Lettre à mon amante EPISODE 1 : fantasmes partagés

Récit érotique écrit par Mai_Tai_Roa_Ae [→ Accès à sa fiche auteur]
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Lettre à mon amante EPISODE 1 : fantasmes partagés
Une robe noire ou bleue sombre, courte, soyeuse… bas et porte-jarretelles, un string très fin, très coloré… probablement rouge. Des talons délicats et osés à la fois… escarpins, stilettos.
Dressée sur tes talons, ta petite robe qui joue sur tes formes, tes bas visibles à chaque pas, concentré de féminité, objet de désir sans retenue, tu laisses les regards s’attarder sur tes courbes et mon désir monte au fil de la soirée… nous nous installons dans un Speakeasy, bar planqué ambiance prohibition, un bar en acajou et un mixologiste sorti tout droit des années trente qui n’en croit pas sa chance de voir cette petite bombe prendre place en face de lui. Un premier cocktail, discussion légère, petit tour d’horizon des beaux mecs s’il y en a… c’est le barman qui gagne. Il est si bien placé que le laisser remonter des yeux sur tes cuisses et ne rien rater quand je te frôle un sein est aisé… et plaisant. Tes seins sont parfaitement sertis dans cette petite robe… pleins, lourds et fermes, ils attirent le regard par leur forme parfaite, le léger décolleté qui les drape et ces tétons visiblement libres et caressés à chaque mouvement par le tissu de la robe.
Le barman est jeune, musclé, tatoué, mâchoire carrée et yeux sombres, un beau sourire. Il ne se prive pas, je t’encourage. Il te regarde droit dans les yeux quand tu décides que la couleur de ton string doit rester clairement visible… et l’intensité de son désir vient répondre à ton envie de lui plaire, à ton envie de m’exciter.
Cambrée, tes fesses magnifiques moulées dans ta petite robe, tes cuisses exposées, mes mains sur toi qui te caressent… ton envie est évidente. Tu te redresses régulièrement d’un mouvement qui fait s’épanouir tes seins à la vue, comme un rappel pour les regards qui s’en détacheraient trop longtemps. Tu as une façon subtile de marquer ton désir de lui quand il se penche pour attraper quelque chose et que ses fesses tendent le tissu de son pantalon… quand il se redresse et se retourne, que ses yeux te demandent si tu as aimé le spectacle et que son sexe fait une bosse de plus en plus visible… tu soupires. Ces soupirs te trahissent, ils tremblent légèrement, ils me rendent fou de désir pour toi.
Tu sais que je te pousserai plus loin que ça et tu es prête à jouer alors nous abandonnons ce bel accessoire pour rejoindre un club libertin.
Je te susurre à l’oreille que je t’emmène te faire attacher et fouetter… ton regard te trahit, la dernière chose que verra le barman sera ton excitation et tes petites fesses quand tu t’éloignes.
Arrivés au club, nous visitons… le bar sera pour après. La piste de danse est quasiment déserte mais des petits cris nous parviennent des couloirs qui sont derrière. Ils sont tamisés, peu de clients à cette heure ci, quelques couples qui s’embrassent, un homme qui s’abandonne dans une levrette avec une brune qui garde les yeux plantés dans ceux d’un autre assis pas loin, peut-être son homme.
Nous déambulons, moi en chaussures en cuir marron, pantalon bleu sombre, chemise blanche légèrement ouverte au col, toi d’une démarche assurée sur tes escarpins, ta petite robe, ma main sur tes fesses… elles réagissent à chacune de mes caresses et m’inspirent la suite.
Un donjon assez sombre, de superbes montants au mur, une collection de cravaches et de fouets… une balançoire et d’autres supports improbables. Nous sommes seuls, j’en profite pour t’embrasser enfin comme j’en ai envie depuis le bar… plaquée au mur, nos langues mêlées, mes mains se saisissent de tes fesses et en apprécient la fermeté… elles sont rondes, charnues, parfaites. Ta robe est légère, mes mains s’affirment. Je te claque les fesses quelques fois et tes petits gémissements m’excitent… je te retourne et t’attache au mur. Tu écartes les jambes, campée sur tes talons, tes cuisses contractées, et je remonte lentement ta robe pour la coincer dans ta ceinture. Ton regard m’interroge, je veux que tu te sentes à ma merci… alors je te bande les yeux. Tu es campée, en attente, soumise à mes envies… je relève les manches de ma chemise et je choisis un fouet épais, en lanières de cuir, pour te faire sentir sa texture rugueuse quand je le promène sur ton dos, tes fesses, tes cuisses…je remonte le long de l’arrondi de tes seins et m’attarde sur leurs tétons déjà durcis. Tu frémis à ce contact de cuir. Je commence à le faire se balancer et les premiers coups sont légers. De petites griffures de cuir sur ta peau, la sensation d’une vague froide et chaude à la fois qui t’irradie. Je me concentre sur tes fesses, ton cul parfait prendra chacun de mes coups de fouet.
Je t’embrasse dans le cou, je saisis ta bouche… ma langue t’explore, mes mains t’apaisent et te réveillent… puis je laisse claquer les lanières de cuir une fois de plus sur tes fesses qui se colorent. Tu pousses des petits cris… un couple nous regarde, un homme aussi. Tu es splendide, torturée, soumise, excitée, encore un peu défiante… je pose le manche du fouet entre tes cuisses et le glisse le long de ta chatte… tu frémis, tu gémis, je sens tes lèvres qui se gonflent de désir et je le pousse sous le tissu pour qu’il vienne glisser entre tes lèvres mouillées.
Tu sais que quand le manche te quitte les lanières vont te mordre… mais si tu sais rester docile et silencieuse, tu te mords les lèvres pour ne pas faire de bruit. Tu reprends ta respiration par petits coups, tu halètes. Entre deux coups de fouet je reviens appuyer le manche contre ton sexe comme un homme prêt à te prendre. Je te caresse avec ce manche, je te fouette et je viens glisser mes doigts le long de tes cuisses pour essuyer ton jus qui trahit ton plaisir…
Le couple est parti avec l’homme pour baiser, excités par ta performance. Un autre arrive… il est grand, brun, beau. Bien taillé, le regard doux. Il sort son membre et se caresse lentement en te regardant. Je t’enlève le bandeau pour que tu puisses le voir, et c’est les yeux rivés sur sa main qui joue avec son érection que tu prends un dernier coup de fouet, bien senti. J’ai vu que tu admirais ce sexe et t’ai fait sentir mon excitation.
Les fesses en feu, les lèvres trempées, ton string encore en place et tes cheveux défaits, je te libère et te guide vers le canapé. Tu sais déjà ce que je veux et tu te places… docile, obéissante, brûlante d’envie mais en attente de l’ordre, tu es comme une chatte, cambrée, aux yeux de braises.
Il s’approche et n’arrête pas ses caresses puissantes, sa queue dirigée vers ton visage, il l’astique sans relâche en s’approchant de toi un pas après l’autre.
Je fais un pas en arrière et viens m’appuyer au dossier d’un fauteuil, curieux, le coeur qui s’accélère à l’idée de te regarder faire vivre mon fantasme. Je suis à quelques pas de toi, suffisamment proche pour distinguer les gouttes de sueur et le petit tremblement d’excitation de ton sourire, suffisamment loin pour admirer le tableau complet sans le perturber. A moitié assis sur le dossier d’un fauteuil, mes mains l’agrippent et mes yeux ne te quittent pas.
Envie de te voir à quatre pattes, tes fesses tendues, tes lèvres humides, ton string délicatement pris entre elles … tes seins lourds à moitié sortis de ta robe, les tétons durs, ta bouche entrouverte qui s’approche d’un énorme sexe et le lèche… ton regard sur moi, ton sourire, ta façon de me demander avec tes grands yeux si j’apprécie le spectacle. Oui je l’apprécie… tu es belle, vibrante, une ode à l’envie sexuelle assumée et à la docilité d’une petite bombe qui a décidé de jouer jusqu’au bout de nos fantasmes. Tu laisses le bout de ta langue se promener sur le bout de ce gland qui t’est offert et tu ris de me voir devenir fou d’envie.
Sa main puissante continue de malaxer cette queue et ses mouvements viennent taper régulièrement son gland sur tes lèvres et ta langue offerte. Ta langue… elle descend et remonte le long de sa hampe, et tu déposes un baiser baveux sur son gland en me laissant tout le temps d’en voir les détails… et puis tu plonges. Tes lèvres s’écartent, ta tête s’abat sur lui avec détermination et tu avales ce sexe aussi loin que possible. Ce mouvement rapide, inattendu, maîtrisé, me donne une érection douloureuse d’intensité et lui arrache un petit cri de surprise. Pendant que mon sexe bat d’envie pour toi tu travailles sur cette queue et la prends jusqu’à la garde, plusieurs fois. Tu salives, tu gémis, tu grognes et tu t’étouffes avec ce membre que tu réussis à faire disparaître presque entièrement dans ta gorge. Tes yeux pleurent, tu es concentrée, tu appuies ton visage dans ses poils et t’appliques à garder tout en bouche… avant de le laisser ressortir ruisselant, ébahi, et de me sourire avec fierté après cet exploit. Ta robe est ouverte, tes seins à l’air, ton corps arqué et tes cuisses ouvertes, tes fesses offertes, ta peau splendide, tout ton corps respire le sexe avec enthousiasme et ce sourire ravageur, provocant, qui s’étale sur ton visage te rend encore plus belle.
Je me lève, je te rejoins et t’arrache à lui… je vois bien ton hésitation à le reprendre en main. Il est contre toi, son sexe turgescent et trempé à la main, il est beau. Tu choisis de jeter tes bras à mon cou pour retrouver mes lèvres et il s’appuie à toi… tu me questionnes du regard, je te susurre à l’oreille : « laisse le finir… » … Alors tes yeux plantés dans les miens, tes mains à mon cou, tes seins nus écrasés contre ma poitrine, tu pousses tes fesses contre son membre… tu fais des vagues avec ton bassin et chaque vague vient glisser sa queue sous ta robe, vient frotter ton minou gourmand, trempé de désir, encore pris dans son string, le long de ce membre énorme et chaud dont tu sens le gland aller et venir… il saisit tes hanches et se caresse à toi… tu le laisses faire… tu m’embrasses avec abandon, je sens son envie de toi et le plaisir que tu prends à frapper tes fesses contre son corps pendant que son sexe glisse le long de ton string. Tu sais que son désir de toi me rend dingue et tu t’abandonnes à ses caresses, à ses assauts. Il se masturbe avec ton minou et tu prends ton pied accrochée à mon cou, tes lèvres collées aux miennes. Quand il jouit il a le réflexe de s’écarter de toi et ce dernier mouvement brusque, cette caresse qui s’arrête quand son gland glisse une dernière fois contre tes lèvres, t’arrache un petit cri. Il bredouille un « merci » hésitant, souriant. Il aura été un accessoire parfait.
Je te ramène au bar. Je commande. Je t’assieds sur un tabouret, je te caresse les cheveux, je t’embrasse… tu as de la salive sur le menton, tes lèvres ont un goût de sexe, tes yeux brulent d’envie… ma langue vient remplacer sa queue pour explorer ta bouche. Tu as replacé ta robe sur tes seins et recouvert plus ou moins tes cuisses.
Je glisse mes mains sous ta robe et te retire ton string d’un geste vif. Il est trempé, par ton jus à l’intérieur, par ta salive et son sexe à l’extérieur. Je le pose à côté de ton verre sur le bar, ce petit bout de tissu mouillé de tes envies, cet éclat de rouge qui témoigne de scènes torrides.
Je t’écarte les jambes et ton minou est à la vue de tous. Nous buvons pendant que mes doigts jouent légèrement le long de tes lèvres, de ta bouche comme de ton sexe… des gouttes de ton jus sur le bout de mes doigts, je les promène sur ta bouche et tu les lèches délicatement. Je me répète, tu me lèches les doigts à chaque fois… je te laisse le faire les yeux dans les miens et tu te laisses aller à ce petit spectacle délicieux pour ceux qui te regardent.
Tu me regardes descendre sur tes seins, les dénuder et te lécher les tétons. Je ne les lâche que quand ils sont de nouveau durs, tendus, sensibles… et je m’accroupis pour te lécher. Mes doigts remontent rapidement sur ton point G et te tiennent fermement dans cette position d’attente… cambrée, empalée sur mes doigts, les seins tendus abandonnés aux regards des clients du bar… et ma bouche qui se colle à ton clitoris pour le suçoter, ma langue qui te cherche, tes jambes qui s’ouvrent et se referment au gré de nos mouvements. Ta tête en arrière, tes seins offerts, ton corps arqué, tu te laisses aller à mes caresses jusqu’à jouir sur ce tabouret… tu gémis, tu cries, tu subis mes doigts profondément en toi pendant que ton orgasme te rend super sensible…
Je te laisse reprendre tes esprits, la chatte et les tétons à l’air, objet de désir de ceux qui nous entourent… tu sais ce que j’attends ensuite. Ta bouche a déjà donné beaucoup de plaisir à un autre homme ce soir… je veux que tu m’en donnes au moins autant. Tu commences au bar… tu me libères enfin cette queue qui souffre à l’étroit dans son pantalon… tu ne perds pas de temps, tu te mets à me sucer avec gourmandise. Tu attrapes un glaçon dans mon verre pour le laisser courir sur mon gland dans ta bouche et ce contraste de chaud et froid est délicieux. Une main dans tes cheveux, l’autre sur le bar, je respire à petits coups en poussant mon bassin plus en avant vers ta bouche pour profiter de cette sensation. Je crois bien que je gémis… je te dis mon plaisir, je te dis de continuer, j’admire ta pose, assise sur un tabouret, pliée en deux sur ma queue que tu dévores pendant que ta petite robe a cessé de chercher à te couvrir et ne fait que mettre en valeur tes formes magnifiques.
Je t’arrache à tes va et vient et t’envoie m’attendre dans une chambre… tu devras te caresser en m’attendant. Je fais durer quelques minutes mais je tiendrai pas longtemps. Je finis mon verre et te rejoins, animé d’une furieuse envie de te posséder.
Je te trouve à quatre pattes sur un lit… ta robe entièrement relevée, fesses à l’air, les doigts dans ton sexe et le regard dans le vague… je viens te coller mon sexe au visage et te laisse t’en emparer. Tu me suces merveilleusement bien, tu l’avales, ta gorge chaude et accueillante le laisse glisser et s’exciter, ta salive me trempe, tes doigts ne cessent de te caresser… pendant de longues minutes je te baise la bouche, la gorge, le visage… je te possède, tu me donnes énormément de plaisir et ma queue vibre de satisfaction. Je te laisse enfin faire tout ce que tu veux, et visiblement tu veux te remplir la bouche. Tu t’es étouffée sur un autre mais là tu t’ouvres à toutes mes envies, ton corps tout entier concentré sur cette fellation inouïe.
Avant d’exploser je m’extirpe a regret et reprend ta bouche avec mes baisers… tu te retournes, tes seins lourds aplatis sur le lit, les fesses offertes, les marques du fouet nettement visibles. Je t’empale. De toute mon envie je te prends jusqu’à la garde et laisse mon gland t’écarter et te posséder sans relâche. Je te baise en claquant tes fesses à chaque va et vient. Tu me sens entrer en toi, prendre possession, puis glisser jusqu’à te libérer entièrement… avant de replonger de toutes mes forces. Je te laisse crier et mes mains agrippent tes hanches pour te tenir pendant que je te pilonne. Tu m’appartiens, tu es mon plaisir, mon objet de désir. Tu jouis et je ne ralentis pas. Tes jambes tremblent. Je te baise jusqu’à exploser et te retourne à la dernière seconde pour agripper ta tête et plonger dans ta bouche pour décharger mon sperme que tu avales au fur et à mesure. Je jouis et ta bouche me suce intensément, je gémis, je m’effondre.
On rentre à l’hôtel en taxi, encore sensibles, rafraîchis et épuisés à la fois. À l’hôtel après une bonne douche nous parlons de cette soirée en nous caressant lentement… c’est tendre et agréable, cette intimité après l’intensité de nos jeux. Nous faisons l’amour lentement, presque endormis, et un dernier orgasme vient nous achever et nous laisser sombrer dans le sommeil, enlacés.
FIN
Dressée sur tes talons, ta petite robe qui joue sur tes formes, tes bas visibles à chaque pas, concentré de féminité, objet de désir sans retenue, tu laisses les regards s’attarder sur tes courbes et mon désir monte au fil de la soirée… nous nous installons dans un Speakeasy, bar planqué ambiance prohibition, un bar en acajou et un mixologiste sorti tout droit des années trente qui n’en croit pas sa chance de voir cette petite bombe prendre place en face de lui. Un premier cocktail, discussion légère, petit tour d’horizon des beaux mecs s’il y en a… c’est le barman qui gagne. Il est si bien placé que le laisser remonter des yeux sur tes cuisses et ne rien rater quand je te frôle un sein est aisé… et plaisant. Tes seins sont parfaitement sertis dans cette petite robe… pleins, lourds et fermes, ils attirent le regard par leur forme parfaite, le léger décolleté qui les drape et ces tétons visiblement libres et caressés à chaque mouvement par le tissu de la robe.
Le barman est jeune, musclé, tatoué, mâchoire carrée et yeux sombres, un beau sourire. Il ne se prive pas, je t’encourage. Il te regarde droit dans les yeux quand tu décides que la couleur de ton string doit rester clairement visible… et l’intensité de son désir vient répondre à ton envie de lui plaire, à ton envie de m’exciter.
Cambrée, tes fesses magnifiques moulées dans ta petite robe, tes cuisses exposées, mes mains sur toi qui te caressent… ton envie est évidente. Tu te redresses régulièrement d’un mouvement qui fait s’épanouir tes seins à la vue, comme un rappel pour les regards qui s’en détacheraient trop longtemps. Tu as une façon subtile de marquer ton désir de lui quand il se penche pour attraper quelque chose et que ses fesses tendent le tissu de son pantalon… quand il se redresse et se retourne, que ses yeux te demandent si tu as aimé le spectacle et que son sexe fait une bosse de plus en plus visible… tu soupires. Ces soupirs te trahissent, ils tremblent légèrement, ils me rendent fou de désir pour toi.
Tu sais que je te pousserai plus loin que ça et tu es prête à jouer alors nous abandonnons ce bel accessoire pour rejoindre un club libertin.
Je te susurre à l’oreille que je t’emmène te faire attacher et fouetter… ton regard te trahit, la dernière chose que verra le barman sera ton excitation et tes petites fesses quand tu t’éloignes.
Arrivés au club, nous visitons… le bar sera pour après. La piste de danse est quasiment déserte mais des petits cris nous parviennent des couloirs qui sont derrière. Ils sont tamisés, peu de clients à cette heure ci, quelques couples qui s’embrassent, un homme qui s’abandonne dans une levrette avec une brune qui garde les yeux plantés dans ceux d’un autre assis pas loin, peut-être son homme.
Nous déambulons, moi en chaussures en cuir marron, pantalon bleu sombre, chemise blanche légèrement ouverte au col, toi d’une démarche assurée sur tes escarpins, ta petite robe, ma main sur tes fesses… elles réagissent à chacune de mes caresses et m’inspirent la suite.
Un donjon assez sombre, de superbes montants au mur, une collection de cravaches et de fouets… une balançoire et d’autres supports improbables. Nous sommes seuls, j’en profite pour t’embrasser enfin comme j’en ai envie depuis le bar… plaquée au mur, nos langues mêlées, mes mains se saisissent de tes fesses et en apprécient la fermeté… elles sont rondes, charnues, parfaites. Ta robe est légère, mes mains s’affirment. Je te claque les fesses quelques fois et tes petits gémissements m’excitent… je te retourne et t’attache au mur. Tu écartes les jambes, campée sur tes talons, tes cuisses contractées, et je remonte lentement ta robe pour la coincer dans ta ceinture. Ton regard m’interroge, je veux que tu te sentes à ma merci… alors je te bande les yeux. Tu es campée, en attente, soumise à mes envies… je relève les manches de ma chemise et je choisis un fouet épais, en lanières de cuir, pour te faire sentir sa texture rugueuse quand je le promène sur ton dos, tes fesses, tes cuisses…je remonte le long de l’arrondi de tes seins et m’attarde sur leurs tétons déjà durcis. Tu frémis à ce contact de cuir. Je commence à le faire se balancer et les premiers coups sont légers. De petites griffures de cuir sur ta peau, la sensation d’une vague froide et chaude à la fois qui t’irradie. Je me concentre sur tes fesses, ton cul parfait prendra chacun de mes coups de fouet.
Je t’embrasse dans le cou, je saisis ta bouche… ma langue t’explore, mes mains t’apaisent et te réveillent… puis je laisse claquer les lanières de cuir une fois de plus sur tes fesses qui se colorent. Tu pousses des petits cris… un couple nous regarde, un homme aussi. Tu es splendide, torturée, soumise, excitée, encore un peu défiante… je pose le manche du fouet entre tes cuisses et le glisse le long de ta chatte… tu frémis, tu gémis, je sens tes lèvres qui se gonflent de désir et je le pousse sous le tissu pour qu’il vienne glisser entre tes lèvres mouillées.
Tu sais que quand le manche te quitte les lanières vont te mordre… mais si tu sais rester docile et silencieuse, tu te mords les lèvres pour ne pas faire de bruit. Tu reprends ta respiration par petits coups, tu halètes. Entre deux coups de fouet je reviens appuyer le manche contre ton sexe comme un homme prêt à te prendre. Je te caresse avec ce manche, je te fouette et je viens glisser mes doigts le long de tes cuisses pour essuyer ton jus qui trahit ton plaisir…
Le couple est parti avec l’homme pour baiser, excités par ta performance. Un autre arrive… il est grand, brun, beau. Bien taillé, le regard doux. Il sort son membre et se caresse lentement en te regardant. Je t’enlève le bandeau pour que tu puisses le voir, et c’est les yeux rivés sur sa main qui joue avec son érection que tu prends un dernier coup de fouet, bien senti. J’ai vu que tu admirais ce sexe et t’ai fait sentir mon excitation.
Les fesses en feu, les lèvres trempées, ton string encore en place et tes cheveux défaits, je te libère et te guide vers le canapé. Tu sais déjà ce que je veux et tu te places… docile, obéissante, brûlante d’envie mais en attente de l’ordre, tu es comme une chatte, cambrée, aux yeux de braises.
Il s’approche et n’arrête pas ses caresses puissantes, sa queue dirigée vers ton visage, il l’astique sans relâche en s’approchant de toi un pas après l’autre.
Je fais un pas en arrière et viens m’appuyer au dossier d’un fauteuil, curieux, le coeur qui s’accélère à l’idée de te regarder faire vivre mon fantasme. Je suis à quelques pas de toi, suffisamment proche pour distinguer les gouttes de sueur et le petit tremblement d’excitation de ton sourire, suffisamment loin pour admirer le tableau complet sans le perturber. A moitié assis sur le dossier d’un fauteuil, mes mains l’agrippent et mes yeux ne te quittent pas.
Envie de te voir à quatre pattes, tes fesses tendues, tes lèvres humides, ton string délicatement pris entre elles … tes seins lourds à moitié sortis de ta robe, les tétons durs, ta bouche entrouverte qui s’approche d’un énorme sexe et le lèche… ton regard sur moi, ton sourire, ta façon de me demander avec tes grands yeux si j’apprécie le spectacle. Oui je l’apprécie… tu es belle, vibrante, une ode à l’envie sexuelle assumée et à la docilité d’une petite bombe qui a décidé de jouer jusqu’au bout de nos fantasmes. Tu laisses le bout de ta langue se promener sur le bout de ce gland qui t’est offert et tu ris de me voir devenir fou d’envie.
Sa main puissante continue de malaxer cette queue et ses mouvements viennent taper régulièrement son gland sur tes lèvres et ta langue offerte. Ta langue… elle descend et remonte le long de sa hampe, et tu déposes un baiser baveux sur son gland en me laissant tout le temps d’en voir les détails… et puis tu plonges. Tes lèvres s’écartent, ta tête s’abat sur lui avec détermination et tu avales ce sexe aussi loin que possible. Ce mouvement rapide, inattendu, maîtrisé, me donne une érection douloureuse d’intensité et lui arrache un petit cri de surprise. Pendant que mon sexe bat d’envie pour toi tu travailles sur cette queue et la prends jusqu’à la garde, plusieurs fois. Tu salives, tu gémis, tu grognes et tu t’étouffes avec ce membre que tu réussis à faire disparaître presque entièrement dans ta gorge. Tes yeux pleurent, tu es concentrée, tu appuies ton visage dans ses poils et t’appliques à garder tout en bouche… avant de le laisser ressortir ruisselant, ébahi, et de me sourire avec fierté après cet exploit. Ta robe est ouverte, tes seins à l’air, ton corps arqué et tes cuisses ouvertes, tes fesses offertes, ta peau splendide, tout ton corps respire le sexe avec enthousiasme et ce sourire ravageur, provocant, qui s’étale sur ton visage te rend encore plus belle.
Je me lève, je te rejoins et t’arrache à lui… je vois bien ton hésitation à le reprendre en main. Il est contre toi, son sexe turgescent et trempé à la main, il est beau. Tu choisis de jeter tes bras à mon cou pour retrouver mes lèvres et il s’appuie à toi… tu me questionnes du regard, je te susurre à l’oreille : « laisse le finir… » … Alors tes yeux plantés dans les miens, tes mains à mon cou, tes seins nus écrasés contre ma poitrine, tu pousses tes fesses contre son membre… tu fais des vagues avec ton bassin et chaque vague vient glisser sa queue sous ta robe, vient frotter ton minou gourmand, trempé de désir, encore pris dans son string, le long de ce membre énorme et chaud dont tu sens le gland aller et venir… il saisit tes hanches et se caresse à toi… tu le laisses faire… tu m’embrasses avec abandon, je sens son envie de toi et le plaisir que tu prends à frapper tes fesses contre son corps pendant que son sexe glisse le long de ton string. Tu sais que son désir de toi me rend dingue et tu t’abandonnes à ses caresses, à ses assauts. Il se masturbe avec ton minou et tu prends ton pied accrochée à mon cou, tes lèvres collées aux miennes. Quand il jouit il a le réflexe de s’écarter de toi et ce dernier mouvement brusque, cette caresse qui s’arrête quand son gland glisse une dernière fois contre tes lèvres, t’arrache un petit cri. Il bredouille un « merci » hésitant, souriant. Il aura été un accessoire parfait.
Je te ramène au bar. Je commande. Je t’assieds sur un tabouret, je te caresse les cheveux, je t’embrasse… tu as de la salive sur le menton, tes lèvres ont un goût de sexe, tes yeux brulent d’envie… ma langue vient remplacer sa queue pour explorer ta bouche. Tu as replacé ta robe sur tes seins et recouvert plus ou moins tes cuisses.
Je glisse mes mains sous ta robe et te retire ton string d’un geste vif. Il est trempé, par ton jus à l’intérieur, par ta salive et son sexe à l’extérieur. Je le pose à côté de ton verre sur le bar, ce petit bout de tissu mouillé de tes envies, cet éclat de rouge qui témoigne de scènes torrides.
Je t’écarte les jambes et ton minou est à la vue de tous. Nous buvons pendant que mes doigts jouent légèrement le long de tes lèvres, de ta bouche comme de ton sexe… des gouttes de ton jus sur le bout de mes doigts, je les promène sur ta bouche et tu les lèches délicatement. Je me répète, tu me lèches les doigts à chaque fois… je te laisse le faire les yeux dans les miens et tu te laisses aller à ce petit spectacle délicieux pour ceux qui te regardent.
Tu me regardes descendre sur tes seins, les dénuder et te lécher les tétons. Je ne les lâche que quand ils sont de nouveau durs, tendus, sensibles… et je m’accroupis pour te lécher. Mes doigts remontent rapidement sur ton point G et te tiennent fermement dans cette position d’attente… cambrée, empalée sur mes doigts, les seins tendus abandonnés aux regards des clients du bar… et ma bouche qui se colle à ton clitoris pour le suçoter, ma langue qui te cherche, tes jambes qui s’ouvrent et se referment au gré de nos mouvements. Ta tête en arrière, tes seins offerts, ton corps arqué, tu te laisses aller à mes caresses jusqu’à jouir sur ce tabouret… tu gémis, tu cries, tu subis mes doigts profondément en toi pendant que ton orgasme te rend super sensible…
Je te laisse reprendre tes esprits, la chatte et les tétons à l’air, objet de désir de ceux qui nous entourent… tu sais ce que j’attends ensuite. Ta bouche a déjà donné beaucoup de plaisir à un autre homme ce soir… je veux que tu m’en donnes au moins autant. Tu commences au bar… tu me libères enfin cette queue qui souffre à l’étroit dans son pantalon… tu ne perds pas de temps, tu te mets à me sucer avec gourmandise. Tu attrapes un glaçon dans mon verre pour le laisser courir sur mon gland dans ta bouche et ce contraste de chaud et froid est délicieux. Une main dans tes cheveux, l’autre sur le bar, je respire à petits coups en poussant mon bassin plus en avant vers ta bouche pour profiter de cette sensation. Je crois bien que je gémis… je te dis mon plaisir, je te dis de continuer, j’admire ta pose, assise sur un tabouret, pliée en deux sur ma queue que tu dévores pendant que ta petite robe a cessé de chercher à te couvrir et ne fait que mettre en valeur tes formes magnifiques.
Je t’arrache à tes va et vient et t’envoie m’attendre dans une chambre… tu devras te caresser en m’attendant. Je fais durer quelques minutes mais je tiendrai pas longtemps. Je finis mon verre et te rejoins, animé d’une furieuse envie de te posséder.
Je te trouve à quatre pattes sur un lit… ta robe entièrement relevée, fesses à l’air, les doigts dans ton sexe et le regard dans le vague… je viens te coller mon sexe au visage et te laisse t’en emparer. Tu me suces merveilleusement bien, tu l’avales, ta gorge chaude et accueillante le laisse glisser et s’exciter, ta salive me trempe, tes doigts ne cessent de te caresser… pendant de longues minutes je te baise la bouche, la gorge, le visage… je te possède, tu me donnes énormément de plaisir et ma queue vibre de satisfaction. Je te laisse enfin faire tout ce que tu veux, et visiblement tu veux te remplir la bouche. Tu t’es étouffée sur un autre mais là tu t’ouvres à toutes mes envies, ton corps tout entier concentré sur cette fellation inouïe.
Avant d’exploser je m’extirpe a regret et reprend ta bouche avec mes baisers… tu te retournes, tes seins lourds aplatis sur le lit, les fesses offertes, les marques du fouet nettement visibles. Je t’empale. De toute mon envie je te prends jusqu’à la garde et laisse mon gland t’écarter et te posséder sans relâche. Je te baise en claquant tes fesses à chaque va et vient. Tu me sens entrer en toi, prendre possession, puis glisser jusqu’à te libérer entièrement… avant de replonger de toutes mes forces. Je te laisse crier et mes mains agrippent tes hanches pour te tenir pendant que je te pilonne. Tu m’appartiens, tu es mon plaisir, mon objet de désir. Tu jouis et je ne ralentis pas. Tes jambes tremblent. Je te baise jusqu’à exploser et te retourne à la dernière seconde pour agripper ta tête et plonger dans ta bouche pour décharger mon sperme que tu avales au fur et à mesure. Je jouis et ta bouche me suce intensément, je gémis, je m’effondre.
On rentre à l’hôtel en taxi, encore sensibles, rafraîchis et épuisés à la fois. À l’hôtel après une bonne douche nous parlons de cette soirée en nous caressant lentement… c’est tendre et agréable, cette intimité après l’intensité de nos jeux. Nous faisons l’amour lentement, presque endormis, et un dernier orgasme vient nous achever et nous laisser sombrer dans le sommeil, enlacés.
FIN
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dis donc, elle est bien docile.. et sexy. Le chapitre 2 m’a donné envie de lire le 1. Vous êtes excitants, je vais suivre vos aventures
Merci! Le deuxième épisode est écrit, soumis à publication… d’ici quelques jours il devrait être en ligne. Bonne lecture!
très excitant... à quand la suite?

