LeslieHD61
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie HD61 – Seule avec un ami
Laure était à l’étranger et, Stéphanie vivait une aventure passagère avec un homme
mais voulait ne pas que l’on se voit.
Mes deux belles me laissant seule, je décidais de ne pas passer cette occasion d'avoir
moi aussi d’autres relations, soit avec des hommes ou soit avec des femmes.
Je désirais profiter au maximum de cet instant et de ma solitude.
Je n’avais pas eue depuis longtemps de nouvelles relations, seule, et plus
particulièrement avec un homme, et comme pour m’assurer que je pouvais encore éprouver
de l’attirance pour un mec ou qu’un homme puisse s’intéresser à moi, je draguais.
En attendant, mes amies étaient parties depuis trois jours et je rentrais seule à la
maison, alors pour compenser, je regardais seule des photos de mâles en me donnant un
plaisir solitaire.
Les revues que je feuilletais d’une main, allongée sur mon lit, et en me branlant de
l’autre, montraient des hommes au sexe bandé qui me donnaient des désirs de rencontres
et des envies de pénétrations, surtout que les mâles montrés dans ces revues étaient
bien gaulés, mais les femmes ne quittaient pas mon esprit.
Le jeudi soir, j’ai discuté avec un ami, Romain, à la terrasse d’un café, ami de
longue date il connaissait ma situation et avait été toujours de bon conseil, bien que
notre relation soit épistolaire il avait toujours répondu présent quand j’avais besoin
de lui.
Nous n’avions jamais fait l’amour, même si nous avions de l’attirance l’un pour
l’autre, mais il restait simplement mon ami.
Parlant ce jour-là de mes relations sexuelles avec les hommes ou les femmes il me posa
des questions.
- Tu y éprouves du plaisir ? me demanda-t-il.
- Oui, mais j’aime faire l’amour avec une femme, mais j’aime aussi les hommes.
- N’aie aucune inquiétude Leslie, dans ton cas c’est tout naturel, attiré par
les hommes pour ton côté féminine et les femmes pour ton côté masculin. Tu baises avec
une fille, où est le mâle, tu devrais être ravie, cela te fait une expérience sexuelle
de plus. Et te jeter dans le bras d’un homme et te laisser prendre par lui est
concevable.
- Tu sais on peut avoir des rapports homosexuels sans se sentir pour autant gay.
Toi tu regroupe en toi toute les formes de sexualité alors il est concevable que tu
vives des relations différentes.
- Tu ne vas pas me dire que tu as baisé avec un mec ?
- Cela m’est arrivé.
Je suis restée sans voix et interloquée devant sa révélation. Je ne pouvais pas
imaginer mon ami avec un autre mec. Pourtant il poursuivit sa confession sans gêne, au
contraire, il était heureux de se confier, de me dire ce qu’il ne pourrait pas
raconter à grand monde, si non à se faire vite traiter de pédé, ce qu’il n’était pas.
- Tu sais, me dit-il, dans les bahuts, il n’est pas toujours facile de draguer
les filles. D’autant plus que dans la section où j’étais, elles étaient peu
nombreuses, Mon pote de chambrée, s’appelait Fred, il était en manque de sexe comme
moi et cela nous minait. Nous nous sommes naturellement rapprochés et après quelques
séances de branlette, ensemble en regardant des magazines spécialisés, l’un en face de
l’autre, en nous regardant, puis nous nous sommes masturbés conjointement. Je prenais
sa bite en main, et lui la mienne. Un jour alors que nous étions à poil, je me suis
placé entre ses jambes et j’ai pris sa queue dans la bouche et je l’ai sucé et lui a
fait de même et un soir nous nous sommes retrouvés dans le même lit et nous avons fait
l’amour.
- Tu l’as enculé ?
- Oui, et lui a fait de même après.
- Et ça vous a plu, demandai-je.
- Oh petite perverse, tu voudrais savoir !
- Bah, c’est logique, non.
- Tu as parfaitement raison, nous avons éprouvé du plaisir et cela a duré tout
le temps de l’année scolaire, puis nous nous sommes perdus de vue.
Il fit une pause pour me permette de digérer ce qu’il me venait de dire
- Et tu as renouveler l’expérience par la suite ?
- Bien sûr, et avec des femmes et aujourd’hui je suis bis-sexuel, ça te gêne ?
- Non, tu m’ouvres des perspectives.
- Tu voudrais que nous couchions ensemble ?
- Pourquoi pas, lui dis-je, je suis en manque et tu es bi, alors cela ne pose
pas de problème et puis avoue que tu as toujours désiré me sauter.
- Là je ne dis pas non, tu as raison, alors allons chez moi.
Dans l’état de manque dans lequel j’étais et l’envie d’avoir un homme pour moi toute
seule, je n’ai pas hésité une second et j’ai volontiers accepté.
Nous sommes partis pour aller chez lui, , nous savions tous les deux qu’il n’était pas
question de sentiments, mais bien plus d’un moment sexe.
D’ailleurs sur le chemin, Romain me tenant par la taille en marchant me dit :
- Tu sais que tu me plais depuis toujours ?
- Oui, je le sais et aujourd’hui nous allons concrétiser un vieux désir commun.
- Sans lendemain certainement !
- Tout à fait, lui répondis-je.
Nous sommes arrivé dans son charment petit deux pièces, là il m’a offert un verre de
whisky, en disant :
- Juste pour détendre l’atmosphère et échauffer nos esprits et nos corps.
Comme si j’avais besoin de cela pour réchauffer mon esprit et mon corps en feu,
j’étais comme de la braise et n’avais qu’une envie, prendre mon pied.
Romain me prit dans ses bras pour me rouler une pelle d’enfer, se langue se mêla à la
mienne pendant ce baiser.
Ses mains parcouraient mon corps et je me laissais aller dans les bras de mon ami, me
faisant bander de désir.
Je plaquais une main sur son bas ventre pour constater que lui aussi bandait, mais je
constatais que Romain devait être sacrément pourvu, le membre que je caressais au
travers du tissu me fit frémir, le salaud était gauler comme un âne.
Je fus alors prise de frénésie, j’ouvris son pantalon qui tomba à ses pieds et passait
ma main dans son caleçon pour caresser son membre, et je dis :
- Waouh, t’es drôlement gaulé !
- Ah oui, j’ai oublié de te prévenir, déçue.
- Comment pourrais-je l’être ?
Il se dessapa sans pudeur pour se retrouver nu devant moi, effectivement son sexe
était de belles dimensions, très épais et gonflé de désirs.
Après m’avoir mise nue, il me mena dans sa chambre en me tenant pas la queue, en
disant :
- T’as rien à envier aux hommes, t’es pas mal gaulée aussi.
Il coucha sur le lit en s’installant auprès de moi, j’allais m’offrir en étant dans
l’impossibilité de faire le moindre geste trop excitée par la situation et par le
désir qui me submergeait.
A suivre…
Laure était à l’étranger et, Stéphanie vivait une aventure passagère avec un homme
mais voulait ne pas que l’on se voit.
Mes deux belles me laissant seule, je décidais de ne pas passer cette occasion d'avoir
moi aussi d’autres relations, soit avec des hommes ou soit avec des femmes.
Je désirais profiter au maximum de cet instant et de ma solitude.
Je n’avais pas eue depuis longtemps de nouvelles relations, seule, et plus
particulièrement avec un homme, et comme pour m’assurer que je pouvais encore éprouver
de l’attirance pour un mec ou qu’un homme puisse s’intéresser à moi, je draguais.
En attendant, mes amies étaient parties depuis trois jours et je rentrais seule à la
maison, alors pour compenser, je regardais seule des photos de mâles en me donnant un
plaisir solitaire.
Les revues que je feuilletais d’une main, allongée sur mon lit, et en me branlant de
l’autre, montraient des hommes au sexe bandé qui me donnaient des désirs de rencontres
et des envies de pénétrations, surtout que les mâles montrés dans ces revues étaient
bien gaulés, mais les femmes ne quittaient pas mon esprit.
Le jeudi soir, j’ai discuté avec un ami, Romain, à la terrasse d’un café, ami de
longue date il connaissait ma situation et avait été toujours de bon conseil, bien que
notre relation soit épistolaire il avait toujours répondu présent quand j’avais besoin
de lui.
Nous n’avions jamais fait l’amour, même si nous avions de l’attirance l’un pour
l’autre, mais il restait simplement mon ami.
Parlant ce jour-là de mes relations sexuelles avec les hommes ou les femmes il me posa
des questions.
- Tu y éprouves du plaisir ? me demanda-t-il.
- Oui, mais j’aime faire l’amour avec une femme, mais j’aime aussi les hommes.
- N’aie aucune inquiétude Leslie, dans ton cas c’est tout naturel, attiré par
les hommes pour ton côté féminine et les femmes pour ton côté masculin. Tu baises avec
une fille, où est le mâle, tu devrais être ravie, cela te fait une expérience sexuelle
de plus. Et te jeter dans le bras d’un homme et te laisser prendre par lui est
concevable.
- Tu sais on peut avoir des rapports homosexuels sans se sentir pour autant gay.
Toi tu regroupe en toi toute les formes de sexualité alors il est concevable que tu
vives des relations différentes.
- Tu ne vas pas me dire que tu as baisé avec un mec ?
- Cela m’est arrivé.
Je suis restée sans voix et interloquée devant sa révélation. Je ne pouvais pas
imaginer mon ami avec un autre mec. Pourtant il poursuivit sa confession sans gêne, au
contraire, il était heureux de se confier, de me dire ce qu’il ne pourrait pas
raconter à grand monde, si non à se faire vite traiter de pédé, ce qu’il n’était pas.
- Tu sais, me dit-il, dans les bahuts, il n’est pas toujours facile de draguer
les filles. D’autant plus que dans la section où j’étais, elles étaient peu
nombreuses, Mon pote de chambrée, s’appelait Fred, il était en manque de sexe comme
moi et cela nous minait. Nous nous sommes naturellement rapprochés et après quelques
séances de branlette, ensemble en regardant des magazines spécialisés, l’un en face de
l’autre, en nous regardant, puis nous nous sommes masturbés conjointement. Je prenais
sa bite en main, et lui la mienne. Un jour alors que nous étions à poil, je me suis
placé entre ses jambes et j’ai pris sa queue dans la bouche et je l’ai sucé et lui a
fait de même et un soir nous nous sommes retrouvés dans le même lit et nous avons fait
l’amour.
- Tu l’as enculé ?
- Oui, et lui a fait de même après.
- Et ça vous a plu, demandai-je.
- Oh petite perverse, tu voudrais savoir !
- Bah, c’est logique, non.
- Tu as parfaitement raison, nous avons éprouvé du plaisir et cela a duré tout
le temps de l’année scolaire, puis nous nous sommes perdus de vue.
Il fit une pause pour me permette de digérer ce qu’il me venait de dire
- Et tu as renouveler l’expérience par la suite ?
- Bien sûr, et avec des femmes et aujourd’hui je suis bis-sexuel, ça te gêne ?
- Non, tu m’ouvres des perspectives.
- Tu voudrais que nous couchions ensemble ?
- Pourquoi pas, lui dis-je, je suis en manque et tu es bi, alors cela ne pose
pas de problème et puis avoue que tu as toujours désiré me sauter.
- Là je ne dis pas non, tu as raison, alors allons chez moi.
Dans l’état de manque dans lequel j’étais et l’envie d’avoir un homme pour moi toute
seule, je n’ai pas hésité une second et j’ai volontiers accepté.
Nous sommes partis pour aller chez lui, , nous savions tous les deux qu’il n’était pas
question de sentiments, mais bien plus d’un moment sexe.
D’ailleurs sur le chemin, Romain me tenant par la taille en marchant me dit :
- Tu sais que tu me plais depuis toujours ?
- Oui, je le sais et aujourd’hui nous allons concrétiser un vieux désir commun.
- Sans lendemain certainement !
- Tout à fait, lui répondis-je.
Nous sommes arrivé dans son charment petit deux pièces, là il m’a offert un verre de
whisky, en disant :
- Juste pour détendre l’atmosphère et échauffer nos esprits et nos corps.
Comme si j’avais besoin de cela pour réchauffer mon esprit et mon corps en feu,
j’étais comme de la braise et n’avais qu’une envie, prendre mon pied.
Romain me prit dans ses bras pour me rouler une pelle d’enfer, se langue se mêla à la
mienne pendant ce baiser.
Ses mains parcouraient mon corps et je me laissais aller dans les bras de mon ami, me
faisant bander de désir.
Je plaquais une main sur son bas ventre pour constater que lui aussi bandait, mais je
constatais que Romain devait être sacrément pourvu, le membre que je caressais au
travers du tissu me fit frémir, le salaud était gauler comme un âne.
Je fus alors prise de frénésie, j’ouvris son pantalon qui tomba à ses pieds et passait
ma main dans son caleçon pour caresser son membre, et je dis :
- Waouh, t’es drôlement gaulé !
- Ah oui, j’ai oublié de te prévenir, déçue.
- Comment pourrais-je l’être ?
Il se dessapa sans pudeur pour se retrouver nu devant moi, effectivement son sexe
était de belles dimensions, très épais et gonflé de désirs.
Après m’avoir mise nue, il me mena dans sa chambre en me tenant pas la queue, en
disant :
- T’as rien à envier aux hommes, t’es pas mal gaulée aussi.
Il coucha sur le lit en s’installant auprès de moi, j’allais m’offrir en étant dans
l’impossibilité de faire le moindre geste trop excitée par la situation et par le
désir qui me submergeait.
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Huuummm.... Je te retrouve ma Leslie chérie avec les recits que je préfère : ceux ou
tu est présente ;)
Bizzz
Ton fidèle benoit
Ps : j'aimerais mappeller romain :)
tu est présente ;)
Bizzz
Ton fidèle benoit
Ps : j'aimerais mappeller romain :)