sitôt assises, Laure demanda à Claire :
- Alors ? C’était bien cet après-midi ?
- Divin, réplique Claire.
Laure lui sourit et la prit par la main pour lui faire sentir ses désirs.
- Je ne m’attendais pas à te voir habiller ainsi, surtout avec le joli petit cul que tu as, tu vas attirer les convoitises des mâles présents, dis-je.
Claire me regarda avec des yeux vicieux en me disant :
- C’est qu’il est resté entrouvert depuis cet après-midi.
- Claire avait passé une robe si transparente que rien de son anatomie n’était caché, la robe moulait ses fesses de façon indécente et au travers du tissu on pouvait deviner son pubis glabre, mais cela n’avait l’air de la gêner, bien au contraire.
Avec Laure nous sommes restées silencieuses et Claire s’inquiéta :
- Qu’est-ce qu’il y a ? C’est si horrible que ça ?
- Oh non, dis-je, mais tu es très provocante ainsi habillée et en te regardant j’ai juste eue une petite érection, c’est tout…
Claire ajouta :
- Je me suis lubrifiée avant de venir, ainsi quand tu voudras tu pourras me prendre.
Tout naturellement elle me disait en me regardant droit dans les yeux, puis regardant Laure, elle aouta :
- Toi aussi d’ailleurs, je suis certaine que tu dois avoir un gode ceinture.
- Tu aimes qu’une femme te prenne, demanda Laure.
- Oui, c’est vraiment très bon.
Claire éclata de rire en regardant Laure et nous avons diné en parlant que de sexe.
Après le diner nous sommes montées dans la chambre de Laure et tout naturellement elles se retrouvèrent bientôt allongées, sur le lit, l’une sur l’autre, leurs lèvres collées et leurs langues jouant ensemble. Elles respiraient leurs parfums respectifs et goûtaient leurs salives. Il n’y avait plus rien d’important hormis l’instant présent...
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