Lettres à mon amante - Épisode 2 : jeux de nuit

Récit érotique écrit par Mai_Tai_Roa_Ae [→ Accès à sa fiche auteur]
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Lettres à mon amante - Épisode 2 : jeux de nuit
Le lendemain, le réveil est lent. Tu t’étires comme une chatte, le sourire aux lèvres. Nous prenons un café en terrasse, un croissant, petit moment au soleil. Nous ne parlons pas vraiment de la soirée de la veille, mais des soupirs et des regards trahissent ce souvenir qui marque encore nos corps. Ce n’est pas avant la fin d’après midi que tu lâches enfin : « il était vraiment beau, tu trouves pas? » . Je souris. Je sais exactement de qui tu parles. « Oui, et ses cocktails remarquables. »
Tu laisses passer quelques minutes avant de revenir à la charge : « et ça te tente d’en boire d’autres? »
Je te laisse mariner un peu. Je suis déjà très excité à l’idée de le voir de nouveau te déshabiller du regard, je suis encore épuisé de la nuit précédente, j’ai envie de jouer avec toi… « ça dépend de ce que tu auras envie de porter. »
A ton tour de sourire… tu me sers le plus ravageur de tes sourires, à la limite du carnassier : « pour un accessoire comme celui-là ce sera le grand jeu. » Le ton n’est plus interrogatif, le programme de la soirée est scellé.
Nous irons tard, nous avons le reste de la journée pour se reposer. Le bar ferme à 1h, nous arriverons pour minuit. Reste à voir ton grand jeu…
C’est une robe beige, quasiment la couleur de ta chair… un tissu très fin, très élastique, qui épouse parfaitement les formes de ton corps et aide le regard à en deviner les moindres détails. Cette robe qui t’épouse remonte sur tes seins parfaitement moulés et jusqu’à ta gorge qu’elle enserre d’un collier de tissu. Sans manches, elle s’arrête sur le côté de tes seins à la limite de leur galbe. Elle est courte. Très courte. Elle serait trop courte si tu n’étais pas si belle, perchée sur une paire de bottes à talons hauts et fins, lacées.
Sous ta robe, tes seins libres laissent à peine deviner des auréoles discrètes et leurs tétons. Le tissu qui se promène sur ta peau à chaque pas vient buter sur la marque d’un string nettement marqué dont la couleur ne sera plus un secret quand tu te seras assise.
Je suis revenu à un pantalon plus fin qu’hier, classique, plus slim aussi. Bleu sombre, des carreaux légers, il tombe sur des chaussures en cuir marron couleur havane. Une chemise d’un bleu presque noir, manches longues, légèrement ouverte sur ma poitrine. Je sais que mes poils accrochent toujours ton regard et que ce style te plaît. Tant qu’à passer la soirée à te désirer et te regarder en séduire un autre autant le faire avec classe.
Ton pas décidé qui a accompagné notre trajet se fait hésitant à l’entrée dans le bar. Tu t’arrêtes, tu laisses promener ton regard sur la salle et tu retiens ton souffle. Je me demande si tu étudies les clients ou si tu le cherches… et c’est encore ton souffle qui te trahit. Un léger soupir, presque un rire, et tu te diriges droit vers le fond du bar. Il est là, accroupi derrière le comptoir à chercher quelque chose.
Ce bar tu le traverses avec allure, librement, au bras d’un homme mais clairement maîtresse de ce charme et de cette assurance que tu dégages. Lorsque tu t’assieds, le mouvement souple me rappelle que ton string est un peu particulier et qu’il ne cache rien de ton sexe. Il est fin, d’un blanc éclatant et découpé dans la dentelle de sorte que ton minou est à l’air. Assise bien droite, un peu cambrée, penchée en avant, il n’est pas visible depuis la salle mais il faudra peu d’efforts au barman pour pouvoir le regarder. Tes cuisses galbées sont nues, la robe est remontée à la limite de tes fesses et ne fait que souligner tes formes splendides. Le blanc de ton string est parfaitement visible avec cette lumière et je suis en train d’admirer la courbe de tes fesses quand je sens la vibration de l’air changer. Tu vibres ma Chérie… il s’est redressé et ce félin tatoué ne cache pas son plaisir en retrouvant cette apparition de la veille plantée sur un tabouret juste en face de lui.
Il est toujours aussi beau, musclé, souple… des épaules à s’y accrocher, un poitrail splendide enchâssé dans une chemise largement ouverte et un gilet dont la dizaine de boutons te donnera certainement envie d’y promener les doigts. Ce specimen de masculinité désarmante allie des traits presque rudes, une beauté sauvage et un sourire charmeur. Il est simplement irrésistible. Il te lèche littéralement du regard et ne cache pas sa joie de retrouver sa cliente préférée. Tu baignes dans son désir, tu t’épanouis, tu me souris fièrement. Je lui confirme d’un sourire qu’il peut s’en donner à coeur joie et il va consacrer sa dernière heure de service à tout faire pour te plaire. Il a la décence de faire attention à moi, comme à me demander des yeux régulièrement si il a vraiment le droit de faire tout ça…
Cette heure nous allons la passer dans une ambiance délicieuse… il est aux petits soins, ses cocktails sont divins, et nous avons tout le temps de jouer légèrement. Nos envies sauvages ont été rassasiées la veille, le plaisir devient plus subtil… tu te montres à nous deux à la fois, nous nous retrouvons complices à admirer tes tours de passe passe. Tu t’étires comme une chatte, tes seins se tendent sous ta robe et elle fait son possible pour les cacher mais ne réussit absolument pas. Il faut dire qu’à force de se frotter au tissu, ou peut-être à force de le regarder déambuler derrière son bar, tes tétons sont épanouis… pleins, raides, assombris, ils sont deux fleurs que le regard ne peut manquer. D’ailleurs nos regards s’y attardent souvent… alors tu joues, et quand tu nous sais trop absorbés par eux tu laisses ta robe remonter par des petits mouvements de tes cuisses et nous dévoile tes lèvres. Tu joues de nous et de nos rythmes cardiaques qui ne peuvent s’empêcher de suivre ces petites exhibitions parfaitement calculées. Même ta façon de replacer ta robe est plus suggestive que sage : un petit geste sec, tes jambes qui s’écartent légèrement et un minou entièrement exposé le temps d’un battement cardiaque. Puis ce sourire nous reprend. Tes cheveux que tu recoiffes en te cambrant, ces fesses que je caresse de plus en plus au fur et à mesure que les Mai Tai passent.
Les derniers clients quittent le bar, l’un d’entre eux vient te murmurer quelque chose à l’oreille… et visiblement ça te plait, tu lui offres même une vue plongeante sur tes cuisses nues et ton minou en prétextant ne pas t’en rendre compte quand tu lui réponds et que tes jambes s’écartent peu à peu… ta main sur son avant-bras, tes lèvres à son oreille, ses yeux fixés sur le spectacle, transcendé. Il ne regrettera pas d’avoir osé venir te parler. Je suis curieux : « il voulait quoi? » … « savoir si j’étais intéressée ». « et? » « je lui ai dit que j’avais déjà deux hommes à satisfaire ce soir, c’est largement suffisant. »
Le barman semble au moins aussi heureux que moi de ta réponse.
Il va fermer la porte et revient vers nous, son verre déjà prêt, il prend enfin le temps d’un cocktail pour lui même. « mmmmh »… ce n’est pas lui qui exprime son plaisir à boire un Mai Tai, c’est toi qui vient de coller ta main sur sa poitrine et peux enfin tâter ce corps que tu as passé deux soirées à mater. Ton prochain mouvement me surprend : tu l’attires à toi et, jambes écartées sur ton tabouret, un pur spectacle de promesse sexuelle, tu viens goûter le cocktail sur ses lèvres. Tu l’embrasses et tout se fige quelques secondes… ma main sur ta hanche, la tienne sur ta poitrine, tes lèvres collées aux siennes et ce corps de rêve moulé dans une petite robe qui décidément est parfaite pour ce moment. Il pose son verre, ses mains descendent sur toi, tu lui offres ton cou et retrouve mon regard… ce sourire un peu craintif de gamine qui fait ce qu’elle veut et veut quand même vérifier que je ne suis pas fâché. Pas du tout ma Chérie… à mon tour de t’embrasser pendant qu’il joue avec son souffle et sa langue le long de ton cou, de ton épaule.
Ce baiser est lent, profond, quasi intemporel. Il dure. Il est bon. Et un autre homme goûte ta peau et caresse le creux de tes reins, ton dos, tes fesses… je décide de satisfaire enfin ce minou qui nous fait de l’oeil depuis une heure et mes doigts viennent délicatement épouser tes lèvres pour les écarter, palper ta chair, glisser entre elles et trouver toute la moiteur de ton excitation qui est décidément intense. Je te caresse, mes doigts glissent aisément en toi, ta tête bascule en arrière et nous nous retrouvons tous les deux à t’embrasser le cou pendant que mes doigts te masturbent et ses mains te caressent les fesses. Je le vois longer ton string, agripper tes hanches, te palper, éveiller toutes tes envies, et ça m’excite. Je te caresse plus fort, plus profondément, je t’abandonne juste le temps de venir de proposer mes doigts à lécher… et tu t’y abandonnes avec délice en nous regardant tous les deux. Tu suces mes deux doigts en nous laissant parfaitement imaginer ce que tu pourras sucer d’autre.
Je dégrafe le haut de ta robe, je commence à descendre la fermeture éclair et tu t’extirpes de ce petit bout de tissu. Tes seins tendus, durs, surexcités nous sautent quasiment au visage et nos bouches viennent trouver tes tétons immédiatement. Tu gémis, tes jambes s’écartent, nous te léchons tous les deux les seins et tes mains viennent agripper nos cheveux. C’est un moment de grâce, nous sommes deux pour ton plaisir et c’est si naturel. Nous n’avons rien prévu, rien discuté, c’est une navigation à vue… tes seins fermes, massés, léchés, sucés, ma main qui revient te prendre et cette bosse monumentale qui orne désormais le pantalon de notre compagnon de jeu. Tu le vois, tu me regardes… tu es libre et tu sais déjà ce que tu veux, je te souris parce que j’aime ça. J’aime tout ça.
Tu descends de ton tabouret et tu te campes sur tes talons entre nous deux… les jambes légèrement écartées, tes seins à l’air, ta robe qui ne cache plus rien, une main sur chacun d’entre nous, tu nous caresses… ce sourire ravageur quand tu frottes tes mains sur nos érections, quand tu trouves les boutons, les braguettes, quand tu libères nos sexes. Il est énorme. Mon membre est de bonne taille, épais, habituellement je dirais même qu’il est gros. Mais là cette queue qui palpite dans ton autre main est autre chose. Tu ne sembles pas impressionnée, juste ravie de nous tenir tous les deux et de pouvoir enfin caresser deux hommes en même temps. Ça on en avait parlé… mais ce n’était jamais arrivé avant. Nos mains sur toi, tes cuisses, tes fesses… et nous nous retrouvons à te caresser le minou ensemble. Un sourire qui flashe, ce plaisir partagé, et nos doigts se mêlent entre tes lèvres, nous te pénétrons à tour de rôle, je me lèche les doigts pour te goûter et il fait de même. Tu jouis une première fois. C’est lent, c’est fort, tu palpites sous nos mains et tes cuisses tremblent légèrement quand ton jus vient glisser sur nos doigts.
Tu n’as pas lâché nos sexes. Ils sont gorgés d’envie, tu gémis, tu soupires, tu souris et tu viens lentement poser tes genoux au sol devant nous. Côte à côte, nous te regardons regarder nos queues… tu les caresses, tu les soupèses, tu les admires et tu sembles hésiter. Le premier petit coup de langue est pour lui. Puis moi. Tu joues en miroir… ce que tu fais à l’un, tu le fais à l’autre. Tu nous lèches et tu viens suçoter nos glands l’un après l’autre… tu nous mordilles, tu nous aspires, tu caresses nos testicules en nous suçant. Tu y mets tout ton coeur et j’admire ce membre énorme qui réussit à se faire partiellement engloutir par la femme que j’aime. Tu t’en sors très bien. Je te suspecte de te reposer en venant ensuite me prendre en bouche, mais tu me prouves le contraire en venant t’empaler la gorge. Je vois disparaitre ma queue et je jouis presque de cette sensation de chaleur, d’enveloppement. Tu nous suces tous les deux consciencieusement et nous restons parfaitement sages à apprécier ce cadeau incroyable.
Je vois ta main descendre et commencer à te caresser, ta respiration s’accélère… tu t’étouffes sur nos queues et on sent que tu veux plus… alors je te relève, je te retourne et je m’agrippe d’une main à tes hanches pendant que mon autre main dans tes cheveux te guide pour redescendre sur lui… et j’admire ton cul parfait qui n’attend que d’être pénétré pendant que j’entends tes bruits de succion quand tu recommences à le prendre en bouche. Je viens appuyer mon gland contre toi, légèrement d’abord puis en poussant lentement… tes lèvres s’écartent, je viens prendre possession de toi jusqu’à sentir tes fesses en butée sur mes hanches, écrasées, écartées, possédées. Je commence à te faire l’amour lentement et je viens épouser le rythme de ta succion. Tu prends ton temps, nous sommes synchro et à chaque coup de rein je sens que je te pousse encore plus sur son sexe qui vient buter au fond de ta gorge.
C’est terriblement bon et nous nous abandonnons un moment à ce rythme lent et profond. Je sens monter ton orgasme, je viens claquer tes fesses à chaque coup de bassin et je te baise de plus en plus fort. Il gémit, il miaule presque, sa queue happée, sucée, massée par ta bouche, ta bouche si pleine et si gourmande. Tu jouis de nouveau, plus violemment cette fois. Tu cries, tu t’étouffes, tu l’attrapes d’une main et tu te laisses aller à grogner, gémir, nous dire tout ton plaisir, pendant que je ralentis et te libère peu à peu.
C’est extraordinaire ce plaisir partagé.
Tu fais trois pas, tu titubes, tu souris. « alors, qu’est-ce que vous faites? On n’a pas fini!!… » tu es adorable. Tu viens m’embrasser et pendant quelques secondes on l’oublie complètement… puis tu te souviens, lui qui patiente en se caressant. Finalement il n’a pas quitté son gilet, il reste tout habillé avec sa queue palpitante qui sort de son pantalon, trempée, impatiente. Tu ne quittes pas mon regard quand tu te penches peu à peu… tes jambes tendues, tes fesses offertes, tu les lui tends et tu me souris. Je suis excité comme jamais et je le regarde promener ses mains sur tes fesses et approcher son sexe… tu veux que je regarde dans tes yeux ce moment là… il a réussi à glisser cet énorme membre dans une capote et vient le frotter à toi… tu hoquetes quand il appuie son gland contre toi et c’est d’un mouvement souple de tes hanches que tu viens toi même t’empaler dessus. Tes yeux s’écarquillent, ta bouche s’ouvre sur un mélange de sourire et d’incrédulité. Il vient t’écarteler avec sa queue et tu es tellement excitée que tu prends tout ton plaisir à le sentir s’installer en toi. Ta tête bouge en rythme quand il commence à te baiser et tu réalises que mon érection est restée sous ton nez. Tu m’attrapes, tu me suces avec une ardeur retrouvée, tes yeux dans le vague et des petits gémissements viennent ponctuer ta respiration hachée. Je sais ce qu’il ressent et je me retrouve de l’autre côté de toi, ta bouche gourmande sur mon membre et le sien qui te prend, t’écarte, te baise. Cela fait un moment que sa queue retient toute notre attention mais il est vraiment super beau, et c’est un plaisir de voir ce mâle splendide te posséder pendant que tu me suces avec ardeur.
Tu te relèves d’un coup, ma queue libérée et dégoulinante, palpitante de plaisir, la sienne abandonnée quand tu te redresses, ton mouvement nous a surpris tous les deux. Tu te retournes. « J’ai envie de toi mon Amour. » Tes fesses offertes, ton minou gorgé de plaisir, tu es ouverte… je reviens prendre toute ma place en toi. Mon pouce sur ton anus qui palpite et s’ouvre déjà, je me retrouve rapidement à te pénétrer là aussi, avec mes doigts… il se masturbe devant ton visage, tu sembles adorer le spectacle. Mes doigts à travers toi sentent passer mon gland d’avant en arrière et chaque petite butée t’arrache un son de gorge discret, incontrôlé. Mes doigts t’ouvrent et te caressent de plus en plus loin, ton cul splendide en veut davantage.
Je viens appuyer mon gland entre tes fesses et tu t’ouvres complètement… je me glisse en toi. Lentement, sûrement. « oouuuuhhh… oui. » Tu viens de t’ouvrir à moi et je suis bien engagé, presque entièrement en toi. « oh non, pas toi. » avec un petit rire. Son regard à lui a dû s’allumer à me voir te prendre par derrière mais pas moyen que tu te laisses écarteler par son engin! Qu’il continue d’astiquer avec passion d’ailleurs, et vient présenter à tes lèvres de temps en temps pour un coup de langue, un sourire, une succion rapide, bruyante, presque brutale. Je glisse en toi et me retire, je reviens, je prends mon rythme… tu me serres, tu me masses, je vais bientôt jouir. Tu me sens accélérer et tu viens frapper tes fesses contre moi en me prenant entier en toi. Tu me baises pendant qu’il se masturbe sous ton nez, je ne peux plus me retenir… je jouis de tout mon corps et me décharge entre tes fesses… tu trembles, tu gémis, tu jouis en même temps… quel bonheur… ça le rend encore plus excité et il astique son membre avec ardeur jusqu’à nous dire… « je viens… » tu te redresses juste un peu pour présenter tes seins splendides à cette giclée largement proportionnelle à sa queue improbable, et tu te laisses asperger avec un bonheur non dissimulé. Je glisse hors de toi, nous sommes saouls de sensations, du sperme coule le long de tes jambes et sur tes seins, tu viens lui gober le gland pour le goûter. « hhmmm c’était délicieux. » Sentiment aussi partagé que le plaisir. Tu n’arrêtes pas de sourire, je crois que nous aussi.
Il nous faudra plusieurs minutes pour retrouver nos respirations, en rire, se sourire, se frôler, une main qui vient caresser un bras, glisser le long d’une cuisse, une intimité improbable entre nous trois, une connivence dans cette jouissance partagée, assumée.
Rassasiés, repus, détendus, plein d’amour, nous resterons longtemps assis au bar dans la lumière tamisée, à siroter un dernier cocktail avec ce superbe accessoire, ce futur souvenir intense et beau, à prolonger ces heures volées d’un moment inoubliable.
FIN
Tu laisses passer quelques minutes avant de revenir à la charge : « et ça te tente d’en boire d’autres? »
Je te laisse mariner un peu. Je suis déjà très excité à l’idée de le voir de nouveau te déshabiller du regard, je suis encore épuisé de la nuit précédente, j’ai envie de jouer avec toi… « ça dépend de ce que tu auras envie de porter. »
A ton tour de sourire… tu me sers le plus ravageur de tes sourires, à la limite du carnassier : « pour un accessoire comme celui-là ce sera le grand jeu. » Le ton n’est plus interrogatif, le programme de la soirée est scellé.
Nous irons tard, nous avons le reste de la journée pour se reposer. Le bar ferme à 1h, nous arriverons pour minuit. Reste à voir ton grand jeu…
C’est une robe beige, quasiment la couleur de ta chair… un tissu très fin, très élastique, qui épouse parfaitement les formes de ton corps et aide le regard à en deviner les moindres détails. Cette robe qui t’épouse remonte sur tes seins parfaitement moulés et jusqu’à ta gorge qu’elle enserre d’un collier de tissu. Sans manches, elle s’arrête sur le côté de tes seins à la limite de leur galbe. Elle est courte. Très courte. Elle serait trop courte si tu n’étais pas si belle, perchée sur une paire de bottes à talons hauts et fins, lacées.
Sous ta robe, tes seins libres laissent à peine deviner des auréoles discrètes et leurs tétons. Le tissu qui se promène sur ta peau à chaque pas vient buter sur la marque d’un string nettement marqué dont la couleur ne sera plus un secret quand tu te seras assise.
Je suis revenu à un pantalon plus fin qu’hier, classique, plus slim aussi. Bleu sombre, des carreaux légers, il tombe sur des chaussures en cuir marron couleur havane. Une chemise d’un bleu presque noir, manches longues, légèrement ouverte sur ma poitrine. Je sais que mes poils accrochent toujours ton regard et que ce style te plaît. Tant qu’à passer la soirée à te désirer et te regarder en séduire un autre autant le faire avec classe.
Ton pas décidé qui a accompagné notre trajet se fait hésitant à l’entrée dans le bar. Tu t’arrêtes, tu laisses promener ton regard sur la salle et tu retiens ton souffle. Je me demande si tu étudies les clients ou si tu le cherches… et c’est encore ton souffle qui te trahit. Un léger soupir, presque un rire, et tu te diriges droit vers le fond du bar. Il est là, accroupi derrière le comptoir à chercher quelque chose.
Ce bar tu le traverses avec allure, librement, au bras d’un homme mais clairement maîtresse de ce charme et de cette assurance que tu dégages. Lorsque tu t’assieds, le mouvement souple me rappelle que ton string est un peu particulier et qu’il ne cache rien de ton sexe. Il est fin, d’un blanc éclatant et découpé dans la dentelle de sorte que ton minou est à l’air. Assise bien droite, un peu cambrée, penchée en avant, il n’est pas visible depuis la salle mais il faudra peu d’efforts au barman pour pouvoir le regarder. Tes cuisses galbées sont nues, la robe est remontée à la limite de tes fesses et ne fait que souligner tes formes splendides. Le blanc de ton string est parfaitement visible avec cette lumière et je suis en train d’admirer la courbe de tes fesses quand je sens la vibration de l’air changer. Tu vibres ma Chérie… il s’est redressé et ce félin tatoué ne cache pas son plaisir en retrouvant cette apparition de la veille plantée sur un tabouret juste en face de lui.
Il est toujours aussi beau, musclé, souple… des épaules à s’y accrocher, un poitrail splendide enchâssé dans une chemise largement ouverte et un gilet dont la dizaine de boutons te donnera certainement envie d’y promener les doigts. Ce specimen de masculinité désarmante allie des traits presque rudes, une beauté sauvage et un sourire charmeur. Il est simplement irrésistible. Il te lèche littéralement du regard et ne cache pas sa joie de retrouver sa cliente préférée. Tu baignes dans son désir, tu t’épanouis, tu me souris fièrement. Je lui confirme d’un sourire qu’il peut s’en donner à coeur joie et il va consacrer sa dernière heure de service à tout faire pour te plaire. Il a la décence de faire attention à moi, comme à me demander des yeux régulièrement si il a vraiment le droit de faire tout ça…
Cette heure nous allons la passer dans une ambiance délicieuse… il est aux petits soins, ses cocktails sont divins, et nous avons tout le temps de jouer légèrement. Nos envies sauvages ont été rassasiées la veille, le plaisir devient plus subtil… tu te montres à nous deux à la fois, nous nous retrouvons complices à admirer tes tours de passe passe. Tu t’étires comme une chatte, tes seins se tendent sous ta robe et elle fait son possible pour les cacher mais ne réussit absolument pas. Il faut dire qu’à force de se frotter au tissu, ou peut-être à force de le regarder déambuler derrière son bar, tes tétons sont épanouis… pleins, raides, assombris, ils sont deux fleurs que le regard ne peut manquer. D’ailleurs nos regards s’y attardent souvent… alors tu joues, et quand tu nous sais trop absorbés par eux tu laisses ta robe remonter par des petits mouvements de tes cuisses et nous dévoile tes lèvres. Tu joues de nous et de nos rythmes cardiaques qui ne peuvent s’empêcher de suivre ces petites exhibitions parfaitement calculées. Même ta façon de replacer ta robe est plus suggestive que sage : un petit geste sec, tes jambes qui s’écartent légèrement et un minou entièrement exposé le temps d’un battement cardiaque. Puis ce sourire nous reprend. Tes cheveux que tu recoiffes en te cambrant, ces fesses que je caresse de plus en plus au fur et à mesure que les Mai Tai passent.
Les derniers clients quittent le bar, l’un d’entre eux vient te murmurer quelque chose à l’oreille… et visiblement ça te plait, tu lui offres même une vue plongeante sur tes cuisses nues et ton minou en prétextant ne pas t’en rendre compte quand tu lui réponds et que tes jambes s’écartent peu à peu… ta main sur son avant-bras, tes lèvres à son oreille, ses yeux fixés sur le spectacle, transcendé. Il ne regrettera pas d’avoir osé venir te parler. Je suis curieux : « il voulait quoi? » … « savoir si j’étais intéressée ». « et? » « je lui ai dit que j’avais déjà deux hommes à satisfaire ce soir, c’est largement suffisant. »
Le barman semble au moins aussi heureux que moi de ta réponse.
Il va fermer la porte et revient vers nous, son verre déjà prêt, il prend enfin le temps d’un cocktail pour lui même. « mmmmh »… ce n’est pas lui qui exprime son plaisir à boire un Mai Tai, c’est toi qui vient de coller ta main sur sa poitrine et peux enfin tâter ce corps que tu as passé deux soirées à mater. Ton prochain mouvement me surprend : tu l’attires à toi et, jambes écartées sur ton tabouret, un pur spectacle de promesse sexuelle, tu viens goûter le cocktail sur ses lèvres. Tu l’embrasses et tout se fige quelques secondes… ma main sur ta hanche, la tienne sur ta poitrine, tes lèvres collées aux siennes et ce corps de rêve moulé dans une petite robe qui décidément est parfaite pour ce moment. Il pose son verre, ses mains descendent sur toi, tu lui offres ton cou et retrouve mon regard… ce sourire un peu craintif de gamine qui fait ce qu’elle veut et veut quand même vérifier que je ne suis pas fâché. Pas du tout ma Chérie… à mon tour de t’embrasser pendant qu’il joue avec son souffle et sa langue le long de ton cou, de ton épaule.
Ce baiser est lent, profond, quasi intemporel. Il dure. Il est bon. Et un autre homme goûte ta peau et caresse le creux de tes reins, ton dos, tes fesses… je décide de satisfaire enfin ce minou qui nous fait de l’oeil depuis une heure et mes doigts viennent délicatement épouser tes lèvres pour les écarter, palper ta chair, glisser entre elles et trouver toute la moiteur de ton excitation qui est décidément intense. Je te caresse, mes doigts glissent aisément en toi, ta tête bascule en arrière et nous nous retrouvons tous les deux à t’embrasser le cou pendant que mes doigts te masturbent et ses mains te caressent les fesses. Je le vois longer ton string, agripper tes hanches, te palper, éveiller toutes tes envies, et ça m’excite. Je te caresse plus fort, plus profondément, je t’abandonne juste le temps de venir de proposer mes doigts à lécher… et tu t’y abandonnes avec délice en nous regardant tous les deux. Tu suces mes deux doigts en nous laissant parfaitement imaginer ce que tu pourras sucer d’autre.
Je dégrafe le haut de ta robe, je commence à descendre la fermeture éclair et tu t’extirpes de ce petit bout de tissu. Tes seins tendus, durs, surexcités nous sautent quasiment au visage et nos bouches viennent trouver tes tétons immédiatement. Tu gémis, tes jambes s’écartent, nous te léchons tous les deux les seins et tes mains viennent agripper nos cheveux. C’est un moment de grâce, nous sommes deux pour ton plaisir et c’est si naturel. Nous n’avons rien prévu, rien discuté, c’est une navigation à vue… tes seins fermes, massés, léchés, sucés, ma main qui revient te prendre et cette bosse monumentale qui orne désormais le pantalon de notre compagnon de jeu. Tu le vois, tu me regardes… tu es libre et tu sais déjà ce que tu veux, je te souris parce que j’aime ça. J’aime tout ça.
Tu descends de ton tabouret et tu te campes sur tes talons entre nous deux… les jambes légèrement écartées, tes seins à l’air, ta robe qui ne cache plus rien, une main sur chacun d’entre nous, tu nous caresses… ce sourire ravageur quand tu frottes tes mains sur nos érections, quand tu trouves les boutons, les braguettes, quand tu libères nos sexes. Il est énorme. Mon membre est de bonne taille, épais, habituellement je dirais même qu’il est gros. Mais là cette queue qui palpite dans ton autre main est autre chose. Tu ne sembles pas impressionnée, juste ravie de nous tenir tous les deux et de pouvoir enfin caresser deux hommes en même temps. Ça on en avait parlé… mais ce n’était jamais arrivé avant. Nos mains sur toi, tes cuisses, tes fesses… et nous nous retrouvons à te caresser le minou ensemble. Un sourire qui flashe, ce plaisir partagé, et nos doigts se mêlent entre tes lèvres, nous te pénétrons à tour de rôle, je me lèche les doigts pour te goûter et il fait de même. Tu jouis une première fois. C’est lent, c’est fort, tu palpites sous nos mains et tes cuisses tremblent légèrement quand ton jus vient glisser sur nos doigts.
Tu n’as pas lâché nos sexes. Ils sont gorgés d’envie, tu gémis, tu soupires, tu souris et tu viens lentement poser tes genoux au sol devant nous. Côte à côte, nous te regardons regarder nos queues… tu les caresses, tu les soupèses, tu les admires et tu sembles hésiter. Le premier petit coup de langue est pour lui. Puis moi. Tu joues en miroir… ce que tu fais à l’un, tu le fais à l’autre. Tu nous lèches et tu viens suçoter nos glands l’un après l’autre… tu nous mordilles, tu nous aspires, tu caresses nos testicules en nous suçant. Tu y mets tout ton coeur et j’admire ce membre énorme qui réussit à se faire partiellement engloutir par la femme que j’aime. Tu t’en sors très bien. Je te suspecte de te reposer en venant ensuite me prendre en bouche, mais tu me prouves le contraire en venant t’empaler la gorge. Je vois disparaitre ma queue et je jouis presque de cette sensation de chaleur, d’enveloppement. Tu nous suces tous les deux consciencieusement et nous restons parfaitement sages à apprécier ce cadeau incroyable.
Je vois ta main descendre et commencer à te caresser, ta respiration s’accélère… tu t’étouffes sur nos queues et on sent que tu veux plus… alors je te relève, je te retourne et je m’agrippe d’une main à tes hanches pendant que mon autre main dans tes cheveux te guide pour redescendre sur lui… et j’admire ton cul parfait qui n’attend que d’être pénétré pendant que j’entends tes bruits de succion quand tu recommences à le prendre en bouche. Je viens appuyer mon gland contre toi, légèrement d’abord puis en poussant lentement… tes lèvres s’écartent, je viens prendre possession de toi jusqu’à sentir tes fesses en butée sur mes hanches, écrasées, écartées, possédées. Je commence à te faire l’amour lentement et je viens épouser le rythme de ta succion. Tu prends ton temps, nous sommes synchro et à chaque coup de rein je sens que je te pousse encore plus sur son sexe qui vient buter au fond de ta gorge.
C’est terriblement bon et nous nous abandonnons un moment à ce rythme lent et profond. Je sens monter ton orgasme, je viens claquer tes fesses à chaque coup de bassin et je te baise de plus en plus fort. Il gémit, il miaule presque, sa queue happée, sucée, massée par ta bouche, ta bouche si pleine et si gourmande. Tu jouis de nouveau, plus violemment cette fois. Tu cries, tu t’étouffes, tu l’attrapes d’une main et tu te laisses aller à grogner, gémir, nous dire tout ton plaisir, pendant que je ralentis et te libère peu à peu.
C’est extraordinaire ce plaisir partagé.
Tu fais trois pas, tu titubes, tu souris. « alors, qu’est-ce que vous faites? On n’a pas fini!!… » tu es adorable. Tu viens m’embrasser et pendant quelques secondes on l’oublie complètement… puis tu te souviens, lui qui patiente en se caressant. Finalement il n’a pas quitté son gilet, il reste tout habillé avec sa queue palpitante qui sort de son pantalon, trempée, impatiente. Tu ne quittes pas mon regard quand tu te penches peu à peu… tes jambes tendues, tes fesses offertes, tu les lui tends et tu me souris. Je suis excité comme jamais et je le regarde promener ses mains sur tes fesses et approcher son sexe… tu veux que je regarde dans tes yeux ce moment là… il a réussi à glisser cet énorme membre dans une capote et vient le frotter à toi… tu hoquetes quand il appuie son gland contre toi et c’est d’un mouvement souple de tes hanches que tu viens toi même t’empaler dessus. Tes yeux s’écarquillent, ta bouche s’ouvre sur un mélange de sourire et d’incrédulité. Il vient t’écarteler avec sa queue et tu es tellement excitée que tu prends tout ton plaisir à le sentir s’installer en toi. Ta tête bouge en rythme quand il commence à te baiser et tu réalises que mon érection est restée sous ton nez. Tu m’attrapes, tu me suces avec une ardeur retrouvée, tes yeux dans le vague et des petits gémissements viennent ponctuer ta respiration hachée. Je sais ce qu’il ressent et je me retrouve de l’autre côté de toi, ta bouche gourmande sur mon membre et le sien qui te prend, t’écarte, te baise. Cela fait un moment que sa queue retient toute notre attention mais il est vraiment super beau, et c’est un plaisir de voir ce mâle splendide te posséder pendant que tu me suces avec ardeur.
Tu te relèves d’un coup, ma queue libérée et dégoulinante, palpitante de plaisir, la sienne abandonnée quand tu te redresses, ton mouvement nous a surpris tous les deux. Tu te retournes. « J’ai envie de toi mon Amour. » Tes fesses offertes, ton minou gorgé de plaisir, tu es ouverte… je reviens prendre toute ma place en toi. Mon pouce sur ton anus qui palpite et s’ouvre déjà, je me retrouve rapidement à te pénétrer là aussi, avec mes doigts… il se masturbe devant ton visage, tu sembles adorer le spectacle. Mes doigts à travers toi sentent passer mon gland d’avant en arrière et chaque petite butée t’arrache un son de gorge discret, incontrôlé. Mes doigts t’ouvrent et te caressent de plus en plus loin, ton cul splendide en veut davantage.
Je viens appuyer mon gland entre tes fesses et tu t’ouvres complètement… je me glisse en toi. Lentement, sûrement. « oouuuuhhh… oui. » Tu viens de t’ouvrir à moi et je suis bien engagé, presque entièrement en toi. « oh non, pas toi. » avec un petit rire. Son regard à lui a dû s’allumer à me voir te prendre par derrière mais pas moyen que tu te laisses écarteler par son engin! Qu’il continue d’astiquer avec passion d’ailleurs, et vient présenter à tes lèvres de temps en temps pour un coup de langue, un sourire, une succion rapide, bruyante, presque brutale. Je glisse en toi et me retire, je reviens, je prends mon rythme… tu me serres, tu me masses, je vais bientôt jouir. Tu me sens accélérer et tu viens frapper tes fesses contre moi en me prenant entier en toi. Tu me baises pendant qu’il se masturbe sous ton nez, je ne peux plus me retenir… je jouis de tout mon corps et me décharge entre tes fesses… tu trembles, tu gémis, tu jouis en même temps… quel bonheur… ça le rend encore plus excité et il astique son membre avec ardeur jusqu’à nous dire… « je viens… » tu te redresses juste un peu pour présenter tes seins splendides à cette giclée largement proportionnelle à sa queue improbable, et tu te laisses asperger avec un bonheur non dissimulé. Je glisse hors de toi, nous sommes saouls de sensations, du sperme coule le long de tes jambes et sur tes seins, tu viens lui gober le gland pour le goûter. « hhmmm c’était délicieux. » Sentiment aussi partagé que le plaisir. Tu n’arrêtes pas de sourire, je crois que nous aussi.
Il nous faudra plusieurs minutes pour retrouver nos respirations, en rire, se sourire, se frôler, une main qui vient caresser un bras, glisser le long d’une cuisse, une intimité improbable entre nous trois, une connivence dans cette jouissance partagée, assumée.
Rassasiés, repus, détendus, plein d’amour, nous resterons longtemps assis au bar dans la lumière tamisée, à siroter un dernier cocktail avec ce superbe accessoire, ce futur souvenir intense et beau, à prolonger ces heures volées d’un moment inoubliable.
FIN
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos retours très motivants 🙏
La prochaine scène sera en Toscane, dans une cuisine… juste nous deux, et elle est vraiment intense.
Pour la suivante, nous ne serons pas seuls… les pieds dans le sable, et de multiples mains...nous lâcherons prise.
J’écris au gré des envies, mêlant scènes réelles et fantasmes, et mon amante me guide. Si vous avez des envies… dites toujours. Si elles nous plaisent je les utiliserai dans une prochaine histoire, et pourquoi pas les essayer dans la vraie vie aussi.
Je soumettrai l’épisode 3 bientôt… merci pour vos lectures, c’est plein d’amour tout ça ❤️
La prochaine scène sera en Toscane, dans une cuisine… juste nous deux, et elle est vraiment intense.
Pour la suivante, nous ne serons pas seuls… les pieds dans le sable, et de multiples mains...nous lâcherons prise.
J’écris au gré des envies, mêlant scènes réelles et fantasmes, et mon amante me guide. Si vous avez des envies… dites toujours. Si elles nous plaisent je les utiliserai dans une prochaine histoire, et pourquoi pas les essayer dans la vraie vie aussi.
Je soumettrai l’épisode 3 bientôt… merci pour vos lectures, c’est plein d’amour tout ça ❤️
Chaud chaud chaud!! Ton amante est trop sexy garde la. On attend la suite
Tellement bien écrit, tellement sensuel, tellement excitant. On sent beaucoup d’affection entre vous et ça rend la scène encore plus érotique. A quand le prochain chapitre ? Vous êtes doux et chauds à la fois!
Bonjour je n'écris pas souvent bien que je lise régulièrement des histoires. Merci pour cette tendresse et cette délicieuse écriture.
Maitai roa ,de Tahiti ??

