Leslie VN33
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie VN33
Leslie VN33 – Vacances naturistes, Pierre & Sophie se racontent, suite
Pierre continue le récit :
« Au réveil, je me sens tout excité à la pensée de notre future après-midi, je suis
déjà en érection. Je vais boire un verre d’eau. Le bruit de la fermeture éclair a
réveillé Sophie et quand je rentre dans la chambre, elle soulève sa nuisette et
découvre son corps magnifiquement nu et imberbe. Elle me demande :
- Je te plais ?
- Devine ! Dis-je en lui montrant mon sexe érigé.
- Tu ne vas pas m’enculer de bon matin, me demande-t-elle.
Je me mets à genoux à côté d’elle et caresse son mont de vénus. Elle écarte aussitôt
les jambes pour me donner accès à son intimité. Je m’empresse de passer la main sur
ses lèvres lisses, ensuite je la lèche, avec pour effet de la faire mouiller
intensément. Je remonte le long de son corps et lui embrasse le ventre, les seins, le
cou, les oreilles ; mon pénis se trouve à l’entrée de son puits d’amour et un coup de
rein me fraye un passage dans son sexe.
- Ohhh ! Dis Sophie surprise.
Je fais des mouvements de va-et-vient qui nous entraînent sur le chemin de la
jouissance.
Nous allons nous doucher, Sophie se retrouve pour la première fois plus nue que nue,
en plein jour devant des quasis inconnus. J’aperçois quelques regards dirigés en
direction de ma femme, très discrets comme d’habitude chez les naturistes. Les
personnes connues, que nous croisons, nous disent bonjour sans remarque particulière.
Pourtant elles ont dû remarquer que mon épouse était épilée.
De retour à la tente, je demande à Sophie :
- Alors quel effet cela fait-il ?
- En fait, au début j’étais un peu gênée, mais l’attitude de nos voisins m’a
rassurée et puis je ne suis pas la seule. Je trouve très agréable, un peu comme quand
je suis nue sous une robe.
Après le petit-déjeuner nous nous rendons à notre lieu de prédilection, espérant y
retrouver notre voyeur. En chemin, j’admire la plastique de Sophie, ses petites fesses
fermes qui bougent régulièrement au rythme de ses pas, puis dépassant Sophie j’admire
un moment ses seins et sa fente intime aux lèvres bien dessinées.
Arrivés, nous nous installons et allons-nous baigner, ce qui est l’occasion pour moi
de caresser à nouveau le corps de Sophie dont je ne me lasse pas, la douceur de son
ventre et celle de son pubis glabre.
Dans l’eau j’ai envie de lui faire l’amour, mais Sophie se refuse, alors nous sortons
de l’eau pour nous allonger er profiter du soleil.
A peu près une heure plus tard, où nous avons alterné baignade, lecture, caresses, je
dis à mon épouse :
- Caresses-toi pendant que je fais mine de dormir, s’il arrive, ça va l’exciter
et il se montrera peut-être.
Je fais semblant de somnoler, tout en observant les alentours, et à un moment donné je
le vois arrivé, il ne se cache pas certainement persuadé que nous ne sommes pas encore
arrivés, puis il s’assit sur une pierre le long de la berge non loin de nous, et nous
voit.
Il ne se cache pas, son appareil photo en bandoulière, il nous observe.
Sophie est en train de se masturber les cuisses grandes ouvertes à la vue de notre
voyeur. Je l’ai surpris en me relevant et en l’interpellant, de surprise, il se lève
d’un bon et se met à rougir, puis je me suis rapproché de lui, alors il balbutie des
excuses.
Mais je le rassure aussitôt :
- Ne vous inquiétez pas, nous vous avons remarqué et nous vous avons fait ce
petit jeu afin de vous surprendre, ma femme tient absolument à vous connaître.
- Ah bon ! Mais j’ai un peu honte.
- Il ne faut pas, d’ailleurs nous vous attendions et elle est très contente que
vous soyez venu.
Il est plus grand que moi, bien musclé les cheveux châtains, le type d’homme que
Sophie trouve beau et apprécie, même si elle préfère les bruns, comme moi, il a un
sexe de bonne taille, circoncis, Sophie va certainement appréciée. ?
Nous nous rapprochons de Sophie qui est en train de se caresser, une main sur les
seins et l’autre sur son pubis.
Elle ouvre les yeux et se relève et je nous présente :
- Sophie, mon épouse, moi c’est Pierre.
- Et moi, Jacques, dit-il.
Je lui propose de s’asseoir, moi sur la serviette avec Sophie et lui sur la mienne, il
est presque face à mon épouse et comme elle s’est assise en tailleur, il a une vue
plongeante sur son entrecuisse. Je lui demande :
- Nous vous intéressons ?
- Non, enfin oui, je pensais bien vous trouver et faire de vous quelques photos.
- Et hier ? demande Sophie.
- Pareil mais je n’en ai pas eu le temps.
- Et vous êtes seul dans la vie ? Demande Sophie.
- Non, je suis avec ma compagne, mais elle n’aime pas trop marcher, surtout dans
cette tenue, aussi elle est restée au camp.
- Et vous photographiez les corps nus ? Demande Sophie.
- Euh ! Oui je l’avoue. J’ai une tendance à être voyeur, surtout avec une jolie
femme comme vous.
De se sentir admirée et complimentée a toujours plu à Sophie et je sens que la mise en
scène que nous avons faite à Jacques ne l’a pas laissée indifférente, ses mamelons
s’érigent imperceptiblement.
Je décide de provoquer les réactions de Jacques :
- Vous avez fait des photos de Sophie.
- Non vous ne m’en avez pas laissé le temps, c’est dommage.
- Vous me préférez hier ou aujourd’hui avec mon petit minou complètement lisse ?
Au ton de sa voix, je sens que l’excitation monte, je caresse un sein à l’aréole
durcie et descend vers son pubis que je trouve mouillé.
- Heu, disons aujourd’hui, j’adore les sexes imberbes.
En disant cela, les yeux rivés sur le sexe de Sophie, la réaction de Jacques ne se
fait pas attendre, son sexe durcit. À cette vue Sophie tend la main vers lui, la pose
sur sa cuisse et lui demande :
- Je vous plais ?
- Beaucoup, dit Jacques.
- Vous me plaisez aussi, dit Sophie, je pense que nous allons bien nous
entendre.
Elle pose une main sur son engin qui a pris une taille respectable en disant :
Effectivement je dois vous plaire !
Délicatement, je la saisis par les épaules et l’allonge sur la serviette.
Je commence par lui lécher les seins, puis descends vers son minou, je caresse son
clito doucement, j’introduis un doigt, je me mets à genoux devant elle pour la lécher,
ma langue fais le tour de ses lèvres humides qui s’écartent d’excitation, je remonte
et la pénètre de mon sexe tendu.
Jacques, nous regarde et se redressant sur ses genoux, il prend son appareil et fait
quelques clichés.
La position ne doit pas satisfaire Sophie, car elle me repousse doucement et me dit :
- Allonge-toi à ma place, je vais te chevaucher pour que notre ami profite mieux
de la situation.
Je m’allonge, elle se met à genoux au-dessus de moi, les jambes de part et d’autre de
mon corps, puis de la main guide mon sexe vers l’entrée de son puits d’amour.
Elle s’embroche sur mon sexe tendu en faisant signe à Jacques de s’approcher.
Debout il va vers elle et elle pour prendre son sexe entre ses lèvres et lui
administer une fellation.
Puis elle lâche Jacques, se penche vers moi et me dit à l’oreille :
- J’ai envie qu’il vienne dans mes fesses, tu veux bien ?
Sophie est excitée, c’est la première fois qu’elle va offrir son petit trou à un
inconnu, mais comment lui refuser ce plaisir.
Elle se relève, regarde Jacques et lui dit :
- Vient, encules-moi, prends mon petit trou !
Le tutoiement montre l’excitation de Sophie, mais Jacques se refuse en disant :
- Pardonnes-moi, mais je n’ai pas de préservatif.
- Merde, dit Sophie un peu frustrée, qu’elle manque de chance, pour la première
fois que je demande à un inconnu de m’enculer !
Jacques, lui caresse les fesses et lui doigte l’anus, elle jouit presque tout de suite
d’étonnement.
Puis elle se met sur le côté et m’attire derrière elle, en disant :
- Alors regarde comment mon homme va bien m’enculer !
Elle dirige mon sexe vers son anus et pousse pour le faire entrer, excitée comme elle
est, je rentre sans effort dans son petit trou. A coup de reins j’entame des va-et-
vient, Jacques se met à genoux devant sa bouche et les lèvres de Sophie s’ouvrent pour
le prendre en bouche.
Au moment où Jacques jouit au fond de la gorge de Sophie, j’éjacule au fond de ses
entrailles.
Peu de temps après Jacques nous quitte en disant :
- J’espère que nous nous reverrons, je passe souvent par ici !
Puis nous allons nous baigner et nous rentrons au camp. »
A suivre…
Pierre continue le récit :
« Au réveil, je me sens tout excité à la pensée de notre future après-midi, je suis
déjà en érection. Je vais boire un verre d’eau. Le bruit de la fermeture éclair a
réveillé Sophie et quand je rentre dans la chambre, elle soulève sa nuisette et
découvre son corps magnifiquement nu et imberbe. Elle me demande :
- Je te plais ?
- Devine ! Dis-je en lui montrant mon sexe érigé.
- Tu ne vas pas m’enculer de bon matin, me demande-t-elle.
Je me mets à genoux à côté d’elle et caresse son mont de vénus. Elle écarte aussitôt
les jambes pour me donner accès à son intimité. Je m’empresse de passer la main sur
ses lèvres lisses, ensuite je la lèche, avec pour effet de la faire mouiller
intensément. Je remonte le long de son corps et lui embrasse le ventre, les seins, le
cou, les oreilles ; mon pénis se trouve à l’entrée de son puits d’amour et un coup de
rein me fraye un passage dans son sexe.
- Ohhh ! Dis Sophie surprise.
Je fais des mouvements de va-et-vient qui nous entraînent sur le chemin de la
jouissance.
Nous allons nous doucher, Sophie se retrouve pour la première fois plus nue que nue,
en plein jour devant des quasis inconnus. J’aperçois quelques regards dirigés en
direction de ma femme, très discrets comme d’habitude chez les naturistes. Les
personnes connues, que nous croisons, nous disent bonjour sans remarque particulière.
Pourtant elles ont dû remarquer que mon épouse était épilée.
De retour à la tente, je demande à Sophie :
- Alors quel effet cela fait-il ?
- En fait, au début j’étais un peu gênée, mais l’attitude de nos voisins m’a
rassurée et puis je ne suis pas la seule. Je trouve très agréable, un peu comme quand
je suis nue sous une robe.
Après le petit-déjeuner nous nous rendons à notre lieu de prédilection, espérant y
retrouver notre voyeur. En chemin, j’admire la plastique de Sophie, ses petites fesses
fermes qui bougent régulièrement au rythme de ses pas, puis dépassant Sophie j’admire
un moment ses seins et sa fente intime aux lèvres bien dessinées.
Arrivés, nous nous installons et allons-nous baigner, ce qui est l’occasion pour moi
de caresser à nouveau le corps de Sophie dont je ne me lasse pas, la douceur de son
ventre et celle de son pubis glabre.
Dans l’eau j’ai envie de lui faire l’amour, mais Sophie se refuse, alors nous sortons
de l’eau pour nous allonger er profiter du soleil.
A peu près une heure plus tard, où nous avons alterné baignade, lecture, caresses, je
dis à mon épouse :
- Caresses-toi pendant que je fais mine de dormir, s’il arrive, ça va l’exciter
et il se montrera peut-être.
Je fais semblant de somnoler, tout en observant les alentours, et à un moment donné je
le vois arrivé, il ne se cache pas certainement persuadé que nous ne sommes pas encore
arrivés, puis il s’assit sur une pierre le long de la berge non loin de nous, et nous
voit.
Il ne se cache pas, son appareil photo en bandoulière, il nous observe.
Sophie est en train de se masturber les cuisses grandes ouvertes à la vue de notre
voyeur. Je l’ai surpris en me relevant et en l’interpellant, de surprise, il se lève
d’un bon et se met à rougir, puis je me suis rapproché de lui, alors il balbutie des
excuses.
Mais je le rassure aussitôt :
- Ne vous inquiétez pas, nous vous avons remarqué et nous vous avons fait ce
petit jeu afin de vous surprendre, ma femme tient absolument à vous connaître.
- Ah bon ! Mais j’ai un peu honte.
- Il ne faut pas, d’ailleurs nous vous attendions et elle est très contente que
vous soyez venu.
Il est plus grand que moi, bien musclé les cheveux châtains, le type d’homme que
Sophie trouve beau et apprécie, même si elle préfère les bruns, comme moi, il a un
sexe de bonne taille, circoncis, Sophie va certainement appréciée. ?
Nous nous rapprochons de Sophie qui est en train de se caresser, une main sur les
seins et l’autre sur son pubis.
Elle ouvre les yeux et se relève et je nous présente :
- Sophie, mon épouse, moi c’est Pierre.
- Et moi, Jacques, dit-il.
Je lui propose de s’asseoir, moi sur la serviette avec Sophie et lui sur la mienne, il
est presque face à mon épouse et comme elle s’est assise en tailleur, il a une vue
plongeante sur son entrecuisse. Je lui demande :
- Nous vous intéressons ?
- Non, enfin oui, je pensais bien vous trouver et faire de vous quelques photos.
- Et hier ? demande Sophie.
- Pareil mais je n’en ai pas eu le temps.
- Et vous êtes seul dans la vie ? Demande Sophie.
- Non, je suis avec ma compagne, mais elle n’aime pas trop marcher, surtout dans
cette tenue, aussi elle est restée au camp.
- Et vous photographiez les corps nus ? Demande Sophie.
- Euh ! Oui je l’avoue. J’ai une tendance à être voyeur, surtout avec une jolie
femme comme vous.
De se sentir admirée et complimentée a toujours plu à Sophie et je sens que la mise en
scène que nous avons faite à Jacques ne l’a pas laissée indifférente, ses mamelons
s’érigent imperceptiblement.
Je décide de provoquer les réactions de Jacques :
- Vous avez fait des photos de Sophie.
- Non vous ne m’en avez pas laissé le temps, c’est dommage.
- Vous me préférez hier ou aujourd’hui avec mon petit minou complètement lisse ?
Au ton de sa voix, je sens que l’excitation monte, je caresse un sein à l’aréole
durcie et descend vers son pubis que je trouve mouillé.
- Heu, disons aujourd’hui, j’adore les sexes imberbes.
En disant cela, les yeux rivés sur le sexe de Sophie, la réaction de Jacques ne se
fait pas attendre, son sexe durcit. À cette vue Sophie tend la main vers lui, la pose
sur sa cuisse et lui demande :
- Je vous plais ?
- Beaucoup, dit Jacques.
- Vous me plaisez aussi, dit Sophie, je pense que nous allons bien nous
entendre.
Elle pose une main sur son engin qui a pris une taille respectable en disant :
Effectivement je dois vous plaire !
Délicatement, je la saisis par les épaules et l’allonge sur la serviette.
Je commence par lui lécher les seins, puis descends vers son minou, je caresse son
clito doucement, j’introduis un doigt, je me mets à genoux devant elle pour la lécher,
ma langue fais le tour de ses lèvres humides qui s’écartent d’excitation, je remonte
et la pénètre de mon sexe tendu.
Jacques, nous regarde et se redressant sur ses genoux, il prend son appareil et fait
quelques clichés.
La position ne doit pas satisfaire Sophie, car elle me repousse doucement et me dit :
- Allonge-toi à ma place, je vais te chevaucher pour que notre ami profite mieux
de la situation.
Je m’allonge, elle se met à genoux au-dessus de moi, les jambes de part et d’autre de
mon corps, puis de la main guide mon sexe vers l’entrée de son puits d’amour.
Elle s’embroche sur mon sexe tendu en faisant signe à Jacques de s’approcher.
Debout il va vers elle et elle pour prendre son sexe entre ses lèvres et lui
administer une fellation.
Puis elle lâche Jacques, se penche vers moi et me dit à l’oreille :
- J’ai envie qu’il vienne dans mes fesses, tu veux bien ?
Sophie est excitée, c’est la première fois qu’elle va offrir son petit trou à un
inconnu, mais comment lui refuser ce plaisir.
Elle se relève, regarde Jacques et lui dit :
- Vient, encules-moi, prends mon petit trou !
Le tutoiement montre l’excitation de Sophie, mais Jacques se refuse en disant :
- Pardonnes-moi, mais je n’ai pas de préservatif.
- Merde, dit Sophie un peu frustrée, qu’elle manque de chance, pour la première
fois que je demande à un inconnu de m’enculer !
Jacques, lui caresse les fesses et lui doigte l’anus, elle jouit presque tout de suite
d’étonnement.
Puis elle se met sur le côté et m’attire derrière elle, en disant :
- Alors regarde comment mon homme va bien m’enculer !
Elle dirige mon sexe vers son anus et pousse pour le faire entrer, excitée comme elle
est, je rentre sans effort dans son petit trou. A coup de reins j’entame des va-et-
vient, Jacques se met à genoux devant sa bouche et les lèvres de Sophie s’ouvrent pour
le prendre en bouche.
Au moment où Jacques jouit au fond de la gorge de Sophie, j’éjacule au fond de ses
entrailles.
Peu de temps après Jacques nous quitte en disant :
- J’espère que nous nous reverrons, je passe souvent par ici !
Puis nous allons nous baigner et nous rentrons au camp. »
A suivre…
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