Lieutenant de Luzelle (fin)
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lieutenant de Luzelle (fin)
Camille frissonnait, la douleur irradiant initialement son corps était remplacée par de l’excitation. Elle trembla à nouveau, cette fois par l’humiliation de sentir la chaude éruption de sperme chaud inonder ses entrailles mais aussi par la jouissance provoquée par ces gros doigts noirs dans sa chatte et sur son clitoris. La tête allongée sur le lit, Camille commença à sangloter, mais de honte vis-à-vis de sa propre réaction.
Lentement, la tige noire se ramollit et glissa et Ernest prit la belle blonde dans ses bras et la replaça sur le lit. Il s'allongea à côté d'elle et suça ses tendres tétons roses. Il sentait les mamelons durcir sous sa langue. Camille gémissait doucement de plaisir, et le sous-officier commença à glisser du lit, sa langue traçant un chemin humide jusqu'à la toison dorée du lieutenant.
Alors qu’elle commençait à écarter un peu ses cuisses blanches, Ernest baissa davantage la tête pour permettre à sa langue de taquiner le pourtour de la fente toute chaude de la belle.
Camille gémit, les yeux fermés, alors que son bassin se courbait sous l’assaut de cette langue.
- Ohhh .... ohhh !
Elle ne pouvait pas croire aux sensations qui parcouraient son corps, des sensations jamais ressenties auparavant. Elle sentit le grand corps noir et musclé glisser sur elle, puis la grosse tête de sa bite se présenter à l'entrée de sa féminité.
- S'il te plaît, s'il vous plaît, pas plus... s'il vous plaît ! S'il te plaît, je ne peux pas.... S'il te plaît, ne le fais pas... tu es trop gros !
Alors que le gland baveux se pressait contre sa motte, Camille, ne pouvant s’échapper,
supplia :
- Non, ne le fais pas! S'il te plaît, non, ne le fais pas! Tu vas me mettre enceinte !
Délibérément, Ernest la pénétra tel un coup de poignard, enfouissant la moitié de sa queue d’un seul coup dans la chatte étroite. Il commença ses va-et-vient, la baisant comme il l'avait fait la semaine précédente, mais cette fois le beau lieutenant était pleinement consciente qu'il la baisait.
Camille essaya d’abord de lui donner quelques coups de pied dans les jambes et les cuisses pour échapper à l‘étreinte. Mais Ernest adorait cette réaction. Se reculant d’abord, Ernest se précipita en avant et introduisit toute la longueur de sa grosse bite au fond d'elle.
- Aieeeeee .... ahhhhhhhh .... mmmmphhhhhh !
Le cri était étouffé car Camille mordait l’épaule d’Ernest. La douleur de l’homme fut assez forte pour qu’Ernest se cabre et la martèle de plus en plus vite.
Jamais Camille n'avait eu quelque chose d'aussi gros et d’aussi profond en elle. Louis n'était pas aussi bien doté que cet adjudant-chef. Le sexe de son fiancé ne représentait que la moitié de la longueur et de la circonférence de ce qui possédait maintenant son ventre.
- Oh s'il te plait ! S'il te plaît, arrête ! S'il te plaît !
Camille geignait de façon incontrôlée alors que son corps réagissait de plus en plus à la stimulation intense provoquée par la longue et profonde queue qui s'enfoncer dans sa féminité, qui allait maintenant jaillir.
- Oh non ! Noooon !
Elle gémissait, alors que ses jambes blanches et fines entrelaçaient et s'enroulaient étroitement autour de l’adjudant-chef, juste au moment où un orgasme secoua entièrement son corps.
Camille réalisa que son adjoint était sur le point de jouir et d’horribles conséquences lui traversèrent alors l’esprit. Elle essayait de faire de son mieux pour le repousser à nouveau, en suppliant :
- Ne... ne fais pas ça. Ne jouis pas en moi... S'il te plaît, s'il te plaît !
Ernest sentit son corps frissonner lors de son orgasme. Putain, elle n’oublierait jamais ce moment, puis il lui saisit fermement les hanches. Achevant sa chevauchée, il s’introduisit une dernière fois en elle complètement, déversant un torrent de sperme chaud.
- Ohhhhhhhhh , doux bébé que je baise ! C’est maintenant ! Quel pied ! J'ai toujours voulu faire d'un officier ma petite salope ! Voici ma graine de nègre, ma belle ! Je vais planter ma graine dans ton joli ventre blanc et souple. Je vais bien te mettre en cloque, Lieutenant !
- Oh, mon Dieu.... ohhhhh , nooon .... noooooon !
Camille gémit bruyamment toujours sur l'épaule musclée de Ernest. Elle serra jambes autour du cul noir, frémissant alors que la tige épaisse se vidait au plus profond de son ventre. Son corps la trahissait alors qu’elle se cambrait, soulevant le corps lourd sur elle, glissant sa fente serrée le long de la tige tremblante.
Trois fois de plus cette nuit-là, Camille connut les meilleures baises de sa vie. Chaque fois, son ventre était pleinement rempli par la semence du noir. Elle avait envie de crier à chaque jouissance mais elle ne voulait tout simplement pas montrer l’effet que l’homme produisait sur elle. Au lieu de cela, elle enfonçait ses dents dans son épaule.
Entre chacune de ces baises, elle suçait le gros chibre noir pour lui redonner de la vigueur.
Tôt ce matin-là, elle reçut pour terminer un petit-déjeuner liquide, copieux et poisseux composé de sperme masculin bien chaud. Contrairement à la première fois, elle n’avait plus de haut-le-coeur. Elle apprécia jusqu’à la dernière goutte.
Lorsque les soldats commencèrent à rentrer, Camille, épuisée, resta dans sa chambre, essayant de reprendre ses esprits. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait été soumise à l’implacable adjudant-chef noir.
Mais ce qui la dérangeait le plus, c'était la manière dont son corps l'avait trahie, orgasme après orgasme, contre sa volonté initiale. Elle n’avait pu se retenir, elle avait montré tout le plaisir qu’elle retirait de ces accouplements multiples.
****************************************************************************************
Les manœuvres sur le terrain se déroulèrent sans problème et l'unité avait bien travaillé. La lieutenant était restée à l'écart de son adjoint, se souvenant de ce qu'il lui avait dit quand il avait finalement quitté sa chambre :
- Tu m'as humilié devant la section mais je te clouerai le cul, un jour !
Aussi, Camille s'était fait un devoir de ne pas agacer l’adjudant-chef de quelque manière que ce soit et lui, de son côté, l'avait laissée tranquille.
Le vendredi suivant, Camille quitta la caserne alors que Louis arrivait par avion pour passer le week-end ensemble. Elle voulait être seule avec son fiancé, qu'il efface les événements de ces derniers temps. Elle pensait qu'une fois qu'elle serait dans les bras de Louis, tout irait à nouveau bien.
Camille voulait désespérément faire plaisir à Louis au lit, espérant lui permettre d'atteindre des orgasmes qui dépasseraient de loin ceux ressentis avec son maître chanteur.
Mais les choses ne s'était pas bien passé car Louis n'avait jamais vu sa fiancée aussi agressive et exigeante au lit auparavant. Cela avait amené Louis à être excité trop rapidement. Juste après quelques coups, c'était déjà trop et sa queue commença à remplir le fond du préservatif. En quelques minutes, Louis commençait à ronfler à côté d’une Camille totalement sidérée et frustrée.
Sortant du lit et se dirigeant vers la salle de bain, Camille chercha à obtenir le soulagement dont elle avait besoin. Elle frotta son index et son majeur contre son clitoris sensible, elle se cambra en pénétrant sa chatte, gémissant alors que son corps frissonnait. Tout en touchant son bourgeon gorgé de sang, tout en s’introduisant deux puis trois doigts, Camille fermait les yeux et imaginait le sous-officier noir et musclé la pénétrer. Cette image la conduisit immédiatement à l'orgasme salvateur, soulageant la tension accumulée par son corps.
Comme la section était arrivée en retard au rassemblement, deux minutes après l'horaire prévu, le lieutenant de Luzelle s’approcha de son adjoint et s'enquit, assez fort pour que les chefs de groupe puissent l’entendre :
- Pourquoi la section est-elle en retard, Laventure ? N'êtes-vous pas capable d’être à l‘heure?
Elle avait remarqué combien il avait été surpris de cette remarque assez vacharde et combien il en était meurtri. Il marmonna entre ses dents :
- Putain, salope !
- Oui, adjudant-chef ?
- Une erreur de ma part, Lieutenant !
Une fois l'unité arrivée à destination, la section prit les dispositions de combat. Puis Camille s’attaqua encore à son adjoint, les sergents entendant ses mots :
- Adjudant-chef Laventure, avez-vous déjà informé les chefs de groupe de leur mission et de l’heure à laquelle ils doivent atteindre l’objectif ?
- Oui, lieutenant, ils ont été briefés !
- Eh bien, voyons s'ils savent respecter un horaire mieux que vous !
Elle ajouta, d’un ton sec :
- Préparez la jeep ! Vous pouvez nous conduire jusqu'à la colline où nous pourrons observer leurs performances ! Allez, plus vite !
En montant la colline, Camille pouvait voir l'effet de ses propos envers le sous-officier. Elle pouvait le sentir fulminer et voir sa poitrine se dilater car sa respiration était difficile. Il essayait de garder son calme.
Lorsqu'ils arrivèrent à une zone ombragée surplombée de grands arbres, Camille lui donna l'ordre de s'arrêter sur le bas-côté.
- Prenez cette toile et étalez-la ici ! Allez ! Ordonna-t-elle.
Ernest marmonnait alors qu’il attrapait la lourde toile de jute :
- Cette putain de salope est revenue à elle !
En étalant la toile, il fut surpris de voir le beau lieutenant enlever son casque et détacher ses cheveux soyeux. Son sang ne fit qu’un tour alors que la belle secouait ses longs cheveux blonds. Puis il la regarda se mettre à quatre pattes, se penchait vers l’avant avec sa paire de jumelles dans les mains, essayant de se concentrer sur les groupes qui manœuvraient au loin.
Camille ne savait pas ce qui lui avait pris ce matin-là. Elle avait désespérément besoin d'apaiser la démangeaison qu’elle ressentait entre les cuisses. Elle connaissait la menace proférée par son adjoint noir un matin dans sa chambre. Et pourtant elle l'avait sciemment fait et maintenant elle était seule avec lui.
Cependant, elle n'était guère concentrée sur la vue qui s’offrait à elle à travers ses jumelles. Au lieu de cela, elle haletait alors qu’elle entendait des pas s'approcher derrière elle.
En voyant la belle blonde à quatre pattes, Ernest estimait n’avoir besoin de rien de plus comme invitation. Il défit sa boucle de ceinture, puis laissa tomber pantalon et boxer. Il s'agenouilla derrière la charmante lieutenant et tendit la main pour déboucler sa ceinture.
Un instant plus tard, il caressait le cul doux et crémeux et s’avançait pour se positionner au mieux.
- Adjudant-chef, qu'est-ce que vous faites ? Ohhhhhhhh ! Oh, OUI ! Ohhhhh ... oui ! Oui oui! Cloue-moi le cul... comme tu m'as dit que tu le ferais... Ohhhhhh Putain Oui ! Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii! Baise-moi... baise-moi fort!.
****************************************************************************************
Deux mois plus tard, le lieutenant de Luzelle convoqua officiellement Laventure dans son bureau.
- Adjudant-chef, deux informations à vous communiquer. Dès lundi, vous prendrez officiellement le commandement de la section. Je suis mutée à l’état-major pour m’occuper de planification. Félicitations !
- Reçu, répondit Laventure, restant impassible. Et la deuxième ?
- La raison de ces décisions, adjudant-chef ! Je suis enceinte de deux mois. Vous pouvez disposer.
Ernest salua et opéra un demi-tour. Alors qu’il atteignait la porte, elle ajouta :
- Au fait, j’ai rompu avec mon fiancé, Louis, il y a deux mois.
Un large sourire éclaira le visage de Laventure. Il avait gagné.
Lentement, la tige noire se ramollit et glissa et Ernest prit la belle blonde dans ses bras et la replaça sur le lit. Il s'allongea à côté d'elle et suça ses tendres tétons roses. Il sentait les mamelons durcir sous sa langue. Camille gémissait doucement de plaisir, et le sous-officier commença à glisser du lit, sa langue traçant un chemin humide jusqu'à la toison dorée du lieutenant.
Alors qu’elle commençait à écarter un peu ses cuisses blanches, Ernest baissa davantage la tête pour permettre à sa langue de taquiner le pourtour de la fente toute chaude de la belle.
Camille gémit, les yeux fermés, alors que son bassin se courbait sous l’assaut de cette langue.
- Ohhh .... ohhh !
Elle ne pouvait pas croire aux sensations qui parcouraient son corps, des sensations jamais ressenties auparavant. Elle sentit le grand corps noir et musclé glisser sur elle, puis la grosse tête de sa bite se présenter à l'entrée de sa féminité.
- S'il te plaît, s'il vous plaît, pas plus... s'il vous plaît ! S'il te plaît, je ne peux pas.... S'il te plaît, ne le fais pas... tu es trop gros !
Alors que le gland baveux se pressait contre sa motte, Camille, ne pouvant s’échapper,
supplia :
- Non, ne le fais pas! S'il te plaît, non, ne le fais pas! Tu vas me mettre enceinte !
Délibérément, Ernest la pénétra tel un coup de poignard, enfouissant la moitié de sa queue d’un seul coup dans la chatte étroite. Il commença ses va-et-vient, la baisant comme il l'avait fait la semaine précédente, mais cette fois le beau lieutenant était pleinement consciente qu'il la baisait.
Camille essaya d’abord de lui donner quelques coups de pied dans les jambes et les cuisses pour échapper à l‘étreinte. Mais Ernest adorait cette réaction. Se reculant d’abord, Ernest se précipita en avant et introduisit toute la longueur de sa grosse bite au fond d'elle.
- Aieeeeee .... ahhhhhhhh .... mmmmphhhhhh !
Le cri était étouffé car Camille mordait l’épaule d’Ernest. La douleur de l’homme fut assez forte pour qu’Ernest se cabre et la martèle de plus en plus vite.
Jamais Camille n'avait eu quelque chose d'aussi gros et d’aussi profond en elle. Louis n'était pas aussi bien doté que cet adjudant-chef. Le sexe de son fiancé ne représentait que la moitié de la longueur et de la circonférence de ce qui possédait maintenant son ventre.
- Oh s'il te plait ! S'il te plaît, arrête ! S'il te plaît !
Camille geignait de façon incontrôlée alors que son corps réagissait de plus en plus à la stimulation intense provoquée par la longue et profonde queue qui s'enfoncer dans sa féminité, qui allait maintenant jaillir.
- Oh non ! Noooon !
Elle gémissait, alors que ses jambes blanches et fines entrelaçaient et s'enroulaient étroitement autour de l’adjudant-chef, juste au moment où un orgasme secoua entièrement son corps.
Camille réalisa que son adjoint était sur le point de jouir et d’horribles conséquences lui traversèrent alors l’esprit. Elle essayait de faire de son mieux pour le repousser à nouveau, en suppliant :
- Ne... ne fais pas ça. Ne jouis pas en moi... S'il te plaît, s'il te plaît !
Ernest sentit son corps frissonner lors de son orgasme. Putain, elle n’oublierait jamais ce moment, puis il lui saisit fermement les hanches. Achevant sa chevauchée, il s’introduisit une dernière fois en elle complètement, déversant un torrent de sperme chaud.
- Ohhhhhhhhh , doux bébé que je baise ! C’est maintenant ! Quel pied ! J'ai toujours voulu faire d'un officier ma petite salope ! Voici ma graine de nègre, ma belle ! Je vais planter ma graine dans ton joli ventre blanc et souple. Je vais bien te mettre en cloque, Lieutenant !
- Oh, mon Dieu.... ohhhhh , nooon .... noooooon !
Camille gémit bruyamment toujours sur l'épaule musclée de Ernest. Elle serra jambes autour du cul noir, frémissant alors que la tige épaisse se vidait au plus profond de son ventre. Son corps la trahissait alors qu’elle se cambrait, soulevant le corps lourd sur elle, glissant sa fente serrée le long de la tige tremblante.
Trois fois de plus cette nuit-là, Camille connut les meilleures baises de sa vie. Chaque fois, son ventre était pleinement rempli par la semence du noir. Elle avait envie de crier à chaque jouissance mais elle ne voulait tout simplement pas montrer l’effet que l’homme produisait sur elle. Au lieu de cela, elle enfonçait ses dents dans son épaule.
Entre chacune de ces baises, elle suçait le gros chibre noir pour lui redonner de la vigueur.
Tôt ce matin-là, elle reçut pour terminer un petit-déjeuner liquide, copieux et poisseux composé de sperme masculin bien chaud. Contrairement à la première fois, elle n’avait plus de haut-le-coeur. Elle apprécia jusqu’à la dernière goutte.
Lorsque les soldats commencèrent à rentrer, Camille, épuisée, resta dans sa chambre, essayant de reprendre ses esprits. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait été soumise à l’implacable adjudant-chef noir.
Mais ce qui la dérangeait le plus, c'était la manière dont son corps l'avait trahie, orgasme après orgasme, contre sa volonté initiale. Elle n’avait pu se retenir, elle avait montré tout le plaisir qu’elle retirait de ces accouplements multiples.
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Les manœuvres sur le terrain se déroulèrent sans problème et l'unité avait bien travaillé. La lieutenant était restée à l'écart de son adjoint, se souvenant de ce qu'il lui avait dit quand il avait finalement quitté sa chambre :
- Tu m'as humilié devant la section mais je te clouerai le cul, un jour !
Aussi, Camille s'était fait un devoir de ne pas agacer l’adjudant-chef de quelque manière que ce soit et lui, de son côté, l'avait laissée tranquille.
Le vendredi suivant, Camille quitta la caserne alors que Louis arrivait par avion pour passer le week-end ensemble. Elle voulait être seule avec son fiancé, qu'il efface les événements de ces derniers temps. Elle pensait qu'une fois qu'elle serait dans les bras de Louis, tout irait à nouveau bien.
Camille voulait désespérément faire plaisir à Louis au lit, espérant lui permettre d'atteindre des orgasmes qui dépasseraient de loin ceux ressentis avec son maître chanteur.
Mais les choses ne s'était pas bien passé car Louis n'avait jamais vu sa fiancée aussi agressive et exigeante au lit auparavant. Cela avait amené Louis à être excité trop rapidement. Juste après quelques coups, c'était déjà trop et sa queue commença à remplir le fond du préservatif. En quelques minutes, Louis commençait à ronfler à côté d’une Camille totalement sidérée et frustrée.
Sortant du lit et se dirigeant vers la salle de bain, Camille chercha à obtenir le soulagement dont elle avait besoin. Elle frotta son index et son majeur contre son clitoris sensible, elle se cambra en pénétrant sa chatte, gémissant alors que son corps frissonnait. Tout en touchant son bourgeon gorgé de sang, tout en s’introduisant deux puis trois doigts, Camille fermait les yeux et imaginait le sous-officier noir et musclé la pénétrer. Cette image la conduisit immédiatement à l'orgasme salvateur, soulageant la tension accumulée par son corps.
Comme la section était arrivée en retard au rassemblement, deux minutes après l'horaire prévu, le lieutenant de Luzelle s’approcha de son adjoint et s'enquit, assez fort pour que les chefs de groupe puissent l’entendre :
- Pourquoi la section est-elle en retard, Laventure ? N'êtes-vous pas capable d’être à l‘heure?
Elle avait remarqué combien il avait été surpris de cette remarque assez vacharde et combien il en était meurtri. Il marmonna entre ses dents :
- Putain, salope !
- Oui, adjudant-chef ?
- Une erreur de ma part, Lieutenant !
Une fois l'unité arrivée à destination, la section prit les dispositions de combat. Puis Camille s’attaqua encore à son adjoint, les sergents entendant ses mots :
- Adjudant-chef Laventure, avez-vous déjà informé les chefs de groupe de leur mission et de l’heure à laquelle ils doivent atteindre l’objectif ?
- Oui, lieutenant, ils ont été briefés !
- Eh bien, voyons s'ils savent respecter un horaire mieux que vous !
Elle ajouta, d’un ton sec :
- Préparez la jeep ! Vous pouvez nous conduire jusqu'à la colline où nous pourrons observer leurs performances ! Allez, plus vite !
En montant la colline, Camille pouvait voir l'effet de ses propos envers le sous-officier. Elle pouvait le sentir fulminer et voir sa poitrine se dilater car sa respiration était difficile. Il essayait de garder son calme.
Lorsqu'ils arrivèrent à une zone ombragée surplombée de grands arbres, Camille lui donna l'ordre de s'arrêter sur le bas-côté.
- Prenez cette toile et étalez-la ici ! Allez ! Ordonna-t-elle.
Ernest marmonnait alors qu’il attrapait la lourde toile de jute :
- Cette putain de salope est revenue à elle !
En étalant la toile, il fut surpris de voir le beau lieutenant enlever son casque et détacher ses cheveux soyeux. Son sang ne fit qu’un tour alors que la belle secouait ses longs cheveux blonds. Puis il la regarda se mettre à quatre pattes, se penchait vers l’avant avec sa paire de jumelles dans les mains, essayant de se concentrer sur les groupes qui manœuvraient au loin.
Camille ne savait pas ce qui lui avait pris ce matin-là. Elle avait désespérément besoin d'apaiser la démangeaison qu’elle ressentait entre les cuisses. Elle connaissait la menace proférée par son adjoint noir un matin dans sa chambre. Et pourtant elle l'avait sciemment fait et maintenant elle était seule avec lui.
Cependant, elle n'était guère concentrée sur la vue qui s’offrait à elle à travers ses jumelles. Au lieu de cela, elle haletait alors qu’elle entendait des pas s'approcher derrière elle.
En voyant la belle blonde à quatre pattes, Ernest estimait n’avoir besoin de rien de plus comme invitation. Il défit sa boucle de ceinture, puis laissa tomber pantalon et boxer. Il s'agenouilla derrière la charmante lieutenant et tendit la main pour déboucler sa ceinture.
Un instant plus tard, il caressait le cul doux et crémeux et s’avançait pour se positionner au mieux.
- Adjudant-chef, qu'est-ce que vous faites ? Ohhhhhhhh ! Oh, OUI ! Ohhhhh ... oui ! Oui oui! Cloue-moi le cul... comme tu m'as dit que tu le ferais... Ohhhhhh Putain Oui ! Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii! Baise-moi... baise-moi fort!.
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Deux mois plus tard, le lieutenant de Luzelle convoqua officiellement Laventure dans son bureau.
- Adjudant-chef, deux informations à vous communiquer. Dès lundi, vous prendrez officiellement le commandement de la section. Je suis mutée à l’état-major pour m’occuper de planification. Félicitations !
- Reçu, répondit Laventure, restant impassible. Et la deuxième ?
- La raison de ces décisions, adjudant-chef ! Je suis enceinte de deux mois. Vous pouvez disposer.
Ernest salua et opéra un demi-tour. Alors qu’il atteignait la porte, elle ajouta :
- Au fait, j’ai rompu avec mon fiancé, Louis, il y a deux mois.
Un large sourire éclaira le visage de Laventure. Il avait gagné.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
"Gagner de quoi" ? plutôt d'avoir réussi à mettre sa supérieure enceinte ?
Gagner de quoi encore 1 histoire ou le noir à besoin de prouver qu’il est plus fort qu’un blanc !!! 😂🤣🤦♀️