Lieutenant de Luzelle (2)
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Lieutenant de Luzelle (2)
Camille de Luzelle grimpa l'escalier avec difficulté. Atteignant enfin la porte de sa chambre, elle eut désespérément besoin de s’appuyer sur le mur pour chercher sa clé.
- Ohhh, ça tourne ! gémit-elle, les yeux papillonnants alors qu'elle tentait de reprendre ses esprits.
- Laissez-moi chercher votre clé, lieutenant, dit doucement Ernest Laventure, sa bouche près de ses doux cheveux dorés.
De la main droite, il atteint sa taille et sa main se glissa dans la poche de son short. Les doigts au fond de sa poche, Ernest cherchait la clé de Camille.
Puis il sut qu'il l'avait trouvée quand Camille émit un gémissement " Ohhhhhhhhhh ...!"
Ce n'était pas la clé de la chambre qu'il cherchait mais la clé de sa féminité. La « petite » se tortillait, coincée entre la porte et le corps noir et musclé de l’adjudant-chef, tandis que les doigts de ce dernier frotté son bourgeon sensible à travers la poche.
Ernest entendit des pas dans l’escalier, situé près de la chambre du lieutenant. Il reconnut la femme âgée qui les avait accueillis quelques heures auparavant à la réception. La même femme qui l'avait traité avec un peu de dédain lors de son enregistrement. Mais qui avait traité le lieutenant de Luzelle avec tant de courtoisie et d’admiration dans le regard.
Ernest tourna la tête pour lui lancer un large sourire, alors que la bouche de la femme était grande ouverte, choquée.
Ernest retira la clé de la chambre avec sa main droite, et la mit dans la poche de sa chemise. Ses deux mains libres maintenant lui permettaient d’enserrer la taille fine de Camille. Puis il entreprit de déboutonner la ceinture du short et de faire glisser lentement ce short et la culotte en dentelle vers le bas. Les vêtements tombèrent sur les sandales de Camille.
Le bras gauche tenant Camille par la taille, la main droite d’Ernest était occupée à défaire sa ceinture et le bouton de son jean. Baissant jean et boxer, Ernest se pencha vers l’arrière alors qu'il sortait son outil noir palpitant. Il rit alors que la réceptionniste qui l'observait semblait captivée par ce qu'elle observait.
Elle regardait la femme qu'elle avait tant admiré cet après-midi, et qui n'était plus qu'une salope et une pute. Elle était totalement sidérée que la femme qui avait paru être une personne si sophistiquée et si digne, un officier de l’armée, laisse maintenant ce soldat noir la malmener ainsi.
Elle vit l’homme souriant se dirigeait vers la belle blonde, plaçant son épaisse tige noire à l’entrée de sa chatte. Elle haleta quand elle entendit le bel officier criait fort :
- Ohhhhh ... ahhhh ... ohhhhh! Oui! Oui! Baise-moi!
Puis elle observa la jeune beauté grimpait littéralement au mur alors que l'épais braquemart noir commençait à pousser lentement d'avant en arrière son trou serré.
Avec seulement la moitié de sa bite pénétrant la jeune femme, Ernest voulait désespérément la mettre en totalité.
Mais il ne voulait absolument pas lui faire mal, encore moins la déchirer.
Il commença donc à marteler des coups brefs, projetant le lieutenant dans une frénésie sexuelle, la faisant crier :
- Ohhh .... ooohhhh .... oui.... oh, ouisss .... ohhhh , je jouis !
Ernest tenait fermement la beauté au corps vacillant, la tête penchée vers l’arrière alors qu'elle hurlait:
- Ahhhhh .... Ouuuuuuuuuuuuuuuuui !
La jeune femme devint totalement molle dans ses bras, s'évanouissant après cet orgasme fulgurant et sous l’effet de l’alcool.
Ernest se tourna vers la femme âgée qui les regardait toujours bouche bée et ria :
- Maudits officiers bétjé-fwans qui ne peuvent tout simplement pas obsorber une grosse queue noire!
Puis il fouilla dans la poche de sa chemise pour récupérer la clé de la chambre et ouvrit la porte. Avec son pantalon tire-bouchonné sur les chevilles et sa bite incrustée dans la jeune femme, il savait qu’il se donnait en spectacle, l'employée le voyant entraîner sa « proie » dans la pièce. Regardant une dernière fois en arrière la femme toujours abasourdie, Ernest lui lança :
- Je vais engrosser cette petite salope avec un bébé bâtard noir!
Parcourant la courte distance qui les séparait du lit de Camille, Ernest lâcha sa prise autour de sa taille. Elle tomba face en avant sur le lit moelleux, sa chatte laissant glisser l'épaisse biroute noire. Renfilant son pantalon et son boxer, Ernest fila vers sa chambre située juste à côté.
Ouvrant la porte, il récupéra le caméscope déjà installé sur son trépied. Il avait préparé le matériel dès leur arrivée, espérant ce moment très spécial.
Un instant plus tard, il était de retour dans la chambre du lieutenant, désormais seul avec elle. Et maintenant, il avait la maîtrise totale de la situation. Il installa rapidement le caméscope et pointa l’objectif sur la jolie beauté. Alors que l’enregistrement commençait, Ernest s'installa dans le champ devant la belle au bois dormant, et commença lentement à déboucler son pantalon. Sa queue était encore dure comme la pierre. Il devrait jouir bientôt en elle ou envoyer sa semence sur le tapis.
Une fois déshabillé, il regarda les jolies lèvres roses du lieutenant et grimpa sur le lit. Ernest gémit en poussant sa queue contre la bouche close de Camille. Utilisant son pouce, il tira sa mâchoire vers le bas pour écarter les lèvres douces. Poussant avec ses hanches, Ernest gémit de plaisir en sentant sa queue entrer dans la bouche chaude et humide de la belle endormie.
Il commença des mouvements lents, mais il n'y avait aucun moyen pour qu'il tienne très longtemps.
- Oh, chienne blanche ! Tu aimes me mettre mal à l’aise devant la troupe, hein ? S'ils pouvaient seulement voir ce que tu prends maintenant ! Ahhhhh , bébé, ouais... ça arrive, bébé ! Je vais te donner un avant-goût du sperme chaud d'un nègre, salope ! Ahhhhhhhhhh .... ouais!
Ernest gémit tandis que sa queue explosait dans la bouche de la belle, déchaînant. Il se retira rapidement pour inonder le beau visage de sa chef.
- Ohhhhhhh , putain....!
gémit-il en secouant sa bite jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu’une goutte de sperme sur son gland, qu’il alla essuyer directement sur les lèvres de la jeune femme.
Il regarda le visage de la belle strié de son sperme épais qui avait jailli jusqu'à son front et sa chevelure soyeuse.
Épuisé, Ernest tomba sur le côté et s'allongea à côté d’elle. Il tendit la main pour la placer sur son chemisier, puis commença à masser doucement cette poitrine. Lentement, il défit les boutons et ouvrit le chemisier pour révéler une belle paire de seins, juste prisonniers d’un soutien-gorge blanc en dentelle.
Il baissa ensuite le soutien-gorge pour mettre en pleine lumière ses beaux seins blancs coiffés de boutons roses tendre. Se penchant, il passa sa langue sur un mamelon, et alors qu'il commençait à bander, il l’engloutit totalement dans sa bouche. Ernest rendit ensuite hommage au téton jumeau. Relevant la tête, il rit :
- Maintenant, c'est ce que j'appelle vraiment sucer un officier !
Sortant du lit, Ernest commença à déshabiller Camille, en commençant par les sandales. Il leva la main pour attraper la ceinture élastique du short et baissa celui-ci en même temps que la culotte également en dentelle blanche. Enfin, il s’occupa du chemisier puis du soutien-gorge.
Après tout ce qu'il avait pu faire ces dernières semaines, Ernest n'avait plus de mur qui les séparait.
Écartant les jambes blanches et soignées d'Camille, Ernest prit une respiration profonde alors qu'il contemplait ce trésor tout blond. Il rampa sur le lit, enfouit son visage dans la douce toison dorée et inhala le parfum enivrant. Il commença à tirer la langue, à laper la fente rose jusqu'à sa féminité.
Insérant sa langue dans son sillon serré, il commença à savourez le délicieux nectar. Léchant ses lèvres lisses, il tendit la main pour se masturber en même temps.
- Oh, espèce de belle petite salope ! Je vais te baiser maintenant ! Je vais te mettre en cloque et t’offrir un petit marmot noir dont il faudra s'occuper !
Tirant sa bite dure et maintenant suintante, Ernest rampa entre les belles jambes ivoire, poussant son coq palpitant le long du contour de la fente rose tendre. Puis son gland écarta les lèvres de la tendre fente d'amour de Camille et poussant vers l'avant, il la pénétra.
Des deux mains, il saisit fermement les douces fesses de la blonde, et poussa encore plus avant.
- Ohhhhhh , bébé, oui... ohhhhh , lieutenant de Luzelle... tu es tellement serrée!
Il gémissait de plaisir, il poussait sa grosse bite noire, la pénétrant davantage.
- Ohhhh ouais, douce petite salope ! Ouais, ohhhh , ouais, ohhhh … ohhhh , bébé!
haletait-il en accélérant ses entrées et ses retraits de la chatte offerte.
Seulement quinze centimètres de sa puissante queue avaient réussi à pénétrer la belle. Il aurait voulu aller plus loin, mais la résistance qu’il sentait montrait clairement qu’elle n’en avait jamais pris autant auparavant. Il ne voulait pas lui faire mal. Aussi, il limita la profondeur de ses coups, tout en accélérant le rythme.
L'idée de féconder la belle l'amena rapidement à l’éjaculation.
- Ohhhhh ouais, bébé... ahhhhhhh , bébé... je vais t’ensemencer à fond!
grogna Ernest, gardant sa queue profondément enfouie alors que ses muscles tremblaient de manière incontrôlable.
- Ahhhhhh , bébé... prends mon sperme de nègre, salope !
gémit-il bruyamment alors que sa queue semblait éclater et qu’il commençait à gicler à jets puissants.
Il s'effondra sur le magnifique corps du lieutenant, la bite toujours profondément ancrée en elle et continuant à expulser son foutre chaud. Il s'endormit ainsi.
Dix minutes plus tard, Ernest se réveilla sur le corps de la beauté toujours inconsciente, la bite toujours enfouie profondément en elle. Sa queue durcissait à nouveau et il a commença un nouveau va-et-vient.
Les jambes blanches relevées, il plaça ses talons sur ses larges épaules et la plia en deux alors qu'il s’activait dans sa fente. Il tourna la tête du côté droit, pour lécher la plante de son pied gauche puis prit ses petits orteils dans sa bouche qu’il suça. Il se retourna pour faire subir le même sort à l’autre pied.
- Awwww , bébé, je me penche pour embrasser tes pieds à tout moment ! Ohhhhh , bébé... je vais jouir encore... je vais encore semer .... ohhhh , merde!
balbutia-t-il alors que sa queue explosait à nouveau.
Quand son désir fut enfin assouvi, il focalisa l’objectif de la caméra pour réaliser quelques plans fixes. D’abord en approchant son gland des douces lèvres roses de Camille. Le lieutenant de Luzelle ressemblait à une salope, le visage couvert de sperme maintenant séché et une bite noire dans la bouche. Ensuite, il enveloppa cette bite dans sa main gauche, s’assurant que sa bague de fiançailles en diamant brillait de tout son éclat dans un tel avilissement.
Il la retourna pour caresser ses jolies fesses blanches. Il pensait qu'elle avait un cul vierge et voulait être le premier à y entrer. Mais ce n’était pas le moment. Il voulait l'entendre crier quand il la sodomiserait.
Il a fallu vingt bonnes minutes à Ernest pour tout nettoyer, notamment les preuves séchées et collantes de sa visite : le sperme séché sur le visage ou dans les cheveux ou celui présent sur sa toison dorée. Dans l’immédiat, il ne voulait rien laisser qui puisse indiquer ce qui s’était passé dans la chambre. L’aventure n’était pas terminée.
Il était étonné quand même de la grande quantité de sperme qu’il avait produit. Il savait qu'il y en avait un très grand nombre dans l’utérus fertile de l’officier, avec ses spermatozoïdes vigoureux luttant pour que sa graine s'enracine au plus profond de ce petit ventre blanc.
Le lendemain matin, Camille fut réveillée en sursaut par la sonnerie du téléphone. C'était son adjoint qui voulait savoir quand elle voulait retourner au régiment. ça tambourinait fort dans sa tête ? une mauvaise gueule de bois. Elle écouta cependant Laventure, qui lui disait que le mécanicien avait regardé la voiture et qu’elle fonctionnait bien maintenant.
Son esprit était hébété et elle ne se souvenait de rien après le dîner. Elle lui présenta des excuses pour avoir oublié la soirée précédente, à cause de l’excès de vin, puis le remercia d'avoir pris soin d'elle.
Dans la chambre d’a côté, Ernest sourit avec soulagement. Elle n'avait aucune idée de ce qui s'était passé la veille. Il lui dit qu'elle avait été un exemple parfait d'officier et de dame. Que c'était en effet, un plaisir de l'avoir raccompagnée jusqu'à sa chambre.
Pendant qu'il lui parlait, il regardait l’enregistrement du caméscope, voyant ses pieds blancs sur des épaules noires alors que sa longue bite noire la pénétrait. En entendant sa douce voix alors qu'il regardait la cassette, sa queue palpita dans sa main. Quand la conversation toucha à sa fin, de sa queue jaillit un jet épais.
Une demi-heure plus tard, Ernest salua le lieutenant de Luzelle à la sortie du motel. Il sourit en voyant le bel officier bien sanglée dans son uniforme, bien différent de la veille, quand elle était déshabillée et étendue sur le lit.
Au cours des deux heures suivantes, Ernest reluqua le visage et le corps de Camille qui somnolait. Heureusement qu'il avait tiré une charge pendant qu’ils échangeaient au téléphone. Sinon il se serait arrêté sur une route secondaire pour faire ce qu'il voulait avec elle. Mais il savait que sa patience serait récompensée.
- Ohhh, ça tourne ! gémit-elle, les yeux papillonnants alors qu'elle tentait de reprendre ses esprits.
- Laissez-moi chercher votre clé, lieutenant, dit doucement Ernest Laventure, sa bouche près de ses doux cheveux dorés.
De la main droite, il atteint sa taille et sa main se glissa dans la poche de son short. Les doigts au fond de sa poche, Ernest cherchait la clé de Camille.
Puis il sut qu'il l'avait trouvée quand Camille émit un gémissement " Ohhhhhhhhhh ...!"
Ce n'était pas la clé de la chambre qu'il cherchait mais la clé de sa féminité. La « petite » se tortillait, coincée entre la porte et le corps noir et musclé de l’adjudant-chef, tandis que les doigts de ce dernier frotté son bourgeon sensible à travers la poche.
Ernest entendit des pas dans l’escalier, situé près de la chambre du lieutenant. Il reconnut la femme âgée qui les avait accueillis quelques heures auparavant à la réception. La même femme qui l'avait traité avec un peu de dédain lors de son enregistrement. Mais qui avait traité le lieutenant de Luzelle avec tant de courtoisie et d’admiration dans le regard.
Ernest tourna la tête pour lui lancer un large sourire, alors que la bouche de la femme était grande ouverte, choquée.
Ernest retira la clé de la chambre avec sa main droite, et la mit dans la poche de sa chemise. Ses deux mains libres maintenant lui permettaient d’enserrer la taille fine de Camille. Puis il entreprit de déboutonner la ceinture du short et de faire glisser lentement ce short et la culotte en dentelle vers le bas. Les vêtements tombèrent sur les sandales de Camille.
Le bras gauche tenant Camille par la taille, la main droite d’Ernest était occupée à défaire sa ceinture et le bouton de son jean. Baissant jean et boxer, Ernest se pencha vers l’arrière alors qu'il sortait son outil noir palpitant. Il rit alors que la réceptionniste qui l'observait semblait captivée par ce qu'elle observait.
Elle regardait la femme qu'elle avait tant admiré cet après-midi, et qui n'était plus qu'une salope et une pute. Elle était totalement sidérée que la femme qui avait paru être une personne si sophistiquée et si digne, un officier de l’armée, laisse maintenant ce soldat noir la malmener ainsi.
Elle vit l’homme souriant se dirigeait vers la belle blonde, plaçant son épaisse tige noire à l’entrée de sa chatte. Elle haleta quand elle entendit le bel officier criait fort :
- Ohhhhh ... ahhhh ... ohhhhh! Oui! Oui! Baise-moi!
Puis elle observa la jeune beauté grimpait littéralement au mur alors que l'épais braquemart noir commençait à pousser lentement d'avant en arrière son trou serré.
Avec seulement la moitié de sa bite pénétrant la jeune femme, Ernest voulait désespérément la mettre en totalité.
Mais il ne voulait absolument pas lui faire mal, encore moins la déchirer.
Il commença donc à marteler des coups brefs, projetant le lieutenant dans une frénésie sexuelle, la faisant crier :
- Ohhh .... ooohhhh .... oui.... oh, ouisss .... ohhhh , je jouis !
Ernest tenait fermement la beauté au corps vacillant, la tête penchée vers l’arrière alors qu'elle hurlait:
- Ahhhhh .... Ouuuuuuuuuuuuuuuuui !
La jeune femme devint totalement molle dans ses bras, s'évanouissant après cet orgasme fulgurant et sous l’effet de l’alcool.
Ernest se tourna vers la femme âgée qui les regardait toujours bouche bée et ria :
- Maudits officiers bétjé-fwans qui ne peuvent tout simplement pas obsorber une grosse queue noire!
Puis il fouilla dans la poche de sa chemise pour récupérer la clé de la chambre et ouvrit la porte. Avec son pantalon tire-bouchonné sur les chevilles et sa bite incrustée dans la jeune femme, il savait qu’il se donnait en spectacle, l'employée le voyant entraîner sa « proie » dans la pièce. Regardant une dernière fois en arrière la femme toujours abasourdie, Ernest lui lança :
- Je vais engrosser cette petite salope avec un bébé bâtard noir!
Parcourant la courte distance qui les séparait du lit de Camille, Ernest lâcha sa prise autour de sa taille. Elle tomba face en avant sur le lit moelleux, sa chatte laissant glisser l'épaisse biroute noire. Renfilant son pantalon et son boxer, Ernest fila vers sa chambre située juste à côté.
Ouvrant la porte, il récupéra le caméscope déjà installé sur son trépied. Il avait préparé le matériel dès leur arrivée, espérant ce moment très spécial.
Un instant plus tard, il était de retour dans la chambre du lieutenant, désormais seul avec elle. Et maintenant, il avait la maîtrise totale de la situation. Il installa rapidement le caméscope et pointa l’objectif sur la jolie beauté. Alors que l’enregistrement commençait, Ernest s'installa dans le champ devant la belle au bois dormant, et commença lentement à déboucler son pantalon. Sa queue était encore dure comme la pierre. Il devrait jouir bientôt en elle ou envoyer sa semence sur le tapis.
Une fois déshabillé, il regarda les jolies lèvres roses du lieutenant et grimpa sur le lit. Ernest gémit en poussant sa queue contre la bouche close de Camille. Utilisant son pouce, il tira sa mâchoire vers le bas pour écarter les lèvres douces. Poussant avec ses hanches, Ernest gémit de plaisir en sentant sa queue entrer dans la bouche chaude et humide de la belle endormie.
Il commença des mouvements lents, mais il n'y avait aucun moyen pour qu'il tienne très longtemps.
- Oh, chienne blanche ! Tu aimes me mettre mal à l’aise devant la troupe, hein ? S'ils pouvaient seulement voir ce que tu prends maintenant ! Ahhhhh , bébé, ouais... ça arrive, bébé ! Je vais te donner un avant-goût du sperme chaud d'un nègre, salope ! Ahhhhhhhhhh .... ouais!
Ernest gémit tandis que sa queue explosait dans la bouche de la belle, déchaînant. Il se retira rapidement pour inonder le beau visage de sa chef.
- Ohhhhhhh , putain....!
gémit-il en secouant sa bite jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu’une goutte de sperme sur son gland, qu’il alla essuyer directement sur les lèvres de la jeune femme.
Il regarda le visage de la belle strié de son sperme épais qui avait jailli jusqu'à son front et sa chevelure soyeuse.
Épuisé, Ernest tomba sur le côté et s'allongea à côté d’elle. Il tendit la main pour la placer sur son chemisier, puis commença à masser doucement cette poitrine. Lentement, il défit les boutons et ouvrit le chemisier pour révéler une belle paire de seins, juste prisonniers d’un soutien-gorge blanc en dentelle.
Il baissa ensuite le soutien-gorge pour mettre en pleine lumière ses beaux seins blancs coiffés de boutons roses tendre. Se penchant, il passa sa langue sur un mamelon, et alors qu'il commençait à bander, il l’engloutit totalement dans sa bouche. Ernest rendit ensuite hommage au téton jumeau. Relevant la tête, il rit :
- Maintenant, c'est ce que j'appelle vraiment sucer un officier !
Sortant du lit, Ernest commença à déshabiller Camille, en commençant par les sandales. Il leva la main pour attraper la ceinture élastique du short et baissa celui-ci en même temps que la culotte également en dentelle blanche. Enfin, il s’occupa du chemisier puis du soutien-gorge.
Après tout ce qu'il avait pu faire ces dernières semaines, Ernest n'avait plus de mur qui les séparait.
Écartant les jambes blanches et soignées d'Camille, Ernest prit une respiration profonde alors qu'il contemplait ce trésor tout blond. Il rampa sur le lit, enfouit son visage dans la douce toison dorée et inhala le parfum enivrant. Il commença à tirer la langue, à laper la fente rose jusqu'à sa féminité.
Insérant sa langue dans son sillon serré, il commença à savourez le délicieux nectar. Léchant ses lèvres lisses, il tendit la main pour se masturber en même temps.
- Oh, espèce de belle petite salope ! Je vais te baiser maintenant ! Je vais te mettre en cloque et t’offrir un petit marmot noir dont il faudra s'occuper !
Tirant sa bite dure et maintenant suintante, Ernest rampa entre les belles jambes ivoire, poussant son coq palpitant le long du contour de la fente rose tendre. Puis son gland écarta les lèvres de la tendre fente d'amour de Camille et poussant vers l'avant, il la pénétra.
Des deux mains, il saisit fermement les douces fesses de la blonde, et poussa encore plus avant.
- Ohhhhhh , bébé, oui... ohhhhh , lieutenant de Luzelle... tu es tellement serrée!
Il gémissait de plaisir, il poussait sa grosse bite noire, la pénétrant davantage.
- Ohhhh ouais, douce petite salope ! Ouais, ohhhh , ouais, ohhhh … ohhhh , bébé!
haletait-il en accélérant ses entrées et ses retraits de la chatte offerte.
Seulement quinze centimètres de sa puissante queue avaient réussi à pénétrer la belle. Il aurait voulu aller plus loin, mais la résistance qu’il sentait montrait clairement qu’elle n’en avait jamais pris autant auparavant. Il ne voulait pas lui faire mal. Aussi, il limita la profondeur de ses coups, tout en accélérant le rythme.
L'idée de féconder la belle l'amena rapidement à l’éjaculation.
- Ohhhhh ouais, bébé... ahhhhhhh , bébé... je vais t’ensemencer à fond!
grogna Ernest, gardant sa queue profondément enfouie alors que ses muscles tremblaient de manière incontrôlable.
- Ahhhhhh , bébé... prends mon sperme de nègre, salope !
gémit-il bruyamment alors que sa queue semblait éclater et qu’il commençait à gicler à jets puissants.
Il s'effondra sur le magnifique corps du lieutenant, la bite toujours profondément ancrée en elle et continuant à expulser son foutre chaud. Il s'endormit ainsi.
Dix minutes plus tard, Ernest se réveilla sur le corps de la beauté toujours inconsciente, la bite toujours enfouie profondément en elle. Sa queue durcissait à nouveau et il a commença un nouveau va-et-vient.
Les jambes blanches relevées, il plaça ses talons sur ses larges épaules et la plia en deux alors qu'il s’activait dans sa fente. Il tourna la tête du côté droit, pour lécher la plante de son pied gauche puis prit ses petits orteils dans sa bouche qu’il suça. Il se retourna pour faire subir le même sort à l’autre pied.
- Awwww , bébé, je me penche pour embrasser tes pieds à tout moment ! Ohhhhh , bébé... je vais jouir encore... je vais encore semer .... ohhhh , merde!
balbutia-t-il alors que sa queue explosait à nouveau.
Quand son désir fut enfin assouvi, il focalisa l’objectif de la caméra pour réaliser quelques plans fixes. D’abord en approchant son gland des douces lèvres roses de Camille. Le lieutenant de Luzelle ressemblait à une salope, le visage couvert de sperme maintenant séché et une bite noire dans la bouche. Ensuite, il enveloppa cette bite dans sa main gauche, s’assurant que sa bague de fiançailles en diamant brillait de tout son éclat dans un tel avilissement.
Il la retourna pour caresser ses jolies fesses blanches. Il pensait qu'elle avait un cul vierge et voulait être le premier à y entrer. Mais ce n’était pas le moment. Il voulait l'entendre crier quand il la sodomiserait.
Il a fallu vingt bonnes minutes à Ernest pour tout nettoyer, notamment les preuves séchées et collantes de sa visite : le sperme séché sur le visage ou dans les cheveux ou celui présent sur sa toison dorée. Dans l’immédiat, il ne voulait rien laisser qui puisse indiquer ce qui s’était passé dans la chambre. L’aventure n’était pas terminée.
Il était étonné quand même de la grande quantité de sperme qu’il avait produit. Il savait qu'il y en avait un très grand nombre dans l’utérus fertile de l’officier, avec ses spermatozoïdes vigoureux luttant pour que sa graine s'enracine au plus profond de ce petit ventre blanc.
Le lendemain matin, Camille fut réveillée en sursaut par la sonnerie du téléphone. C'était son adjoint qui voulait savoir quand elle voulait retourner au régiment. ça tambourinait fort dans sa tête ? une mauvaise gueule de bois. Elle écouta cependant Laventure, qui lui disait que le mécanicien avait regardé la voiture et qu’elle fonctionnait bien maintenant.
Son esprit était hébété et elle ne se souvenait de rien après le dîner. Elle lui présenta des excuses pour avoir oublié la soirée précédente, à cause de l’excès de vin, puis le remercia d'avoir pris soin d'elle.
Dans la chambre d’a côté, Ernest sourit avec soulagement. Elle n'avait aucune idée de ce qui s'était passé la veille. Il lui dit qu'elle avait été un exemple parfait d'officier et de dame. Que c'était en effet, un plaisir de l'avoir raccompagnée jusqu'à sa chambre.
Pendant qu'il lui parlait, il regardait l’enregistrement du caméscope, voyant ses pieds blancs sur des épaules noires alors que sa longue bite noire la pénétrait. En entendant sa douce voix alors qu'il regardait la cassette, sa queue palpita dans sa main. Quand la conversation toucha à sa fin, de sa queue jaillit un jet épais.
Une demi-heure plus tard, Ernest salua le lieutenant de Luzelle à la sortie du motel. Il sourit en voyant le bel officier bien sanglée dans son uniforme, bien différent de la veille, quand elle était déshabillée et étendue sur le lit.
Au cours des deux heures suivantes, Ernest reluqua le visage et le corps de Camille qui somnolait. Heureusement qu'il avait tiré une charge pendant qu’ils échangeaient au téléphone. Sinon il se serait arrêté sur une route secondaire pour faire ce qu'il voulait avec elle. Mais il savait que sa patience serait récompensée.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En fait, ça raconte tranquillement l'histoire d'un viol avec préméditation.
A part ça, tout va bien.
A part ça, tout va bien.
J adore