Lettres à mon amante EPISODE 4 (partie 1) : quand ta peau sent le soleil et le monoï…

- Par l'auteur HDS Mai_Tai_Roa_Ae -
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Récit libertin : Lettres à mon amante EPISODE 4 (partie 1) : quand ta peau sent le soleil et le monoï… Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2025 dans la catégorie Plus on est
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Lettres à mon amante EPISODE 4 (partie 1) : quand ta peau sent le soleil et le monoï…
Un bord de mer, un temps d’été… une plage, des terrasses, des journées chaudes et le soir qui reste tiède, quand même la brise marine permet de laisser la peau respirer.

Cette après-midi là, tu as décidé de revenir à certaines de nos conversations. C’est fou comme tu sais tirer un fil de la pelote de nos souvenirs et le remonter jusqu’à déclencher une tension et un plaisir mêlés. Tu sais que j’aime te regarder en été, quand les robes se font légères, que les maillots de bain suggèrent plus qu’ils ne cachent et quand la chaleur défait les inhibitions. Tu sais que j’ai une passion pour les corps en bord de mer, léchés par le sel et le soleil en même temps, assumés et exprimés, soulignés de textiles, de formes, de couleurs. Des bikinis qui portent tellement de fantasmes et permettent à tous le plaisir accepté de se montrer, de regarder, d’admirer. Les courbes sont belles, les peaux se dorent, le sel tiraille les sens et donne soif, donne envie de faire l’amour. Certaines n’hésitent pas à oser les coupes les plus échancrées, les hauts tombent pour offrir aux rayons du soleil des seins lourds, des tétons encore sages, des poitrines parfois menues mais fières.

J’aime les bikinis qui révèlent et jusqu’à présent tu avais parfaitement saisi ça et su en jouer… mais ce jour là tu as tenté quelque chose de nouveau. Tu as retrouvé des bribes d’une conversation sur nos fantasmes et te voilà le mettre en scène une éternité après. Au bord de la piscine de l’hotel, je t’ai regardée glisser un transat jusqu’à la limite de l’eau, étaler ton paréo et laisser tomber ton short… tu portes un bikini simple, blanc. Entièrement blanc. Le haut en triangle se tend sur tes seins, mais rien de plus provocant que les autres poitrines que l’on peut admirer autour de nous. Le bas est échancré, mais là encore ça reste très raisonnable. Et pourtant je vois bien ton sourire, ta fierté… tu as parfaitement choisi ta tenue pour me rendre fou de désir, et si ton corps magnifique me fait toujours autant d’effet je ne vois pas l’intérêt de ces deux bouts de tissu.
J’imagine ce que tu peux en faire, je cherche à deviner tes plans. Une fois installée, tu me demandes de l’aide pour le monoï… c’est toujours un bonheur de t’aider, et je suspecte ton plan de commencer par là. Je laisse couler l’huile dans mes mains, elle est déjà tiède d’avoir été au soleil. Elle glisse aisément, très liquide par cette chaleur. Je commence à l’étaler et profite du parfum de tiare qui s’épanouit quand mes mains massent ta peau et que l’huile te pénètre. Je te caresse le ventre, les cuisses, les jambes… je remonte aux épaules, aux bras, au cou. Je glisse mes mains sous ton haut et je me fais plaisir à largement te huiler les seins. Tu souris, tu me laisses faire et d’un petit signe de menton tu me fais me retourner… deux mecs sont plantés à une dizaine de mètres et ne ratent rien du spectacle. Alors par jeu, un peu par défi aussi, j’écarte les triangles pour vérifier que ta poitrine est bien prête à s’offrir aux rayons du soleil. Tu souris franchement maintenant et me laisse montrer tes seins à ces deux hommes. Je vois bien à ton sourire que ce n’est pas ça que tu avais en tête, je n’ai pas encore deviné tes plans, tu me fais marcher et ça te plaît.

Je recouvre lentement tes seins avec ton bikini, je m’attarde un peu le long de ton maillot, je glisse mes doigts délicatement sur ta chatte… tu me souris toujours et il est clair que j’ai tout faux. OK, j’abandonne. Je sais que tu vas me faire vibrer d’envie mais je ne sais pas encore comment. Je m’installe sur un transat et je vais m’astreindre à patienter… et je te regarde bronzer. Sur le dos, légèrement cambrée, tu t’abandonnes. Je vois que les deux hommes un peu plus loin se sont installés comme moi et admirent la même vue. Tes tétons pointent légèrement, la courbe de tes seins apparait sur le côté, tes cheveux cascadent vers le sol… rien de provocant, mais tu es divinement belle.

Il ne faudra pas longtemps avant que tu nous abandonnes et que tu ailles te tremper dans la piscine. Tu fais quelques brasses et je te vois déjà agripper les montants de l’échelle. Tu pauses et ton regard vérifie que toute mon attention est sur toi… alors tu sors lentement de l’eau, un pas après l’autre, en regardant directement tes deux curieux qui vont vite devenir fans. Je crois que nous réalisons tous les trois à peu près en même temps ce que tu viens de faire… ton bikini est quasiment transparent. Trempé, le blanc a laissé place à un voile légèrement laiteux et ce tissu qui te colle à la peau souligne tout. Tes seins parfaits, leurs auréoles exposées en détail, les tétons qui donnent l’impression d’avoir traversé le maillot. Et le bas… collé à ton sexe, il l’épouse parfaitement et tes lèvres sont aussi visibles que si tu ne portais rien. Plus peut-être, vu le triangle d’élastique blanc qui l’encadre comme un tableau que tu invites à regarder.

Plantée à côté de ton transat tu m’offres un sourire splendide et me donne le coup de grâce : tu leur tournes le dos et, les jambes bien tendues, tu te penches pour remettre ton paréo qui avait glissé au sol. Tu prends un temps fou pour l’installer et le lisser à sa place, tes fesses offertes à ces deux inconnus qui, définitivement, sont désormais fans de toi. Vu ta position et l’état de ton maillot, je sais qu’ils sont en train de regarder ton sexe appuyer contre le tissu transparent… ils n’en perdent pas le moindre détail, je devine qu’ils retiennent leur souffle à leur façon de te fixer, immobiles. Je suis moi-même fasciné par ta poitrine qui gigote pendant que tu prends bien trop longtemps pour ce que tu fais, et j’admire la façon dont le tissu semble disparaitre là où il est le plus mouillé.

Quand tu te redresses enfin, tu es victorieuse. Tu as parfaitement réussi ton coup… en reprenant un fantasme d’exhibition à l’hotel, en t’attachant en un mouvement l’attention et le désir des deux mecs les plus attractifs de tous ceux qu’on a vu jusqu’à présent, et en me surprenant d’un bout à l’autre de cette scène. Je suis un perdant heureux, ravi même de la tournure que prennent les choses et tous mes sens sont désormais en éveil. « ça te plaît? » tu as pris une petite voix mais je ne m’y trompe pas : tu as gagné. « j’adore… » « tu es phénoménale. » et c’est vrai. Je vois qu’il y en a un qui n’a pas perdu son temps à trop réfléchir et arrive déjà droit sur nous. « Salut les amoureux! Vous êtes nouveaux? » Il n’est pas très grand, jovial, je lui donne 35 ans mais il peut en faire moins par sa façon de bouger… et il est vraiment bien foutu le salaud. Je ne me sens absolument pas en défaut, il n’est pas assez grand pour te rendre folle de désir. Mais tu as remarqué autant que moi le dessin de ses muscles et je vois que tu ne perds pas de temps non plus pour l’étudier dans ses moindres détails. Torse nu, il porte un short qui pourrait sembler un peu trop petit au premier abord mais laisse voir une bonne partie de ses cuisses et vu leur galbe on comprend ce choix. Ton regard s’y attarde, tu souris en notant au passage que même au repos il semble avoir un paquet bien rempli dans ce petit short… et puis je sais que tu aimes les fesses ultra musclées. Bref, il te plaît et je le trouve extrêmement décoratif.

Il s’est approché vite, mais pas assez : ton maillot a déjà séché et ses yeux curieux se promènent sur une surface parfaitement blanche… il hésite, semble un peu perdu, reste à nous sourire en attendant une réponse. Il s’attendait à te voir nue, et tu ne l’es pas. Il rajeunit à vue d’oeil quand notre réponse se fait attendre… « euh…. » il risque même de repartir. « Oui, nous sommes arrivés ce matin. » Ouf. Il me regarde avec gratitude et se précipite sur la conversation : « ça vous plait? » « vous venez d’où? » « c’est votre première fois ici? » … je souris, et pendant que tu le mates sans vergogne je lui réponds. Pas la peine de détailler, c’est pour tes fesses qu’il est venu nous parler, pas pour le détail de nos vacances. Je te vois faire la moue, tu commences à t’ennuyer… c’était ta victoire, c’est en train de devenir une conversation inintéressante. Tu m’envoies la deuxième surprise du jour : « je vais me baigner, tu viens? » … ce n’est pas à moi que tu demandes, c’est à lui. Je crois que tu n’as même pas saisi son prénom et que tu t’en fous royalement. Tu veux juste jouer avec nous comme un chat avec des souris. Il me regarde… décidément on tombe toujours sur des mecs qui ont la décence de vérifier comment je vis les fantaisies de mon amante. Je les vis très bien, merci, je le rassure d’un signe de tête… « allez-y les jeunes, je garde le paréo, vu le temps qu’elle a passé à le remettre en place ce serait dommage! » Ce petit coup d’oeil complice que tu m’envoies pendant que l’objet de ta curiosité commence à se détendre… on se comprend.

Tu te glisses dans la piscine et il t’y suit. Je vous regarde faire quelques mouvements, juste de quoi faire bouger un peu l’eau autour de vous pendant que vous papotez… tu sais que je te regarde mais tu te concentres sur lui pendant quelques minutes. Tu lui souris, tu ris à certaines de ses phrases, de ce rire qui reste discret mais ta tête bascule en arrière et ta gorge s’expose… tu es belle, désirable et visiblement désirée par ce beau gosse qui se rapproche de toi à chaque fois qu’il prétend devoir parler le plus près possible de ton oreille. Tu lui confirmes qu’il est le bienvenu par un petit mouvement ultra efficace : tu te redresses de temps en temps et laisses ta poitrine sortir de l’eau. Tes seins tendus lui sont quasiment offerts dans un emballage cadeau de bikini transparent. Tes tétons ont pris une couleur sombre, ils sont durs, tes auréoles s’élargissent et son regard n’hésite plus à les parcourir pendant que tu prends le temps de recoiffer tes cheveux qui n’en ont absolument pas besoin. Je sens mon désir monter, je n’ose pas imaginer la taille de l’érection qui doit malmener son short. Certaines de tes brasses te rapprochent de lui et je me dis que tu as pensé à la même chose… et je pense que tout à fait accidentellement tu viens régulièrement buter contre cette bosse pour en vérifier la consistance.

Je te vois lui murmurer quelque chose à l’oreille, il rougit. Il a admiré les moindres détails de ton sexe, il t’a littéralement léché les seins des yeux, il se prend des frottements de tes cuisses et de tes mains sur son érection et n’avait pas encore rougi… qu’est-ce que tu as bien pu lui dire?

En revenant à l’échelle je te vois ralentir, t’assurer qu’il te suit de près et grimper lentement hors de l’eau. Il se perd dans la contemplation de tes fesses nues et attend un peu avant de sortir. Si c’était pour calmer ses ardeurs c’est raté, il sort avec une bosse impressionnante et se dirige droit vers sa chaise longue. Et c’est avec un petit sourire de satisfaction, un sourire de chatte, que tu viens me coller tes seins sous les yeux et me raconter. « qu’est-ce que tu lui as dit pour le faire rougir comme ça? » et toi de me répondre : « Il est vraiment bien foutu. Tu sais qu’il a un sexe énorme? » « oui, j’ai vu la bosse… » « et moi je l’ai caressée » et ton sourire s’élargit. Une vraie gamine, j’adore ton énergie. En même temps tu as donné le tempo de cette rencontre, tu gardes la main. Je te souris, je capitule. Tu me diras ce que tu veux, quand tu veux. Ça te plait que je capitule, c’est assez rare. « Je lui ai dit que s’il aime mon bikini il va adorer ma tenue de ce soir… et j’ai collé ma jambe à sa queue pour ajouter que j’ai un appétit assez impressionnant après quelques verres. » « et moi, je vais m’adapter? » C’est bon enfant, elle sait très bien que j’adore ces jeux. « toi mon chéri, tu vas me mater et je te montrerai tout ce que tu aimes. » C’est tout ce que je voulais entendre, je suis ravi.

« Ce soir je veux sentir le soleil et le monoï. » OK, je te laisse bronzer, et tu d’y adonnes deux bonnes heures pendant que je bouquine. Ton maillot a de nouveau l’air inoffensif… c’est machiavélique ce truc.

L’après midi s’achève calmement, tu te baignes quelques fois mais ne fais absolument pas attention à qui te regarde, et moi non plus d’ailleurs. Je me contente à chaque fois d’en profiter et j’imagine ce que tu vas me proposer de porter ce soir… Après un dîner léger, très agréable, c’est en forme et légèrement émoustillés que nous nous préparons à rejoindre le bar sur la plage. Tu me proposes de choisir ensemble ce que tu vas porter.

Je prends conscience de l’intensité de ton envie quand tu commences à me présenter tes choix… quatre tenues très différentes les unes des autres avec un point commun qui saute aux yeux : l’envie d’allumer. Il y a cette combinaison fine dans laquelle je t’ai soigneusement baisée dans la cuisine la dernière fois, avec les talons à lacets. Tu alignes sur le lit une petite robe rouge, soyeuse, qui se ferme comme un kimono. Tu ajoutes une robe d’été blanche, presque sage à côté des autres, et enfin un short que je prends au départ pour un maillot de bain avec un top quasi transparent.

Tu ne perds pas ton temps et enfile le short et le top pour voir ce que j’en pense. « un soutif prévu? » « non. J’ai chaud. » … tes seins sont à l’air sous ce tissu ultra léger, flottant, d’un haut très court et j’avoue, très joli. J’adore mais je commence déjà à bander… ça va être difficile de jouer si j’arrive au bar précédé de mon sexe en érection. Le short? Il te rentre merveilleusement dans les fesses qu’il garde à moitié découvertes. Impossible mais j’adore. Mais impossible. Avec ton état d’esprit de cette après midi, porter ça reviendrait à entrer nue dans une boite échangiste. « Tu aimes? » dis-tu avec un regard coquin et tes doigts qui titillent tes tétons parfaitement visibles. « beaucoup. on peut voir les autres? » Tu poses ton regard sur mon boxer qui s’est rempli de désir et tu soupires… « comme tu veux. »

La robe rouge? Quasiment pire. La soie glisse sur tes seins, le décolleté est vertigineux, la robe si courte qu’en la fermant les pans viennent juste encadrer ton string. Ça ne couvre rien, ça présente. Tu ajoutes une paire de sandales compensées avec des plateaux à presque 10cm et, perchée sur elles, jambes légèrement écartées, tu vérifies : « on voit ma chatte, non? » « complètement ma Chérie… » « c’est trop? » « oui et non. J’adore voir ta chatte en public, c’est juste assez rare qu’elle soit visible dès ton entrée »… je ne contrôle plus mes mains qui sont venues tester la soie… je viens te caresser pendant qu’on parle. « tu sais que je peux porter une petite culotte un peu plus couvrante si tu veux? » « j’hésite… je crois que je préfère une tenue un peu plus sage et une petite culotte absolument scandaleuse. Histoire qu’on puisse prendre quelques verres tranquillement avant que tu ne te fasses sauter dessus. » Tu fais la moue… « ce soir je veux me faire sauter dessus, il m’a toute excitée ce petit con à la piscine. » Je te caresse désormais franchement, ma main sous ton string, mes doigts sur ton clitoris, et je t’embrasse… pendant quelques secondes, un baiser profond et chaleureux, mes doigts qui glissent en toi. « OK, tout ce que tu veux… montre moi quand même les autres options s’il te plaît. »

« La combi tu la connais. » « oui, mais je veux la voir quand même. » « tu aimes la regarder celle là… je croyais que tu ne voulais pas qu’on voit ma chatte quand j’arrive au bar? » hhmmmm… je n’ai pas d’argument, mais tu es de plus en plus excitée et je sais que tu vas l’essayer, pour moi. Tu l’enfiles, tu te redresses et tu tires lentement et sûrement sur le pantalon pour l’installer et venir attacher les pans derrière ton cou. Tes mains derrière la tête, ton buste légèrement cambré, tu t’affaires pendant que je te détaille du regard… magnifique. Je n’en reviens pas de voir ta chatte entièrement exposée, épousée par le tissu, écartée même, ouverte et offerte. OK, ça c’est scandaleux. J’hésite. « voilà ce que je te propose : ce soir, tu sais déjà qu’on va jouer. Garde cette option pour un autre soir… une soirée plus intime, plus chic, en ville, avec un bar à l’ancienne. ». Tu hésites, puis tu laisses glisser le tout au sol pour ne garder qu’un petit string noir et rouge qui ne cache rien. « OK. »

La robe blanche, légère, vient se poser par dessus ce string. Les bretelles sont très fines, le décolleté magnifique, le dos nu. Elle est lacée sur le devant, en coton un peu épais, pas transparente du tout… mais vraiment courte. Je la croyais plus sage que les autres, en fait elle fait fausse ingénue. Tes fesses sont visibles à chaque mouvement, la touche de rouge de ton string saute aux yeux quand tu te déplaces, et tes seins sont parfaitement mis en valeur. Après t’être dévoilée à la piscine, le coton plein te va très bien. J’adhère et j’adore. « parfaite. Tu peux choisir la lingerie que tu veux, elle ne manquera pas d’attirer le regard… et tu pourras toujours faire semblant d’être innocente, au moins au début. » Ça te fait rire. Tu vois bien que j’essaie de reprendre la main, alors tu me donnes le coup de grâce : « pour la lingerie c’est simple, le string le plus petit de ma collection, je n’ai pas envie de cacher le petit bijou que tu viens de m’offrir. » Je rate deux battements cardiaques, le temps de réaliser… « le plug? » Tu souris, c’est ton jeu, ta soirée, je ne contrôle plus rien.

On se prépare chacun de notre côté et quand je te demande si tu es prête tu me lances un « presque! » un peu chantant… tu viens me tendre le plug, ce bijou anal en métal décoré d’un coeur rouge. « caresse moi et mets le moi. » C’est simple, direct et tout à fait dans mes cordes. Tu es debout, tu viens t’agenouiller sur un fauteuil, appuyée au dossier et tu me tends tes fesses. Pas besoin de soulever ta robe, elle est si courte que ce mouvement dévoile entièrement tes cuisses et ton cul splendide. Je prends un temps pour l’admirer, je viens t’embrasser et je me place tout contre ton sexe pour très lentement le caresser de ma langue. Je viens utiliser toute ma langue pour que tu sentes son contact légèrement râpeux quand elle écarte tes lèvres et se promène de ton clitoris à ton anus. Je te lèche consciencieusement, lentement, profondément. Je te sens te détendre, j’aime te lécher et je prends mon temps. Ça me plait que tu arrives au bar avec la chatte déjà toute excitée, les lèvres gonflées, humides. D’une main, je prends le lubrifiant et en recouvre le plug. Je viens le placer sur ton anus. « hhmmm c’est bon, c’est froid. » Je me mets à suçoter ton clitoris et j’appuie lentement… tu hésites, tu te contractes puis tu te détends. Je pousse, tu t’ouvres et je le regarde t’élargir délicatement jusqu’à passer son corps de l’autre côté. Il se met en place, je le fais tourner pour que le coeur soit bien droit. « ouh… » ce petit mouvement te fait de l’effet. « C’est bon, c’est comme si tu étais à l’intérieur de moi. » « en tous cas c’est très joli ma Chérie, ça te va très bien! »

Tu te redresses, fais quelques pas, hésites… tu me souris. « OK, il est en place, c’est un peu bizarre mais excitant. Tu penses qu’ils vont aimer? » « Voyons voir… une petite bombe sexy qui s’est exhibée à la piscine, a chauffé un autre mec et débarque quasiment les fesses à l’air au bar en portant un plug anal… comme ça, à froid, je dis qu’ils vont t’adorer. » Ma réponse te plait, tu m’attrapes la main et tu me tires vers la porte de la chambre. Je pose la main sur tes fesses, je découvre très facilement ton string qui est tendu sur le plug, mes doigts caressent le coeur et le métal… ça me chauffe. Tu me chauffes. Vivement la suite.


FIN de la première partie…

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J’aime ta façon d’écrire , très sensuelle! J’attends la suite avec impatience..

Histoire Erotique
magnifique !!

Histoire Erotique
J’aime beaucoup, très excitant ! À quand la suite???



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