Leslie VN 14
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie VN 14
Leslie VN14 – Vacances naturistes, Sylvie, suite
Avant d’aller me coucher, je passe dans la salle de bains, histoire de me faire une petite toilette. Je me suis déshabillée et je me suis enroulée dans une serviette avant de regagner notre chambre commune.
Arrivée devant mon lit, tournant le dos à Sylvie, je défais la serviette et prends ma chemise de nuit pour la passer, je suis persuadée qu’elle me regarde, troublée je n’arrive pas à l’enfiler et je m’énerve un peu.
Sans que je ne m’en aperçoive, Sylvie, nue, s’est levée et me serre contre elle :- Laisses, nous serons bien mieux nues, ma chérie.
Sans que je réagisse, elle a pris un de mes seins dans une main et me plaque, avec l’autre, contre elle par une pression sur mon ventre. Je suis tétanisée et reste immobile dans les bras de mon amie ne sachant quoi faire. Elle ne me force pas, elle me retient seulement en douceur plaquée contre elle
Je sens en moi le désir, ce désir de l’inconnu, je sais que je suis prête à me laisser emmener dans le saphisme par Sylvie, car lorsque sa main m’a touchée une onde électrique m’a parcourue et quand j’ai senti son corps nu se plaquer contre le mien dans mon dos, je sais que j’ai aimée. C’est pourquoi à cet instant, jeune fille perdue, j’attends pour me laisser emporter.
Voyant mon peu de résistance Sylvie me retourne sans effort, plaquant ses seins contre les miens, Sylvie me serre contre elle tout en m’embrassant fougueusement à pleine bouche.
Je reste immobile les lèvres légèrement entrouvertes favorisant l’introduction de sa langue dans ma bouche, je suis totalement passive à la merci totale de mon amie qui peux faire de moi ce qu’elle veut, elle doit se douter que je suis trempée et que mon corps en émoi est à sa disposition, offert.
Voilà, trop heureuse de me sentir m’abandonner, elle me fit l’amour.
Laure à cet instant s’arrête dans son récit comme si celui-ci était terminé, mais excitée par ses propos j’en voulais plus.
- Bon, dis-je à Laure, et les détails de cette nuit où elle t’a fait l’amour.
- Attends, me répond Laure, voilà la suite en détail.
Sylvie, m’ayant retournée, est devant moi, elle me caresse les seins d’une main tandis que nos lèvres sont collées dans un baiser ou je m’abandonne, Sylvie d’ailleurs en profite pour mélanger sa langue à la mienne.
Je ne résiste pas, quand une de ses mains vient se placer entre mes cuisses et me caresse légèrement du bout des doigts, comme pour sentir si je mouille pour elle, puis elle me renverse sur le lit. Délaissant un moment ma bouche, elle me couvre le corps de baisers, en délaissant mon bas-ventre, mais en s’arrêtant à ma poitrine où ses lèvres et sa langue s’occupent de mes seins qui sont durs et dont les pointes sont érigées.
Elle les malaxe, les triture à m’en faire mal, mais c’est une vague de plaisir qui monte en moi me donnant le souffle court et inondant, j’en suis certaine, mon sexe.
Alors, à cet instant, elle redescend le long de mon ventre et attend que je reprenne mon souffle pour s’attaquer à mon sexe. Puis elle appuie sa bouche sur mes lèvres vaginales pour qu’elles s’ouvrent naturellement. Je sens sa langue s’agiter sur mes grandes lèvres, puis mes petites lèvres, sa langue s’insinue en moi. Voyant sans doute que mon clitoris est sorti de son petit capuchon, elle joue avec et le prend entre ses doigts pour le caresser. Une vague de jouissance me submerge et m’engloutit et aussitôt elle vient coller son corps contre mien pour m’embrasser, à nouveau, à pleine bouche.
Elle ne reprend les caresses intimes que lorsque j’ai repris mon calme, elle me met sur le dos et s’installe confortablement la tête entre mes jambes légèrement relevées.
Elle caresse mon corps, les yeux fermés je frémis tant la sensation est délicieuse.
Puis tout en jouant de sa langue sur mon clitoris elle enfonce délicatement un doigt dans mon vagin, maintenant, largement ouvert. Elle explore mes entrailles de son doigt et je ne peux me retenir plus longtemps et je jouis à nouveau.
Je pousse un cri déchirant en enserrant la tête de ma compagne entre mes jambes, une jouissance intense et dévastatrice m’emporte.
Peu de temps après, une fois remise de mes émotions, étant consciente que Sylvie n’a pas encore joui, je veux lui donner son plaisir en remerciement du mien qu’elle vient de me donner.
Faisant les mêmes caresses je tente de l’emporter, mais Sylvie sait bien mieux que moi contrôler son plaisir, et je pense que cela ne va pas être facile pour l’emmener dans un plaisir intense.
Après avoir caressé ses seins longuement et en agaçant les pointes érigées sous l’effet de l’excitation, je dirige ma tête vers son ventre. Je découvre de près son sexe glabre. Les lèvres sont fines et déjà gonflées par le plaisir, d’un coup de langue je les ouvre délicatement, tirant de ma chérie un petit gémissement. Son clitoris s’offre à moi, érigé et sorti de son capuchon, j’humecte mes doigts de ses sécrétions qui suintent de ses muqueuses et prends le bouton que je branle comme je l’aurais fait avec un minuscule sexe d’homme.
Le souffle de Sylvie se fait d’un seul coup plus court. Elle me prend par les cheveux et m’écarte de son clitoris pour lui épargner un orgasme trop rapide en disant :- Tu sais y faire ma jolie !
Je m’applique sur ses lèvres que je lèche avec douceur, puis humectant un doigt, je le dirige vers son anus. L’anneau est tendu mais pas inviolable, ni certainement inviolé, une caresse de la langue a tôt fait de détendre les chairs et de faire glousser Sylvie.
Je lance alors mon doigt dans son anus, ce qui fait sursauter ma complice qui ne proteste pas. Je vais et viens dans la gaine étroite qui enserre mon doigt et je sens les contractions de son sphincter autour de mon doigt inquisiteur.
De l’autre main, c’est son vagin que j’investis de trois doigts qui rentrent facilement tant elle est ouverte, accueillante et humide.
Après quelques minutes de cette double pénétration, Sylvie se cabre, ressert ses muscles sur mes mains et jouit intensément. Le spectacle est magnifique. Elle crie son plaisir tandis qu’elle arrose ma main de sa jouissance et reste tétanisée sur le lit.
J’attends un instant avant de plonger ma langue sur son clitoris et le lécher comme une folle la faisant se cambrer dans un orgasme qui l’emporte.
Nous reposons un moment ainsi moi, la tête entre ses jambes, et elle reprenant ses esprits, alors elle me dit :- Tu m’as fait jouir comme une dingue !
Nos jeux et notre complicité ne font que commencer, nos corps ne vont plus avoir de secret l’une pour l’autre, alors nous décidons de vivre nues pour profiter à chaque instant de nos corps et être libre, sans entrave, pour nos caresses et nos jeux saphiques.
Nous nous endormons blotties l’une contre l’autre après s’être caressées et embrassées sans retenues.
Le lendemain au petit déjeuner, Sylvie profite de ma nudité pour me caresser la vulve du bout des doigts pendant que je sers le café, en me disant :Il faut t’épiler la chatte, ma chérie, je te veux dans le plus simple appareil.
Cette proposition me plait, et je me dis que je me laisserais bien tenter si Sylvie voulait le faire.
A suivre…
Avant d’aller me coucher, je passe dans la salle de bains, histoire de me faire une petite toilette. Je me suis déshabillée et je me suis enroulée dans une serviette avant de regagner notre chambre commune.
Arrivée devant mon lit, tournant le dos à Sylvie, je défais la serviette et prends ma chemise de nuit pour la passer, je suis persuadée qu’elle me regarde, troublée je n’arrive pas à l’enfiler et je m’énerve un peu.
Sans que je ne m’en aperçoive, Sylvie, nue, s’est levée et me serre contre elle :- Laisses, nous serons bien mieux nues, ma chérie.
Sans que je réagisse, elle a pris un de mes seins dans une main et me plaque, avec l’autre, contre elle par une pression sur mon ventre. Je suis tétanisée et reste immobile dans les bras de mon amie ne sachant quoi faire. Elle ne me force pas, elle me retient seulement en douceur plaquée contre elle
Je sens en moi le désir, ce désir de l’inconnu, je sais que je suis prête à me laisser emmener dans le saphisme par Sylvie, car lorsque sa main m’a touchée une onde électrique m’a parcourue et quand j’ai senti son corps nu se plaquer contre le mien dans mon dos, je sais que j’ai aimée. C’est pourquoi à cet instant, jeune fille perdue, j’attends pour me laisser emporter.
Voyant mon peu de résistance Sylvie me retourne sans effort, plaquant ses seins contre les miens, Sylvie me serre contre elle tout en m’embrassant fougueusement à pleine bouche.
Je reste immobile les lèvres légèrement entrouvertes favorisant l’introduction de sa langue dans ma bouche, je suis totalement passive à la merci totale de mon amie qui peux faire de moi ce qu’elle veut, elle doit se douter que je suis trempée et que mon corps en émoi est à sa disposition, offert.
Voilà, trop heureuse de me sentir m’abandonner, elle me fit l’amour.
Laure à cet instant s’arrête dans son récit comme si celui-ci était terminé, mais excitée par ses propos j’en voulais plus.
- Bon, dis-je à Laure, et les détails de cette nuit où elle t’a fait l’amour.
- Attends, me répond Laure, voilà la suite en détail.
Sylvie, m’ayant retournée, est devant moi, elle me caresse les seins d’une main tandis que nos lèvres sont collées dans un baiser ou je m’abandonne, Sylvie d’ailleurs en profite pour mélanger sa langue à la mienne.
Je ne résiste pas, quand une de ses mains vient se placer entre mes cuisses et me caresse légèrement du bout des doigts, comme pour sentir si je mouille pour elle, puis elle me renverse sur le lit. Délaissant un moment ma bouche, elle me couvre le corps de baisers, en délaissant mon bas-ventre, mais en s’arrêtant à ma poitrine où ses lèvres et sa langue s’occupent de mes seins qui sont durs et dont les pointes sont érigées.
Elle les malaxe, les triture à m’en faire mal, mais c’est une vague de plaisir qui monte en moi me donnant le souffle court et inondant, j’en suis certaine, mon sexe.
Alors, à cet instant, elle redescend le long de mon ventre et attend que je reprenne mon souffle pour s’attaquer à mon sexe. Puis elle appuie sa bouche sur mes lèvres vaginales pour qu’elles s’ouvrent naturellement. Je sens sa langue s’agiter sur mes grandes lèvres, puis mes petites lèvres, sa langue s’insinue en moi. Voyant sans doute que mon clitoris est sorti de son petit capuchon, elle joue avec et le prend entre ses doigts pour le caresser. Une vague de jouissance me submerge et m’engloutit et aussitôt elle vient coller son corps contre mien pour m’embrasser, à nouveau, à pleine bouche.
Elle ne reprend les caresses intimes que lorsque j’ai repris mon calme, elle me met sur le dos et s’installe confortablement la tête entre mes jambes légèrement relevées.
Elle caresse mon corps, les yeux fermés je frémis tant la sensation est délicieuse.
Puis tout en jouant de sa langue sur mon clitoris elle enfonce délicatement un doigt dans mon vagin, maintenant, largement ouvert. Elle explore mes entrailles de son doigt et je ne peux me retenir plus longtemps et je jouis à nouveau.
Je pousse un cri déchirant en enserrant la tête de ma compagne entre mes jambes, une jouissance intense et dévastatrice m’emporte.
Peu de temps après, une fois remise de mes émotions, étant consciente que Sylvie n’a pas encore joui, je veux lui donner son plaisir en remerciement du mien qu’elle vient de me donner.
Faisant les mêmes caresses je tente de l’emporter, mais Sylvie sait bien mieux que moi contrôler son plaisir, et je pense que cela ne va pas être facile pour l’emmener dans un plaisir intense.
Après avoir caressé ses seins longuement et en agaçant les pointes érigées sous l’effet de l’excitation, je dirige ma tête vers son ventre. Je découvre de près son sexe glabre. Les lèvres sont fines et déjà gonflées par le plaisir, d’un coup de langue je les ouvre délicatement, tirant de ma chérie un petit gémissement. Son clitoris s’offre à moi, érigé et sorti de son capuchon, j’humecte mes doigts de ses sécrétions qui suintent de ses muqueuses et prends le bouton que je branle comme je l’aurais fait avec un minuscule sexe d’homme.
Le souffle de Sylvie se fait d’un seul coup plus court. Elle me prend par les cheveux et m’écarte de son clitoris pour lui épargner un orgasme trop rapide en disant :- Tu sais y faire ma jolie !
Je m’applique sur ses lèvres que je lèche avec douceur, puis humectant un doigt, je le dirige vers son anus. L’anneau est tendu mais pas inviolable, ni certainement inviolé, une caresse de la langue a tôt fait de détendre les chairs et de faire glousser Sylvie.
Je lance alors mon doigt dans son anus, ce qui fait sursauter ma complice qui ne proteste pas. Je vais et viens dans la gaine étroite qui enserre mon doigt et je sens les contractions de son sphincter autour de mon doigt inquisiteur.
De l’autre main, c’est son vagin que j’investis de trois doigts qui rentrent facilement tant elle est ouverte, accueillante et humide.
Après quelques minutes de cette double pénétration, Sylvie se cabre, ressert ses muscles sur mes mains et jouit intensément. Le spectacle est magnifique. Elle crie son plaisir tandis qu’elle arrose ma main de sa jouissance et reste tétanisée sur le lit.
J’attends un instant avant de plonger ma langue sur son clitoris et le lécher comme une folle la faisant se cambrer dans un orgasme qui l’emporte.
Nous reposons un moment ainsi moi, la tête entre ses jambes, et elle reprenant ses esprits, alors elle me dit :- Tu m’as fait jouir comme une dingue !
Nos jeux et notre complicité ne font que commencer, nos corps ne vont plus avoir de secret l’une pour l’autre, alors nous décidons de vivre nues pour profiter à chaque instant de nos corps et être libre, sans entrave, pour nos caresses et nos jeux saphiques.
Nous nous endormons blotties l’une contre l’autre après s’être caressées et embrassées sans retenues.
Le lendemain au petit déjeuner, Sylvie profite de ma nudité pour me caresser la vulve du bout des doigts pendant que je sers le café, en me disant :Il faut t’épiler la chatte, ma chérie, je te veux dans le plus simple appareil.
Cette proposition me plait, et je me dis que je me laisserais bien tenter si Sylvie voulait le faire.
A suivre…
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