Linda la chaudasse - histoire érotique

Ce récit est coécrit par Valériane.

La journée s'annonce très ensoleillée. Linda décide de faire du shopping, très provocatrice, voire vraiment salope, elle recouvre son corps d'une courte jupe, un string rouge très fin, cache sa vulve fraichement rasée. Un soutien-gorge rouge, lui aussi, emprisonne sa poitrine. Une chemise florale, dont les trois derniers boutons ne sont pas fermés. Ce qui permet, une vue plongeante sur le large sillon qui sépare les seins.


Elle déambule dans les rues piétonnes, en faisant du lèche-vitrine. À son passage, ses longues jambes découvertes jusqu'à mi-cuisses, et sa poitrine généreuse font retourner les badauds. Elle entend quelques commentaires un peu déplaisants, venant de femmes jalouses, mais cela la fait sourire. Elle se retourne en faisant un grand sourire, les mauvaises langues hâtent le pas, pour ne pas croiser son regard.

Elle passe devant une terrasse et décide de faire une pause, elle choisit une table sous un parasol. Il n'y qu'un couple en terrasse. Un garçon s'approche, ses yeux fouillent le corsage de Linda, qui dit en souriant :

-Le paysage vous plait ?


Le jeune homme en se raclant la gorge répond avec une pointe d'humour :

-Mon regard n'est attiré que par de belles choses, et vous en faite partie !

Linda sourit et commande un verre, pour se rafraichir. En face d'elle, un vieux couple, la femme ne cesse de regarder Linda, souvent, elle chuchote à l'oreille de son mari, qui donne quelques œillades en direction de Linda. Vicieusement, Linda écarte doucement les cuisses. La femme ne quitte plus du regard les longues jambes entrouvertes, elle aperçoit la culotte. Elle semble se raidit, elle donne un coup, de coude à son mari, qui voit à son tour le compas ouvert. La coquine passe sa main sous la table et remonte encore un peu plus sa jupe, en découvrant totalement son entre jambes. La bougresse, passe son majeur sur sa fente très lentement.

Le fin tissu s'insère entre les grandes lèvres, le couple frémit d'où il est, il ne perd pas une image. Linda accélère la caresse. Elle passe sa deuxième main sous la table, et écarte le string, avec ses doigts, elle ouvre largement sa vulve. La femme sursaute en voyant le conduit rouge, que la coquine écarte le plus possible. Avec son index et son majeur, Linda fait comme un ciseau, elle attrape son clito qui est déjà gonflé et le frotte avec de plus en plus d'intensité.

Elle ne voulait pas en arriver jusque-là, mais c'est si bon, elle ne peut s'empêcher d'accélérer, elle prend entre ses doigts son clito et le branle comme une petite bite. Linda agite doucement son bassin, elle grimace. La femme voyeuse dit à haute voix :

-Regarde, regarde, Charles, elle va jouir !

En effet, Linda se cabre et explose de jouissance. Elle se laisse retomber sur sa chaise, ses doigts agitent moins rapidement la boule de chair qui vient de la faire jouir. Lentement, elle s'apaise, et reprend une respiration normale. La femme se lève et s'approche d'elle et lui dit :

-Eh bien, on peut dire que vous ne manquez pas d'air, vu votre culot, je vous propose un deal que vous ne pouvez refuser !

La femme lui propose une somme d'argent non négligeable, en échange d'une partie de sexe, dont elle sera la principale actrice. Linda, lorsqu'il s'agit de sexe, jubile, les défonces, elle adore ça. La proposition l'émoustille, elle accepte. Une fois chez ses hôtes, on l'installe au salon, et on lui offre une boisson. La femme se prénomme Hortense, elle est en face, elle lui dit :

-Fais ce que tu as fait à la terrasse, branle-toi, fais bien voir ta chatte, retire, ta jupe et ton string, pour que je puisse bien voir ta chatte dégouliner d'excitation. Et pendant que tu te branles, Charles va te malaxer les seins, il adore faire ça !

Linda ouvre son corsage, et dégrafe son soutien-gorge, ses seins lourds, s'affaissent sur son torse. Charles écarquille les yeux, immédiatement, il passe derrière Linda et lui saisit les seins fermement. Linda, en se tortillant, retire sa jupe et son string. Et se laisse tomber dans son fauteuil, elle ouvre largement les cuisses et commence à se frotter la vulve.

Charles pétri les lobes, les soupèse, presse les mamelons, ses yeux jettent des flammes. Hortense, ne quitte pas des yeux la chatte que Linda agace. Un petit filet de liquide s'échappe de la vulve malmenée. La femme commence à s'exciter, elle dit en haussant la voix :

-Branle-toi le clito salope, vas-y, vas-y, oh putain ce que tu m'excites, jouis, jouis !

Linda saisit sa boule de chair qui ne cesse de grossir, et la branle énergiquement. Elle sait comment se faire jouir, ses yeux brillent, tout en se masturbant, elle écrase son clito, elle sait que cette technique est efficace. Il ne lui faut pas longtemps pour qu'elle grogne comme un fauve. Hortense, remonte sa jupe, écarte sa culotte. Et écrase sa vulve en grimaçant, sa chatte est trempée. Elle triture ses grandes lèvres qui sont très épaisses, en geignant :

-Vas-y, vas-y jouis pour moi salope, oui, oui salope, oh putain, tu me fais gicler !

Hortense se cabre en gémissant fortement, une giclée de cyprine, est expulsée de sa chatte, avec force. Elle se tend comme un arc en marmonnant :

-Oh putain, oh putain, que c'est bon, vas-y, vas-y, continue !

Charles pétri les seins de Linda comme du pain, il enfonce profondément ses doigts noueux dans la chair en grognant. Linda agite férocement son clito, une moue affreuse déforme son visage. Soudain, elle se cambre et en poussant un gémissement de bête blessée, explose, sa jouissance est terrible. Hortense semble ravie, elle se lève difficilement, retire sa culotte et sa jupe. Elle le regarde, et lui dit en grinçant des dents :

-Tu vas me bouffer la chatte et le cul salope, avant que je ne te livre à Charles !

Hortense reprend place sur le bord du fauteuil et ouvre largement les cuisses. Linda s'approche et se met à genoux face à la vieille, elle regarde la chatte aux lèvres pendantes, et juste au-dessus un affreux clito, elle voit aussi l'anus boursoufflé, qui a dû connaitre pas mal de visiteurs. Elle avance sa tête entre les jambes ouvertes, et commence à donner de grands coups de langue, sur la vulve détrempée. Cela plait à Hortense, car immédiatement gémit. La coquine sait utiliser son outil râpeux. Elle le glisse entre les lèvres pendantes et monte jusqu'au clito, quelques léchettes font geindre Hortense qui ne retient pas ses mots :

-Oui, oui, oh comme c'est bon, continue, oh putain, mais tu es un démon doté d'une langue salope, bouffe-moi, bouffe-moi !

Lorsque que la langue de Linda s'enfonce dans sa chatte, Hortense pousse un hurlement, Linda lui fouille le conduit en la faisant gémir fortement, elle alterne anus et chatte, c'est démentiel pour la vieille femme, qui ne retient pas des gémissements, ils ressemblent ceux d'une bête agonisante. Pendant qu'elle broute Hortense, Charles se place derrière Linda et sans prévenir lui enfonce sa bite jusqu'aux couilles dans la chatte. Prise en levrette, c'est la position qui permet à la verge de s'enfoncer le plus profondément dans le ventre d'une femme. Le bougre malgré son âge, s'agite comme un forcené. Linda continue son travail de sape, maintenant, elle suce le clito, comme un bonbon, Hortense croit mourir tellement c'est bon.

Une violente jouissance la fait hurler, une giclée remplit la bouche de Linda qui n'a pas d'autre choix que d'avaler. Charles lui bourre la chatte comme un soudard, Soudain, il se retire, repousse Linda et se place entre les jambes de sa femme. Il lui plante sa bite dans le cul, et en grognant, il lui défonce le rectum. Hortense est aux anges, elle dit entre deux souffles :

-Oh putain mon chéri, tu bandes comme un jeunot, je vois que cette salope te fait de l'effet, vas-y encule-moi fort, vieux salaud !

Charles travaille le cul de sa femme comme jamais, il ne l'a fait, elle jouit du cul comme une damnée, il donne encore quelques coups reins pour enfin lui remplir le cul de semence épaisse. Linda, comme elle est restée sur sa faim, se masturbe jusqu'à ce qu'elle explose. Hortense n'en revient pas comme son mari tient longtemps, elle lui suce la bite en cherchant la semence, qui soudain jaillit de la hampe. Elle avale en déglutissant bruyamment le sperme suave, tout en le savourant.