Leslie VN20
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie VN20
Leslie VN20 – Vacances naturistes, Christine et Sylvie, suite
Ce soir-là nous nous sommes retrouvées dans la villa pour faire la fête avec Sylvie et
Christine, Didier et Maude devant partir le lendemain matin de bonne heure partirent
se coucher sitôt le diner terminé.
Nous nous sommes retrouvées toutes les quatre, avec Laure, pour boire un verre dans le
patio, ayant un peu bues nous étions passablement gaies et rigolions pour un rien,
installées dans les chaises longues et ce dans une nudité intégrale.
C’est Sylvie qui posa la question à Laure :
- Dis-moi, ma chérie, tu as trouvé une perle en Leslie !
- Qu’entends-tu par-là ? Demanda Laure.
- Une femme pour le Lesbos et un homme pour l’hétéro, deux en un.
- Et alors, tu es jalouse, dis Laure.
- Pas du tout, répliqua Sylvie, mais avec Christine nous aimerions expérimenter
une nouvelle expérience.
En disant cela, elle se leva et s’approcha de moi en rajoutant :
- Surtout que je ne te connais pas jalouse !
Sylvie, après s’être assise près de moi prit mon sexe en main et le branla afin de me
faire bander, ce qui ne tarda pas car Sylvie savait faire, Laure regardait sans dire
un mot et de son côté Christine commençait à se caresser.
Alors Sylvie me prit par la main, elle s’allongea sur le tapis les cuisses grandes
ouvertes m’entrainant avec elle en me disant :
- Suce-moi comme une petite salope qui n’attend que cela.
Je m’installai la tête dans la fourche ses jambes et je m’exécutai la faisant feuler
de plaisir.
Sylvie après quelques instants se place près de moi, s’allongeant à mes côtés prend
mon sexe entre ses lèvres pour me sucer comme une chatte en chaleur.
Christine, pendant ce temps-là s’étant rapprochée de Laure se faisait faire minette
par celle-ci, le clitoris dardé sous les caresses de la langue de mon amante, qui
prenait elle aussi un certain plaisir de la situation.
Placée comme je suis-je ne perd pas une miette des ébats de mes deux autres amies.
Après avoir léchée la chatte de Christine pendant au moins dix minutes, Laure se
releva pour regarder son amante du moment, tout en continuant de lui caresser les
grandes lèvres et l’anus. Ce traitement met Christine hors d’elle, elle soupire et
geint tandis qu’une étrange chaleur s’empare d’elle, Christine se met à couler comme
une fontaine en gémissant son plaisir.
En plus, Christine ayant un clitoris hors norme qu’elle ne peut pas cacher à cet
instant, car excitée comme une puce son clitoris est en pleine érection. Il est comme
la moitié d’un petit doigt et il ressort d’entre ses grandes lèvres, le regarder
m’excite un maximum et me fait encore plus durcir entre les lèvres de Sophie, qui
s’arrêtant un instant me dit :
- Ça te plait de voir le clito de ma copine ?
- On dirait que tu prends du plaisir, dis Laure à son tour.
Et aussitôt, Laure reprend son traitement sur le bouton d’amour de Christine, qui
n’arrête pas de feuler un plaisir non dissimulé en s’exhibant impudiquement à nos
yeux. Je suis complètement pris par le spectacle et je délaisse quelque peu Sylvie.
Je ne peux retenir un râle quand profitant de cet instant Sylvie, m’enfonce
entièrement un de ses doigts dans ma rosette sans pour autant délaisser mon sexe
d’entre ses lèvres, j’ai feulé tant que c’était divin, elle me suça et me lécha avec
avidité, espérant me faire craquer au fond de sa gorge.
Sylvie est très menue, des petits seins magnifiques avec des aréoles brunes aux tétons
sensibles qui s’érigent vite sous les caresses, un petit cul bien bombé et ferme et,
bien sûr, pas l’ombre d’un poil.
Tout naturellement dans notre 69, nous avons roulées pour se retrouver elle dessus,
moi dessous, je dardais ma langue sur son bouton d’amour pendant qu’elle suçait mon
sexe. Elle m’introduisit à nouveau un doigt dans le cul et commença des va-et-vient
qui se firent de plus en plus rapides, j’étais aux anges et je ne pus pas retenir
longtemps les cris accompagnant ma première jouissance.
Nous avons continuées longtemps ainsi, ne nous occupant que de notre plaisir
respectif, je me suis occupée d’elle exclusivement, puis elle de moi, et chaque fois
nous prenions un pied délirant.
Après une bonne heure de ce traitement, Sylvie se redressa et assise commença à me
malaxer les seins. Mes tétons s’érigèrent aussitôt suite à ce traitement, alors elle
les pinça doucement, me faisant crier.
Puis Sylvie me coucha sur le dos et commença à me sucer le bout des seins. Mes tétons
étaient tellement durs que ça en était presque douloureux. Elle descendit ensuite
lentement vers le bas tout en continuant à me lécher. Arrivant enfin à mon membre elle
le reprit entre mes lèvres pour me sucer à nouveau.
Christine au comble de l’excitation devant ce qu’elle voyait délaissa Laure et se
rapprocha de nous et me présenta son clitoris érigé devant la bouche pour que je le
suce.
Pendant que je suçais Christine, Sylvie en profita pour m’enjamber et se positionner
au-dessus de moi, puis prenant mon membre en main elle le guida pour s’empaler sur mon
sexe érigé en feulant doucement.
Nous étions toutes les quatre excitées comme des puces et nous en voulions encore
plus, surtout Sylvie et Christine qui voulaient profitées de ce moment avec moi.
Laure, laissée seule un moment, s’équipait tranquillement d’un gode ceinture en disant
à l’intention de Christine :
- Ma chérie une fois harnachée je vais te sodomiser et t’ouvrir le petit trou
pour que Leslie te prenne à son tour.
Harnachée en un rien de temps, Laure avec ce phallus fictif de fort belle taille,
paraissait belle tout autant que redoutable.
Laure présenta le pal à la bouche de Christine pour qu’elle le suce un peu, tel un
membre de mâle, et le lubrifier avant de l’enculer. Bien que Christine résiste un peu,
Laure l’obligea à s’exécuter.
Sylvie, sur moi, ne fut pas longue à se prendre l’œillet, elle commença par se
mouiller abondamment la rondelle de sa salive, puis s’aidant à nouveau de la main,
elle guida mon sexe pour se le fourrer dans son petit trou.
Je ressentis une douce chaleur m’envahir tout le bas ventre au moment où elle commença
à s’enculer, elle positionna mon sexe sur son petit trou et commença à descendre
doucement, son sphincter résista quelques secondes puis je le sentis céder et mon sexe
entra dans son boyau. Elle fit une courte pause pour me laisser le temps de s’habituer
à cette intrusion puis lentement, elle s’enfonça sur moi jusqu’à se rentrer mon membre
entièrement en elle.
La tension était à son comble, Sylvie s’enculait sur moi me faisant gémir de plaisir,
tout en suçant Christine.
Je sentais le cul de Sylvie se resserrer tel un étau sur ma queue et le plaisir me
gagna à nouveau, j’étais au bord de remplir le boyau de Sylvie de ma jouissance.
Christine à genoux sur le tapis son sexe au-dessus de ma tête, allait maintenant se
faire enculer. Laure se positionna derrière elle et posant mon membre sur sa rosette
l’empala d’un coup, placer comme je l’étais je voyais la rondelle de Christine toute
dilatée par le pal.
- Non ! Hurla-t-elle, pas par là.
Mais Laure ancrée en elle la maintenait par les hanches et elle ne put s’échapper de
son étreinte.
Christine enculée par le gode de Laure et Sylvie empalée sur moi, la scène était
chaude.
- Oh comme je suis bien enculée, dis Sylvie.
- T’es bien un salope d’enculée, dis Christine entre deux râles.
Laure entrais et sortais sans cesse son pal du cul de Christine qui râlait, alors que
pendant tout ce temps Sylvie prenait ouvertement son pied.
Christine ne bougeait plus, comme terrassée par la sodomie que Laure lui infligeait et
l’acceptant malgré tout.
Sylvie commença alors à se retirer doucement de moi en me demandant de venir la
prendre en levrette, après mettre extirpée de dessous de Christine, je me plaçais
derrière Sylvie qui déjà en place le cul cambré n’attendait que ma pénétration dans
son boyau intime.
Christine, sous les assauts de mon amante eue un orgasme en jouissant du cul, tandis
que de mon côté je prenais un pied d’enfer en enculant son amante, très vite Sylvie se
mit à hurler son plaisir en disant :
- Ohhh, je jouis du cul, c’est trop bon !
Puis après avoir jouis dans les entrailles de Sylvie nous sommes allées dans notre
chambre entrainant Sylvie et Christine avec nous et nous nous sommes endormies
enlacées toutes les quatre.
A suivre…
Ce soir-là nous nous sommes retrouvées dans la villa pour faire la fête avec Sylvie et
Christine, Didier et Maude devant partir le lendemain matin de bonne heure partirent
se coucher sitôt le diner terminé.
Nous nous sommes retrouvées toutes les quatre, avec Laure, pour boire un verre dans le
patio, ayant un peu bues nous étions passablement gaies et rigolions pour un rien,
installées dans les chaises longues et ce dans une nudité intégrale.
C’est Sylvie qui posa la question à Laure :
- Dis-moi, ma chérie, tu as trouvé une perle en Leslie !
- Qu’entends-tu par-là ? Demanda Laure.
- Une femme pour le Lesbos et un homme pour l’hétéro, deux en un.
- Et alors, tu es jalouse, dis Laure.
- Pas du tout, répliqua Sylvie, mais avec Christine nous aimerions expérimenter
une nouvelle expérience.
En disant cela, elle se leva et s’approcha de moi en rajoutant :
- Surtout que je ne te connais pas jalouse !
Sylvie, après s’être assise près de moi prit mon sexe en main et le branla afin de me
faire bander, ce qui ne tarda pas car Sylvie savait faire, Laure regardait sans dire
un mot et de son côté Christine commençait à se caresser.
Alors Sylvie me prit par la main, elle s’allongea sur le tapis les cuisses grandes
ouvertes m’entrainant avec elle en me disant :
- Suce-moi comme une petite salope qui n’attend que cela.
Je m’installai la tête dans la fourche ses jambes et je m’exécutai la faisant feuler
de plaisir.
Sylvie après quelques instants se place près de moi, s’allongeant à mes côtés prend
mon sexe entre ses lèvres pour me sucer comme une chatte en chaleur.
Christine, pendant ce temps-là s’étant rapprochée de Laure se faisait faire minette
par celle-ci, le clitoris dardé sous les caresses de la langue de mon amante, qui
prenait elle aussi un certain plaisir de la situation.
Placée comme je suis-je ne perd pas une miette des ébats de mes deux autres amies.
Après avoir léchée la chatte de Christine pendant au moins dix minutes, Laure se
releva pour regarder son amante du moment, tout en continuant de lui caresser les
grandes lèvres et l’anus. Ce traitement met Christine hors d’elle, elle soupire et
geint tandis qu’une étrange chaleur s’empare d’elle, Christine se met à couler comme
une fontaine en gémissant son plaisir.
En plus, Christine ayant un clitoris hors norme qu’elle ne peut pas cacher à cet
instant, car excitée comme une puce son clitoris est en pleine érection. Il est comme
la moitié d’un petit doigt et il ressort d’entre ses grandes lèvres, le regarder
m’excite un maximum et me fait encore plus durcir entre les lèvres de Sophie, qui
s’arrêtant un instant me dit :
- Ça te plait de voir le clito de ma copine ?
- On dirait que tu prends du plaisir, dis Laure à son tour.
Et aussitôt, Laure reprend son traitement sur le bouton d’amour de Christine, qui
n’arrête pas de feuler un plaisir non dissimulé en s’exhibant impudiquement à nos
yeux. Je suis complètement pris par le spectacle et je délaisse quelque peu Sylvie.
Je ne peux retenir un râle quand profitant de cet instant Sylvie, m’enfonce
entièrement un de ses doigts dans ma rosette sans pour autant délaisser mon sexe
d’entre ses lèvres, j’ai feulé tant que c’était divin, elle me suça et me lécha avec
avidité, espérant me faire craquer au fond de sa gorge.
Sylvie est très menue, des petits seins magnifiques avec des aréoles brunes aux tétons
sensibles qui s’érigent vite sous les caresses, un petit cul bien bombé et ferme et,
bien sûr, pas l’ombre d’un poil.
Tout naturellement dans notre 69, nous avons roulées pour se retrouver elle dessus,
moi dessous, je dardais ma langue sur son bouton d’amour pendant qu’elle suçait mon
sexe. Elle m’introduisit à nouveau un doigt dans le cul et commença des va-et-vient
qui se firent de plus en plus rapides, j’étais aux anges et je ne pus pas retenir
longtemps les cris accompagnant ma première jouissance.
Nous avons continuées longtemps ainsi, ne nous occupant que de notre plaisir
respectif, je me suis occupée d’elle exclusivement, puis elle de moi, et chaque fois
nous prenions un pied délirant.
Après une bonne heure de ce traitement, Sylvie se redressa et assise commença à me
malaxer les seins. Mes tétons s’érigèrent aussitôt suite à ce traitement, alors elle
les pinça doucement, me faisant crier.
Puis Sylvie me coucha sur le dos et commença à me sucer le bout des seins. Mes tétons
étaient tellement durs que ça en était presque douloureux. Elle descendit ensuite
lentement vers le bas tout en continuant à me lécher. Arrivant enfin à mon membre elle
le reprit entre mes lèvres pour me sucer à nouveau.
Christine au comble de l’excitation devant ce qu’elle voyait délaissa Laure et se
rapprocha de nous et me présenta son clitoris érigé devant la bouche pour que je le
suce.
Pendant que je suçais Christine, Sylvie en profita pour m’enjamber et se positionner
au-dessus de moi, puis prenant mon membre en main elle le guida pour s’empaler sur mon
sexe érigé en feulant doucement.
Nous étions toutes les quatre excitées comme des puces et nous en voulions encore
plus, surtout Sylvie et Christine qui voulaient profitées de ce moment avec moi.
Laure, laissée seule un moment, s’équipait tranquillement d’un gode ceinture en disant
à l’intention de Christine :
- Ma chérie une fois harnachée je vais te sodomiser et t’ouvrir le petit trou
pour que Leslie te prenne à son tour.
Harnachée en un rien de temps, Laure avec ce phallus fictif de fort belle taille,
paraissait belle tout autant que redoutable.
Laure présenta le pal à la bouche de Christine pour qu’elle le suce un peu, tel un
membre de mâle, et le lubrifier avant de l’enculer. Bien que Christine résiste un peu,
Laure l’obligea à s’exécuter.
Sylvie, sur moi, ne fut pas longue à se prendre l’œillet, elle commença par se
mouiller abondamment la rondelle de sa salive, puis s’aidant à nouveau de la main,
elle guida mon sexe pour se le fourrer dans son petit trou.
Je ressentis une douce chaleur m’envahir tout le bas ventre au moment où elle commença
à s’enculer, elle positionna mon sexe sur son petit trou et commença à descendre
doucement, son sphincter résista quelques secondes puis je le sentis céder et mon sexe
entra dans son boyau. Elle fit une courte pause pour me laisser le temps de s’habituer
à cette intrusion puis lentement, elle s’enfonça sur moi jusqu’à se rentrer mon membre
entièrement en elle.
La tension était à son comble, Sylvie s’enculait sur moi me faisant gémir de plaisir,
tout en suçant Christine.
Je sentais le cul de Sylvie se resserrer tel un étau sur ma queue et le plaisir me
gagna à nouveau, j’étais au bord de remplir le boyau de Sylvie de ma jouissance.
Christine à genoux sur le tapis son sexe au-dessus de ma tête, allait maintenant se
faire enculer. Laure se positionna derrière elle et posant mon membre sur sa rosette
l’empala d’un coup, placer comme je l’étais je voyais la rondelle de Christine toute
dilatée par le pal.
- Non ! Hurla-t-elle, pas par là.
Mais Laure ancrée en elle la maintenait par les hanches et elle ne put s’échapper de
son étreinte.
Christine enculée par le gode de Laure et Sylvie empalée sur moi, la scène était
chaude.
- Oh comme je suis bien enculée, dis Sylvie.
- T’es bien un salope d’enculée, dis Christine entre deux râles.
Laure entrais et sortais sans cesse son pal du cul de Christine qui râlait, alors que
pendant tout ce temps Sylvie prenait ouvertement son pied.
Christine ne bougeait plus, comme terrassée par la sodomie que Laure lui infligeait et
l’acceptant malgré tout.
Sylvie commença alors à se retirer doucement de moi en me demandant de venir la
prendre en levrette, après mettre extirpée de dessous de Christine, je me plaçais
derrière Sylvie qui déjà en place le cul cambré n’attendait que ma pénétration dans
son boyau intime.
Christine, sous les assauts de mon amante eue un orgasme en jouissant du cul, tandis
que de mon côté je prenais un pied d’enfer en enculant son amante, très vite Sylvie se
mit à hurler son plaisir en disant :
- Ohhh, je jouis du cul, c’est trop bon !
Puis après avoir jouis dans les entrailles de Sylvie nous sommes allées dans notre
chambre entrainant Sylvie et Christine avec nous et nous nous sommes endormies
enlacées toutes les quatre.
A suivre…
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