Lettres à mon amante EPISODE 3 : suspendue à ton plaisir

Récit érotique écrit par Mai_Tai_Roa_Ae [→ Accès à sa fiche auteur]
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Lettres à mon amante EPISODE 3 : suspendue à ton plaisir
Une maison en Toscane, l’été. Des murs épais, en pierre, une bâtisse ancienne rénovée avec goût. Cela fait un peu plus de deux semaines que nous vivons au rythme du soleil, des siestes, des sorties.
Ce soir tu portes des sandales délicates. Haut perchée sur tes talons, tes pieds sont quasiment nus. Un lacet de cuir fin vient les garder attachés à ces stilettos qui allègent le pas, attirent le regard et te cambrent l’allure. Une salopette fine, légère, à peine flottante aux jambes, placée au plus haut entre tes cuisses, cintrée et ceinturée d’une très belle boucle sur le ventre. Elle se sépare en deux pans noués derrière ta nuque qui viennent enrober tes seins en leur laissant toute leur liberté. Le tissu les drape, les mets en valeur et les caresse quand tu te déplaces.
Cette combinaison qui accompagne tes stilettos et une magnifique paire de boucles d’oreilles ne laisse aucune place à l’imagination à l’entrejambe : c’est le détail qui trahit l’intention érotique, ce dessin parfait de tes lèvres visiblement nues sous son tissu, cette échancrure qui vient épouser la forme de tes fesses et les offre aux regards. Mais étonnamment c’est ton dos qui me rend fou de désir en premier… entièrement nu, les muscles finement dessinés, la peau hâlée de ces premières semaines passées en Toscane, une chainette fine descend de ton cou vers le creux de tes reins et tressaute sur ta peau à chaque mouvement. Elle ne résisterait pas deux secondes à une main décidée, mais elle évoque tout de même des envies de possession, d’attache, de jeux de soumission. Cette chaînette dorée qui ne devrait que décorer ta tenue y apporte une touche d’un érotisme intense, et ton dos nu la laisse se promener et s’exprimer mes envies.
« Ça te plaît? » Devine… « beaucoup. » « le vendeur a vraiment insisté pour que je la prenne. » « le vendeur? » « oui, j’ai cru qu’il allait se caresser devant moi à force de me mater ». Si je n’avais pas si envie de toi là, maintenant, je t’emmènerais dans un bar pour te regarder danser et affoler les hommes. Mais ce soir je te veux pour moi seul.
La maison est tout simplement superbe. Nous sommes dans une très belle cuisine qui ouvre sur la terrasse. Un îlot central en bois massif, une cheminée aux dimensions hors du commun, un plan de travail dont le bois porte la marque de générations de cuisiniers. Des détails modernes, épurés, viennent compléter ce bois, ces ferrailles d’un autre âge, ces crochets massifs au dessus de la cheminée.
La lumière par petites touches tamisées, un fond de musique, une forme de Bossa Nova… Stan Getz probablement. Dans cette ambiance je te regarde déambuler… un verre de vin rouge à la main, tu joues à le caresser de l’autre main pendant que tu admires ces murs que tu commences à bien connaître. Je prends mon temps, je sais que ça va être tellement bon…
Tu finis par t’appuyer à l’îlot central et tu plantes tes yeux dans les miens pour boire ton vin. Un léger sourire sur les lèvres, tu sais que j’ai fait durer le plaisir et tu es désormais trop curieuse pour attendre davantage.
Je porte du lin ce soir. C’est assez rare, trop facile à froisser et puis je ne trouve pas que ce soit le plus classe. Mais dans la fraîcheur du soir qui s’installe, avec un boxer très fin, des mocassins et une chemise, je me trouve plutôt séduisant. Je me suis rasé de près. Pas la barbe, qui elle reste à 3-4 jours comme tu l’aimes. J’ai soigneusement préparé ce que j’ai de plus intime pour le plaisir de sentir ta langue m’explorer ce soir.
« J’ai envie que tu goûtes le vin sur mes lèvres. » « Vos désirs sont des ordres, Madame… » Ce premier baiser est charnel… il dit mon appétit. Je prends tes lèvres, ta langue, ton souffle. Je profite pleinement de ce plaisir charnu. Je mordille, je suce, je baise, j’explore, et tu en fais tout autant. Ce baiser, nous le prolongeons. Il est équilibré, marqué de nos souffles qui se mélangent, et je sens contre ma poitrine tes seins gorgés de plaisir.
Il n’y aura pas d’étape intermédiaire : à peine décollée de ma bouche, tu te laisses tomber sur tes talons, accroupie entre moi et cet îlot et tu fais tomber mon pantalon à mes pieds. Je m’en débarrasse et présente mon sexe caché dans son boxer à ton visage. Tu es parfaitement calée, ton dos cambré, tes fesses splendides soulignées par cette pose que j’adore. Ta tête contre le bois, tu ouvres la bouche et viens me mordre à travers le tissu…. C’est léger mais tu viens planter tes dents dans mon sexe et ça m’excite terriblement. Il grossit à vue d’oeil quand tu le mordilles, que tu promènes ta bouche sur lui, que tu viens l’appuyer à ton visage… je sens mon érection contre toi et je meurs d’envie de me déshabiller. Mais je te laisse, c’est toi qui donnes le tempo et je me sens délicieusement détendu. Je me laisse faire et je m’abandonne à cette sensation d’une érection monumentale qui s’installe. « Je crois que lui aussi valide ta tenue ma Chérie… » ça te fait rire. « vous êtes déjà plusieurs alors. » A croire que notre vie sexuelle est vraiment faite pour être partagée.
Tu fais durer. Et quand tes doigts délicats viennent tirer sur l’élastique pour qu’à deux mains tu fasses descendre mon boxer, c’est un sexe très motivé qui te saute au visage. Il est beau, c’est indéniable. Un gland épanoui, une hampe en belle forme, un sexe épais qui bat au rythme de mon envie de toi. Tu laisses glisser tes doigts sur toute sa longueur, tu les attardes sur le gland. Tu viens me donner des petits coups de langue et tu alternes les regards baissés sur ton ouvrage et relevés vers moi pour apprécier mon plaisir. Je souris comme un idiot, je continue de boire du vin. Je me fais sucer par une femme que j’admire, que j’adore, et c’est délicieux. Quand tu avales mon gland pour le sucer plus fort, je pose mon verre et viens placer une main dans tes cheveux… hhhmmmm. « j’adore quand tu me suces le gland comme ça, on dirait que tu joues avec une sucette Lollipop. « et ça, tu aimes? » pop. Tu joues à faire claquer ma queue contre ta joue quand tu la suces, comme avec une sucette. Pop. Oui, j’aime… je suis en transe quand tu me bouffes la queue… en transe.
Avec des mouvements parfois saccadés, parfois souples, tu te mets à m’avaler de plus en plus profondément. Tu es toujours parfaitement habillée et je suis nu à part ma chemise. Tu es adossée au bois de la cuisine et je pousse de plus en plus vers le fond de ta gorge. Tu sembles apprécier… je m’enhardis. Ta tête prise entre mes mains, adossée au bois, j’enfonce mon sexe profondément. Tes yeux sont rivés sur moi, je viens buter au fond de ta gorge et un râle m’échappe… c’est trop bon. Quand je laisse ma queue sortir de ta bouche elle est trempée et tes lèvres aussi. Un long filet de salive suit mon sexe depuis ta bouche. Tu reprends ton souffle, tu me souris… « j’aime quand tu me forces. » Ce sourire avec la salive qui nous relie c’est un appel au sexe. Ta petite phrase m’enlève mes derniers scrupules : je viens poser mon gland sur tes lèvres et quand tu les ouvres c’est pour que je m’engouffre au plus profond de toi. Tu t’étouffes, je ressors, tu respires et je reviens aussi profondément que possible. Mes va et vient sont de plus en plus puissants, tu es prise entre mon sexe et la table, je te baise et je suis admiratif de ta résistance, de ton plaisir même… tu as glissé une main entre tes cuisses et tu te caresses rapidement à travers ta combinaison qui remonte entre tes lèvres. Tu frottes le tissu et masses ton clitoris, tes mouvements sont saccadés, ton bassin fait des vagues… et juste avant que je ne me retire pour ne pas jouir je te sens trembler de plaisir… ton premier orgasme est rapide, intense, presque bref. Il faut dire que, de plaisir à le sentir arriver, je t’ai pris violemment la tête et ai enfoncé ma queue autant que possible… tu jouis, tu t’étouffes, tu me recraches et tu reprends ton souffle pendant que tes jambes cèdent, ton menton couvert de salive… superbe, sensuelle, sexuelle.
Je t’aide à te relever et ne te laisse pas le temps de réaliser… je te guide vers la cheminée, majestueuse, et j’attrape les menottes soigneusement préparées sur le linteau. En un geste souple tu es attachée et tes bras tendus au dessus de la tête amènent les menottes à hauteur d’un crochet qui n’imaginait pas un jour suspendre un morceau aussi appétissant. Suspendue, tes talons au sol et ton corps étiré, tu es féline. Je prends une seconde pour apprécier l’exactitude de sa hauteur… si j’avais voulu le calculer je n’aurais jamais fait aussi bien.
Tu as repris ton souffle et la surprise et le plaisir se mêlent sur ton visage. « qu’est-ce que tu fais? » Je n’en reviens pas qu’après tant d’occasions d’explorer nos fantasmes tu n’aies pas vu celui-ci venir… j’avais repéré ces crochets dès notre entrée dans la maison. Je porte ton verre de vin à tes lèvres et te laisse en boire une gorgée, lentement… et je laisse la dernière goutte rouler sur ta lèvre et descendre le long de ton menton. Le vin se mêle à ta salive, c’est superbe. Tu es une ode à une sexualité débridée. Mon regard s’allume et ma queue continue de battre, mouillée, massée et prête à tout pour exploser de jouissance. « tu m’as donné beaucoup de plaisir, c’est à mon tour de te faire sentir à quel point tu m’excites… » et la touche finale te surprend encore plus : je pose une boule de latex contre tes lèvres, je la pousse délicatement… tu ouvres la bouche, tu me laisses l’installer, un regard interrogatif… et quand j’attache la lanière derrière ta tête je vois dans tes yeux que tu comprends. C’est un bâillon, simple mais terriblement efficace, qui te garde la bouche grand ouverte, t’interdit de parler et me donne un contrôle absolument jouissif sur ce qui va suivre.
Tu es menottée, suspendue, bâillonnée…. Ta gorge doit sentir encore l’épaisseur de ma queue, tu as joui, ta combinaison trempée est remontée entre tes lèvres et dessine ta chatte… tes yeux pétillent, tu as parfaitement conscience d’être à ma merci pourtant tu sembles encore me défier… je n’ai aucune envie de briser ce petit côté rebelle qui me plaît tellement mais j’ai la ferme intention de te le faire oublier un moment en submergeant tes sens. Et c’est très lentement que je viens pincer tes tétons à travers le tissu… je les titille, je les saisis, peu à peu mes doigts affirment leur prise et je les coince, je les roule entre mes doigts, je m’arrête à la limite de la douleur, les yeux plantés dans les tiens et l’oreille attentive à ton souffle. Il a raccourci, tu respires par petits coups, tes lèvres et ton menton encore brillants de salive. Tu es focalisée sur cette sensation, ce tiraillement, cette pression qui répond à tes seins tendus. Une petite partie de ton cerveau reste attentive à ta pose, à mon intention et à nos jeux… je vais l’éteindre, je vais te perdre dans une vague de plaisir sexuel. Je te parle au creux de l’oreille : « j’adore voir ta chatte mise en valeur comme ça… j’ai envie que tu portes exactement la même chose la prochaine fois qu’on sortira la nuit… j’ai envie de remarquer le regard des hommes sur ta chatte, qu’ils se rendent compte que tu le fais exprès, que ce petit côté salope les excite. » Tu ne peux pas parler mais tu peux hocher la tête… « tu as aimé me sucer? » Tu hoches la tête. Ta bouche est coincée, grande ouverte, et tes yeux s’écarquillent avec elle. « tu as aimé que je te force? » Tu hoches la tête. « Tu veux que je te baise? » … « je vais bien te baiser ce soir, accroche toi ma Chérie ».
Et tu t’accroches. Tes doigts refermés sur la chaîne des menottes, tes bras tendus qui cherchent à garder un peu de contrôle, tu mords le bâillon pendant que je tire lentement tes seins vers moi par les tétons. Je viens t’embrasser dans le cou, je laisse mon souffle chaud te caresser sous l’oreille gauche et mon sexe encore en érection vient s’appuyer contre ton bas-ventre… la suite, tu ne pouvais pas l’attendre. Je ne lâche pas tes tétons, je mords le noeud de ta combinaison et tire jusqu’à le défaire… les pans glissent, tes seins se dévoilent et j’ouvre enfin les doigts pour admirer les bouts de tes seins, rougis, durs comme jamais, émerger du tissu. Tu es nue jusqu’à la taille à part cette chaînette le long de ton dos. Elle rejoint un ruban très fin noué à ton cou et bat tes reins quand tu bouges. Tes seins sont dressés, tes yeux brûlants. Je viens apaiser ta chair meurtrie par des baisers et suçote ta peau. Je gobe un téton, puis l’autre. Je les savoure. J’ai tout mon temps.
Je ne te tourne pas autour, c’est toi qui pivoteras… magique ce crochet, je te retourne à volonté et tout ce que tu peux faire est me suivre sur tes talons, cuisses tendues, par petits pas. Tu me fais des petits sons de gorge aussi mais je choisis de les ignorer… j’ai des idées très précises en tête, je suis concentré. Je te retourne pour admirer ton dos. Ta peau est dorée par le soleil que tu laisses te caresser chaque après-midi au bord de la piscine, ton dos se cambre, les muscles se dessinent. Tu frissonnes en sentant mon attention sur ta peau et je commence à te mordiller. Je vais monter et descendre le long de ta peau pour la goûter, la lécher, la mordre. De caresse en morsure tu ne sais plus sur quel pied danser. Chaque fois que mon visage s’approche d’une zone je te sens vibrer d’excitation et je vois tes muscles se contracter légèrement sous la peau. Il m’arrive de te mordre nettement, de laisser la marque de mes dents dans ta chair et de t’arracher des petites expressions de surprise et de plaisir. Je remonte du bout de la langue vers tes épaules et tes bras, je promène la pointe de ma langue à l’intérieur de tes bras, je vise les zones les plus sensibles et te donne des frissons.
Tes seins sont une obsession pour moi… tu pivotes encore et je les reprends en bouche, longuement cette fois. Je me masturbe pendant que je te suce les seins, la sensation est délicate et m’envahit d’une chaleur de plus en plus prenante. Plus je serre mon sexe dans ma main, plus j’aspire ton sein et le sens se tendre en réponse. « j’adore tes seins. J’ai envie de jouir sur toi et étaler mon sperme sur ta poitrine, le laisser sécher pendant que je te regarde, suspendue et à ma merci. » Je te vois grogner un peu, il me semble comprendre « fais le, j’ai envie ». Je me masturbe de plus belle et je te fais pivoter encore…
Je viens m’appuyer à tes fesses et les admire…. Charnues, pleines, fermes, elles sont nettement séparées par le tissu de ta combinaison remonté au plus haut. Je le laisse, je te caresse à travers. J’appuie mon sexe entre tes fesses et tu grognes un peu plus… il pousse, tu sens mon envie, tu y réponds par des vagues. Tu ondules légèrement. Je peux presque te pénétrer à travers cette combinaison. J’apprécie la sensation humide et chaude, le coton souple, tes lèvres gonflées de désir, ton anus élastique. Je me caresse contre toi et viens te donner envie de plus. Promis, tu vas prendre… mais je t’ai promis une autre vague de sensations d’abord.
Je tire sur ton vêtement lentement, de la façon la plus sensuelle possible, et libère peu à peu ton cul splendide. Tu es nue et la sensation du coton pris quelques secondes entre tes lèvres quand je tire dessus me rend fou. La chaînette vient faire le tour de ta taille et reste posée sur le haut de tes fesses. Je t’écarte les jambes : « cambre toi. » Ce n’est pas un ordre, c’est une demande, tu y mets tout ton cœur et m’offre une vue sur cette paire de fesses légèrement écartées… je me prends une belle gorgée de vin et, la langue encore saisie par les tannins, je descend à genoux devant toi pour la coller à ton sexe. Je viens te lécher, remonter des lèvres trempées jusqu’à ton anus qui palpite, ma langue rendue rêche par le vin détaillé et explore chaque recoin de ton intimité. Tu grognes, tu soupires, tu tressautes. J’agrippe tes fesses et les écarte franchement, je te suce, je te lèche et je viens prendre en bouche le jus qui trahit ton plaisir. Mes doigts ne te pénètrent pas, pas encore. Mais ils massent ton clitoris, le frôlent, le frottent aussi. Ma bouche collée à ton minou, ma langue qui t’explore, mes doigts qui te masturbent, je me délecte à te donner du plaisir et vu la taille de mon érection j’y trouve parfaitement mon compte. Je te bouffe littéralement, tu as perdu toute contenance et je finis par t’extirper un orgasme monumental.
C’est une vibration intense qui vient te libérer, une vague de tremblements et un son rauque réussit à contourner le bâillon quand tu gicles dans ma bouche. Je te sens me supplier, tes genoux flanchent et je viens glisser ma langue dans ton anus en même temps que deux doigts remontent dans ta chatte… je viens frotter le bout de mes doigts à ton point G, je te prends par derrière avec ma langue et tu continues d’exploser. Tu cries comme une bête, tu dégoulines sous mes doigts, tu trembles désormais sans pouvoir t’arrêter. Tu es à ma merci et j’ai décidé de prolonger cet orgasme autant que possible. Tu danses sur tes talons pour m’échapper et pour venir t’appuyer à ma bouche en même temps, tu ne sais plus où tu es. Je suis en train de vivre une expérience sensorielle extraordinaire et pendant ces quelques minutes ton plaisir m’appartient.
Je te libère enfin. Je fais exprès de te lâcher d’un coup, je fais un pas en arrière, je veux profiter du spectacle… tes yeux sont révulsés, tu ne contrôles pas ton souffle, tes gémissements. Tu essaies de ramener ton regard, tu reprends tes esprits, je ris. C’est tellement bon. Je viens détacher ton bâillon et tu peux enfin relâcher tes mâchoires. Tes lèvres sont gonflées, ton menton trempé. Je t’embrasse, je goute ta salive qui a coulé jusqu’à la naissance de ton cou. Je te propose du vin, tu veux d’abord de l’eau. Tu bois comme à une source de montagne après des jours d’errance. Je te sens te redresser, revenir à toi. J’approche le verre de vin de tes lèvres, puis je change d’avis : c’est par ma bouche que tu boiras. Chaque gorgée que je laisse couler de ma bouche à la tienne t’arrache un soupir… mes mains laissent le vin et retrouvent la chute de tes reins, je te caresse… mes doigts sont à l’aise, je te connais par cœur. Je glisse, je tâte, je retrouve cette sensation humide et d’un coup je n’en peux plus : je te veux. Tu me dis « Laisse moi te sucer », des yeux et de la voix en même temps.
C’est une proposition délicieuse mais mon membre bat tout seul au rythme de mon cœur et il réclame ta chatte. Je t’attrape les hanches, me cale juste derrière toi et tu as à peine le temps de commencer ta phrase « tu veux… » Je ne sais pas ce que tu allais me demander, j’ai plongé ma queue entre tes cuisses et je suis venu claquer tes fesses avec mon bassin. Comme dans du beurre ma Chérie, je t’ai rarement sentie aussi ouverte. Tu me parles en onomatopées « ouuuuu », « aahhhh », « oh oui »… et je te baise de toutes mes forces, je te pilonne en te soulevant à moitié à chaque coup de reins. C’est trop bon. Je crois que les voisins les plus proches sont à 500m mais je me demande s’ils peuvent entendre tes fesses qui claquent et nos cris. Je viens planter mon pouce entre tes fesses et te baise encore plus avec ses va et vient… tu es ouverte, offerte, purement sexuelle dans cet instant. Le plaisir a effacé tout inhibition et nous jouissons d’un même cri quand j’explose tout au fond de toi. Je hoquète, je gémis, je sens mon corps se contracter quand il expulse tout ce qu’il a de sperme au fond de ta chatte. J’ai l’impression de me vider, de te remplir. Je te sens resserrée sur ma queue, comme si tu en tirais les dernières gouttes. Tu cries, je ris, ou je pleure, je ne sais plus trop. Mes mains n’en peuvent plus de saisir chaque partie de ton corps, de t’agripper pendant cet orgasme irréel. Je viens appuyer mes lèvres brûlantes sur ton cou en sueur, je respire cette odeur de sexe et de sucre, je m’enivre de ton parfum pour le graver dans ma mémoire. Quand je sors de toi je t’entends gémir doucement. Tu restes suspendue, du sperme coule lentement le long de ta cuisse, tu souffles enfin.
Je te détache, je t’enlace, notre étreinte me fait penser à ces retours de voyage autour du monde… nous sommes allés très loin et le port est là. Tu frémis, je souffle, tu soupires, je crois bien que je couine un peu. nous reprenons nos esprits et partageons un sourire magnifique. « Oh putain… » « Oui. » « tu veux du vin? » « Oh oui. » C’est sur la terrasse que nous finirons cette bouteille, nus, pendant que les menottes restent suspendues à leur crochet, que ta combinaison aussi baisée que toi reste abandonnée au sol à côté de mes chaussures. Tu n’as pas quitté tes talons, tu les poses sur la table. Tu viens de remarquer le bijou anal que je tripote « « tu m’as mis ça?? » « non, justement. C’était prévu mais j’étais trop excité pour jouer davantage. » « Hhhmmmm… il va falloir qu’on trouve une occasion alors » En me disant ça ton sourire espiègle est revenu. Je te propose : « La plage? » « OK mais pas en journée. Trouve nous un bar de plage sympa, et du public histoire qu’on en fasse profiter les autres. C’est très joli ce petit bijou, je vais avoir envie de le montrer… »
Quel bonheur de finir la soirée sur cette pensée.
FIN
Ce soir tu portes des sandales délicates. Haut perchée sur tes talons, tes pieds sont quasiment nus. Un lacet de cuir fin vient les garder attachés à ces stilettos qui allègent le pas, attirent le regard et te cambrent l’allure. Une salopette fine, légère, à peine flottante aux jambes, placée au plus haut entre tes cuisses, cintrée et ceinturée d’une très belle boucle sur le ventre. Elle se sépare en deux pans noués derrière ta nuque qui viennent enrober tes seins en leur laissant toute leur liberté. Le tissu les drape, les mets en valeur et les caresse quand tu te déplaces.
Cette combinaison qui accompagne tes stilettos et une magnifique paire de boucles d’oreilles ne laisse aucune place à l’imagination à l’entrejambe : c’est le détail qui trahit l’intention érotique, ce dessin parfait de tes lèvres visiblement nues sous son tissu, cette échancrure qui vient épouser la forme de tes fesses et les offre aux regards. Mais étonnamment c’est ton dos qui me rend fou de désir en premier… entièrement nu, les muscles finement dessinés, la peau hâlée de ces premières semaines passées en Toscane, une chainette fine descend de ton cou vers le creux de tes reins et tressaute sur ta peau à chaque mouvement. Elle ne résisterait pas deux secondes à une main décidée, mais elle évoque tout de même des envies de possession, d’attache, de jeux de soumission. Cette chaînette dorée qui ne devrait que décorer ta tenue y apporte une touche d’un érotisme intense, et ton dos nu la laisse se promener et s’exprimer mes envies.
« Ça te plaît? » Devine… « beaucoup. » « le vendeur a vraiment insisté pour que je la prenne. » « le vendeur? » « oui, j’ai cru qu’il allait se caresser devant moi à force de me mater ». Si je n’avais pas si envie de toi là, maintenant, je t’emmènerais dans un bar pour te regarder danser et affoler les hommes. Mais ce soir je te veux pour moi seul.
La maison est tout simplement superbe. Nous sommes dans une très belle cuisine qui ouvre sur la terrasse. Un îlot central en bois massif, une cheminée aux dimensions hors du commun, un plan de travail dont le bois porte la marque de générations de cuisiniers. Des détails modernes, épurés, viennent compléter ce bois, ces ferrailles d’un autre âge, ces crochets massifs au dessus de la cheminée.
La lumière par petites touches tamisées, un fond de musique, une forme de Bossa Nova… Stan Getz probablement. Dans cette ambiance je te regarde déambuler… un verre de vin rouge à la main, tu joues à le caresser de l’autre main pendant que tu admires ces murs que tu commences à bien connaître. Je prends mon temps, je sais que ça va être tellement bon…
Tu finis par t’appuyer à l’îlot central et tu plantes tes yeux dans les miens pour boire ton vin. Un léger sourire sur les lèvres, tu sais que j’ai fait durer le plaisir et tu es désormais trop curieuse pour attendre davantage.
Je porte du lin ce soir. C’est assez rare, trop facile à froisser et puis je ne trouve pas que ce soit le plus classe. Mais dans la fraîcheur du soir qui s’installe, avec un boxer très fin, des mocassins et une chemise, je me trouve plutôt séduisant. Je me suis rasé de près. Pas la barbe, qui elle reste à 3-4 jours comme tu l’aimes. J’ai soigneusement préparé ce que j’ai de plus intime pour le plaisir de sentir ta langue m’explorer ce soir.
« J’ai envie que tu goûtes le vin sur mes lèvres. » « Vos désirs sont des ordres, Madame… » Ce premier baiser est charnel… il dit mon appétit. Je prends tes lèvres, ta langue, ton souffle. Je profite pleinement de ce plaisir charnu. Je mordille, je suce, je baise, j’explore, et tu en fais tout autant. Ce baiser, nous le prolongeons. Il est équilibré, marqué de nos souffles qui se mélangent, et je sens contre ma poitrine tes seins gorgés de plaisir.
Il n’y aura pas d’étape intermédiaire : à peine décollée de ma bouche, tu te laisses tomber sur tes talons, accroupie entre moi et cet îlot et tu fais tomber mon pantalon à mes pieds. Je m’en débarrasse et présente mon sexe caché dans son boxer à ton visage. Tu es parfaitement calée, ton dos cambré, tes fesses splendides soulignées par cette pose que j’adore. Ta tête contre le bois, tu ouvres la bouche et viens me mordre à travers le tissu…. C’est léger mais tu viens planter tes dents dans mon sexe et ça m’excite terriblement. Il grossit à vue d’oeil quand tu le mordilles, que tu promènes ta bouche sur lui, que tu viens l’appuyer à ton visage… je sens mon érection contre toi et je meurs d’envie de me déshabiller. Mais je te laisse, c’est toi qui donnes le tempo et je me sens délicieusement détendu. Je me laisse faire et je m’abandonne à cette sensation d’une érection monumentale qui s’installe. « Je crois que lui aussi valide ta tenue ma Chérie… » ça te fait rire. « vous êtes déjà plusieurs alors. » A croire que notre vie sexuelle est vraiment faite pour être partagée.
Tu fais durer. Et quand tes doigts délicats viennent tirer sur l’élastique pour qu’à deux mains tu fasses descendre mon boxer, c’est un sexe très motivé qui te saute au visage. Il est beau, c’est indéniable. Un gland épanoui, une hampe en belle forme, un sexe épais qui bat au rythme de mon envie de toi. Tu laisses glisser tes doigts sur toute sa longueur, tu les attardes sur le gland. Tu viens me donner des petits coups de langue et tu alternes les regards baissés sur ton ouvrage et relevés vers moi pour apprécier mon plaisir. Je souris comme un idiot, je continue de boire du vin. Je me fais sucer par une femme que j’admire, que j’adore, et c’est délicieux. Quand tu avales mon gland pour le sucer plus fort, je pose mon verre et viens placer une main dans tes cheveux… hhhmmmm. « j’adore quand tu me suces le gland comme ça, on dirait que tu joues avec une sucette Lollipop. « et ça, tu aimes? » pop. Tu joues à faire claquer ma queue contre ta joue quand tu la suces, comme avec une sucette. Pop. Oui, j’aime… je suis en transe quand tu me bouffes la queue… en transe.
Avec des mouvements parfois saccadés, parfois souples, tu te mets à m’avaler de plus en plus profondément. Tu es toujours parfaitement habillée et je suis nu à part ma chemise. Tu es adossée au bois de la cuisine et je pousse de plus en plus vers le fond de ta gorge. Tu sembles apprécier… je m’enhardis. Ta tête prise entre mes mains, adossée au bois, j’enfonce mon sexe profondément. Tes yeux sont rivés sur moi, je viens buter au fond de ta gorge et un râle m’échappe… c’est trop bon. Quand je laisse ma queue sortir de ta bouche elle est trempée et tes lèvres aussi. Un long filet de salive suit mon sexe depuis ta bouche. Tu reprends ton souffle, tu me souris… « j’aime quand tu me forces. » Ce sourire avec la salive qui nous relie c’est un appel au sexe. Ta petite phrase m’enlève mes derniers scrupules : je viens poser mon gland sur tes lèvres et quand tu les ouvres c’est pour que je m’engouffre au plus profond de toi. Tu t’étouffes, je ressors, tu respires et je reviens aussi profondément que possible. Mes va et vient sont de plus en plus puissants, tu es prise entre mon sexe et la table, je te baise et je suis admiratif de ta résistance, de ton plaisir même… tu as glissé une main entre tes cuisses et tu te caresses rapidement à travers ta combinaison qui remonte entre tes lèvres. Tu frottes le tissu et masses ton clitoris, tes mouvements sont saccadés, ton bassin fait des vagues… et juste avant que je ne me retire pour ne pas jouir je te sens trembler de plaisir… ton premier orgasme est rapide, intense, presque bref. Il faut dire que, de plaisir à le sentir arriver, je t’ai pris violemment la tête et ai enfoncé ma queue autant que possible… tu jouis, tu t’étouffes, tu me recraches et tu reprends ton souffle pendant que tes jambes cèdent, ton menton couvert de salive… superbe, sensuelle, sexuelle.
Je t’aide à te relever et ne te laisse pas le temps de réaliser… je te guide vers la cheminée, majestueuse, et j’attrape les menottes soigneusement préparées sur le linteau. En un geste souple tu es attachée et tes bras tendus au dessus de la tête amènent les menottes à hauteur d’un crochet qui n’imaginait pas un jour suspendre un morceau aussi appétissant. Suspendue, tes talons au sol et ton corps étiré, tu es féline. Je prends une seconde pour apprécier l’exactitude de sa hauteur… si j’avais voulu le calculer je n’aurais jamais fait aussi bien.
Tu as repris ton souffle et la surprise et le plaisir se mêlent sur ton visage. « qu’est-ce que tu fais? » Je n’en reviens pas qu’après tant d’occasions d’explorer nos fantasmes tu n’aies pas vu celui-ci venir… j’avais repéré ces crochets dès notre entrée dans la maison. Je porte ton verre de vin à tes lèvres et te laisse en boire une gorgée, lentement… et je laisse la dernière goutte rouler sur ta lèvre et descendre le long de ton menton. Le vin se mêle à ta salive, c’est superbe. Tu es une ode à une sexualité débridée. Mon regard s’allume et ma queue continue de battre, mouillée, massée et prête à tout pour exploser de jouissance. « tu m’as donné beaucoup de plaisir, c’est à mon tour de te faire sentir à quel point tu m’excites… » et la touche finale te surprend encore plus : je pose une boule de latex contre tes lèvres, je la pousse délicatement… tu ouvres la bouche, tu me laisses l’installer, un regard interrogatif… et quand j’attache la lanière derrière ta tête je vois dans tes yeux que tu comprends. C’est un bâillon, simple mais terriblement efficace, qui te garde la bouche grand ouverte, t’interdit de parler et me donne un contrôle absolument jouissif sur ce qui va suivre.
Tu es menottée, suspendue, bâillonnée…. Ta gorge doit sentir encore l’épaisseur de ma queue, tu as joui, ta combinaison trempée est remontée entre tes lèvres et dessine ta chatte… tes yeux pétillent, tu as parfaitement conscience d’être à ma merci pourtant tu sembles encore me défier… je n’ai aucune envie de briser ce petit côté rebelle qui me plaît tellement mais j’ai la ferme intention de te le faire oublier un moment en submergeant tes sens. Et c’est très lentement que je viens pincer tes tétons à travers le tissu… je les titille, je les saisis, peu à peu mes doigts affirment leur prise et je les coince, je les roule entre mes doigts, je m’arrête à la limite de la douleur, les yeux plantés dans les tiens et l’oreille attentive à ton souffle. Il a raccourci, tu respires par petits coups, tes lèvres et ton menton encore brillants de salive. Tu es focalisée sur cette sensation, ce tiraillement, cette pression qui répond à tes seins tendus. Une petite partie de ton cerveau reste attentive à ta pose, à mon intention et à nos jeux… je vais l’éteindre, je vais te perdre dans une vague de plaisir sexuel. Je te parle au creux de l’oreille : « j’adore voir ta chatte mise en valeur comme ça… j’ai envie que tu portes exactement la même chose la prochaine fois qu’on sortira la nuit… j’ai envie de remarquer le regard des hommes sur ta chatte, qu’ils se rendent compte que tu le fais exprès, que ce petit côté salope les excite. » Tu ne peux pas parler mais tu peux hocher la tête… « tu as aimé me sucer? » Tu hoches la tête. Ta bouche est coincée, grande ouverte, et tes yeux s’écarquillent avec elle. « tu as aimé que je te force? » Tu hoches la tête. « Tu veux que je te baise? » … « je vais bien te baiser ce soir, accroche toi ma Chérie ».
Et tu t’accroches. Tes doigts refermés sur la chaîne des menottes, tes bras tendus qui cherchent à garder un peu de contrôle, tu mords le bâillon pendant que je tire lentement tes seins vers moi par les tétons. Je viens t’embrasser dans le cou, je laisse mon souffle chaud te caresser sous l’oreille gauche et mon sexe encore en érection vient s’appuyer contre ton bas-ventre… la suite, tu ne pouvais pas l’attendre. Je ne lâche pas tes tétons, je mords le noeud de ta combinaison et tire jusqu’à le défaire… les pans glissent, tes seins se dévoilent et j’ouvre enfin les doigts pour admirer les bouts de tes seins, rougis, durs comme jamais, émerger du tissu. Tu es nue jusqu’à la taille à part cette chaînette le long de ton dos. Elle rejoint un ruban très fin noué à ton cou et bat tes reins quand tu bouges. Tes seins sont dressés, tes yeux brûlants. Je viens apaiser ta chair meurtrie par des baisers et suçote ta peau. Je gobe un téton, puis l’autre. Je les savoure. J’ai tout mon temps.
Je ne te tourne pas autour, c’est toi qui pivoteras… magique ce crochet, je te retourne à volonté et tout ce que tu peux faire est me suivre sur tes talons, cuisses tendues, par petits pas. Tu me fais des petits sons de gorge aussi mais je choisis de les ignorer… j’ai des idées très précises en tête, je suis concentré. Je te retourne pour admirer ton dos. Ta peau est dorée par le soleil que tu laisses te caresser chaque après-midi au bord de la piscine, ton dos se cambre, les muscles se dessinent. Tu frissonnes en sentant mon attention sur ta peau et je commence à te mordiller. Je vais monter et descendre le long de ta peau pour la goûter, la lécher, la mordre. De caresse en morsure tu ne sais plus sur quel pied danser. Chaque fois que mon visage s’approche d’une zone je te sens vibrer d’excitation et je vois tes muscles se contracter légèrement sous la peau. Il m’arrive de te mordre nettement, de laisser la marque de mes dents dans ta chair et de t’arracher des petites expressions de surprise et de plaisir. Je remonte du bout de la langue vers tes épaules et tes bras, je promène la pointe de ma langue à l’intérieur de tes bras, je vise les zones les plus sensibles et te donne des frissons.
Tes seins sont une obsession pour moi… tu pivotes encore et je les reprends en bouche, longuement cette fois. Je me masturbe pendant que je te suce les seins, la sensation est délicate et m’envahit d’une chaleur de plus en plus prenante. Plus je serre mon sexe dans ma main, plus j’aspire ton sein et le sens se tendre en réponse. « j’adore tes seins. J’ai envie de jouir sur toi et étaler mon sperme sur ta poitrine, le laisser sécher pendant que je te regarde, suspendue et à ma merci. » Je te vois grogner un peu, il me semble comprendre « fais le, j’ai envie ». Je me masturbe de plus belle et je te fais pivoter encore…
Je viens m’appuyer à tes fesses et les admire…. Charnues, pleines, fermes, elles sont nettement séparées par le tissu de ta combinaison remonté au plus haut. Je le laisse, je te caresse à travers. J’appuie mon sexe entre tes fesses et tu grognes un peu plus… il pousse, tu sens mon envie, tu y réponds par des vagues. Tu ondules légèrement. Je peux presque te pénétrer à travers cette combinaison. J’apprécie la sensation humide et chaude, le coton souple, tes lèvres gonflées de désir, ton anus élastique. Je me caresse contre toi et viens te donner envie de plus. Promis, tu vas prendre… mais je t’ai promis une autre vague de sensations d’abord.
Je tire sur ton vêtement lentement, de la façon la plus sensuelle possible, et libère peu à peu ton cul splendide. Tu es nue et la sensation du coton pris quelques secondes entre tes lèvres quand je tire dessus me rend fou. La chaînette vient faire le tour de ta taille et reste posée sur le haut de tes fesses. Je t’écarte les jambes : « cambre toi. » Ce n’est pas un ordre, c’est une demande, tu y mets tout ton cœur et m’offre une vue sur cette paire de fesses légèrement écartées… je me prends une belle gorgée de vin et, la langue encore saisie par les tannins, je descend à genoux devant toi pour la coller à ton sexe. Je viens te lécher, remonter des lèvres trempées jusqu’à ton anus qui palpite, ma langue rendue rêche par le vin détaillé et explore chaque recoin de ton intimité. Tu grognes, tu soupires, tu tressautes. J’agrippe tes fesses et les écarte franchement, je te suce, je te lèche et je viens prendre en bouche le jus qui trahit ton plaisir. Mes doigts ne te pénètrent pas, pas encore. Mais ils massent ton clitoris, le frôlent, le frottent aussi. Ma bouche collée à ton minou, ma langue qui t’explore, mes doigts qui te masturbent, je me délecte à te donner du plaisir et vu la taille de mon érection j’y trouve parfaitement mon compte. Je te bouffe littéralement, tu as perdu toute contenance et je finis par t’extirper un orgasme monumental.
C’est une vibration intense qui vient te libérer, une vague de tremblements et un son rauque réussit à contourner le bâillon quand tu gicles dans ma bouche. Je te sens me supplier, tes genoux flanchent et je viens glisser ma langue dans ton anus en même temps que deux doigts remontent dans ta chatte… je viens frotter le bout de mes doigts à ton point G, je te prends par derrière avec ma langue et tu continues d’exploser. Tu cries comme une bête, tu dégoulines sous mes doigts, tu trembles désormais sans pouvoir t’arrêter. Tu es à ma merci et j’ai décidé de prolonger cet orgasme autant que possible. Tu danses sur tes talons pour m’échapper et pour venir t’appuyer à ma bouche en même temps, tu ne sais plus où tu es. Je suis en train de vivre une expérience sensorielle extraordinaire et pendant ces quelques minutes ton plaisir m’appartient.
Je te libère enfin. Je fais exprès de te lâcher d’un coup, je fais un pas en arrière, je veux profiter du spectacle… tes yeux sont révulsés, tu ne contrôles pas ton souffle, tes gémissements. Tu essaies de ramener ton regard, tu reprends tes esprits, je ris. C’est tellement bon. Je viens détacher ton bâillon et tu peux enfin relâcher tes mâchoires. Tes lèvres sont gonflées, ton menton trempé. Je t’embrasse, je goute ta salive qui a coulé jusqu’à la naissance de ton cou. Je te propose du vin, tu veux d’abord de l’eau. Tu bois comme à une source de montagne après des jours d’errance. Je te sens te redresser, revenir à toi. J’approche le verre de vin de tes lèvres, puis je change d’avis : c’est par ma bouche que tu boiras. Chaque gorgée que je laisse couler de ma bouche à la tienne t’arrache un soupir… mes mains laissent le vin et retrouvent la chute de tes reins, je te caresse… mes doigts sont à l’aise, je te connais par cœur. Je glisse, je tâte, je retrouve cette sensation humide et d’un coup je n’en peux plus : je te veux. Tu me dis « Laisse moi te sucer », des yeux et de la voix en même temps.
C’est une proposition délicieuse mais mon membre bat tout seul au rythme de mon cœur et il réclame ta chatte. Je t’attrape les hanches, me cale juste derrière toi et tu as à peine le temps de commencer ta phrase « tu veux… » Je ne sais pas ce que tu allais me demander, j’ai plongé ma queue entre tes cuisses et je suis venu claquer tes fesses avec mon bassin. Comme dans du beurre ma Chérie, je t’ai rarement sentie aussi ouverte. Tu me parles en onomatopées « ouuuuu », « aahhhh », « oh oui »… et je te baise de toutes mes forces, je te pilonne en te soulevant à moitié à chaque coup de reins. C’est trop bon. Je crois que les voisins les plus proches sont à 500m mais je me demande s’ils peuvent entendre tes fesses qui claquent et nos cris. Je viens planter mon pouce entre tes fesses et te baise encore plus avec ses va et vient… tu es ouverte, offerte, purement sexuelle dans cet instant. Le plaisir a effacé tout inhibition et nous jouissons d’un même cri quand j’explose tout au fond de toi. Je hoquète, je gémis, je sens mon corps se contracter quand il expulse tout ce qu’il a de sperme au fond de ta chatte. J’ai l’impression de me vider, de te remplir. Je te sens resserrée sur ma queue, comme si tu en tirais les dernières gouttes. Tu cries, je ris, ou je pleure, je ne sais plus trop. Mes mains n’en peuvent plus de saisir chaque partie de ton corps, de t’agripper pendant cet orgasme irréel. Je viens appuyer mes lèvres brûlantes sur ton cou en sueur, je respire cette odeur de sexe et de sucre, je m’enivre de ton parfum pour le graver dans ma mémoire. Quand je sors de toi je t’entends gémir doucement. Tu restes suspendue, du sperme coule lentement le long de ta cuisse, tu souffles enfin.
Je te détache, je t’enlace, notre étreinte me fait penser à ces retours de voyage autour du monde… nous sommes allés très loin et le port est là. Tu frémis, je souffle, tu soupires, je crois bien que je couine un peu. nous reprenons nos esprits et partageons un sourire magnifique. « Oh putain… » « Oui. » « tu veux du vin? » « Oh oui. » C’est sur la terrasse que nous finirons cette bouteille, nus, pendant que les menottes restent suspendues à leur crochet, que ta combinaison aussi baisée que toi reste abandonnée au sol à côté de mes chaussures. Tu n’as pas quitté tes talons, tu les poses sur la table. Tu viens de remarquer le bijou anal que je tripote « « tu m’as mis ça?? » « non, justement. C’était prévu mais j’étais trop excité pour jouer davantage. » « Hhhmmmm… il va falloir qu’on trouve une occasion alors » En me disant ça ton sourire espiègle est revenu. Je te propose : « La plage? » « OK mais pas en journée. Trouve nous un bar de plage sympa, et du public histoire qu’on en fasse profiter les autres. C’est très joli ce petit bijou, je vais avoir envie de le montrer… »
Quel bonheur de finir la soirée sur cette pensée.
FIN
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’aime beaucoup cet épisode, très bien décrit !
Sublime! Et le titre est très bien choisi..
Les chaines, rien de mieux. Je suis fan.
Tout d’abord bravo pour l’écriture, aussi juste que délicieuse. Une vraie justesse aussi dans la description, ni trop ni trop peu, ça donne un texte aussi excitant que doux. Merci pour ce partage de sensations. Anna

