Lingerie fine 5 Femme adultère de bonne foi
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 515 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Accent ont reçu un total de 3 608 559 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 589 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Lingerie fine 5 Femme adultère de bonne foi
Lingerie coquine 5 Interchangeable?
Ce qui m’excite le plus, ce ne sont pas les encouragements de Lili à son amant Jules. Ma fureur d’être ravalé au rang de mari cocu, aurait surtout tendance à me faire baisser pavillon. Mon orgueil de mâle est atteint parce que je suis trompé et parce que je ne m’y attendais pas : ma verge est en berne. A l’entendre Lili m’aime, Lili veut continuer à partager ma vie. La brèche de l’adultère du vendredi après-midi ne la perturbe pas : ce sera une exception en faveur de mon meilleur ami. Si je comprends bien, pour Lili cela ne constitue pas un adultère ! Elle ne voit rien de choquant, cela se passe entre amis, presque en famille. La relation cependant doit rester secrète ! Cherchez l'erreur. N’est-ce pas le signe que sa conscience n’est pas aussi tranquille qu’il y paraît ? Elle me garde une exclusivité relative durant le reste de la semaine. Cette annonce étouffe chez elle d’éventuels remords; comme est vertueux à ses yeux le choix de mon meilleur ami en qualité d’amant.
Ainsi Lili est-elle à l’aise au moment de se donner au mari de Suzon. Le traître exploite au mieux notre lien d’amitié ancienne et il se jette à l’assaut du corps de ma femme, peu soucieux d’être marié ou de trahir notre longue amitié. Puisque cette femme l’invite à copuler, il la pénètre et cela s‘entend , il marche sur tous les principes sans vergogne, il saisit l’occasion offerte bien que cette relation doive se limiter à un rapport sexuel par semaine. « C’est toujours ça de pris » estime-t-il.
Je conserve certes une exclusivité partielle du corps et du cœur de sa femme, en dehors du rendez-vous hebdomadaire du vendredi, accordé par Lili à mon meilleur ami . Quoi ? Etre le préféré de ma femme, mais devoir partager sentiments et amour physique avec un homme marié sans respect pour ses liens d’amitié anciens, cela me répugne et me révolte. Il en serait de même pour n’importe quel autre d’ailleurs, cette trahison ne me convient pas du tout. Le choix de Jules pour moi est le pire des choix envisageables. Seul le sang froid de Suzon me fait avaler provisoirement la couleuvre. Son regard compatissant et serein suffit à me convaincre de patienter. Comment supporte-t-elle l'insulte de son sort de femme trompée? Elle demeure stoïque. Quel caractère solide !
Dans ma chambre les amants s’unissent, l’adultère, après le 69, est consommé par pénétration. Intervenir un peu plutôt ou un peu plus tard n’a plus grande importance; désormais : il sera toujours trop tard. mes cornes sont plantées sur mon front à jamais. Lili a fait un choix, elle assumera, je n’accepterai pas ses arguments. Garder le secret, aller jusqu’à faire l’amour avec moi juste avant de recevoir Jules pour forniquer avec lui et taire à son amant qu’elle sort de mes bras couverte de mon sperme relève d’un goût très fort pour une culture perverse du secret. Or quelle confiance lui accorder à l’avenir quand on découvre soudain ce désordre mental?
A cet instant de désarroi, de colère et de désespoir, je suis nu en face de Suzon nue, si bellement nue. Je suis décidé à suivre ses recommandations, non que j’espère regagner Lili, mais parce que Suzon m’inspire confiance, elle; aussi parce qu’elle a souhaité me donner de l’amour. Nous nous aimions, il y a des années, nous nous étions livrés à des jeux d’ados, de découverte de nos corps en devenir, mais nous ne nous étions jamais retrouvés complètement nus en face à face. Il aura fallu l’infidélité de nos conjoints pour connaître cette situation exceptionnelle. Tout ce contexte et sa façon gentille de me rappeler le passé ont vaincu ma retenue naturelle et m’ont mis en érection. Suzon, femme mûre, est belle, si désirable. Son corps nu mérite toute mon attention. Elle me regarde avec attendrissement admirer ses seins, la minceur de sa taille au-dessus du rebond des hanches ou encore la touffe qui abrite son sexe.
Elle sait que ce n’est pas le moment de céder à la tentation de s’étreindre et de s’unir, à cette tentation violente qui fait dresser ma verge ou qu’elle a ressentie lorsqu’elle a quémandé, dans un élan d’amour, la promesse de nous aimer charnellement. Elle veut gagner ma reconnaissance avant toute récompense. Elle décide de passer à l’action, attaque la montée d 'escalier, sur la pointe des pieds, afin de ne pas faire de bruit prématuré. Je la suis.
Le mouvement gracieux des jambes et des fesses qui dansent devant moi, les gémissements amoureux des deux autres sur mon lit, me font perdre la tête. J'arrive à mi escalier, un mouvement réflexe, incontrôlable, porte ma main entre les cuisses de mon alliée, sur la vulve de Suzon et bloque notre progression. Ce mouvement devrait la surprendre, pourrait lui arracher un cri. Suzon pose son pied, se tourne vers moi, me montre un visage radieux. Je parierais qu’elle attendait ou espérait mon égarement. Un index barre ses lèvres, des étoiles traversent son regard heureux. Elle me fait « gare, gare » de l’index et attend que son calme et son autorité affichée délivre son sexe de l’emprise de ma main folle. J’ai compris, je retire mon majeur des chairs humides où il s’était introduit. De la tête elle me fait signe de continuer à monter. La croupe devant moi reprend son merveilleux manège. Ma verge est douloureuse.
Entre la dernière marche et la porte de la chambre la surface sur le palier peut difficilement accueillir deux personnes. Suzon s’arrête, je la rejoins si bien que mes côtes se collent à ses omoplates, mon nombril rencontre sa colonne vertébrale et ma verge dure se plaque dans la raie entre les fesses provocatrices. Mes mains s’accrochent aux deux seins. Mais ce n’est pas complètement pour assurer mon équilibre, je me tiens et je caresse. Suzon maîtrise ses frissons, tourne la tête, me sourit canaille et me vole un rapide baiser.
Nous voilà tout près des amants. Lili halète de plus en plus vite. Jules est à l’effort, le sommier bat la cadence et ne m’a jamais semblé aussi indiscret. Suzon se penche lentement afin d’évaluer l’avancement du rapport sexuel. Sa tête avance, sa croupe recule. Je pourrais redescendre d’une marche. Ma verge repose un peu trop haut, ne peut pas glisser dans la moule tendue trop bas. Il ne manquerait plus que ça pour que nous ne forniquions sur place et dénoncions notre présence. Suzon se redresse et dit tout bas :
- Elle sur le dos, Jules , missionnaire, lime vite, ce sera bientôt fini. C’est du morse !
J’ai du mal à entendre ses paroles car la passion qui unit les amants devient bruyante. Aux grognements de l’homme répondent les gémissements plaintifs qui accompagnent l’orgasme de ma femme. Le silence succède à l’emballement final. Les respirations s’apaisent et Jules joue classique :
- Alors, heureuse ?
Plus éprouvée par la charge, Lili tarde à répondre:
- C’était fameux. Je ne me suis pas trompée, tu es un bon coup. Je t’embrasse.
- Merci. Alors j’ai réussi mon examen de passage ?
- Oui, je t’embaucherai vraisemblablement en contrat à durée indéterminée, à condition que tu restes performant. Reviens tous les vendredis, ne te mêle pas de trouver le pourquoi de l’honneur que je te fais si tu veux garder l’emploi.
- Quel bonheur. Mon rêve s’accomplit.
- C’est un bon début. Passe-moi la serviette qui est sur la chaise, ou plutôt, essuie le sperme qui sort, fuit mon vagin et qui coule dans ma raie. A l’avenir il faudra penser à amener des préservatifs. Je ne tiens pas à me retrouver en cloque aussitôt après un accouchement.
- D’accord, je pensais en emprunter à Jean. Je n’en ai pas trouvé dans le tiroir de sa table de nuit. Il n’en met pas ou il se retire à chaque fois? Ce doit être frustrant pour lui et principalement pour toi de pratiquer le coït interrompu. En se retirant avant d’éjaculer pour éviter un petit, il peut ne pas te faire jouir certaines fois. Hein ?
- Tu as l’imagination féconde. Tu aurais dû imaginer que tu aurais besoin d’une protection. J’aurais apprécié la précaution. Mais une fois encore, baise et ne réfléchis pas trop ou tu ne dureras pas.
Suzon me murmure :
- Lili n’a rien à craindre, Jules n’est pas impuissant, il est stérile: il assure avec ses muscles, fait illusion, mais cela fait sept ans qu’il me fait jouir et reste incapable de me faire un enfant. Il est surtout fort en gueule et il paiera sa dette un jour. Toi au moins tu as fait ta fille.
- Je le croyais jusqu’à ce jour. Je suis moins sûr aujourd’hui d’être son père. Qui me prouvera que j’assiste actuellement au premier écart de ma salope ? Combien d’autres ont pu coucher avec elle.
Jules joue à l’expert :
- En baise, tu es comme un diesel, je viens de le constater. Tu démarres lentement, tu montes en régime, tu ronronnes longtemps avant de finir en puissance. C’est la raison de ma présence, n’est-ce pas ? Monsieur ne veut pas t’engrosser, se retire trop tôt et te laisse sur ta faim. Tu as joui si fort avec moi. C’est autre chose, qualité garantie. Tu t’es rattrapée aujourd’hui, hein ma cochonne. Ça te manquait d’aller jusqu’au bout. Compte sur moi, tu seras heureuse !
- Merci, mais essuie-moi. Ma relation avec Jean est du domaine de l’intime. Ne sois pas indiscret, ne cherche pas à en savoir davantage, tu me fâcherais. Mon mari et moi nous entendons. Mais, pour toi, pas de capote égalera pas de baise, tu comprends ?
- Ne t’en fais pas, dans une semaine j’aurai des capotes et je te donnerai tout le plaisir que tu mérites. Tu reconnaîtras que je suis le meilleur. Jean est en péril.
- Pourquoi comparer sans cesse. C’est une manie à perdre. Prends ce que je te donne. Hé ! Tu es bon, mais j’espère que ce n’est pas terminé pour cet après-midi. Nous avons encore du temps avant le retour de Jean. Tu es fort, tu sais t’y prendre, es-tu assez endurant pour répondre à la demande ? Cela reste à prouver. Tiens, j’ai acheté une boîte de préservatifs, des moyens, ils doivent correspondre à ta pointure. Viens, je t’en enfile un.
- Une taille moyenne, est-ce suffisant ?
- Quel prétentieux ! Tu es normal, mon ami. Pour une fois tu as tort de te prendre pour un éléphant et, puisque tu aimes les comparaisons, sache que Jean est légèrement mieux membré que toi. Ne te désole pas, l’important est de savoir se servir de son outil.
- Ah ! Tu admets mon adresse. Jean est donc maladroit.
- Jean est très habile également. Assez ergoté ! Présente ton instrument….Bien , tu vois tu as dans le tube toute la place nécessaire à un développement. Couche-toi sur le dos et laisse-moi mener la course. J’ai acquis avec mon mari de quoi te requinquer. Tiens-toi droit. Prêt ?
J’occupe dans l’esprit de Lili une place importante, je sers de référence. Mais ce n’est pas ce qui la retient. Elle connaît certaines de mes qualités, c’est insuffisant pour arrêter l’adultère, c’est donc inutile. De même l’amitié de Jules pour moi est sans conséquence sur son comportement actuel :
Oui, prêt. C’est là, plus en arrière. Va…laisse-toi descendre, je plie mais ne romps pas. C'est délicieux, vachement bon.
Suzon reprend la position d’observatrice penchée en avant et s’amuse à frotter son arrière train sur mon zizi. Qu’elle continue comme ça et je vais plier les genoux, me placer au bon niveau et lui accorder immédiatement la faveur qu’elle réclamait, la pénétrer et la limer. A la première tentative, elle envoie une main vers ses arrières et d’une tape m’éloigne de son intimité. Elle murmure:
- Lili regarde vers le chevet du lit. Attendons. Je veux faire une entrée remarquée. Lili mène un train d’enfer. Elle est douée. Vous devez passer du bon temps. Jules tire sur les fesses. Ta femme a un anus profond au bout d’un cratère large. Vous pratiquez la sodomie ? Tu aimes ça ?
- Je ne peux pas dire, Lili la refuse.
- Tiens, comme c’est étrange. Les apparences sont trompeuses alors. A voir son anus et les contours j’aurais cru à une déviance assez répandue aux dires de Jules. Avec Jules elle devra se débattre pour garder sa virginité anale.. Moi je déteste me faire enculer. Jeune marié Jules a essayé une ou deux fois, ça m’a fait trop mal, sans compter que j’ai attrapé une diarrhée carabinée ces jours là. Jules râle depuis que je le rembarre quand il tente d’aborder mon cul. Je suis intraitable sur le chapitre.
Tiens, dans sa précipitation,Lili a fait un bond trop grand et elle a perdu la queue de mon époux. Enfin, elle pivote, effectue un 180 degrés. Elle appuie ses mains sur les chevilles de Jules, lève son popotin au-dessus du mât et conseille
- Jules, vise bien ma fente.
Tout à coup ma femme proteste :
-Pas mon cul, Jules. Non, pas mon cul. Tu ne fais pas la différence entre une vulve et un anus ? C’est quoi ça ?
- Mon petit doigt, ne me raconte pas qu’il te fait mal, je l’ai sucé avant de le placer sur ta pastille. Il sonde ton joli cul, cherche à établir s’il est accueillant.
- Ton ongle m’écorche la peau. Tu tiens vraiment à me mettre un doigt ? Jure-moi que tu arrêteras de l’enfoncer si je le demande. Ça glissera mieux avec une goutte de cyprine. J’ai peur
- Je jure de ne pas insister en cas de douleur. Fais-moi plaisir. Mais qu’est-ce que vous avez toutes ? Qui vous a mis dans la tête que la sodomie est contre nature ? Tu es comme Suzon. Je te croyais plus libérée que ma paysanne. Jean ne te prend jamais par derrière ? Ce n’est pas croyable ce que vous êtes arriérés.
- Exceptionnellement je veux bien tenter l’aventure. Parce que c’est toi. Oh ! Comme c’est drôle.
- Oui, mais ça passe. Tu ne dis rien, tu supportes bien, bravo? Pourtant tu as deux doigts maintenant. Alors rends-toi à l’évidence, ton sphincter est souple, tu es prédisposée à devenir la grande prêtresse de la sodomie. Ah ! Quel cul !
- Ce n’est pas possible. C’est moins pénible que prévu. C’est permis ?
- Pas par ton curé. Mais c’est recommandé pour cimenter les couples. Ce n’est pas douloureux quand on n’a pas de prévention. Veux-tu essayer avec ma pine ? Je garde le préservatif chargé de ton jus quoique tu ne coures aucun risque de grossesse. Ma tige va passer comme une lettre à la poste dans ton intestin.
- Tu me fais faire n’importe quoi. grand fou. Essayons. Voilà, tu auras un avantage sur Jean, celui de m’avoir persuadée que j’avais des dispositions naturelles pour admettre des sexes masculins dans mon derrière.
- Des ? Ho, combien ? Ce sera ma concession, à la rigueur j’admettrai que Jean y fasse parfois une incursion lorsque tu le souhaiteras.
Jules parle en maître.
- Descends tes fesses. Tout droit. Tu me sens ouvrir ta petite porte ? Doucement, laisse ton poids te porter vers le bas, cool.
- Oh ! Aïe. Va doucement. Pas douloureux as-tu dit. Hum... C’est gênant.
- La première fois c’est parfois difficile, mais pas insurmontable. Tu arrives au bout, mon engin a disparu dans ton trou. Ne bouge pas, habitue-toi à sa présence. Dans deux minutes tu te mettras mécaniquement en mouvement, tu monteras et descendras le long de ma colonne et le plaisir te terrassera.
- Pourvu que tu dises vrai. Merci, tu as su me rassurer. Ce soir je ferai plaisir à Jean, il sera étonné de me sentir m’embrocher sur lui. Pousse mes fesses vers le haut, aide-moi à décoller. On recommence. Tu me soulèves puis je retombe. C’est moyennement bon.
- Ce sera meilleur après plusieurs séances. Fais le mouvement sans mon aide, lève bien ton joli cul. Pour accélérer l’éclosion du plaisir, je te frotte le clitoris.
- Pas trop fort ou je vais jouir trop vite. C’est ça, jouir du cul ?
- Tu as connu le vocabulaire avant la pratique. Garde ton souffle, avance au trot. Oui, encore, au trot… au trot… au galop.
Suzon me regarde pâlir de rage, hoche la tête et commente :
- Il l’a ensorcelée. Il te suffira désormais de vouloir et tout te sera permis. Il y a du bon dans cette expérience. A toi de savoir en cueillir les fruits. Il est temps de me montrer. Courage, observe attentivement la suite. Sois patient je t’appellerai quand je jugerai le moment venu. Rince-toi l’œil, c’est gratuit; mais ne te montre pas trop vite, tu ferais échouer mon stratagème.
Ce qui m’excite le plus, ce ne sont pas les encouragements de Lili à son amant Jules. Ma fureur d’être ravalé au rang de mari cocu, aurait surtout tendance à me faire baisser pavillon. Mon orgueil de mâle est atteint parce que je suis trompé et parce que je ne m’y attendais pas : ma verge est en berne. A l’entendre Lili m’aime, Lili veut continuer à partager ma vie. La brèche de l’adultère du vendredi après-midi ne la perturbe pas : ce sera une exception en faveur de mon meilleur ami. Si je comprends bien, pour Lili cela ne constitue pas un adultère ! Elle ne voit rien de choquant, cela se passe entre amis, presque en famille. La relation cependant doit rester secrète ! Cherchez l'erreur. N’est-ce pas le signe que sa conscience n’est pas aussi tranquille qu’il y paraît ? Elle me garde une exclusivité relative durant le reste de la semaine. Cette annonce étouffe chez elle d’éventuels remords; comme est vertueux à ses yeux le choix de mon meilleur ami en qualité d’amant.
Ainsi Lili est-elle à l’aise au moment de se donner au mari de Suzon. Le traître exploite au mieux notre lien d’amitié ancienne et il se jette à l’assaut du corps de ma femme, peu soucieux d’être marié ou de trahir notre longue amitié. Puisque cette femme l’invite à copuler, il la pénètre et cela s‘entend , il marche sur tous les principes sans vergogne, il saisit l’occasion offerte bien que cette relation doive se limiter à un rapport sexuel par semaine. « C’est toujours ça de pris » estime-t-il.
Je conserve certes une exclusivité partielle du corps et du cœur de sa femme, en dehors du rendez-vous hebdomadaire du vendredi, accordé par Lili à mon meilleur ami . Quoi ? Etre le préféré de ma femme, mais devoir partager sentiments et amour physique avec un homme marié sans respect pour ses liens d’amitié anciens, cela me répugne et me révolte. Il en serait de même pour n’importe quel autre d’ailleurs, cette trahison ne me convient pas du tout. Le choix de Jules pour moi est le pire des choix envisageables. Seul le sang froid de Suzon me fait avaler provisoirement la couleuvre. Son regard compatissant et serein suffit à me convaincre de patienter. Comment supporte-t-elle l'insulte de son sort de femme trompée? Elle demeure stoïque. Quel caractère solide !
Dans ma chambre les amants s’unissent, l’adultère, après le 69, est consommé par pénétration. Intervenir un peu plutôt ou un peu plus tard n’a plus grande importance; désormais : il sera toujours trop tard. mes cornes sont plantées sur mon front à jamais. Lili a fait un choix, elle assumera, je n’accepterai pas ses arguments. Garder le secret, aller jusqu’à faire l’amour avec moi juste avant de recevoir Jules pour forniquer avec lui et taire à son amant qu’elle sort de mes bras couverte de mon sperme relève d’un goût très fort pour une culture perverse du secret. Or quelle confiance lui accorder à l’avenir quand on découvre soudain ce désordre mental?
A cet instant de désarroi, de colère et de désespoir, je suis nu en face de Suzon nue, si bellement nue. Je suis décidé à suivre ses recommandations, non que j’espère regagner Lili, mais parce que Suzon m’inspire confiance, elle; aussi parce qu’elle a souhaité me donner de l’amour. Nous nous aimions, il y a des années, nous nous étions livrés à des jeux d’ados, de découverte de nos corps en devenir, mais nous ne nous étions jamais retrouvés complètement nus en face à face. Il aura fallu l’infidélité de nos conjoints pour connaître cette situation exceptionnelle. Tout ce contexte et sa façon gentille de me rappeler le passé ont vaincu ma retenue naturelle et m’ont mis en érection. Suzon, femme mûre, est belle, si désirable. Son corps nu mérite toute mon attention. Elle me regarde avec attendrissement admirer ses seins, la minceur de sa taille au-dessus du rebond des hanches ou encore la touffe qui abrite son sexe.
Elle sait que ce n’est pas le moment de céder à la tentation de s’étreindre et de s’unir, à cette tentation violente qui fait dresser ma verge ou qu’elle a ressentie lorsqu’elle a quémandé, dans un élan d’amour, la promesse de nous aimer charnellement. Elle veut gagner ma reconnaissance avant toute récompense. Elle décide de passer à l’action, attaque la montée d 'escalier, sur la pointe des pieds, afin de ne pas faire de bruit prématuré. Je la suis.
Le mouvement gracieux des jambes et des fesses qui dansent devant moi, les gémissements amoureux des deux autres sur mon lit, me font perdre la tête. J'arrive à mi escalier, un mouvement réflexe, incontrôlable, porte ma main entre les cuisses de mon alliée, sur la vulve de Suzon et bloque notre progression. Ce mouvement devrait la surprendre, pourrait lui arracher un cri. Suzon pose son pied, se tourne vers moi, me montre un visage radieux. Je parierais qu’elle attendait ou espérait mon égarement. Un index barre ses lèvres, des étoiles traversent son regard heureux. Elle me fait « gare, gare » de l’index et attend que son calme et son autorité affichée délivre son sexe de l’emprise de ma main folle. J’ai compris, je retire mon majeur des chairs humides où il s’était introduit. De la tête elle me fait signe de continuer à monter. La croupe devant moi reprend son merveilleux manège. Ma verge est douloureuse.
Entre la dernière marche et la porte de la chambre la surface sur le palier peut difficilement accueillir deux personnes. Suzon s’arrête, je la rejoins si bien que mes côtes se collent à ses omoplates, mon nombril rencontre sa colonne vertébrale et ma verge dure se plaque dans la raie entre les fesses provocatrices. Mes mains s’accrochent aux deux seins. Mais ce n’est pas complètement pour assurer mon équilibre, je me tiens et je caresse. Suzon maîtrise ses frissons, tourne la tête, me sourit canaille et me vole un rapide baiser.
Nous voilà tout près des amants. Lili halète de plus en plus vite. Jules est à l’effort, le sommier bat la cadence et ne m’a jamais semblé aussi indiscret. Suzon se penche lentement afin d’évaluer l’avancement du rapport sexuel. Sa tête avance, sa croupe recule. Je pourrais redescendre d’une marche. Ma verge repose un peu trop haut, ne peut pas glisser dans la moule tendue trop bas. Il ne manquerait plus que ça pour que nous ne forniquions sur place et dénoncions notre présence. Suzon se redresse et dit tout bas :
- Elle sur le dos, Jules , missionnaire, lime vite, ce sera bientôt fini. C’est du morse !
J’ai du mal à entendre ses paroles car la passion qui unit les amants devient bruyante. Aux grognements de l’homme répondent les gémissements plaintifs qui accompagnent l’orgasme de ma femme. Le silence succède à l’emballement final. Les respirations s’apaisent et Jules joue classique :
- Alors, heureuse ?
Plus éprouvée par la charge, Lili tarde à répondre:
- C’était fameux. Je ne me suis pas trompée, tu es un bon coup. Je t’embrasse.
- Merci. Alors j’ai réussi mon examen de passage ?
- Oui, je t’embaucherai vraisemblablement en contrat à durée indéterminée, à condition que tu restes performant. Reviens tous les vendredis, ne te mêle pas de trouver le pourquoi de l’honneur que je te fais si tu veux garder l’emploi.
- Quel bonheur. Mon rêve s’accomplit.
- C’est un bon début. Passe-moi la serviette qui est sur la chaise, ou plutôt, essuie le sperme qui sort, fuit mon vagin et qui coule dans ma raie. A l’avenir il faudra penser à amener des préservatifs. Je ne tiens pas à me retrouver en cloque aussitôt après un accouchement.
- D’accord, je pensais en emprunter à Jean. Je n’en ai pas trouvé dans le tiroir de sa table de nuit. Il n’en met pas ou il se retire à chaque fois? Ce doit être frustrant pour lui et principalement pour toi de pratiquer le coït interrompu. En se retirant avant d’éjaculer pour éviter un petit, il peut ne pas te faire jouir certaines fois. Hein ?
- Tu as l’imagination féconde. Tu aurais dû imaginer que tu aurais besoin d’une protection. J’aurais apprécié la précaution. Mais une fois encore, baise et ne réfléchis pas trop ou tu ne dureras pas.
Suzon me murmure :
- Lili n’a rien à craindre, Jules n’est pas impuissant, il est stérile: il assure avec ses muscles, fait illusion, mais cela fait sept ans qu’il me fait jouir et reste incapable de me faire un enfant. Il est surtout fort en gueule et il paiera sa dette un jour. Toi au moins tu as fait ta fille.
- Je le croyais jusqu’à ce jour. Je suis moins sûr aujourd’hui d’être son père. Qui me prouvera que j’assiste actuellement au premier écart de ma salope ? Combien d’autres ont pu coucher avec elle.
Jules joue à l’expert :
- En baise, tu es comme un diesel, je viens de le constater. Tu démarres lentement, tu montes en régime, tu ronronnes longtemps avant de finir en puissance. C’est la raison de ma présence, n’est-ce pas ? Monsieur ne veut pas t’engrosser, se retire trop tôt et te laisse sur ta faim. Tu as joui si fort avec moi. C’est autre chose, qualité garantie. Tu t’es rattrapée aujourd’hui, hein ma cochonne. Ça te manquait d’aller jusqu’au bout. Compte sur moi, tu seras heureuse !
- Merci, mais essuie-moi. Ma relation avec Jean est du domaine de l’intime. Ne sois pas indiscret, ne cherche pas à en savoir davantage, tu me fâcherais. Mon mari et moi nous entendons. Mais, pour toi, pas de capote égalera pas de baise, tu comprends ?
- Ne t’en fais pas, dans une semaine j’aurai des capotes et je te donnerai tout le plaisir que tu mérites. Tu reconnaîtras que je suis le meilleur. Jean est en péril.
- Pourquoi comparer sans cesse. C’est une manie à perdre. Prends ce que je te donne. Hé ! Tu es bon, mais j’espère que ce n’est pas terminé pour cet après-midi. Nous avons encore du temps avant le retour de Jean. Tu es fort, tu sais t’y prendre, es-tu assez endurant pour répondre à la demande ? Cela reste à prouver. Tiens, j’ai acheté une boîte de préservatifs, des moyens, ils doivent correspondre à ta pointure. Viens, je t’en enfile un.
- Une taille moyenne, est-ce suffisant ?
- Quel prétentieux ! Tu es normal, mon ami. Pour une fois tu as tort de te prendre pour un éléphant et, puisque tu aimes les comparaisons, sache que Jean est légèrement mieux membré que toi. Ne te désole pas, l’important est de savoir se servir de son outil.
- Ah ! Tu admets mon adresse. Jean est donc maladroit.
- Jean est très habile également. Assez ergoté ! Présente ton instrument….Bien , tu vois tu as dans le tube toute la place nécessaire à un développement. Couche-toi sur le dos et laisse-moi mener la course. J’ai acquis avec mon mari de quoi te requinquer. Tiens-toi droit. Prêt ?
J’occupe dans l’esprit de Lili une place importante, je sers de référence. Mais ce n’est pas ce qui la retient. Elle connaît certaines de mes qualités, c’est insuffisant pour arrêter l’adultère, c’est donc inutile. De même l’amitié de Jules pour moi est sans conséquence sur son comportement actuel :
Oui, prêt. C’est là, plus en arrière. Va…laisse-toi descendre, je plie mais ne romps pas. C'est délicieux, vachement bon.
Suzon reprend la position d’observatrice penchée en avant et s’amuse à frotter son arrière train sur mon zizi. Qu’elle continue comme ça et je vais plier les genoux, me placer au bon niveau et lui accorder immédiatement la faveur qu’elle réclamait, la pénétrer et la limer. A la première tentative, elle envoie une main vers ses arrières et d’une tape m’éloigne de son intimité. Elle murmure:
- Lili regarde vers le chevet du lit. Attendons. Je veux faire une entrée remarquée. Lili mène un train d’enfer. Elle est douée. Vous devez passer du bon temps. Jules tire sur les fesses. Ta femme a un anus profond au bout d’un cratère large. Vous pratiquez la sodomie ? Tu aimes ça ?
- Je ne peux pas dire, Lili la refuse.
- Tiens, comme c’est étrange. Les apparences sont trompeuses alors. A voir son anus et les contours j’aurais cru à une déviance assez répandue aux dires de Jules. Avec Jules elle devra se débattre pour garder sa virginité anale.. Moi je déteste me faire enculer. Jeune marié Jules a essayé une ou deux fois, ça m’a fait trop mal, sans compter que j’ai attrapé une diarrhée carabinée ces jours là. Jules râle depuis que je le rembarre quand il tente d’aborder mon cul. Je suis intraitable sur le chapitre.
Tiens, dans sa précipitation,Lili a fait un bond trop grand et elle a perdu la queue de mon époux. Enfin, elle pivote, effectue un 180 degrés. Elle appuie ses mains sur les chevilles de Jules, lève son popotin au-dessus du mât et conseille
- Jules, vise bien ma fente.
Tout à coup ma femme proteste :
-Pas mon cul, Jules. Non, pas mon cul. Tu ne fais pas la différence entre une vulve et un anus ? C’est quoi ça ?
- Mon petit doigt, ne me raconte pas qu’il te fait mal, je l’ai sucé avant de le placer sur ta pastille. Il sonde ton joli cul, cherche à établir s’il est accueillant.
- Ton ongle m’écorche la peau. Tu tiens vraiment à me mettre un doigt ? Jure-moi que tu arrêteras de l’enfoncer si je le demande. Ça glissera mieux avec une goutte de cyprine. J’ai peur
- Je jure de ne pas insister en cas de douleur. Fais-moi plaisir. Mais qu’est-ce que vous avez toutes ? Qui vous a mis dans la tête que la sodomie est contre nature ? Tu es comme Suzon. Je te croyais plus libérée que ma paysanne. Jean ne te prend jamais par derrière ? Ce n’est pas croyable ce que vous êtes arriérés.
- Exceptionnellement je veux bien tenter l’aventure. Parce que c’est toi. Oh ! Comme c’est drôle.
- Oui, mais ça passe. Tu ne dis rien, tu supportes bien, bravo? Pourtant tu as deux doigts maintenant. Alors rends-toi à l’évidence, ton sphincter est souple, tu es prédisposée à devenir la grande prêtresse de la sodomie. Ah ! Quel cul !
- Ce n’est pas possible. C’est moins pénible que prévu. C’est permis ?
- Pas par ton curé. Mais c’est recommandé pour cimenter les couples. Ce n’est pas douloureux quand on n’a pas de prévention. Veux-tu essayer avec ma pine ? Je garde le préservatif chargé de ton jus quoique tu ne coures aucun risque de grossesse. Ma tige va passer comme une lettre à la poste dans ton intestin.
- Tu me fais faire n’importe quoi. grand fou. Essayons. Voilà, tu auras un avantage sur Jean, celui de m’avoir persuadée que j’avais des dispositions naturelles pour admettre des sexes masculins dans mon derrière.
- Des ? Ho, combien ? Ce sera ma concession, à la rigueur j’admettrai que Jean y fasse parfois une incursion lorsque tu le souhaiteras.
Jules parle en maître.
- Descends tes fesses. Tout droit. Tu me sens ouvrir ta petite porte ? Doucement, laisse ton poids te porter vers le bas, cool.
- Oh ! Aïe. Va doucement. Pas douloureux as-tu dit. Hum... C’est gênant.
- La première fois c’est parfois difficile, mais pas insurmontable. Tu arrives au bout, mon engin a disparu dans ton trou. Ne bouge pas, habitue-toi à sa présence. Dans deux minutes tu te mettras mécaniquement en mouvement, tu monteras et descendras le long de ma colonne et le plaisir te terrassera.
- Pourvu que tu dises vrai. Merci, tu as su me rassurer. Ce soir je ferai plaisir à Jean, il sera étonné de me sentir m’embrocher sur lui. Pousse mes fesses vers le haut, aide-moi à décoller. On recommence. Tu me soulèves puis je retombe. C’est moyennement bon.
- Ce sera meilleur après plusieurs séances. Fais le mouvement sans mon aide, lève bien ton joli cul. Pour accélérer l’éclosion du plaisir, je te frotte le clitoris.
- Pas trop fort ou je vais jouir trop vite. C’est ça, jouir du cul ?
- Tu as connu le vocabulaire avant la pratique. Garde ton souffle, avance au trot. Oui, encore, au trot… au trot… au galop.
Suzon me regarde pâlir de rage, hoche la tête et commente :
- Il l’a ensorcelée. Il te suffira désormais de vouloir et tout te sera permis. Il y a du bon dans cette expérience. A toi de savoir en cueillir les fruits. Il est temps de me montrer. Courage, observe attentivement la suite. Sois patient je t’appellerai quand je jugerai le moment venu. Rince-toi l’œil, c’est gratuit; mais ne te montre pas trop vite, tu ferais échouer mon stratagème.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Accent
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...