Lili (fin) - histoire érotique

Lili me doit encore des bricoles. Je ne la force pas pour qu’elle fasse ce qui était convenu. Elle ne me force pas à lui donner ma bite. Elle me doit donc deux masturbations l’une avec sa main droite et l’autre avec sa main gauche. Elle me doit aussi une branlette espagnole.
Quand j’arrive chez elle, aujourd’hui elle est habillée, si l’on peut dire: Je ne sais d’où elle sort ce string fendu pile là où il faut. Je pourrai la baiser dès maintenant sans préparation. C’est mal me connaitre, avant de niquer une fille j’aime avant la caresser là où c’est possible. J’adore la faire jouir avant que je vienne sur elle ou elle sur moi.
Elle a disposé ses jouets sur sa table de nuit. Tout ce dont je me suis servi hier est là, sa tige avec les boules, son gode « normal » et celui vibrant aux oreilles orientées vers le clitoris et le cul. Elle en avait joui pas mal. J’avais aimé la masturber avec ses engins. Je me demande même comment faisaient les femmes avant les inventions de ce style. Je sais quand même qu’en Egypte ancienne les femmes nobles se faisaient masturber par un ou une esclave avec des godemichets en ivoire. J’ai connu une fille qui se donnait du plaisir en mettant dans sa chatte presque toute une serviette de toilette pour se remplir le vagin et y entrainer à la fois l’anus et le clitoris.
Lili, elle se contente de commander par internet ce qui lui plait. Avant-hier j’ai trouvé ses jouets et hier je m’en suis servi.
Voyant ses jouets je me doute qu’elle a oublié ses promesses:
- Tu m’as promis trois choses.
- Je sais, ce n’est pas un oubli, je vais les réaliser aujourd’hui.
- Tant mieux, je peux choisir ?
- Non, c’est moi qui vais le faire. Tiens couches toi sur le lit,
Elle attend tout juste que je sois sur le lit: elle prend ma bite dans sa mains droite. Sa main gauche est sur les couilles. Elle commence par baisser le prépuce vers le bas, force beaucoup pour que ma peau arrive presque sur sa main gauche. Elle la laisse ainsi jusqu’à ce que je demande grâce: elle me fait mal. Elle remonte sa main lentement pour redescendre rapidement. Son manège est jouissif, je voudrai qu’elle me fasse cracher du sperme. Elle arrête tout pour changer de main. Elle est moins agile avec la main gauche. Pourtant elle emploi la même méthode. Je soulève mon bas ventre pour aller à la rencontre de sa main. Elle arrêt encore. Elle se couche à coté de moi, me demande de venir poser ma bite entre ses seins. Elle y emprisonne ma pine. Je vais et viens dans ce sillon nouveau. Elle lève la tête dans l’attente de mon orgasme. Quand je jouis, je ne sais trop comment elle fait elle arrive à prendre dans sa bouche presque tout mon sperme.
Je tombe sans force à ses cotés. Nous nous embrassons enfin.
Lili veux être la maitresse de maison: c’est à elle à nous faire jouir. Comme je ne bande plus, elle prend un tout petit objet que je n’avais pas vu: un doigtier muni de picots. Elle le met sur son index. Je me demande ce qu’elle va faire. Elle prend ma bite dans sa bouche pour me lécher tout simplement, elle me caresse encore les couilles et son index, va sur mon cul. Elle n’essaie même pas de le rentrer elle me caresse l’anus. Pour moi, c’est la première qu’on me branle le cul. Ma foi c’est agréable, en tout cas assez pour me faire bander.
- Si tu veux, quand tu me baisera je pourrai d’enculer.
- C’est agréable cette façon ?
- Personne ne s’en ai jamais plaint.
- Je veux bien essayer
Elle est sur le dos, je vais sur elle, j’écrase ses seins. Je passe ma queue partout dans sa fente: je peux la branler ainsi: je dois bien réussir puisqu’elle jouit. Elle pose ses mains sur mes fesses pour que j’aille dans son ventre. Aujourd’hui il me semble qu’elle est plus facile à baiser. Ses bras m’entourent, pourtant je sens qu’elle enlève une main de mon dos. Elle est entre mes fesses, je sens son doigt explorer le chemin vers mon cul. Enfin, je suis impatient de connaitre la suite, elle entre son doigt presque en entier. Je ressent un drôle de plaisir que je ne connaissais pas. Son autre main quitte aussi mon dos. Elle part à la rencontre de la première. Quand son doigt sort de mon anus, elle le remplace par le gode. Je ne sais ce qu’elle y a mis, en tout cas elle force à peine pour me sodomiser.
Finalement en la baisant et me faisant enculer, je ressent des frissons dans tout mon corps. Je la sens jouir: m’enculer et être baisée l’excite beaucoup. Ses spasmes entrainent mes miens. Je n’ose pas me relever: je reste toujours dans son ventre.
Elle continu la sodomie, au point que je bande encore. Elle doit me masser la prostate puisque je jouis en restant tendu. Cette fois elle me libère: je peux la quitter, sauf que j’ai toujours le cul occupé. Elle ne veux surtout pas que je l’enlève. Elle me laisse me mettre sur le coté. Pour elle je suis dans une bonne position: ma queue est libre pour que sa bouche vienne me sucer la bite. Elle continue ma sodomie. Maintenant j’ai mal au cul. Elle accepte enfin de me libérer.
Je savais que Lili était dévoyée, pas à ce point. Pour elle c’est normal ce qu’elle vient de me faire subir, elle accepte bien une bite devant et une autre derrière, alors pour quoi pas moi, avec une bite dans son sexe et une autre dans mon cul ? Ma décision est prise la prochaine fois je ne la laisserai