LINGERIE FINE lingerie coquine 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LINGERIE FINE lingerie coquine 1
LINGERIE FINE lingerie coquine
Lili est étrangement distraite depuis quelque temps. Là, je descends de voiture devant la porte de mon garage et je remarque que ma trentenaire a coincé dans le bas de la fenêtre de notre chambre à coucher, au premier étage, un chiffon rouge difforme. Elle a oublié cet objet vraiment peu décoratif au cours de sa chasse perpétuelle aux poussières. Second signe de distraction, Lili ne m’attend pas comme d’habitude sur le seuil de la porte d’entrée. C’est une première. Mais elle n’a pas complètement oublié que je rentre pour mon repas de midi avant de retourner au travail jusqu’à dix-sept heures trente, car , debout devant la porte principale, j’entends sa voix :
- Entre, chéri ! J’ai relevé le courrier et je n’ai pas fermé à clé. Pousse.
Je pousse la porte, me retrouve dans le vestibule, au pied de l’escalier; la voix de Lili vient de l’étage, je lève les yeux et je suis surpris.
Ma femme en haut de l’escalier tourne lentement sur elle-même, quasi nue ! Voilà pourquoi elle n’est pas venue m’accueillir, elle s’exhibe, tout à fait exceptionnellement, sur le palier, en pleine lumière,dans une tenue peu commune dans une rue ou même dans une allée de jardin. Montée sur talons hauts, Lili est vêtue d’un petit soutien gorge à balconnets dont dépassent au milieu des aréoles larges de nourrice, entre autres chairs bronzées, les deux tétins bruns qu’elle caresse d’un index mouillé entre ses lèvres. A la taille le porte jarretelles glisse ses bretelles sous un mini string et soutient deux bas assortis, à couture bien visible du haut en bas de ses longues jambes et terminés par une large bordure de dentelle. collée à la cuisse élégante. La blancheur des tissus et dentelles met en évidence le bronzage acquis sous le soleil de nos dernières vacances, dans la douleur stoïquement assumée
- Alors, qu’en dis-tu ? Me lance-t-elle avec un sourire rayonnant relevé par un rouge à lèvres agressif et un maquillage très voyant
Avant de commenter, je veux examiner de plus près, je gravis une marche.
- Non, reste en bas. Regarde bien et dis-moi si je te plais.
En réalité, je suis estomaqué. Jamais Lili ne s’est montrée aussi aguicheuse, je tombe des nues devant le spectacle offert. Ma femme est naturellement belle, c’est ce qui m’a attiré en premier lorsque je l’ai vue pour la première fois. Les artifices minuscules dont elle s’est parée aujourd’hui sortent vraiment de l’ordinaire, ne ressemblent pas à ce qu’elle m’a montré jusqu’à aujourd’hui. Quelle mouche l’a piquée ? C’est surprenant mais intéressant ! Elle s’impatiente pourtant elle continue à pivoter et à faire rouler ses hanches et ses fesses pratiquement dénudées, alourdies par la grossesse récente à laquelle nous devons le bonheur de quatre mois qu’est notre fille Anne.
-J’attends ta réponse. Alors, ma surprise te fait-elle plaisir ? Me trouves-tu désirable ou non? J’ai fait ça pour toi. Dis, mon amour, tu aimes, ça te donne envie ?
Malgré mon étonnement, je réussis à cacher mon trouble et à répondre,
- Euh ! Mais, ma chérie, tu es toujours magnifique, admirable et désirable, tu le sais.
- Vraiment , Sois sincère, je serais si désolée de te déplaire. Jure-moi que tu n’es pas offusqué. Est-ce que je t’excite, comme ça ? Ça te fait de l’effet ? Oui, là où tu regardes; oui, dans ton pantalon? Hum ? Tu as perdu ta langue ?
- Ma coquine ! . Si tu t’es donné autant de mal pour me séduire, tu as réussi ton coup. Nue aussi tu provoquerais un raidissement en cet endroit, tu me connais. Eh ! Oui, je t’aime quelle que soit la présentation. J’adore le contenu avant tout, cependant voilà un contenant audacieux et agréable à observer Merci pour cette tentative heureuse de renouvellement
- Je suis ravie d’entendre ton avis. J’avais un peu peur de te choquer. J’ai eu une idée extravagante pour réveiller un peu ta libido.
- Ma libido ? Qu’est-ce qu’elle a ma libido ? Aurais-tu à te plaindre d’une baisse de régime, de moins d‘activité amoureuse de ton époux ? Mais ma libido se porte bien me semble-t-il. Veux-tu que je te le prouve sur le champ. Attends que je monte, tu verras l’effet de ta surprise sur ma libido. Ma libido n’est pas plus défaillante ce midi qu’hier soir. As-tu déjà oublié notre soirée?
- Non, mon amour. Tu as été formidable hier au coucher. Mais pourquoi ne pas pimenter un peu nos sentiments et nos rapports. Ne t’inquiète pas, tu es parfait dans ton rôle de mari.
- Mon rôle de mari ? Je suis toujours disposé à le jouer à fond et au fond de toi ! J’arrive pour te montrer ma réaction au piment. Prépare-toi à bénéficier du retour sur investissement. Mais que vois-je en approchant ?
- Va doucement et découvre ce que tu ne remarquais pas d’en bas. Approche et touche s’il le faut. Lulu, l’apprentie de Claudie ma coiffeuse, prépare son CAP. Je lui prête ma tête pour son entraînement, elle vient de me peigner : La petite est douée et me peigne gratuitement. Elle s’exerce aussi aux soins du visage et du corps et, ce matin, j’ai osé sortir des sentiers battus : j’ai accepté un maquillage appuyé et moins discret. De plus, mais puis-je le dire ? Dis, tu ne te fâcheras pas, au moins ?
- Pourquoi me fâcherais-je ? Allez parle, tu es trop belle pour me contrarier; j’ai autre chose en tête.
- Tu vois mon string ?
- Oui, bien sûr ? Il est un peu petit et révèle effectivement les formes de ta vulve, se creuse et marque ta fente. Ah ! A mi vulve il disparaît même entre tes lèvres, tu parais encore plus nue que nue avec la ficelle qui écarte tes grandes lèvres pour se loger entre elles. Ça doit frotter sur ton clitoris déjà si sensible non ?
- C’est tout ce que tu remarques. Regarde mieux.
Lili passe un doigt sous le triangle étroit censé cacher son pubis et m’interroge du regard avec un peu de gêne:
- Là, tu vois ?
- Ah ! Mais il n’y a plus rien à voir. Sinon un mont chauve. Si ; tes si jolies bouclettes, tes friselis, envolés partis. Ho ! Ho ! Ton ventre ressemble à celui de notre petite Anne. Tu es épilée ou rasée? Quel saccage, quelle idée bizarre. Oui, je suis déçu; j’aimais tellement ta toison pubienne, mes doigts se mêlaient si volontiers à ces poils et avec délices. Et leur odeur s’en est allée avec eux. Tu aurais pu me consulter
- C’est bien ce que je craignais, tu n’apprécies pas. Mais tu verras, quand nous ferons l’amour tu ne pourras plus blesser ton gland sur un poil mal placé en travers de ta route. Et ça repousse, tu verras grandir les nouveaux si tu insistes. Mon maquillage n’est-il pas outrancier ? Lulu se fait la main, ne domine pas encore le sujet. Ça fait peut-être un peu pute ? Oui ? Non ?
- Ce n’est pas très discret et c’est si contraire à tes habitudes. Pute ? Tu as sans doute raison, c’est très voyant, criard, au bord de la provocation. Bof, de la fantaisie parfois c’est bon, ça agrémente ou , comme tu le dis, ça pimente les relations dans un couple heureux.
- Tu le penses aussi ? Ouf ! Tout ne peut pas être parfait du premier coup. M’en veux-tu d’avoir permis à Lulu de s’entraîner ?
- Que non ; puisque ton accoutrement et l’épaisseur de la couche de crèmes, de pommades et d’autres ingrédients autour des yeux te confèrent un charme nouveau et terriblement émoustillant. Je me sens gonfler et tu vas en profiter sans attendre. Ah, ce string si indiscret, comme il me fait bander. Mais, mais, .. il se divise en deux dans l’étroitesse de ton sexe. Mon doigt sépare les deux bandelettes et touche ton puits d’amour tout humide et brûlant
- Arrête, cesse de remuer ton doigt dans mon vagin. Pas maintenant, s’il te plaît; le repas est prêt et refroidirait. Attends ce soir, ta patience sera récompensée.
- Tu me demandes l’impossible. Après avoir allumé le feu, tu fuis ? Le repas se réchauffera plus vite que ne pourrait baisser l’intensité de mes envies. Viens dans la chambre et éteins naturellement l’incendie que tu as propagé dans mon sang.
- Ce n’est pas raisonnable. Tu vas te mettre en retard. Et tu vas démolir ma coiffure à peine terminée. Enfin dans ta fougue tu risquerais de déchirer ou souiller ma lingerie fine toute neuve.
- Où est le problème ? C’est vrai, je n’avais jamais vu cet ensemble blanc. C’est sans doute très cher ? Si je l’abîme, je t’en offrirai un autre, n’aie pas peur. Plutôt noir ou rouge, ce sera moins salissant.
- Je ne sais pas ce que cela vaut, c’est un cadeau !
- Un cadeau ? Oh ! Quelqu’un te fait des cadeaux de ce genre. Tiens, j’aurais cru que ce type de cadeaux était réservé aux maris. Il faudra que j’y pense, je n’aurai plus à me creuser la tête en certaines circonstances. Un string pratique, avec ouverture pour laisser passer le petit oiseau, hé, hé : « Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux », un soutien gorge qui ressemble plus à un présentoir qu’à un soutien réel, un porte jarretelle pour marquer la minceur de la taille et maintenir les bas sans plis. J’aurais dû y penser depuis longtemps ! Je retiendrai la leçon
- Tu as raison. Merci de t’en rendre enfin compte ! Ne fais pas cette tête, ce n’est pas ce que tu soupçonnes. Mon amie Claudie en vend dans son salon. C’est Lulu, l’apprentie, qui m’a offert cet échantillon gratuit de la part de sa patronne, pour me remercier du service que je leur rends. Voilà de quoi t’expliquer la valeur sentimentale que j’attache à ce lot de lingerie intime. Ce soir je retirerai tout ça et tu feras de moi, tout ce que tu voudras, mon cher mari.
- Au diable le retard. Je ne peux plus repousser à plus tard ou à ce soir le moment de te prouver mon ardeur amoureuse. Nous aurons vite fait d’enlever tout de suite ces quelques millimètres carrés de lingerie fine. Tourne-toi, je sais retirer les agrafes, tu me l’as appris. Vite, plus de soutif, plus de porte jarretelles. Maintenant la double surprise, permets-moi de baisser le string, appuie tes mains sur mes épaules., laisse-moi faire.
- Grand fou ! Chéri, ne caresse pas trop fort mon pubis; le feu du rasoir de Lulu rend cette région très sensible.
- Hé ! Il faut souffrir pour être belle. Sous mes doigts je découvre la douceur soyeuse de ta peau, là devant et aussi, là dessous, sur la vulve, et sur les fesses. Ca me pousse à un jeu de mots éculé mais si adapté, tu as « la peau lisse au cul » mon amour. Je t ‘adore.
- Tu vois que tu changes d’avis, cela t’émeut et t’amuse. Pouvais-je espérer mieux ? Non, je ne regrette rien. Reste le problème de mes bas.
- Lève un pied, je roule le bas blanc, l’autre pied.
- Tu triches, tu me fourres un doigt quand je suis en déséquilibre sur une jambe. Ohhh!
- C’est tellement tentant de voir bâiller ta moule. Dis que mon doigt te blesse; Lulu n’a quand même pas fourré son rasoir ou son fer à friser dans ton sexe pour s’entraîner à mieux servir ses clientes? Elle serait déjà lesbienne ? Donnerais-tu dans ce genre d’aventures, tu m’inquiètes.
- Quel idiot tu fais. Oh! Non ! Chéri, c‘est trop bon. Cesse de baratter ma cramouille ou je vais pisser sur ta main. Non, c’est trop bon. Oh !
- Ce n’est jamais trop bon. Ne traînons plus. Allons au lit
- Mais, ma coiffure ? A peine réalisée, elle sera foutue.
- Réfléchis, tu n’es pas obligée de te coucher sur le dos. Je peux te foutre sans détruire ce bel agencement . La couche de spray garantit la solidité de la construction capillaire si précieuse. D’ailleurs si je te prends en levrette ta coiffure ne souffrira pas. Si je me couche sur le dos, tu m’enfourcheras sans défaire le montage auquel tu tiens tant; debout, que tu me montres ton nombril ou ton cul. Ensuite mains au mur, prise par derrière tu jouiras mais ta coiffure ne sera pas tellement secouée; debout encore, enfilée par devant ou de côté,une jambe en l’air, accrochée des deux bras à moi, ou à la rambarde, tu ne risqueras pas de te dépeigner. Et puis, quelle importance, même cheveux dépeignes, ce soir je t’aimerai toujours aussi fort.
- Puisque tu le veux. On serait peut-être mieux au salon, sur le canapé ou sur le tapis ou encore sur la table basse
- Peu importe le lieu, pourvu qu’on ait l’ivresse ! Choisis l’endroit et l’ordre des positions, je me sens disposé à accomplir des prouesses.
- Voilà la preuve que ma surprise paie. J’aurais dû attendre le soir pour la dévoiler. Le temps presse, tu vas bâcler l’ouvrage, c’est dommage. Va, assieds-toi dans ton fauteuil pour une fellation rapide, ça te permettra peut-être d’attendre ton retour du travail pour des exploits de qualité.
- Trop tard, ma belle. A genoux là. Viens, suce-moi. On verra la suite après. Prends-moi en bouche et mâche consciencieusement : « L’appétit vient en mangeant. » Lèche, suce, à toi d’agir et de compléter ton entreprise de séduction.
Lili est étrangement distraite depuis quelque temps. Là, je descends de voiture devant la porte de mon garage et je remarque que ma trentenaire a coincé dans le bas de la fenêtre de notre chambre à coucher, au premier étage, un chiffon rouge difforme. Elle a oublié cet objet vraiment peu décoratif au cours de sa chasse perpétuelle aux poussières. Second signe de distraction, Lili ne m’attend pas comme d’habitude sur le seuil de la porte d’entrée. C’est une première. Mais elle n’a pas complètement oublié que je rentre pour mon repas de midi avant de retourner au travail jusqu’à dix-sept heures trente, car , debout devant la porte principale, j’entends sa voix :
- Entre, chéri ! J’ai relevé le courrier et je n’ai pas fermé à clé. Pousse.
Je pousse la porte, me retrouve dans le vestibule, au pied de l’escalier; la voix de Lili vient de l’étage, je lève les yeux et je suis surpris.
Ma femme en haut de l’escalier tourne lentement sur elle-même, quasi nue ! Voilà pourquoi elle n’est pas venue m’accueillir, elle s’exhibe, tout à fait exceptionnellement, sur le palier, en pleine lumière,dans une tenue peu commune dans une rue ou même dans une allée de jardin. Montée sur talons hauts, Lili est vêtue d’un petit soutien gorge à balconnets dont dépassent au milieu des aréoles larges de nourrice, entre autres chairs bronzées, les deux tétins bruns qu’elle caresse d’un index mouillé entre ses lèvres. A la taille le porte jarretelles glisse ses bretelles sous un mini string et soutient deux bas assortis, à couture bien visible du haut en bas de ses longues jambes et terminés par une large bordure de dentelle. collée à la cuisse élégante. La blancheur des tissus et dentelles met en évidence le bronzage acquis sous le soleil de nos dernières vacances, dans la douleur stoïquement assumée
- Alors, qu’en dis-tu ? Me lance-t-elle avec un sourire rayonnant relevé par un rouge à lèvres agressif et un maquillage très voyant
Avant de commenter, je veux examiner de plus près, je gravis une marche.
- Non, reste en bas. Regarde bien et dis-moi si je te plais.
En réalité, je suis estomaqué. Jamais Lili ne s’est montrée aussi aguicheuse, je tombe des nues devant le spectacle offert. Ma femme est naturellement belle, c’est ce qui m’a attiré en premier lorsque je l’ai vue pour la première fois. Les artifices minuscules dont elle s’est parée aujourd’hui sortent vraiment de l’ordinaire, ne ressemblent pas à ce qu’elle m’a montré jusqu’à aujourd’hui. Quelle mouche l’a piquée ? C’est surprenant mais intéressant ! Elle s’impatiente pourtant elle continue à pivoter et à faire rouler ses hanches et ses fesses pratiquement dénudées, alourdies par la grossesse récente à laquelle nous devons le bonheur de quatre mois qu’est notre fille Anne.
-J’attends ta réponse. Alors, ma surprise te fait-elle plaisir ? Me trouves-tu désirable ou non? J’ai fait ça pour toi. Dis, mon amour, tu aimes, ça te donne envie ?
Malgré mon étonnement, je réussis à cacher mon trouble et à répondre,
- Euh ! Mais, ma chérie, tu es toujours magnifique, admirable et désirable, tu le sais.
- Vraiment , Sois sincère, je serais si désolée de te déplaire. Jure-moi que tu n’es pas offusqué. Est-ce que je t’excite, comme ça ? Ça te fait de l’effet ? Oui, là où tu regardes; oui, dans ton pantalon? Hum ? Tu as perdu ta langue ?
- Ma coquine ! . Si tu t’es donné autant de mal pour me séduire, tu as réussi ton coup. Nue aussi tu provoquerais un raidissement en cet endroit, tu me connais. Eh ! Oui, je t’aime quelle que soit la présentation. J’adore le contenu avant tout, cependant voilà un contenant audacieux et agréable à observer Merci pour cette tentative heureuse de renouvellement
- Je suis ravie d’entendre ton avis. J’avais un peu peur de te choquer. J’ai eu une idée extravagante pour réveiller un peu ta libido.
- Ma libido ? Qu’est-ce qu’elle a ma libido ? Aurais-tu à te plaindre d’une baisse de régime, de moins d‘activité amoureuse de ton époux ? Mais ma libido se porte bien me semble-t-il. Veux-tu que je te le prouve sur le champ. Attends que je monte, tu verras l’effet de ta surprise sur ma libido. Ma libido n’est pas plus défaillante ce midi qu’hier soir. As-tu déjà oublié notre soirée?
- Non, mon amour. Tu as été formidable hier au coucher. Mais pourquoi ne pas pimenter un peu nos sentiments et nos rapports. Ne t’inquiète pas, tu es parfait dans ton rôle de mari.
- Mon rôle de mari ? Je suis toujours disposé à le jouer à fond et au fond de toi ! J’arrive pour te montrer ma réaction au piment. Prépare-toi à bénéficier du retour sur investissement. Mais que vois-je en approchant ?
- Va doucement et découvre ce que tu ne remarquais pas d’en bas. Approche et touche s’il le faut. Lulu, l’apprentie de Claudie ma coiffeuse, prépare son CAP. Je lui prête ma tête pour son entraînement, elle vient de me peigner : La petite est douée et me peigne gratuitement. Elle s’exerce aussi aux soins du visage et du corps et, ce matin, j’ai osé sortir des sentiers battus : j’ai accepté un maquillage appuyé et moins discret. De plus, mais puis-je le dire ? Dis, tu ne te fâcheras pas, au moins ?
- Pourquoi me fâcherais-je ? Allez parle, tu es trop belle pour me contrarier; j’ai autre chose en tête.
- Tu vois mon string ?
- Oui, bien sûr ? Il est un peu petit et révèle effectivement les formes de ta vulve, se creuse et marque ta fente. Ah ! A mi vulve il disparaît même entre tes lèvres, tu parais encore plus nue que nue avec la ficelle qui écarte tes grandes lèvres pour se loger entre elles. Ça doit frotter sur ton clitoris déjà si sensible non ?
- C’est tout ce que tu remarques. Regarde mieux.
Lili passe un doigt sous le triangle étroit censé cacher son pubis et m’interroge du regard avec un peu de gêne:
- Là, tu vois ?
- Ah ! Mais il n’y a plus rien à voir. Sinon un mont chauve. Si ; tes si jolies bouclettes, tes friselis, envolés partis. Ho ! Ho ! Ton ventre ressemble à celui de notre petite Anne. Tu es épilée ou rasée? Quel saccage, quelle idée bizarre. Oui, je suis déçu; j’aimais tellement ta toison pubienne, mes doigts se mêlaient si volontiers à ces poils et avec délices. Et leur odeur s’en est allée avec eux. Tu aurais pu me consulter
- C’est bien ce que je craignais, tu n’apprécies pas. Mais tu verras, quand nous ferons l’amour tu ne pourras plus blesser ton gland sur un poil mal placé en travers de ta route. Et ça repousse, tu verras grandir les nouveaux si tu insistes. Mon maquillage n’est-il pas outrancier ? Lulu se fait la main, ne domine pas encore le sujet. Ça fait peut-être un peu pute ? Oui ? Non ?
- Ce n’est pas très discret et c’est si contraire à tes habitudes. Pute ? Tu as sans doute raison, c’est très voyant, criard, au bord de la provocation. Bof, de la fantaisie parfois c’est bon, ça agrémente ou , comme tu le dis, ça pimente les relations dans un couple heureux.
- Tu le penses aussi ? Ouf ! Tout ne peut pas être parfait du premier coup. M’en veux-tu d’avoir permis à Lulu de s’entraîner ?
- Que non ; puisque ton accoutrement et l’épaisseur de la couche de crèmes, de pommades et d’autres ingrédients autour des yeux te confèrent un charme nouveau et terriblement émoustillant. Je me sens gonfler et tu vas en profiter sans attendre. Ah, ce string si indiscret, comme il me fait bander. Mais, mais, .. il se divise en deux dans l’étroitesse de ton sexe. Mon doigt sépare les deux bandelettes et touche ton puits d’amour tout humide et brûlant
- Arrête, cesse de remuer ton doigt dans mon vagin. Pas maintenant, s’il te plaît; le repas est prêt et refroidirait. Attends ce soir, ta patience sera récompensée.
- Tu me demandes l’impossible. Après avoir allumé le feu, tu fuis ? Le repas se réchauffera plus vite que ne pourrait baisser l’intensité de mes envies. Viens dans la chambre et éteins naturellement l’incendie que tu as propagé dans mon sang.
- Ce n’est pas raisonnable. Tu vas te mettre en retard. Et tu vas démolir ma coiffure à peine terminée. Enfin dans ta fougue tu risquerais de déchirer ou souiller ma lingerie fine toute neuve.
- Où est le problème ? C’est vrai, je n’avais jamais vu cet ensemble blanc. C’est sans doute très cher ? Si je l’abîme, je t’en offrirai un autre, n’aie pas peur. Plutôt noir ou rouge, ce sera moins salissant.
- Je ne sais pas ce que cela vaut, c’est un cadeau !
- Un cadeau ? Oh ! Quelqu’un te fait des cadeaux de ce genre. Tiens, j’aurais cru que ce type de cadeaux était réservé aux maris. Il faudra que j’y pense, je n’aurai plus à me creuser la tête en certaines circonstances. Un string pratique, avec ouverture pour laisser passer le petit oiseau, hé, hé : « Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux », un soutien gorge qui ressemble plus à un présentoir qu’à un soutien réel, un porte jarretelle pour marquer la minceur de la taille et maintenir les bas sans plis. J’aurais dû y penser depuis longtemps ! Je retiendrai la leçon
- Tu as raison. Merci de t’en rendre enfin compte ! Ne fais pas cette tête, ce n’est pas ce que tu soupçonnes. Mon amie Claudie en vend dans son salon. C’est Lulu, l’apprentie, qui m’a offert cet échantillon gratuit de la part de sa patronne, pour me remercier du service que je leur rends. Voilà de quoi t’expliquer la valeur sentimentale que j’attache à ce lot de lingerie intime. Ce soir je retirerai tout ça et tu feras de moi, tout ce que tu voudras, mon cher mari.
- Au diable le retard. Je ne peux plus repousser à plus tard ou à ce soir le moment de te prouver mon ardeur amoureuse. Nous aurons vite fait d’enlever tout de suite ces quelques millimètres carrés de lingerie fine. Tourne-toi, je sais retirer les agrafes, tu me l’as appris. Vite, plus de soutif, plus de porte jarretelles. Maintenant la double surprise, permets-moi de baisser le string, appuie tes mains sur mes épaules., laisse-moi faire.
- Grand fou ! Chéri, ne caresse pas trop fort mon pubis; le feu du rasoir de Lulu rend cette région très sensible.
- Hé ! Il faut souffrir pour être belle. Sous mes doigts je découvre la douceur soyeuse de ta peau, là devant et aussi, là dessous, sur la vulve, et sur les fesses. Ca me pousse à un jeu de mots éculé mais si adapté, tu as « la peau lisse au cul » mon amour. Je t ‘adore.
- Tu vois que tu changes d’avis, cela t’émeut et t’amuse. Pouvais-je espérer mieux ? Non, je ne regrette rien. Reste le problème de mes bas.
- Lève un pied, je roule le bas blanc, l’autre pied.
- Tu triches, tu me fourres un doigt quand je suis en déséquilibre sur une jambe. Ohhh!
- C’est tellement tentant de voir bâiller ta moule. Dis que mon doigt te blesse; Lulu n’a quand même pas fourré son rasoir ou son fer à friser dans ton sexe pour s’entraîner à mieux servir ses clientes? Elle serait déjà lesbienne ? Donnerais-tu dans ce genre d’aventures, tu m’inquiètes.
- Quel idiot tu fais. Oh! Non ! Chéri, c‘est trop bon. Cesse de baratter ma cramouille ou je vais pisser sur ta main. Non, c’est trop bon. Oh !
- Ce n’est jamais trop bon. Ne traînons plus. Allons au lit
- Mais, ma coiffure ? A peine réalisée, elle sera foutue.
- Réfléchis, tu n’es pas obligée de te coucher sur le dos. Je peux te foutre sans détruire ce bel agencement . La couche de spray garantit la solidité de la construction capillaire si précieuse. D’ailleurs si je te prends en levrette ta coiffure ne souffrira pas. Si je me couche sur le dos, tu m’enfourcheras sans défaire le montage auquel tu tiens tant; debout, que tu me montres ton nombril ou ton cul. Ensuite mains au mur, prise par derrière tu jouiras mais ta coiffure ne sera pas tellement secouée; debout encore, enfilée par devant ou de côté,une jambe en l’air, accrochée des deux bras à moi, ou à la rambarde, tu ne risqueras pas de te dépeigner. Et puis, quelle importance, même cheveux dépeignes, ce soir je t’aimerai toujours aussi fort.
- Puisque tu le veux. On serait peut-être mieux au salon, sur le canapé ou sur le tapis ou encore sur la table basse
- Peu importe le lieu, pourvu qu’on ait l’ivresse ! Choisis l’endroit et l’ordre des positions, je me sens disposé à accomplir des prouesses.
- Voilà la preuve que ma surprise paie. J’aurais dû attendre le soir pour la dévoiler. Le temps presse, tu vas bâcler l’ouvrage, c’est dommage. Va, assieds-toi dans ton fauteuil pour une fellation rapide, ça te permettra peut-être d’attendre ton retour du travail pour des exploits de qualité.
- Trop tard, ma belle. A genoux là. Viens, suce-moi. On verra la suite après. Prends-moi en bouche et mâche consciencieusement : « L’appétit vient en mangeant. » Lèche, suce, à toi d’agir et de compléter ton entreprise de séduction.
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Les avis des lecteurs
La suite !
Le titre cache anguille sous roche. C'est fort bien raconté, limpide. Je crois deviner une déconvenue proche. J'attends la suite.