Libertin ? - histoire érotique

Libertins ?

Mariés depuis 21 ans et en couple depuis beaucoup plus, nous avons une vie des plus banale. Sauf que depuis longtemps notre sexualité évolue. Certes, nos jeux et notre complicité fait que nous avons grandis ensemble, intimement.
Je n’ai pas été choqué quand ma chérie m’a dit qu’elle aimerait avoir deux mecs pour faire l’amour. Pas plus que, en me suçant elle a joué avec mon petit trou, ni même quand j’y ai pris énormément de plaisir. De fils en aiguilles, de discussions coquines et jeux de la vérité, de plus en plus nous avons ajouté à nos baises des sextoys divers et variés.
Une fois que les barrières, de nos retenues dues à notre éducation « judéo-chrétienne », furent tombées, il nous est apparu comme une évidence que nous pourrions rencontrer, occasionnellement, un mec bi pour des trios FHH.
Nous nous sommes mis en quête d’un complice pour la réalisation de ce fantasme qui nous habitait. Inscrits sur des sites dits libertins, notre annonce de profil disait en substance :« Nous sommes un couple amoureux et complice qui souhaite vivre ses fantasmes ensemble. Nous sommes ici en recherche d'un joli homme bi pour un mélange à 3. Nous sommes novices, nous cherchons du réel. Chez nous aucune notion de dominant dominé ou actif-passif nous ne désirons que du partage dans la sensualité, la douceur et le respect. Nous serons donc toujours tous les 2. Pour nous plaire sachez nous séduire. A vous de jouer. »C’est ainsi que notre premier contact arriva. Un joli mec nous laissa des messages et nous fûmes flattés de l’intérêt qu’il nous portait. Après quelques semaines d’échanges, d’abord sur le tchat du site qui nous hébergeait, puis sur une application de messages instantanés où nous échangions régulièrement à grand renfort de photos et mini vidéo sexy et quelques appels téléphoniques comme de vieux amis. Il nous apparut comme une évidence que nous devions nous rencontrer aussi nous décidâmes de nous retrouver près de chez lui.
Un week-end nous avons pris la route après avoir quitté le travail. Comme il vit très loin de chez nous, nous avons fait une étape à mi-chemin. Nous ne voulions pas faire le chemin d’une seule traite et avions réservé une nuit dans un hôtel sur le parcours. Nous primes possession de la chambre et après s’être rafraichis et excités comme nous l’étions avons fait l’amour intensément délicieusement. Nous nous sommes restaurer et avons bu une bouteille de très bon vin blanc. Je ne me souviens pas si c’est l’ivresse ou le présage des moments à venir. Mais nous ne fûmes pas rassasiés de notre baise apéritive et avons eu tous les deux très envie l’un de l’autre. Je me suis avidement jeté sur le sexe encore trempé de Lulu et m’en suis régalé. Elle n’a jamais cessé de me provoquer avec des sous-entendus torrides de ce que nous allions réaliser le lendemain. Joignant les gestes à ses paroles elle me suça goulument caressant chaque petite parcelle de peau, surtout les plus sensibles à ses sollicitations. Puis je l’ai prise alternant entre pénétrations profondes et lentes et salves de va et vient rapides. Mais elle voulut, elle aussi, me prendre. Elle s’équipa de notre strapon et me prépara méticuleusement pour enfin me pénétrer. Elle me dilata le petit trou avec ses doigts et quand je fus prêt, me fit mettre en levrette et me tarauda jusqu’à ce que son pubis soit en appui sur mon cul, patienta quelques secondes puis se mit en mouvement. Réellement je crois que je me suis rapidement pâmé. Je lui ai demandé de changer de position, Lulu me fit coucher sur le dos mes jambes autour de ses hanches. Là elle se replanta en moi et me baisa avec tellement de plaisir que je pouvais voir dans ses yeux noirs les lumières de ses désirs les plus profonds. L’orgasme qui nous emporta, nous dévasta et nous laissa pantelants. Séparés de notre étreinte, en sueur, nous avons cédé au sommeil, l’un prêt de l’autre jusqu’au matin.
Nous avons repris la route en milieu de matinée pour rejoindre le logement que nous avions loué pour le week-end et avons invité Pablo à passer un moment avec nous. Il nous rejoignit en fin d’après-midi, nous l’attendions émus et troublés. Après les salutations et un verre ou deux, nous nous sommes tous un peu détendus. Nous avons discuté de choses de plus en plus intimes. C’est là que Lulu, mon amour, vint comme une chatte m’embrasser langoureusement. Puis se tourna vers Pablo avec un sourire carnassier pour lui en offrir un comme elle l’avait fait avec moi. Etant sur la terrasse j’ai proposé de rentrer pour plus de discrétion. La musique en fond sonore fut une invitation au rapprochement de nos corps.
Tournée vers lui, elle dégustait ses lèvres goulument et profitait de nos caresses conjointes. Tout n’était que sensualité et désir. Je me suis déplacé pour mélanger ma salive à la leur, nos bouches se collaient nos langues s’enroulaient et nos mains frôlaient le corps des autres. La robe blanche de Lulu eu vite fait de se retrouver au sol, dévoilant ses rondeurs charnelles à notre hôte et à moi. Nous nous sommes effeuiller jusqu’à nos nudités les plus intimes. Elle seule restait avec ses dessous blancs mettant en valeur sa généreuse poitrine et ses fesses rondes. Nos corps se rapprochaient, nos mains exploraient et nos bouches se faisaient plus gourmandes. Je m’agenouillai et flattai avec du bout des lèvres le mont de venus de ma chérie au travers de la dentelle de son string et de mes mains je massais délicatement le sexe de Pablo. La miss mena mon visage se poser sur le sexe érigé de notre joli mec et je le pris en bouche comme si je l’avais toujours fait. Et venant me rejoindre pour cette première pipe elle demanda à Pablo :- Il te suce bien mon Chéri ?
- Oui c’est très bon et vos deux bouches seront un beau cadeau.
Liées par ce trait d’union nos langues couraient sur son impétueuse queue tout en nous caressant librement. Tout n’était que soupirs, bruits de sucions et voluptueuses sensations de plaisirs. Nous relevant je pris Lulu dans mes bras pour la faire s’allonger sur le lit XXL. Entre ses cuisses largement ouvertes je lui léchai amoureusement la chatte en décalant son dessous sur le côté. Pablo lui, monta sur le lit pour profiter encore de ses baisers et lui caresser les seins. Bientôt, elle se retrouva comme nous intégralement nue. Ma langue lapait ses sucs et mes doigts visitaient son sexe débordant. N’y tenant plus, je décidai de la pénétrer et, pour son plus grand plaisir, j’investissais son antre brûlant. Pour ne pas jouir trop vite, je coulissais lentement en elle mais dans toute sa profondeur. Notre complice n’était pas en reste, il avait quitté sa bouche pour pouvoir masser le boutons d’amour de Lulu tout en me flattant de quelques caresses et bisous langoureux. Il était bientôt temps pour moi de lui céder ma place non sans avoir déroulé, d’une caresse buccale, un préservatif sur sa queue. Comme moi il la pénétra avec douceur comme pour qu’elle puisse apprécier son désir de lui donner du plaisir. Couché tête bêche près de Lulu, elle eut tout à loisir de me caresser et me suçoter le gland. Pendant que moi, je laissai errer ma bouche entre son clito et le joli champignon de Pablo lorsqu’il sortait de son vagin. Je me suis régalé, repus de leur sexe respectif. Pablo voulu de nouveau profiter des lèves de notre muse et retira le condom en se dirigeant vers son visage. Je pris sa relève immédiatement d’abord avec ma queue turgescente puis avec mes doigts pour l’emmener à la jouissance. Le plaisir de la belle eut raison de Pablo en premier qui dans un râle rauque et presque animal éjacula sur le visage de ma chérie. Sans chercher à résister plus, tout en masturbant de plus en plus vite la chatte de mon amoureuse, j’imprimai à mon propre sexe des va et vient à la même cadence que ceux qui faisaient encore éclater de plaisir Lulu. Mon corps se tendit et je jouissais bruyamment laissant s’épancher mon plaisir sur sa chatte.
Je me penchais et goutais au fruit défendu de mon Eve comme pour un hommage aux plaisirs qu’elle avait su nous donner. Gourmand comme je suis-je ne me suis pas privé de goûter à mon jus et d’un tendre baiser partageais ma saveur avec ma gourmande. Le calme était revenu et nous nous sommes allongés tous les trois Lulu entre Pablo et moi. Chacun errant dans ses pensées mais nos corps liés par le contact de la peau de celui près de lui. La délicieuse se leva à peine couverte d’un drap pour se refaire une petite beauté. Je l’imitai proposant un rafraichissement à tous. Je préparai un verre à chacun les posais sur la table de nuit et me couchais de nouveau à côté de Pablo. Pour ne pas laisser s’installer la gêne de la petite mort, qui souvent nous est fatale à nous les hommes, je demandai à notre amant si notre premier contact sexuel lui avait plu. Il se tourna vers moi et me dit les yeux embués de trouble :- Je ne m’attendais pas à tout ce qui vient de se passer. Vous êtes des anges, vous m’avez mis à l’aise, vous vous êtes ouverts à moi et j’ai aimé.
Nous nous sommes rapprochés et je lui ai offert mes lèvres. Notre baiser, sans être fougueux fut doux et sa sensualité remis nos sens en éveil. Lulu s’approcha et vint se joindre à nous. Mon corps coula le long de leurs peaux jusqu’à m’emparer de la belle queue de notre amant. Je mis tout mon cœur à sucer ce sexe érigé pour donner le plus de plaisir à notre amant. Tandis que mes chéris se bisouillaient goulument. Je mis un point d’honneur à ce que Pablo jouisse de la fellation que je lui prodiguai. Sentant son plaisir arriver il se dégagea de moi comme pour ne pas me souiller. Mais je le repris de plus belle dans ma bouche et je fus fier quand il juta en moi, sur mes lèvres et mon visage. Ma chérie, aux premières loges, peut-être un peu surprise un instant me sourit et m’embrassa longtemps. (Elle m’a dit plus tard qu’elle aussi avait été fière de me voir assumer ma bisexualité). Loin de toute prétention, cette pipe magistrale menée à son terme, m’avait excité et j’en fis part à mes acolytes. Ils s’approchèrent de moi les yeux brillants, s’emparèrent de moi gourmands. Les baisers se transformèrent en léchouilles leurs mains fureteuses me caressèrent sur tout le corps. Ils se partagèrent mon sexe dur, prenant tour à tour mon gland entre leurs lèvres. Ils l’ont léché sucé et gobé entièrement. Tout à mon plaisir je laissai échapper des soupirs de plaisir. J’en voulais plus et je demandai à ma belle de me donner sa chatte ou je plantais ma queue en feu. Notre amant nous caressait encore et pour ne pas le laisser spectateur, je réclamais à ma chérie de se positionner en levrette. Lui s’installa devant elle à genoux, je tendais mon cou et mes lèvres à chaque poussée pour embrasser Pablo au-dessus de ma belle qui ne se privait pas de prendre en bouche le sexe de notre amant qui reprenait vigueur devant le spectacle et la sucette que nous lui offrions. La chatte mouillée de Lulu, dans laquelle je coulissais allègrement, me serrait de plus en plus. Les premiers frissons de jouissance s’insinuaient dans mes reins et dans une explosion de gémissements et une éjaculation qui me sembla ne jamais finir je jouissais avec frénésie. Mes deux comparses prirent leur plaisir eux aussi après moi.

A suivre…. Peut-être.