Leslie VN40
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie VN40
Leslie VN40 – Vacances naturistes, La plage avec Laure et un homme
Maintenant il ne nous reste plus que quelques jours avec Laure avant de terminer nos vacances, nous seules maintenant et nous comptons bien profiter au maximum de ces quelques jours restants.
Il fait grand soleil dès ce matin et nous décidons d’aller sur une plage que nous avions découvert lors d’une balade avec nos deux amies lesbiennes, une petite plage naturiste très sympa, très encaissée, mais peu de monde le matin.
Il était neuf heures du matin et nous allions aller sur cette plage charmante.
Arrivées nous fûmes heureuses car à notre grand bonheur, personne en vue !
Nous nous installâmes tranquillement à l’abri des éventuels et futurs regards et étalâmes nos serviettes, avant de quitter l’ensemble de nos vêtements.
Laure m’étala de la crème à bronzer sur tout le corps en me massant légèrement le sexe et je lui fis de même, ce qui nous excita terriblement tous les deux.
Puis, à se demande, je commençai à lui prodiguer des caresses beaucoup plus intimes sur sa vulve avec mes doigts tout d’abord, puis avec ma langue…
Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées et moi, j’étais à plat ventre, plus bas, la tête entre ses jambes, la langue enfouie dans son intimité.
Nous étions ainsi comme deux lézards au soleil depuis plus d’une quinzaine de minutes et, Laure commençait vraiment à prendre beaucoup de plaisir. À un moment, elle se redressa assez brusquement, elle avait dû entendre un bruit. Je regardai instinctivement derrière nous et aperçus la silhouette d’une personne qui ne semblait pas nous avoir vus. Nous nous relevâmes néanmoins pour profiter au mieux du soleil qui avait tourné et pour nous abriter un peu plus des regards éventuels.
En déplaçant les serviettes, j’aperçus à nouveau la silhouette, derrière un rocher. Apparemment, elle ne nous prêtait toujours pas une attention particulière.
Nous nous réinstallâmes sur nos serviettes dans la même position qu’auparavant, ma tête entre ses jambes et mes mains caressant son corps : elle ne tarda pas à jouir de nouveau…
C’est alors que Laure prit soudain peur en voyant la silhouette se rapprocher de nous et s’appuyer le dos contre un rocher, à moins de trois mètres de distance.
L’homme, de 55 à 60 ans environ, était nu, corps bien conservé. Il nous regardait, visiblement avec beaucoup de plaisir.
Laure resserra les jambes et voulut arrêter de se faire lécher le minou. Je n’avais pas du tout envie d’arrêter là nos ébats, si rares ces derniers temps, sous prétexte qu’un voyeur qui avait l’air sympa et plutôt inoffensif se trouvait sur une plage dont nous savions qu’elle était naturiste.
Je continuais donc à la caresser, plus discrètement certes, mais sans changer de position. Au bout de quelques minutes, elle referma les yeux derrière ses lunettes de soleil et je la sentis de nouveau plus réceptive. Je tentais à nouveau d’insinuer ma langue entre le haut de ses jambes, et bientôt j’eus gain de cause.
Ses jambes se desserrèrent un peu et me permirent de glisser mes mains sous ses fesses, de lui caresser l’intérieur des cuisses.
Ma langue retrouva l’intérieur de son intimité, plus chaude encore, et plus humide. Elle jouissait de nouveau.
C’est à ce moment-là que je relevais un peu la tête pour voir où était notre voyeur.
Quelle ne fut pas ma surprise !
Il s’était rapproché, accroupi, à côté de la tête de Laure, il l’embrassait en lui caressant les seins.
Je comprenais maintenant pourquoi elle semblait jouir si fort, deux hommes s’occupaient d’elle en même temps.
Il avait pris sa main et l’avait posée sur son sexe, par en dessous, juste à la limite de ses bourses qu’elle caressait doucement. Cette vision m’ayant d’abord rendu très jaloux, je n’osai dire quoi que ce soit car je ne voulais pas fâcher Laure, avec qui les relations étaient régulièrement tendues ces derniers temps.
Mais je me rendis très vite compte que cela m’avait excité un peu plus ! Je décidai de replonger ma tête au plus profond de son intimité en caressant avec plus de vigueur ses cuisses avec mes mains. Je sentis sa jouissance continuer de plus en plus fort. Je relevai la tête, notre homme avait changé de position.
Il était accroupi sur la tête de Laure, guidant des mains son sexe de bonnes dimensions vers la bouche de Laure à qui cela ne semblait pas déplaire. La position n’étant pas très confortable pour lui, il arrêta bientôt en nous disant qu’il allait chercher ses affaires…
Je m’allongeais alors de tout mon corps sur elle en l’embrassant et en cherchant quelques explications, car je la savais totalement étrangère à ce genre de situation. Je n’osais la contrarier et lui disais qu’elle ne devait faire que ce qu’elle sentait et que ce dont elle avait envie : il s’agissait de son plaisir.
Moi, elle me savait très jaloux et me sourit, se rendant compte de l’excitation que cela me procurait néanmoins. Je me suis longuement frotté le sexe contre le sien, puis entre ses jambes, tout en l’embrassant. Elle était très, très bien, très réceptive sur cette plage toujours tranquille au soleil matinal de juillet.
Notre homme revint peu de temps après avec un sac de plage. Il installa sa serviette à deux mètres de la nôtre et se rapprocha à nouveau de nous. S’accroupissant près de la tête de Laure, il commença par lui caresser les seins. Puis il approcha sa tête de la mienne, me poussant à me décaler un peu, et lui embrassa le sein gauche pendant que je lui embrassais le droit. M’étant reculé, je pouvais caresser le corps de Laure avec ma main droite. Il fit bientôt de même avec sa main gauche. Elle fermait les yeux, entièrement tournée vers son plaisir et semblait sourire. Je l’embrassai d’un long baiser tandis que la main de l’homme prenait le relais de la mienne au sein de son intimité, si chaude et si humide, et que sa bouche lui excitait les seins. Elle jouissait de nouveau, cela se voyait. Son corps réagissait à la moindre variation de nos caresses, il allait au-devant d’elles. Quand je terminai mon baiser, je m’aperçus que l’homme avait changé de position pour se retrouver entre les jambes de Laure, ses mains le soutenant.
Il commença à bouger en elle et c’est à ce moment que nous nous aperçûmes qu’il n’avait pas mis de préservatif. Laure eut un mouvement de retrait et lui dit que cela ne se ferait pas sans mais que nous n’en avions malheureusement pas sur nous. Il se leva et fouilla dans son sac pour en retirer ce qui devait être une capote rose qu’il enfila très rapidement. Il reprit rapidement position et pénétra de nouveau ma douce épanouie qui se faisait caresser et embrasser par moi, fou d’excitation mais toujours un peu jaloux.
Elle semblait réellement apprécier. Il joua avec elle en entrant d’abord doucement, puis beaucoup plus rapidement. Elle était totalement excitée et humide. Elle l’enserra avec ses jambes autour de ses cuisses. Cela dut l’exciter car il se mit alors à accélérer son mouvement, en allant à fond en elle jusqu’à buter sur son pubis en excitant à chaque fois son clitoris. Elle commença à respirer de plus en plus bruyamment. La jouissance devenait à nouveau beaucoup plus forte. Maintenant elle haletait sous les coups de boutoir pendant que je lui embrassais les seins et la bouche.
L’homme jouit en elle en respirant lui aussi très fort. Ils se caressèrent puis il se retira en prenant soin de tenir le préservatif. Laure avait beaucoup joui et elle ne souhaita pas que je la pénètre ce matin-là. Elle était contente de sa matinée et souhaitait rester au calme, nue et offerte au soleil. Pour me calmer un peu, je décidai d’aller faire un tour sur la plage et de me baigner dans l’eau fraîche de l’océan, les laissant deviser et fumer une cigarette dont elle savait que j’avais horreur. Un quart d’heure plus tard, je revins m’installer à leurs côtés pour me sécher au soleil. Ils discutaient comme de vieux amis, plus proches l’un de l’autre que lorsque je les avais laissés. Visiblement, ils s’étaient mutuellement enduits de crème à bronzer, car ils avaient tous les deux le corps luisant. Le sexe de Monsieur, luisant lui aussi, avait repris une dimension généreuse. Celui de Laure était toujours offert au soleil, les lèvres entrouvertes et couvertes d’huile solaire. Deux voyeurs étaient allongés à moins de dix mètres d’eux. Ils sourirent lors de mon passage.
La plage commençait doucement à se peupler de naturistes et de quelques voyeurs. Je n’aurais pu parier qu’aucun d’entre eux n’avait assisté à nos ébats. Laure était très heureuse, elle avait passé un moment très coquin, absolument pas préparé, et se faisait une joie de ne pas m’avoir laissé jouir en elle. Elle ne remit pas de string sous sa petite robe de plage en repartant : elle me savait excitée pour le reste de la journée, à la draguer, la taquiner, lui tourner autour pour l’exciter. Comme toutes les femmes, elle adorait séduire.
A suivre…
Maintenant il ne nous reste plus que quelques jours avec Laure avant de terminer nos vacances, nous seules maintenant et nous comptons bien profiter au maximum de ces quelques jours restants.
Il fait grand soleil dès ce matin et nous décidons d’aller sur une plage que nous avions découvert lors d’une balade avec nos deux amies lesbiennes, une petite plage naturiste très sympa, très encaissée, mais peu de monde le matin.
Il était neuf heures du matin et nous allions aller sur cette plage charmante.
Arrivées nous fûmes heureuses car à notre grand bonheur, personne en vue !
Nous nous installâmes tranquillement à l’abri des éventuels et futurs regards et étalâmes nos serviettes, avant de quitter l’ensemble de nos vêtements.
Laure m’étala de la crème à bronzer sur tout le corps en me massant légèrement le sexe et je lui fis de même, ce qui nous excita terriblement tous les deux.
Puis, à se demande, je commençai à lui prodiguer des caresses beaucoup plus intimes sur sa vulve avec mes doigts tout d’abord, puis avec ma langue…
Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées et moi, j’étais à plat ventre, plus bas, la tête entre ses jambes, la langue enfouie dans son intimité.
Nous étions ainsi comme deux lézards au soleil depuis plus d’une quinzaine de minutes et, Laure commençait vraiment à prendre beaucoup de plaisir. À un moment, elle se redressa assez brusquement, elle avait dû entendre un bruit. Je regardai instinctivement derrière nous et aperçus la silhouette d’une personne qui ne semblait pas nous avoir vus. Nous nous relevâmes néanmoins pour profiter au mieux du soleil qui avait tourné et pour nous abriter un peu plus des regards éventuels.
En déplaçant les serviettes, j’aperçus à nouveau la silhouette, derrière un rocher. Apparemment, elle ne nous prêtait toujours pas une attention particulière.
Nous nous réinstallâmes sur nos serviettes dans la même position qu’auparavant, ma tête entre ses jambes et mes mains caressant son corps : elle ne tarda pas à jouir de nouveau…
C’est alors que Laure prit soudain peur en voyant la silhouette se rapprocher de nous et s’appuyer le dos contre un rocher, à moins de trois mètres de distance.
L’homme, de 55 à 60 ans environ, était nu, corps bien conservé. Il nous regardait, visiblement avec beaucoup de plaisir.
Laure resserra les jambes et voulut arrêter de se faire lécher le minou. Je n’avais pas du tout envie d’arrêter là nos ébats, si rares ces derniers temps, sous prétexte qu’un voyeur qui avait l’air sympa et plutôt inoffensif se trouvait sur une plage dont nous savions qu’elle était naturiste.
Je continuais donc à la caresser, plus discrètement certes, mais sans changer de position. Au bout de quelques minutes, elle referma les yeux derrière ses lunettes de soleil et je la sentis de nouveau plus réceptive. Je tentais à nouveau d’insinuer ma langue entre le haut de ses jambes, et bientôt j’eus gain de cause.
Ses jambes se desserrèrent un peu et me permirent de glisser mes mains sous ses fesses, de lui caresser l’intérieur des cuisses.
Ma langue retrouva l’intérieur de son intimité, plus chaude encore, et plus humide. Elle jouissait de nouveau.
C’est à ce moment-là que je relevais un peu la tête pour voir où était notre voyeur.
Quelle ne fut pas ma surprise !
Il s’était rapproché, accroupi, à côté de la tête de Laure, il l’embrassait en lui caressant les seins.
Je comprenais maintenant pourquoi elle semblait jouir si fort, deux hommes s’occupaient d’elle en même temps.
Il avait pris sa main et l’avait posée sur son sexe, par en dessous, juste à la limite de ses bourses qu’elle caressait doucement. Cette vision m’ayant d’abord rendu très jaloux, je n’osai dire quoi que ce soit car je ne voulais pas fâcher Laure, avec qui les relations étaient régulièrement tendues ces derniers temps.
Mais je me rendis très vite compte que cela m’avait excité un peu plus ! Je décidai de replonger ma tête au plus profond de son intimité en caressant avec plus de vigueur ses cuisses avec mes mains. Je sentis sa jouissance continuer de plus en plus fort. Je relevai la tête, notre homme avait changé de position.
Il était accroupi sur la tête de Laure, guidant des mains son sexe de bonnes dimensions vers la bouche de Laure à qui cela ne semblait pas déplaire. La position n’étant pas très confortable pour lui, il arrêta bientôt en nous disant qu’il allait chercher ses affaires…
Je m’allongeais alors de tout mon corps sur elle en l’embrassant et en cherchant quelques explications, car je la savais totalement étrangère à ce genre de situation. Je n’osais la contrarier et lui disais qu’elle ne devait faire que ce qu’elle sentait et que ce dont elle avait envie : il s’agissait de son plaisir.
Moi, elle me savait très jaloux et me sourit, se rendant compte de l’excitation que cela me procurait néanmoins. Je me suis longuement frotté le sexe contre le sien, puis entre ses jambes, tout en l’embrassant. Elle était très, très bien, très réceptive sur cette plage toujours tranquille au soleil matinal de juillet.
Notre homme revint peu de temps après avec un sac de plage. Il installa sa serviette à deux mètres de la nôtre et se rapprocha à nouveau de nous. S’accroupissant près de la tête de Laure, il commença par lui caresser les seins. Puis il approcha sa tête de la mienne, me poussant à me décaler un peu, et lui embrassa le sein gauche pendant que je lui embrassais le droit. M’étant reculé, je pouvais caresser le corps de Laure avec ma main droite. Il fit bientôt de même avec sa main gauche. Elle fermait les yeux, entièrement tournée vers son plaisir et semblait sourire. Je l’embrassai d’un long baiser tandis que la main de l’homme prenait le relais de la mienne au sein de son intimité, si chaude et si humide, et que sa bouche lui excitait les seins. Elle jouissait de nouveau, cela se voyait. Son corps réagissait à la moindre variation de nos caresses, il allait au-devant d’elles. Quand je terminai mon baiser, je m’aperçus que l’homme avait changé de position pour se retrouver entre les jambes de Laure, ses mains le soutenant.
Il commença à bouger en elle et c’est à ce moment que nous nous aperçûmes qu’il n’avait pas mis de préservatif. Laure eut un mouvement de retrait et lui dit que cela ne se ferait pas sans mais que nous n’en avions malheureusement pas sur nous. Il se leva et fouilla dans son sac pour en retirer ce qui devait être une capote rose qu’il enfila très rapidement. Il reprit rapidement position et pénétra de nouveau ma douce épanouie qui se faisait caresser et embrasser par moi, fou d’excitation mais toujours un peu jaloux.
Elle semblait réellement apprécier. Il joua avec elle en entrant d’abord doucement, puis beaucoup plus rapidement. Elle était totalement excitée et humide. Elle l’enserra avec ses jambes autour de ses cuisses. Cela dut l’exciter car il se mit alors à accélérer son mouvement, en allant à fond en elle jusqu’à buter sur son pubis en excitant à chaque fois son clitoris. Elle commença à respirer de plus en plus bruyamment. La jouissance devenait à nouveau beaucoup plus forte. Maintenant elle haletait sous les coups de boutoir pendant que je lui embrassais les seins et la bouche.
L’homme jouit en elle en respirant lui aussi très fort. Ils se caressèrent puis il se retira en prenant soin de tenir le préservatif. Laure avait beaucoup joui et elle ne souhaita pas que je la pénètre ce matin-là. Elle était contente de sa matinée et souhaitait rester au calme, nue et offerte au soleil. Pour me calmer un peu, je décidai d’aller faire un tour sur la plage et de me baigner dans l’eau fraîche de l’océan, les laissant deviser et fumer une cigarette dont elle savait que j’avais horreur. Un quart d’heure plus tard, je revins m’installer à leurs côtés pour me sécher au soleil. Ils discutaient comme de vieux amis, plus proches l’un de l’autre que lorsque je les avais laissés. Visiblement, ils s’étaient mutuellement enduits de crème à bronzer, car ils avaient tous les deux le corps luisant. Le sexe de Monsieur, luisant lui aussi, avait repris une dimension généreuse. Celui de Laure était toujours offert au soleil, les lèvres entrouvertes et couvertes d’huile solaire. Deux voyeurs étaient allongés à moins de dix mètres d’eux. Ils sourirent lors de mon passage.
La plage commençait doucement à se peupler de naturistes et de quelques voyeurs. Je n’aurais pu parier qu’aucun d’entre eux n’avait assisté à nos ébats. Laure était très heureuse, elle avait passé un moment très coquin, absolument pas préparé, et se faisait une joie de ne pas m’avoir laissé jouir en elle. Elle ne remit pas de string sous sa petite robe de plage en repartant : elle me savait excitée pour le reste de la journée, à la draguer, la taquiner, lui tourner autour pour l’exciter. Comme toutes les femmes, elle adorait séduire.
A suivre…
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