Libertinage à Cassis avec trois jeunes hommes en compagnie de Sandrine et Éric, mes amours. Episode
Récit érotique écrit par Plaisirsexbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Libertinage à Cassis avec trois jeunes hommes en compagnie de Sandrine et Éric, mes amours. Episode
Bonjour à tous, c’est Caroline, je vous propose de vous raconter l’épisode deux de nos aventures à Cassis.
Avant de vous narrer ma vingt-et-unième aventure, un petit conseil pour celles et ceux qui n’auraient pas lu l’épisode un, commencer par celui-ci avant de poursuivre avec le numéro deux.
Le lundi vingt-quatre juin, nous sommes retournés à Cassis, Sandrine souhaitant peut-être vivre une petite expérience coquine dans le restaurant des coquineries.
Nous y avions vécu le samedi précédent, un plan hotwife imprévu avec un des serveurs et en plus, nous y avions très bien déjeuné. C’est une bonne adresse, à recommander que je ne partagerai pas par discrétion !!!
Il s’est encore passé des coquineries et pas qu’un peu… on n’y comprend rien du tout avec Sandrine et Éric, mais ces deux expériences coquines imprévues n’ont été que du bonheur.
Comment sommes-nous arrivés à libertiner dans les Calanques avec trois jeunes hommes ? Je vous raconte !!!
Suite à l’aventure avec le serveur dans les toilettes deux jours avant, (à retrouver dans l’épisode un), Sandrine, Éric et moi avons une idée en tête. Nous aimerions qu’il se repasse un petit quelque chose, avec ce serveur ou un autre, mais nous avons peur que le jeune homme soit mal à l’aise, ce qui n’est pas le but.
Nous gardons donc cette pensée entre nous, et nous venons redécouvrir la bonne table, car il y a de belles choses à la carte.
Arrivés au restaurant de la débauche, nous comprenons que tous ses collègues sont au courant. Ils nous lancent des sourires et regards plus qu’entendus.
Le repas se déroule à merveille, entre régalades, rires, discussions sérieuses et plus libertines.
A la fin du déjeuner, Éric se lève pour aller aux toilettes. Il est intercepté par un autre serveur.
Il lui explique qu’il a compris que nous étions des libertins (mon œil oui, la mèche a été vendue !) et que si mon amie et moi voulons jouer, il est partant pour oser l’expérience, nous n’avons qu’à le retrouver, il se rendra disponible.
Mais c’est de mieux en mieux, il n’y a plus rien à faire, plus de jeu de séduction ou de phrases tendancieuses, de regards appuyés et de sourires enjôleurs.
Il pleut des hommes !!!
Ça tombe tout seul !!!
J’ai l’impression d’être Miss « Univers » du haut de mon mètre soixante-quatorze !!!
Éric revient, sourire jusqu’aux oreilles, et nous explique sa discussion. Nous avons le feu vert.
Nous pouvons faire quoique ce soit avec le serveur ?
Nous le rejoignons. Sandrine hésite, elle n’a jamais fait de plan hotwife, et pourtant, c’est elle qui a insisté pour revenir à Cassis dans ce restaurant. Elle ne pratique le libertinage qu’avec nous.
Jusqu’à maintenant, chacune de nos rencontres libertines avec Sandrine est programmée et il n’y a pas d’imprévu.
Dans l’euphorie du moment, elle est la première à retrouver le serveur. Personnellement, j’ai peur que des clients attablés près des toilettes comprennent.
Je ne veux attirer d’ennuis à personne. Éric me dit que si j’ai envie, j’y vais. Finalement, j’arrête de tergiverser : GO !!!
De ce moment avec le serveur, je n’ai pu faire de photo pour Éric. Il n’y a plus de lumière aux toilettes. Nous avons coquiné à la lampe torche du portable. Classe !!!
En arrivant, je toque, on m’ouvre. Sandrine suce le serveur à genoux. Il se tourne vers moi, j’effleure un testicule du bout de la langue et il jouit immédiatement sur mes seins.
Je n’ai même pas le temps de faire la plus petite coquinerie !!!
Le serveur téléphone à un collègue. Peu après, le cuisinier arrive. Il est à deux doigts de jouir, surexcité à l’idée de faire du sexe au travail. Il n’arrête pas de nous stopper et finalement ne jouit pas.
Le serveur nous a prévenus que le patron allait passer. Nous arrêtons tout et nous sortons des toilettes séparément.
Forcément, ce qui devait arriver arriva.
Des clients ont compris : trois copains d’une vingtaine d’années. Regards soutenus et sourires entendus, un des trois entame la discussion avec nous après que je lui aie rendu son sourire.
Nous nous regroupons à une même table. Nous sympathisons très vite, ils sont super sympas et droits.
C’est le même état d’esprit que notre première rencontre avec Christophe au Cap d’Agde, (voir nos aventures précédentes).
Ils sont curieux du libertinage. Ils posent des questions sur le partage, la complicité, la jalousie, l’excitation voyeuriste, le plaisir à plusieurs… l’un d’eux côtoie des lieux naturistes mais non-libertins.
Deux autres connaissent le nom d’un club libertin Marseillais sans y être allés… Ils sont ouverts, mais aucun n’a jamais franchi le pas ! Ça reste théorique.
Le feeling est excellent. Ils sont adorables et très sains dans leur comportement. Aucun n’a de gestes déplacés et n’assimile la libertine à une fille facile.
Ils sont très étonnés de notre ouverture d’esprit et surpris par notre style de vie, nous vivons notre sexualité et nos coquineries comme nous l’entendons. Nous avons choisi le partage.
Nous nous aimons éperdument tous les trois, et cela ne leur semble pas évident, et pourtant c’est nécessaire dans un trouple libertin. Nous avons le désir profond de vivre nos fantasmes à trois sans mensonges.
Cela doit nous amuser, ne pas challenger ou mettre la pression dans vie de tous les jours.
Ils sont surtout très surpris par mon âge, ils ont du mal à me croire, car je suis plus âgée que leurs mamans. Mais il parait que je ne fais pas mon âge…Ils sont trop mignons.
Au fil de la discussion, nous décidons tous les six de passer la soirée ensemble après le restaurant. Nous sommes dans l’euphorie du moment !!!
Chaque “groupe” achète une bouteille de rosé et prend des verres en plastique. Nous nous suivons en voiture, nous faisons une petite randonnée tout en papotant et nous nous posons pour profiter du coucher de soleil dans les calanques dans une sorte de ferveur cool et insouciante !!!
Nous nous laissons aller dans un sentiment de libertés réelles en s’affranchissant des conventions ou des nombreux interdits sociétaux.
Un sentiment de plénitude et de partage. Une vraie ferveur « hippie » je vous l’accorde !!!
Nous installons nos serviettes et nous profitons du paysage en continuant la discussion. Il est 20h30/21h. C’est paisible et le coin est magnifique.
Nous nous mettons tous nus dans ce lieu préservé et sauvage : une première pour deux des jeunes hommes, qui n’ont jamais pratiqué le naturisme. Sandrine et moi, les mettons très vite à l’aise.
Nous mettons tout en commun : nos serviettes, nos capotes, nos lingettes, nos crèmes solaires… Les corps s’échauffent doucement.
Malgré la faible intensité du soleil, les garçons nous étalent la crème solaire sur le corps, les seins et les fesses.
Les caresses s’échangent, j’effleure leur sexe des doigts, puis les prend en main. L’excitation monte. Après la théorie, nous testons la pratique !!!
Les trois hommes osent après que Sandrine en ait sucé un et que j’en aie masturbé et sucé un autre. Les coquineries sont parties !!!
Ils s’extasient régulièrement de l’instant de fou qu’ils sont en train de partager avec nous.
Nous passons un merveilleux moment complice.
Un des coquins m’embrasse, pendant que son copain m’offre un délicieux cunnilingus. C’est un régal !!!
Sandrine se fait prendre en levrette par un des jeunes hommes, pendant qu’un autre tente de me prendre vainement. Seul un de nos trois coquins parviendra à avoir une érection, les deux autres en ont vraiment très envie mais ils n’ont jamais pratiqué le naturisme et encore moins le libertinage.
C’est une première fois libertine, exhibitionniste et naturiste. Ils ont envie dans leur tête, les petits jeunes, mais leurs zizis ne suivent pas.
Nous le constatons souvent en gang bang, sur une quinzaine d’hommes présents, seuls 10/12 participent vraiment activement. Sur ce nombre, une bonne dizaine aura une érection suffisamment vigoureuse pour me prendre. Toutefois, ça n’empêche pas les 3/5 autres d’être excités jusqu’à la jouissance et l’éjaculation.
Messieurs, rassurez-vous, vous n’êtes pas des machines ou des robots, mais simplement des êtres humains doués de sensibilité !!!
C’est tout à fait normal et d’ailleurs, Éric rencontre le même problème, même avec une hypersexuelle affamée !!!
Le libertinage est très cérébral : ce n’est pas parce que la tête veut, que le sexe fonctionne. C’est plus profond que cela.
Et pendant ce temps…Éric trinque avec un voyeur à la douceur de vivre et à nos folies, verre de rosé en main, pendant que nous, les filles, « ses femmes », nous, nous amusons sobrement avec ces trois jeunes apollons rencontrés quelques heures plus tôt dans un restaurant de Cassis.
Sandrine en a marre de se massacrer les genoux sur la caillasse. Elle rejoint notre homme pour le sucer un petit peu, puis regarder la scène.
Un des trois jeunes hommes est tristounet de ne pas parvenir à bander, alors qu’il a très envie.
Il regarde son pote continuer à s’amuser en se masturbant de façon énergique, puis, plutôt que de rester frustrer, il décide de faire le guet pour être sûr qu’on puisse continuer sans soucis.
Pour éviter également de se retrouver avec de multiples voyeurs. Pendant ce temps, l’autre coquin prend en charge l’intendance. Il donne et déballe les préservatifs, prépare le lubrifiant, essaie de protéger nos genoux et dos des meurtrissures du sol, enlève les petites épines de pin se collant sur nous… Il ne perd pas une miette de la scène coquine se déroulant sous ses yeux.
Il prend son rôle au sérieux, car il demande au voyeur de se mettre à poil ou de bien déguerpir.
Bien évidemment, le voyeur ne se fait pas prier pour se mettre tout nu, nous laissant apparaitre un membre plutôt très en forme.
Nous enchaînons plusieurs positions avec le troisième homme. Tout d’abord, je le chevauche, mais mes genoux ne supportent pas bien longtemps la dureté des cailloux.
J’ai une très grosse pierre qui m’éclate la rotule ! Malgré tout, c’est particulièrement excitant et le moment partagé est d’une force incroyable.
J’entends Éric et le voyeur s’extasier à chaque instant. Je suis en train de me faire baiser par un inconnu dans un cadre magnifiquement beau.
Je bascule sur le dos, puis le sexe du bel apollon durci de plaisir m’empale pendant que je m’offre à lui cuisses ouvertes.
Le coquin intendant nous fait remarquer que d’autres voyeurs profitent également du spectacle. Celui qui fait le guet nous les signale également.
Je ne les vois pas, mais j’entends dans leurs discussions avec Sandrine et Éric, qu’un couple nous regarde en se masturbant. Je suis complètement ravie et extasiée par la situation !!!
Son membre enchaîne les va-et-vient dans mon sexe en feu, trempé de désir. Je jouis de tout mon saoul. La situation est orgasmique et mon corps vibre de plaisir.
Coquins absolument adorables. Ambiance géniale. Du libertinage en pleine nature. Des voyeurs imprévus. Un lieu d’une beauté incommensurable.
Seul gros bémol, les cailloux des calanques nous font vraiment mal au dos et aux genoux. C’est extrêmement inconfortable. Nos corps sont meurtris par le sol et quel que soit la position prise, nous en souffrons, que ce soit lui ou moi. Mais j’ai tellement envie de cette baise improvisée dans ce lieu incroyable !!!
D’ailleurs, j’ai conservé les marques de cette baise en pleine nature pendant une petite semaine.
Le seul arbre disponible est squatté par mon petit mari Éric, les deux copains intendants et Sandrine, qui se sifflent tous les quatre les deux bouteilles de rosé pendant que le jeune homme et moi faisons notre sport charnel !!!
Et quel sport mes amis, car le petit jeune est en pleine forme physique, je suis très gâtée !!!
Nous changeons de position une nouvelle fois en tentant d’en trouver une plus confortable. Je bascule en levrette.
Les autres voyeurs sont toujours là, je peux enfin les voir. Ils restent à bonne distance, mais n’en perdent pas une miette.
L’autre, celui plus « audacieux », qui s’est mis à poil, se masturbe très fort, mais a quelques longueurs de nous maintenant.
En levrette, les coups de reins sont bien sentis et je perds quelque fois l’équilibre précaire que j’ai réussi à trouver entre deux cailloux pointus.
Mon Merveilleux Éric s’approche de nous et me caresse le dos en s’assurant que tout va bien.
J’adore le sentir à mes côtés dans ces intenses moments libertins. J’aime ressentir sa présence, ressentir sa complicité et notre passion.
J’aime voir dans son regard qu’il prend le même plaisir que moi, qu’il est excité par la situation et qu’on s’aime plus que tout.
J’ai besoin de ce partage des sens avec l’Homme de ma vie.
Nous faisons une petite pause, pendant laquelle le jeune homme me doigte intensément mais avec tact.
Le coquin me doigte toujours fortement et je crois (je dis bien je crois), qu’il a réussi à me faire gicler.
Si c’est le cas, c’est la deuxième fois que cela arrive en douze ans de libertinage et de nombreuses tentatives vaines… Heureuse de partager ce moment avec vous !!!
Qu’est-ce qui me fait croire cela ?
Le jeune coquin, je crois que c’est Paul, me pénètre avec ses doigts et je ressens comme une envie de faire pipi.
Je me sens très à l’aise et en confiance avec les trois jeunes hommes, j’accepte l’idée de me laisser aller quitte à faire pipi...
Alors après, ce n’est pas très précis… Les faits : une sorte de fluide translucide s’est échappé de mon vagin. Le coquin Paul doit s’essuyer les doigts, car ils sont trempés. Il s’est retrouvé la main trempée d’un fluide.
Ce n’est clairement pas de l’urine, ce n’est pas non plus de la cyprine. L’envie de faire pipi n’est plus là, par contre, niveau ressenti, c’est le néant !!!
Parlons peu, parlons bien : c’est plus épais que du pipi, mais plus fluide que de la cyprine. C’est incolore et inodore. Ça ressemble un peu à une eau, mais qui serait épaisse.
Ce ne sont pas les sensations d’un orgasme. Ce n’est pas non plus “détendant” ou libérateur de quoique ce soit.
Je ne me suis pas sentie gicler. J’ai simplement constaté des faits. Je pense donc avoir giclé par déduction logique.
Après, je ne comprends pas pourquoi on en fait tout un foin, car un orgasme est dix mille fois plus agréable qu’une giclette.
Peut-être dois-je apprendre à découvrir ou maîtriser cette nouvelle possibilité ?
J’ai juste un liquide qui sort de mon vagin et rien de plus. Ce n’est pas très glamour, mais ça a le mérite d’être franc !!!
Si certains sont des pros de la giclette, j’aimerais bien avoir votre opinion à ce sujet en commentaire !!!
Sincèrement ça m’interpelle… Les cigales chantent et Sandrine et Éric se délectent de chaque seconde passée dans ce lieu magique.
Le soleil se couche et nous nimbent d’une lumière ocre, nous rougeoyons de milles désirs en mélangeant nos corps avec mon Amant d’un jour.
Je prends son sexe en bouche et enchaîne fellations et gorges profondes. Son chibre me régale. L’envie nous submerge toujours et je m’empale sur son sexe érigé.
Le mien est endolori suite à la giclette et je ne vais plus tenir bien longtemps, mais je savoure tant que mon corps me le permet.
Nous synchronisons le rythme de nos corps lors des va-et-vient. C’est jouissif !!! Je frémis.
Finalement, je ne tiens plus et commence à sucer le jeune homme, qui m’offre une superbe giclée de sperme chaud.
Il a joui sur son ventre sous les applaudissements des cinq comparses : ses deux potes, Sandrine, Éric et le voyeur Audacieux.
Tout sourire et enchantés par cet intense moment, nous reprenons pieds avant de communiquer avec le monde qui nous entoure !!!
Nos esprits retrouvés, nous sommes tous les six hyper enthousiastes et heureux.
Nous nous échangeons nos numéros de téléphone. Les trois jeunes hommes ont désormais très envie de découvrir les clubs libertins Marseillais ensembles, afin de découvrir un milieu ouvert d’esprit et bon enfant qui les séduit sincèrement.
Ils veulent également “s’entraîner” pour pouvoir “assurer” dans ce genre de situation inattendue !!!
Nous avons passé une merveilleuse soirée coquine avec les trois clients du restaurant rencontrés quelques heures plus tôt.
Dans une sorte d’euphorie libertine, aventureuse, nous avons partagé un moment magique dans un lieu magnifique.
La complicité et la bonne entente entre nous six, une philosophie de vie similaire (vivons chaque moment comme si il était le dernier) et le goût de l’aventure nous ont permis de passer un instant libertin unique.
Je me suis rarement sentie aussi en phase avec mes envies libertines : de charmants inconnus, bien jeunes, les plus jeunes coquins à ce jour, une sincérité et une honnêteté dans le partage et le moment vécu, un endroit superbe, un mari candauliste Merveilleux, ma maitresse Sandrine libertine, coquine et adorable et… plus une goutte de rosé, mais comme je n’aime pas ça, ce n’est pas bien grave (même si j’avais soif et étais prête à en boire).
J’ai finalement pu boire une menthe à l’eau une bonne demi-heure plus tard !!!
Car après cette bonne heure de sexe intense en nature, la soirée fut particulièrement chaude entre Sandrine et moi, ce début de soirée ayant particulièrement excitée la coquine Sandrine.
Avant de vous narrer ma vingt-et-unième aventure, un petit conseil pour celles et ceux qui n’auraient pas lu l’épisode un, commencer par celui-ci avant de poursuivre avec le numéro deux.
Le lundi vingt-quatre juin, nous sommes retournés à Cassis, Sandrine souhaitant peut-être vivre une petite expérience coquine dans le restaurant des coquineries.
Nous y avions vécu le samedi précédent, un plan hotwife imprévu avec un des serveurs et en plus, nous y avions très bien déjeuné. C’est une bonne adresse, à recommander que je ne partagerai pas par discrétion !!!
Il s’est encore passé des coquineries et pas qu’un peu… on n’y comprend rien du tout avec Sandrine et Éric, mais ces deux expériences coquines imprévues n’ont été que du bonheur.
Comment sommes-nous arrivés à libertiner dans les Calanques avec trois jeunes hommes ? Je vous raconte !!!
Suite à l’aventure avec le serveur dans les toilettes deux jours avant, (à retrouver dans l’épisode un), Sandrine, Éric et moi avons une idée en tête. Nous aimerions qu’il se repasse un petit quelque chose, avec ce serveur ou un autre, mais nous avons peur que le jeune homme soit mal à l’aise, ce qui n’est pas le but.
Nous gardons donc cette pensée entre nous, et nous venons redécouvrir la bonne table, car il y a de belles choses à la carte.
Arrivés au restaurant de la débauche, nous comprenons que tous ses collègues sont au courant. Ils nous lancent des sourires et regards plus qu’entendus.
Le repas se déroule à merveille, entre régalades, rires, discussions sérieuses et plus libertines.
A la fin du déjeuner, Éric se lève pour aller aux toilettes. Il est intercepté par un autre serveur.
Il lui explique qu’il a compris que nous étions des libertins (mon œil oui, la mèche a été vendue !) et que si mon amie et moi voulons jouer, il est partant pour oser l’expérience, nous n’avons qu’à le retrouver, il se rendra disponible.
Mais c’est de mieux en mieux, il n’y a plus rien à faire, plus de jeu de séduction ou de phrases tendancieuses, de regards appuyés et de sourires enjôleurs.
Il pleut des hommes !!!
Ça tombe tout seul !!!
J’ai l’impression d’être Miss « Univers » du haut de mon mètre soixante-quatorze !!!
Éric revient, sourire jusqu’aux oreilles, et nous explique sa discussion. Nous avons le feu vert.
Nous pouvons faire quoique ce soit avec le serveur ?
Nous le rejoignons. Sandrine hésite, elle n’a jamais fait de plan hotwife, et pourtant, c’est elle qui a insisté pour revenir à Cassis dans ce restaurant. Elle ne pratique le libertinage qu’avec nous.
Jusqu’à maintenant, chacune de nos rencontres libertines avec Sandrine est programmée et il n’y a pas d’imprévu.
Dans l’euphorie du moment, elle est la première à retrouver le serveur. Personnellement, j’ai peur que des clients attablés près des toilettes comprennent.
Je ne veux attirer d’ennuis à personne. Éric me dit que si j’ai envie, j’y vais. Finalement, j’arrête de tergiverser : GO !!!
De ce moment avec le serveur, je n’ai pu faire de photo pour Éric. Il n’y a plus de lumière aux toilettes. Nous avons coquiné à la lampe torche du portable. Classe !!!
En arrivant, je toque, on m’ouvre. Sandrine suce le serveur à genoux. Il se tourne vers moi, j’effleure un testicule du bout de la langue et il jouit immédiatement sur mes seins.
Je n’ai même pas le temps de faire la plus petite coquinerie !!!
Le serveur téléphone à un collègue. Peu après, le cuisinier arrive. Il est à deux doigts de jouir, surexcité à l’idée de faire du sexe au travail. Il n’arrête pas de nous stopper et finalement ne jouit pas.
Le serveur nous a prévenus que le patron allait passer. Nous arrêtons tout et nous sortons des toilettes séparément.
Forcément, ce qui devait arriver arriva.
Des clients ont compris : trois copains d’une vingtaine d’années. Regards soutenus et sourires entendus, un des trois entame la discussion avec nous après que je lui aie rendu son sourire.
Nous nous regroupons à une même table. Nous sympathisons très vite, ils sont super sympas et droits.
C’est le même état d’esprit que notre première rencontre avec Christophe au Cap d’Agde, (voir nos aventures précédentes).
Ils sont curieux du libertinage. Ils posent des questions sur le partage, la complicité, la jalousie, l’excitation voyeuriste, le plaisir à plusieurs… l’un d’eux côtoie des lieux naturistes mais non-libertins.
Deux autres connaissent le nom d’un club libertin Marseillais sans y être allés… Ils sont ouverts, mais aucun n’a jamais franchi le pas ! Ça reste théorique.
Le feeling est excellent. Ils sont adorables et très sains dans leur comportement. Aucun n’a de gestes déplacés et n’assimile la libertine à une fille facile.
Ils sont très étonnés de notre ouverture d’esprit et surpris par notre style de vie, nous vivons notre sexualité et nos coquineries comme nous l’entendons. Nous avons choisi le partage.
Nous nous aimons éperdument tous les trois, et cela ne leur semble pas évident, et pourtant c’est nécessaire dans un trouple libertin. Nous avons le désir profond de vivre nos fantasmes à trois sans mensonges.
Cela doit nous amuser, ne pas challenger ou mettre la pression dans vie de tous les jours.
Ils sont surtout très surpris par mon âge, ils ont du mal à me croire, car je suis plus âgée que leurs mamans. Mais il parait que je ne fais pas mon âge…Ils sont trop mignons.
Au fil de la discussion, nous décidons tous les six de passer la soirée ensemble après le restaurant. Nous sommes dans l’euphorie du moment !!!
Chaque “groupe” achète une bouteille de rosé et prend des verres en plastique. Nous nous suivons en voiture, nous faisons une petite randonnée tout en papotant et nous nous posons pour profiter du coucher de soleil dans les calanques dans une sorte de ferveur cool et insouciante !!!
Nous nous laissons aller dans un sentiment de libertés réelles en s’affranchissant des conventions ou des nombreux interdits sociétaux.
Un sentiment de plénitude et de partage. Une vraie ferveur « hippie » je vous l’accorde !!!
Nous installons nos serviettes et nous profitons du paysage en continuant la discussion. Il est 20h30/21h. C’est paisible et le coin est magnifique.
Nous nous mettons tous nus dans ce lieu préservé et sauvage : une première pour deux des jeunes hommes, qui n’ont jamais pratiqué le naturisme. Sandrine et moi, les mettons très vite à l’aise.
Nous mettons tout en commun : nos serviettes, nos capotes, nos lingettes, nos crèmes solaires… Les corps s’échauffent doucement.
Malgré la faible intensité du soleil, les garçons nous étalent la crème solaire sur le corps, les seins et les fesses.
Les caresses s’échangent, j’effleure leur sexe des doigts, puis les prend en main. L’excitation monte. Après la théorie, nous testons la pratique !!!
Les trois hommes osent après que Sandrine en ait sucé un et que j’en aie masturbé et sucé un autre. Les coquineries sont parties !!!
Ils s’extasient régulièrement de l’instant de fou qu’ils sont en train de partager avec nous.
Nous passons un merveilleux moment complice.
Un des coquins m’embrasse, pendant que son copain m’offre un délicieux cunnilingus. C’est un régal !!!
Sandrine se fait prendre en levrette par un des jeunes hommes, pendant qu’un autre tente de me prendre vainement. Seul un de nos trois coquins parviendra à avoir une érection, les deux autres en ont vraiment très envie mais ils n’ont jamais pratiqué le naturisme et encore moins le libertinage.
C’est une première fois libertine, exhibitionniste et naturiste. Ils ont envie dans leur tête, les petits jeunes, mais leurs zizis ne suivent pas.
Nous le constatons souvent en gang bang, sur une quinzaine d’hommes présents, seuls 10/12 participent vraiment activement. Sur ce nombre, une bonne dizaine aura une érection suffisamment vigoureuse pour me prendre. Toutefois, ça n’empêche pas les 3/5 autres d’être excités jusqu’à la jouissance et l’éjaculation.
Messieurs, rassurez-vous, vous n’êtes pas des machines ou des robots, mais simplement des êtres humains doués de sensibilité !!!
C’est tout à fait normal et d’ailleurs, Éric rencontre le même problème, même avec une hypersexuelle affamée !!!
Le libertinage est très cérébral : ce n’est pas parce que la tête veut, que le sexe fonctionne. C’est plus profond que cela.
Et pendant ce temps…Éric trinque avec un voyeur à la douceur de vivre et à nos folies, verre de rosé en main, pendant que nous, les filles, « ses femmes », nous, nous amusons sobrement avec ces trois jeunes apollons rencontrés quelques heures plus tôt dans un restaurant de Cassis.
Sandrine en a marre de se massacrer les genoux sur la caillasse. Elle rejoint notre homme pour le sucer un petit peu, puis regarder la scène.
Un des trois jeunes hommes est tristounet de ne pas parvenir à bander, alors qu’il a très envie.
Il regarde son pote continuer à s’amuser en se masturbant de façon énergique, puis, plutôt que de rester frustrer, il décide de faire le guet pour être sûr qu’on puisse continuer sans soucis.
Pour éviter également de se retrouver avec de multiples voyeurs. Pendant ce temps, l’autre coquin prend en charge l’intendance. Il donne et déballe les préservatifs, prépare le lubrifiant, essaie de protéger nos genoux et dos des meurtrissures du sol, enlève les petites épines de pin se collant sur nous… Il ne perd pas une miette de la scène coquine se déroulant sous ses yeux.
Il prend son rôle au sérieux, car il demande au voyeur de se mettre à poil ou de bien déguerpir.
Bien évidemment, le voyeur ne se fait pas prier pour se mettre tout nu, nous laissant apparaitre un membre plutôt très en forme.
Nous enchaînons plusieurs positions avec le troisième homme. Tout d’abord, je le chevauche, mais mes genoux ne supportent pas bien longtemps la dureté des cailloux.
J’ai une très grosse pierre qui m’éclate la rotule ! Malgré tout, c’est particulièrement excitant et le moment partagé est d’une force incroyable.
J’entends Éric et le voyeur s’extasier à chaque instant. Je suis en train de me faire baiser par un inconnu dans un cadre magnifiquement beau.
Je bascule sur le dos, puis le sexe du bel apollon durci de plaisir m’empale pendant que je m’offre à lui cuisses ouvertes.
Le coquin intendant nous fait remarquer que d’autres voyeurs profitent également du spectacle. Celui qui fait le guet nous les signale également.
Je ne les vois pas, mais j’entends dans leurs discussions avec Sandrine et Éric, qu’un couple nous regarde en se masturbant. Je suis complètement ravie et extasiée par la situation !!!
Son membre enchaîne les va-et-vient dans mon sexe en feu, trempé de désir. Je jouis de tout mon saoul. La situation est orgasmique et mon corps vibre de plaisir.
Coquins absolument adorables. Ambiance géniale. Du libertinage en pleine nature. Des voyeurs imprévus. Un lieu d’une beauté incommensurable.
Seul gros bémol, les cailloux des calanques nous font vraiment mal au dos et aux genoux. C’est extrêmement inconfortable. Nos corps sont meurtris par le sol et quel que soit la position prise, nous en souffrons, que ce soit lui ou moi. Mais j’ai tellement envie de cette baise improvisée dans ce lieu incroyable !!!
D’ailleurs, j’ai conservé les marques de cette baise en pleine nature pendant une petite semaine.
Le seul arbre disponible est squatté par mon petit mari Éric, les deux copains intendants et Sandrine, qui se sifflent tous les quatre les deux bouteilles de rosé pendant que le jeune homme et moi faisons notre sport charnel !!!
Et quel sport mes amis, car le petit jeune est en pleine forme physique, je suis très gâtée !!!
Nous changeons de position une nouvelle fois en tentant d’en trouver une plus confortable. Je bascule en levrette.
Les autres voyeurs sont toujours là, je peux enfin les voir. Ils restent à bonne distance, mais n’en perdent pas une miette.
L’autre, celui plus « audacieux », qui s’est mis à poil, se masturbe très fort, mais a quelques longueurs de nous maintenant.
En levrette, les coups de reins sont bien sentis et je perds quelque fois l’équilibre précaire que j’ai réussi à trouver entre deux cailloux pointus.
Mon Merveilleux Éric s’approche de nous et me caresse le dos en s’assurant que tout va bien.
J’adore le sentir à mes côtés dans ces intenses moments libertins. J’aime ressentir sa présence, ressentir sa complicité et notre passion.
J’aime voir dans son regard qu’il prend le même plaisir que moi, qu’il est excité par la situation et qu’on s’aime plus que tout.
J’ai besoin de ce partage des sens avec l’Homme de ma vie.
Nous faisons une petite pause, pendant laquelle le jeune homme me doigte intensément mais avec tact.
Le coquin me doigte toujours fortement et je crois (je dis bien je crois), qu’il a réussi à me faire gicler.
Si c’est le cas, c’est la deuxième fois que cela arrive en douze ans de libertinage et de nombreuses tentatives vaines… Heureuse de partager ce moment avec vous !!!
Qu’est-ce qui me fait croire cela ?
Le jeune coquin, je crois que c’est Paul, me pénètre avec ses doigts et je ressens comme une envie de faire pipi.
Je me sens très à l’aise et en confiance avec les trois jeunes hommes, j’accepte l’idée de me laisser aller quitte à faire pipi...
Alors après, ce n’est pas très précis… Les faits : une sorte de fluide translucide s’est échappé de mon vagin. Le coquin Paul doit s’essuyer les doigts, car ils sont trempés. Il s’est retrouvé la main trempée d’un fluide.
Ce n’est clairement pas de l’urine, ce n’est pas non plus de la cyprine. L’envie de faire pipi n’est plus là, par contre, niveau ressenti, c’est le néant !!!
Parlons peu, parlons bien : c’est plus épais que du pipi, mais plus fluide que de la cyprine. C’est incolore et inodore. Ça ressemble un peu à une eau, mais qui serait épaisse.
Ce ne sont pas les sensations d’un orgasme. Ce n’est pas non plus “détendant” ou libérateur de quoique ce soit.
Je ne me suis pas sentie gicler. J’ai simplement constaté des faits. Je pense donc avoir giclé par déduction logique.
Après, je ne comprends pas pourquoi on en fait tout un foin, car un orgasme est dix mille fois plus agréable qu’une giclette.
Peut-être dois-je apprendre à découvrir ou maîtriser cette nouvelle possibilité ?
J’ai juste un liquide qui sort de mon vagin et rien de plus. Ce n’est pas très glamour, mais ça a le mérite d’être franc !!!
Si certains sont des pros de la giclette, j’aimerais bien avoir votre opinion à ce sujet en commentaire !!!
Sincèrement ça m’interpelle… Les cigales chantent et Sandrine et Éric se délectent de chaque seconde passée dans ce lieu magique.
Le soleil se couche et nous nimbent d’une lumière ocre, nous rougeoyons de milles désirs en mélangeant nos corps avec mon Amant d’un jour.
Je prends son sexe en bouche et enchaîne fellations et gorges profondes. Son chibre me régale. L’envie nous submerge toujours et je m’empale sur son sexe érigé.
Le mien est endolori suite à la giclette et je ne vais plus tenir bien longtemps, mais je savoure tant que mon corps me le permet.
Nous synchronisons le rythme de nos corps lors des va-et-vient. C’est jouissif !!! Je frémis.
Finalement, je ne tiens plus et commence à sucer le jeune homme, qui m’offre une superbe giclée de sperme chaud.
Il a joui sur son ventre sous les applaudissements des cinq comparses : ses deux potes, Sandrine, Éric et le voyeur Audacieux.
Tout sourire et enchantés par cet intense moment, nous reprenons pieds avant de communiquer avec le monde qui nous entoure !!!
Nos esprits retrouvés, nous sommes tous les six hyper enthousiastes et heureux.
Nous nous échangeons nos numéros de téléphone. Les trois jeunes hommes ont désormais très envie de découvrir les clubs libertins Marseillais ensembles, afin de découvrir un milieu ouvert d’esprit et bon enfant qui les séduit sincèrement.
Ils veulent également “s’entraîner” pour pouvoir “assurer” dans ce genre de situation inattendue !!!
Nous avons passé une merveilleuse soirée coquine avec les trois clients du restaurant rencontrés quelques heures plus tôt.
Dans une sorte d’euphorie libertine, aventureuse, nous avons partagé un moment magique dans un lieu magnifique.
La complicité et la bonne entente entre nous six, une philosophie de vie similaire (vivons chaque moment comme si il était le dernier) et le goût de l’aventure nous ont permis de passer un instant libertin unique.
Je me suis rarement sentie aussi en phase avec mes envies libertines : de charmants inconnus, bien jeunes, les plus jeunes coquins à ce jour, une sincérité et une honnêteté dans le partage et le moment vécu, un endroit superbe, un mari candauliste Merveilleux, ma maitresse Sandrine libertine, coquine et adorable et… plus une goutte de rosé, mais comme je n’aime pas ça, ce n’est pas bien grave (même si j’avais soif et étais prête à en boire).
J’ai finalement pu boire une menthe à l’eau une bonne demi-heure plus tard !!!
Car après cette bonne heure de sexe intense en nature, la soirée fut particulièrement chaude entre Sandrine et moi, ce début de soirée ayant particulièrement excitée la coquine Sandrine.
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