Liberté.
Récit érotique écrit par Cccp [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Liberté.
La curiosité gagna Maxime. Il quitta son bureau puis essaya de la suivre. Les choses se bousculèrent dans sa tête mais il s’efforçait de marcher le plus naturellement possible, sans montrer le moindre signe d’empressement. En aucun cas il ne voulait éveiller des soupçons parmi ses collègues sur son départ soudain.
Il continua son chemin et sorti des bureaux par une porte secondaire. Personne. À sa gauche, l’entrée principale de la compagnie. À sa droite, pas moins de six ascenseurs permettaient d’accéder à cet étage. Se pouvait-il qu’il ait mal interprété Axelle ?
Elle était arrivée au travail ce matin avec une nouvelle résolution : vivre selon ses propres valeurs. Il ne serait plus question d’agir uniquement en fonction de l’approbation des autres, amis, famille ou connaissance. Elle allait arrêter d’ignorer ses besoins. Elle allait prêter attention aux signes que la vie pourrait placer sur son chemin. Et même si ses actions pourraient avoir des conséquences importantes, elle allait les accepter. Elle avait décidé de faire confiance à la vie.
Il fallait que sa première action dans cette nouvelle vie soit significative. Marquante. De son bureau, elle vit que Maxime était déjà arrivé. Il était encore tôt et beaucoup de monde se trouvait encore dans le trafic. Maxime était son collègue de travail depuis quelques années déjà et elle avait eu l’occasion de travailler en équipe avec lui.
Elle prit une profonde respiration et se leva. Arrivée à son cubicle, elle le salua et s’approcha de son oreille.
« J’te veux en moi. », lui murmura-t-elle.
Elle lui fit un clin d’œil puis reparti immédiatement dans le couloir laissant son collègue ébahi.
Maxime entendit le claquement d’une porte. Il reconnu immédiatement ce son typique : il s’agissait d’une des quatre portes de secours qui s’était refermée. Elle était dans la cage d’escalier. Il remarqua la présence de la réceptionniste au travers de la porte de l’entrée principale. Pour ne pas attirer l’attention, il décida de prendre l’ascenseur et de descendre d’un étage. Après être sorti de l’ascenseur, il se dirigea vers la sortie de secours et remonta les marches.
Axelle était en haut, adossée au mur. Un sourire apparut sur son visage lorsqu’elle le vit. Elle était vêtue d’un chemisier à manches courtes et d’une jupe coupée aux genoux. Il avait un peu de difficulté à réaliser la situation. Arrivé à sa hauteur, elle détacha quelques boutons et laissa paraître le haut de sa poitrine. Elle leva les yeux et le regarda : aucun doute sur ses intentions. L’excitation commença à se faire ressentir.
Il passa sa main sous son chemisier en direction d’un de ses seins, tout en commençant à l’embrasser. Leurs langues s’entremêlèrent. Il détacha les boutons restants et fit sortir, l’un après l’autre, ses seins de l’emprise de la brassière. Maxime fit glisser ses doigts autour des tétons qui commencèrent à se durcir, ne demandant qu’à être gober.
Il prit la main d’Axelle et les jeunes amants se déplacèrent dans le recoin de la petite pièce de maintenance des ascenseurs.
Elle déposa ses mains sur les épaules de Maxime et le poussèrent vers le bas. Il s’agenouilla. Elle remonta sa jupe et, d’une main, écarta sa culotte puis, de l’autre, poussa la tête de son nouvel amant vers son sexe.
« Manges-moi. », lui demanda-t-elle.
Il sorti sa langue et la fit glisser entre les lèvres humides pour ensuite la remonter sur son clitoris. Elle dirigea la tête de Maxime selon ses désirs. Sa respiration se fit plus profonde. Les mains posées sur ses fesses, Maxime se mit à aspirer le clitoris, la vulve puis sa langue parcouru l’entrée de son vagin. Il allait là où elle le désirait et elle s’y abandonnait.
Elle avait besoin de plus et était prête à en recevoir plus. Elle le releva et l’adossa contre le mur. C’était à son tour. Elle se mit à frotter l’entrejambe de Maxime puis défit le bouton de son pantalon et en sortit un pénis bandé. Elle se baissa et mit le gland dans sa bouche tout en faisant des mouvements de va-et-vient.
Verge à la main, Axelle l’invita à s’allonger sur le sol. Elle enleva sa culotte et se mit sur le dos, jambes écartées, prête à l’accueillir. Il la pénétra très lentement pour percevoir la chaleur de son vagin. Il commença alors à la baiser pendant qu’elle s’occupait de son clitoris. Elle aimait cette combinaison : la masturbation rendait la pénétration plus intense. Il profita de cette position pour lui mordiller et aspirer ses tétons, tantôt le droit, tantôt le gauche.
Cela ne prit pas beaucoup de temps avant qu’elle soit sur le point de jouir. Il fit son possible pour retenir son éjaculation aussi longtemps que nécessaire malgré l’accélération de la cadence. Quelques secondes passèrent et des petits cris étouffés par sa main restée libre se firent entendre. Maxime ralenti son va-et-vient et dut subir les sensations d’une verge au bord de l’explosion.
Elle se redressa, prit le pénis humide en main et se mit à le branler rapidement. Il ne put résister très longtemps à cette intense masturbation avant d’être envahit à son tour par un orgasme et de perdre tout contrôle. Il ferma ses yeux et s’abandonna à son éjaculation libératrice.
Il continua son chemin et sorti des bureaux par une porte secondaire. Personne. À sa gauche, l’entrée principale de la compagnie. À sa droite, pas moins de six ascenseurs permettaient d’accéder à cet étage. Se pouvait-il qu’il ait mal interprété Axelle ?
Elle était arrivée au travail ce matin avec une nouvelle résolution : vivre selon ses propres valeurs. Il ne serait plus question d’agir uniquement en fonction de l’approbation des autres, amis, famille ou connaissance. Elle allait arrêter d’ignorer ses besoins. Elle allait prêter attention aux signes que la vie pourrait placer sur son chemin. Et même si ses actions pourraient avoir des conséquences importantes, elle allait les accepter. Elle avait décidé de faire confiance à la vie.
Il fallait que sa première action dans cette nouvelle vie soit significative. Marquante. De son bureau, elle vit que Maxime était déjà arrivé. Il était encore tôt et beaucoup de monde se trouvait encore dans le trafic. Maxime était son collègue de travail depuis quelques années déjà et elle avait eu l’occasion de travailler en équipe avec lui.
Elle prit une profonde respiration et se leva. Arrivée à son cubicle, elle le salua et s’approcha de son oreille.
« J’te veux en moi. », lui murmura-t-elle.
Elle lui fit un clin d’œil puis reparti immédiatement dans le couloir laissant son collègue ébahi.
Maxime entendit le claquement d’une porte. Il reconnu immédiatement ce son typique : il s’agissait d’une des quatre portes de secours qui s’était refermée. Elle était dans la cage d’escalier. Il remarqua la présence de la réceptionniste au travers de la porte de l’entrée principale. Pour ne pas attirer l’attention, il décida de prendre l’ascenseur et de descendre d’un étage. Après être sorti de l’ascenseur, il se dirigea vers la sortie de secours et remonta les marches.
Axelle était en haut, adossée au mur. Un sourire apparut sur son visage lorsqu’elle le vit. Elle était vêtue d’un chemisier à manches courtes et d’une jupe coupée aux genoux. Il avait un peu de difficulté à réaliser la situation. Arrivé à sa hauteur, elle détacha quelques boutons et laissa paraître le haut de sa poitrine. Elle leva les yeux et le regarda : aucun doute sur ses intentions. L’excitation commença à se faire ressentir.
Il passa sa main sous son chemisier en direction d’un de ses seins, tout en commençant à l’embrasser. Leurs langues s’entremêlèrent. Il détacha les boutons restants et fit sortir, l’un après l’autre, ses seins de l’emprise de la brassière. Maxime fit glisser ses doigts autour des tétons qui commencèrent à se durcir, ne demandant qu’à être gober.
Il prit la main d’Axelle et les jeunes amants se déplacèrent dans le recoin de la petite pièce de maintenance des ascenseurs.
Elle déposa ses mains sur les épaules de Maxime et le poussèrent vers le bas. Il s’agenouilla. Elle remonta sa jupe et, d’une main, écarta sa culotte puis, de l’autre, poussa la tête de son nouvel amant vers son sexe.
« Manges-moi. », lui demanda-t-elle.
Il sorti sa langue et la fit glisser entre les lèvres humides pour ensuite la remonter sur son clitoris. Elle dirigea la tête de Maxime selon ses désirs. Sa respiration se fit plus profonde. Les mains posées sur ses fesses, Maxime se mit à aspirer le clitoris, la vulve puis sa langue parcouru l’entrée de son vagin. Il allait là où elle le désirait et elle s’y abandonnait.
Elle avait besoin de plus et était prête à en recevoir plus. Elle le releva et l’adossa contre le mur. C’était à son tour. Elle se mit à frotter l’entrejambe de Maxime puis défit le bouton de son pantalon et en sortit un pénis bandé. Elle se baissa et mit le gland dans sa bouche tout en faisant des mouvements de va-et-vient.
Verge à la main, Axelle l’invita à s’allonger sur le sol. Elle enleva sa culotte et se mit sur le dos, jambes écartées, prête à l’accueillir. Il la pénétra très lentement pour percevoir la chaleur de son vagin. Il commença alors à la baiser pendant qu’elle s’occupait de son clitoris. Elle aimait cette combinaison : la masturbation rendait la pénétration plus intense. Il profita de cette position pour lui mordiller et aspirer ses tétons, tantôt le droit, tantôt le gauche.
Cela ne prit pas beaucoup de temps avant qu’elle soit sur le point de jouir. Il fit son possible pour retenir son éjaculation aussi longtemps que nécessaire malgré l’accélération de la cadence. Quelques secondes passèrent et des petits cris étouffés par sa main restée libre se firent entendre. Maxime ralenti son va-et-vient et dut subir les sensations d’une verge au bord de l’explosion.
Elle se redressa, prit le pénis humide en main et se mit à le branler rapidement. Il ne put résister très longtemps à cette intense masturbation avant d’être envahit à son tour par un orgasme et de perdre tout contrôle. Il ferma ses yeux et s’abandonna à son éjaculation libératrice.
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