Lingeries fines … coquines 7 Du pire au meilleur
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2016 dans la catégorie Plus on est
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Lingeries fines … coquines 7 Du pire au meilleur
Suzon s’amuse comme une folle de la soumission de son Jules et de l’embarras de la maîtresse de son mari, Lili, couchée seule dans le grand lit, nue, jambes refermées, mains en coque sur les seins malmenés, les yeux brillants de larmes d’humiliation. Jules, sans doute pour obtenir le pardon obéit avec zèle. Suzon lui intime l’ordre de passer la tête sous le sommier et aussitôt il rampe sur le dos pour cacher sa tête de porc qu’elle ne veut pas voir pour l’instant. Les mots sont cruels malgré le sourire affiché.
Je vois la lutte que se livrent en elle la déception de la femme trompée et son désir de sortir par le haut de cette impasse. Toujours un bras caché dans le dos, l’épouse souriante vient vérifier la bonne exécution de l’ordre. Elle puise dans son malheur une force insoupçonnable auparavant chez une personne aussi douce. Tout à coup elle montre une autorité nouvelle qui soumet, fait plier l’arrogant Jules.
- Recule encore, ainsi tu ne seras pas tenté de te relever. Ce que nous allons faire Lili et moi n’est pas un spectacle pour toi. Ne laisse dépasser du cadre que tes jambes et ton vilain escargot rabougri. Nous pourrions en avoir besoin pour nos jeux.
Suzon m’a-t-elle oublié. Non, elle m’envoie un clin et me fait signe de patienter. Elle suit le bord du lit; je me penche et je vois ses pieds passer entre les jambes du pénitent couché. Maintenant elle utilise le haut d’une cuisse de l’homme couché comme marche pied pour grimper sur le lit. Au passage, est-ce par distraction ou intentionnellement, un de ses pieds heurte l’entrejambe du mari coureur, il fait :
-Aie !
Son cri de douleur sort Lili de sa prostration, elle tourne un regard suppliant vers Suzon et livre la profondeur de son angoisse :
- Suzon, pitié; ne me fais pas de mal. C’était la première fois, je ne recommencerai jamais. Pitié
L’écho vient de sous le lit :
- Chérie, moi non plus je ne recommencerai jamais, pitié.
L’offensée répond dans un éclat de rire !
- Vous ai-je demandé de ne plus recommencer. C’était si mauvais que ça? Ou ça valait la peine. Jules, dis-moi, Lili ne sait pas baiser ?
- Oui
- Oui quoi ? Oui =oui ou oui =non ? Elle est bonne ou elle n’est pas bonne ?
- Bonne.
- Voilà, cela me console de savoir que tu y as pris du plaisir. Il serait fâcheux de transpirer pour pas grand-chose. Et toi Lili, que penses-tu de Jules: « baise bien ou pourrait faire mieux » ?
- Ce n’est pas trop mal.
- Tu sembles déçue. Vous recommencerez plus tard. Tu ne peux pas laisser planer un doute sur ses capacités à faire jouir une femme. C’est vexant plus pour moi que pour lui. Tu voudrais affirmer que je ne lui ai pas appris à se comporter normalement avec une fille? J’avoue que son appétit particulier pour la pénétration anale ne vient pas de moi. Tes fesses et ton cul l’inspirent plus que mon sexe, car il n‘a pas habituellement accès à mon derrière. Bof, je t’ai vue y prendre ton pied. On ne va pas discuter de vos goût spéciaux. Tu fais ce que tu veux avec ton cul
- Pardon, ce n’est pas ce que je voulais dire. Ne te vexe pas. Tu continues à sourire, me montreras-tu enfin ce que tu caches dans ton dos depuis ton arrivée.
- Ce que je cache ? Moi ? Regarde et tais-toi ou je t’étrangle.
La main vide, en dehors du champ de vision de Jules, s’ouvre à trente centimètres des yeux de Lili qui confuse fait :
- Ah ? Tu me mènes en bateau. Me diras-tu enfin ce que tu veux ?
La main gauche de Suzon se pose sur les lèvres de Lili, sa droite va caresser un sein, puis l’autre. Lili est stupéfaite, désarçonnée. Elle s’attendait à voir surgir une arme, à prendre des coups de poignard. Suzon la touche avec douceur, la bouche de ma femme reçoit celle de sa rivale. Automatiquement les lèvres se happent, se cherchent luttent, les langues pointent. J’assiste à un incroyable baiser tandis que le corps de Suzon s’installe à califourchon sur le bassin de Lili.
- Voilà ce que je veux. Voilà mon fantasme. Plus je te regarde, plus j’ai envie de t’embrasser, de te serrer contre moi, de sentir la douceur et la chaleur de ta peau contre la mienne. Voilà, nous sommes nues l’une contre l’autre, je rêvais de faire l’amour avec une autre femme. Que ce soit toi, c’est merveilleux.
- Mais Suzon, crois-tu que ce soit raisonnable ?
- Était-il raisonnable d’attirer mon mari sur toi, en toi, ici, dans ton lit ? Certainement pas plus raisonnable.
- Oui, mais deux femmes… réfléchis,
- C’est tout réfléchi. Tu n’as pas aimé mon câlin, tu n’aimes pas mes lèvres, mes baisers sur tes paupières, derrière tes oreilles ? Et ça, tu n’en veux pas ?
Ça, c’est la main de Suzon sur le pubis glabre, rasé pour Jules, mais si doux à la main qui progresse vers l’entrejambe; ça c’est la caresse de cette main osée sur la vulve, c’est un index qui tourne sur le capuchon du clitoris, qui en déniche la pointe et qui lève la houle dans le ventre assailli de Lili; ça, c’est un doigt dont l’extrémité suit en l’effleurant le dessin de la fente, du clitoris à l’anus, c’est un majeur égaré à l’entrée du vagin.
- Oh ! Suzon si, c’est bon. Mais si Jean nous voyait. Et puis, ton mari, là-dessous, que va-t-il penser de nous ?
- Je m’en fous ! De toute façon, si ça se trouve, il est en train de tendre l’oreille pour entendre. Jules, tu sais ce que nous faisons ? Quant à Jean, tu aurais dû y penser avant.
Suzon se sépare de Lili, va se pencher au bord du lit et s’exclame :
- Je ne sais pas ce que mon mari pense, mais il se masturbe à pleine main, le dégoûtant. Ne t’inquiète pas pour lui. Reprenons si tu le veux bien. Tu veux ?
- Je ne savais pas que cela pouvait être aussi fort. Reviens, je t’attends. Puis-je t’appeler « ma chérie » ? … Tu m’aimes, tu aimes mon corps, tu ne nous châtieras pas? Comme ça, tu ne m’en veux pas, tu ne cherches pas à nous détruire, lui et moi ?
- En ai-je l’air ? Mes caresses ne sont pas brutales, à peine sont-elles assez appuyées pour soulever tes fesses du drap. Non, je ne veux aucun mal à la femme que je câline. Et mon mari, s’il continue à vivre avec moi, il devra le faire également en harmonie et filer droit. Jules sors de là et viens avec nous.
Lili tremble toujours, a du mal à croire à l’indulgence de Suzon
- C’est que d’habitude, les… ( Lili évite le mot qui convient « les cocus » ) les gens comme toi ou Jean sont mécontents, furieux, cassent tout, frappent parfois à mort. Jean ne sera pas aussi miséricordieux que toi. Il perdra son calme s’il me voit ainsi. Je crains le pire.
- Tu décris bien la première réaction éprouvée par les cocus lorsqu’ils découvrent leur infortune. Il est horrible de découvrir que, pour te trahir, son conjoint se cache avec une autre personne. En premier j’ai eu un goût de sang dans la bouche… En ce qui concerne le passé, avec le temps, après que Jean m’eut abandonnée pour toi, je me suis fait une philosophie. A l’époque j’aurais voulu vous tuer et peu à peu ma douleur s’est estompée et j’ai vécu des années heureuses. Il ne faut jurer de rien, Jean ne te tuera peut-être pas. J’userai de mon influence d’amie de votre couple, car nous sommes redevenus amis.
- De bon amis. Comme je regrette d’avoir cédé à un penchant pour Jules. Mais, crois-moi, c’est fini. Promets-moi juste de ne rien révéler à Jean. Dis, embrasse-moi encore,tu m’as mis le sang en feu.
- Regarde-moi cette gourde de Jules. Au lieu de rester debout à côté du lit, assieds-toi à côté de Lili. Mais si. Nous voilà proches, à trois, elle couchée, moi assise sur elle à la place qui a été la tienne et toi tout près. N’est-ce pas beaucoup mieux que de nous écharper ou de nous insulter. Faire l’amour à trois, vous m’aidez à vivre mon deuxième fantasme. Pendant que Lili et moi nous aimons, rends-toi utile, cherche avec tes doigts ou ta bouche quelles parties de nos corps tu peux exciter. Il faudra passer du duo égoïste dans lequel vous vous cachiez à mon arrivée, à des trios.
- Vraiment, ma femme, tu es formidable. Peut-être sera-t-il plus prudent de recevoir Lili chez nous afin de lui éviter de se faire pincer par Jean. Ah! Oh! Lili ta main me tient chaud, le sang revient dans ma queue.
- Suzon, ma tendre amie, c’est vrai, tu es la meilleure. Tu remplaces la rancœur par l’amitié et l’amour; à la division tu substitues l’union des cœurs et des corps. Je t’adore et je t’aimerai toujours. Ne veux-tu pas gâter mon abricot, j’ai envie de goûter au tien. Toi, chouchou assure l’accompagnement comme te le demande ta femme, nous sommes deux femmes en attente de tes bontés. Hardi, nous ne sommes pas en sucre, montre que tu es un homme.
Je découvre depuis le seuil de ma chambre le plaisir que peuvent partager deux femmes. Pas n’importe lesquelles, ma première amoureuses et ma femme choisie. Après son passage sous mon ami Jules, Lili se convertit aux délices de Lesbos ? Que m’en restera-t-il lorsque aura sévi la tornade Suzon ? L’échange est plus fiévreux que le premier. Ces deux corps nus se cherchent, rampent l’un sur l‘autre, essaient de s’ajuster au plus près. Pour moi, c’est une découverte, je reste saisi par la curiosité, immobile sur le seuil de ma chambre, frappé de stupeur et brûlant du désir de participer comme Jules.
A suivre
Je vois la lutte que se livrent en elle la déception de la femme trompée et son désir de sortir par le haut de cette impasse. Toujours un bras caché dans le dos, l’épouse souriante vient vérifier la bonne exécution de l’ordre. Elle puise dans son malheur une force insoupçonnable auparavant chez une personne aussi douce. Tout à coup elle montre une autorité nouvelle qui soumet, fait plier l’arrogant Jules.
- Recule encore, ainsi tu ne seras pas tenté de te relever. Ce que nous allons faire Lili et moi n’est pas un spectacle pour toi. Ne laisse dépasser du cadre que tes jambes et ton vilain escargot rabougri. Nous pourrions en avoir besoin pour nos jeux.
Suzon m’a-t-elle oublié. Non, elle m’envoie un clin et me fait signe de patienter. Elle suit le bord du lit; je me penche et je vois ses pieds passer entre les jambes du pénitent couché. Maintenant elle utilise le haut d’une cuisse de l’homme couché comme marche pied pour grimper sur le lit. Au passage, est-ce par distraction ou intentionnellement, un de ses pieds heurte l’entrejambe du mari coureur, il fait :
-Aie !
Son cri de douleur sort Lili de sa prostration, elle tourne un regard suppliant vers Suzon et livre la profondeur de son angoisse :
- Suzon, pitié; ne me fais pas de mal. C’était la première fois, je ne recommencerai jamais. Pitié
L’écho vient de sous le lit :
- Chérie, moi non plus je ne recommencerai jamais, pitié.
L’offensée répond dans un éclat de rire !
- Vous ai-je demandé de ne plus recommencer. C’était si mauvais que ça? Ou ça valait la peine. Jules, dis-moi, Lili ne sait pas baiser ?
- Oui
- Oui quoi ? Oui =oui ou oui =non ? Elle est bonne ou elle n’est pas bonne ?
- Bonne.
- Voilà, cela me console de savoir que tu y as pris du plaisir. Il serait fâcheux de transpirer pour pas grand-chose. Et toi Lili, que penses-tu de Jules: « baise bien ou pourrait faire mieux » ?
- Ce n’est pas trop mal.
- Tu sembles déçue. Vous recommencerez plus tard. Tu ne peux pas laisser planer un doute sur ses capacités à faire jouir une femme. C’est vexant plus pour moi que pour lui. Tu voudrais affirmer que je ne lui ai pas appris à se comporter normalement avec une fille? J’avoue que son appétit particulier pour la pénétration anale ne vient pas de moi. Tes fesses et ton cul l’inspirent plus que mon sexe, car il n‘a pas habituellement accès à mon derrière. Bof, je t’ai vue y prendre ton pied. On ne va pas discuter de vos goût spéciaux. Tu fais ce que tu veux avec ton cul
- Pardon, ce n’est pas ce que je voulais dire. Ne te vexe pas. Tu continues à sourire, me montreras-tu enfin ce que tu caches dans ton dos depuis ton arrivée.
- Ce que je cache ? Moi ? Regarde et tais-toi ou je t’étrangle.
La main vide, en dehors du champ de vision de Jules, s’ouvre à trente centimètres des yeux de Lili qui confuse fait :
- Ah ? Tu me mènes en bateau. Me diras-tu enfin ce que tu veux ?
La main gauche de Suzon se pose sur les lèvres de Lili, sa droite va caresser un sein, puis l’autre. Lili est stupéfaite, désarçonnée. Elle s’attendait à voir surgir une arme, à prendre des coups de poignard. Suzon la touche avec douceur, la bouche de ma femme reçoit celle de sa rivale. Automatiquement les lèvres se happent, se cherchent luttent, les langues pointent. J’assiste à un incroyable baiser tandis que le corps de Suzon s’installe à califourchon sur le bassin de Lili.
- Voilà ce que je veux. Voilà mon fantasme. Plus je te regarde, plus j’ai envie de t’embrasser, de te serrer contre moi, de sentir la douceur et la chaleur de ta peau contre la mienne. Voilà, nous sommes nues l’une contre l’autre, je rêvais de faire l’amour avec une autre femme. Que ce soit toi, c’est merveilleux.
- Mais Suzon, crois-tu que ce soit raisonnable ?
- Était-il raisonnable d’attirer mon mari sur toi, en toi, ici, dans ton lit ? Certainement pas plus raisonnable.
- Oui, mais deux femmes… réfléchis,
- C’est tout réfléchi. Tu n’as pas aimé mon câlin, tu n’aimes pas mes lèvres, mes baisers sur tes paupières, derrière tes oreilles ? Et ça, tu n’en veux pas ?
Ça, c’est la main de Suzon sur le pubis glabre, rasé pour Jules, mais si doux à la main qui progresse vers l’entrejambe; ça c’est la caresse de cette main osée sur la vulve, c’est un index qui tourne sur le capuchon du clitoris, qui en déniche la pointe et qui lève la houle dans le ventre assailli de Lili; ça, c’est un doigt dont l’extrémité suit en l’effleurant le dessin de la fente, du clitoris à l’anus, c’est un majeur égaré à l’entrée du vagin.
- Oh ! Suzon si, c’est bon. Mais si Jean nous voyait. Et puis, ton mari, là-dessous, que va-t-il penser de nous ?
- Je m’en fous ! De toute façon, si ça se trouve, il est en train de tendre l’oreille pour entendre. Jules, tu sais ce que nous faisons ? Quant à Jean, tu aurais dû y penser avant.
Suzon se sépare de Lili, va se pencher au bord du lit et s’exclame :
- Je ne sais pas ce que mon mari pense, mais il se masturbe à pleine main, le dégoûtant. Ne t’inquiète pas pour lui. Reprenons si tu le veux bien. Tu veux ?
- Je ne savais pas que cela pouvait être aussi fort. Reviens, je t’attends. Puis-je t’appeler « ma chérie » ? … Tu m’aimes, tu aimes mon corps, tu ne nous châtieras pas? Comme ça, tu ne m’en veux pas, tu ne cherches pas à nous détruire, lui et moi ?
- En ai-je l’air ? Mes caresses ne sont pas brutales, à peine sont-elles assez appuyées pour soulever tes fesses du drap. Non, je ne veux aucun mal à la femme que je câline. Et mon mari, s’il continue à vivre avec moi, il devra le faire également en harmonie et filer droit. Jules sors de là et viens avec nous.
Lili tremble toujours, a du mal à croire à l’indulgence de Suzon
- C’est que d’habitude, les… ( Lili évite le mot qui convient « les cocus » ) les gens comme toi ou Jean sont mécontents, furieux, cassent tout, frappent parfois à mort. Jean ne sera pas aussi miséricordieux que toi. Il perdra son calme s’il me voit ainsi. Je crains le pire.
- Tu décris bien la première réaction éprouvée par les cocus lorsqu’ils découvrent leur infortune. Il est horrible de découvrir que, pour te trahir, son conjoint se cache avec une autre personne. En premier j’ai eu un goût de sang dans la bouche… En ce qui concerne le passé, avec le temps, après que Jean m’eut abandonnée pour toi, je me suis fait une philosophie. A l’époque j’aurais voulu vous tuer et peu à peu ma douleur s’est estompée et j’ai vécu des années heureuses. Il ne faut jurer de rien, Jean ne te tuera peut-être pas. J’userai de mon influence d’amie de votre couple, car nous sommes redevenus amis.
- De bon amis. Comme je regrette d’avoir cédé à un penchant pour Jules. Mais, crois-moi, c’est fini. Promets-moi juste de ne rien révéler à Jean. Dis, embrasse-moi encore,tu m’as mis le sang en feu.
- Regarde-moi cette gourde de Jules. Au lieu de rester debout à côté du lit, assieds-toi à côté de Lili. Mais si. Nous voilà proches, à trois, elle couchée, moi assise sur elle à la place qui a été la tienne et toi tout près. N’est-ce pas beaucoup mieux que de nous écharper ou de nous insulter. Faire l’amour à trois, vous m’aidez à vivre mon deuxième fantasme. Pendant que Lili et moi nous aimons, rends-toi utile, cherche avec tes doigts ou ta bouche quelles parties de nos corps tu peux exciter. Il faudra passer du duo égoïste dans lequel vous vous cachiez à mon arrivée, à des trios.
- Vraiment, ma femme, tu es formidable. Peut-être sera-t-il plus prudent de recevoir Lili chez nous afin de lui éviter de se faire pincer par Jean. Ah! Oh! Lili ta main me tient chaud, le sang revient dans ma queue.
- Suzon, ma tendre amie, c’est vrai, tu es la meilleure. Tu remplaces la rancœur par l’amitié et l’amour; à la division tu substitues l’union des cœurs et des corps. Je t’adore et je t’aimerai toujours. Ne veux-tu pas gâter mon abricot, j’ai envie de goûter au tien. Toi, chouchou assure l’accompagnement comme te le demande ta femme, nous sommes deux femmes en attente de tes bontés. Hardi, nous ne sommes pas en sucre, montre que tu es un homme.
Je découvre depuis le seuil de ma chambre le plaisir que peuvent partager deux femmes. Pas n’importe lesquelles, ma première amoureuses et ma femme choisie. Après son passage sous mon ami Jules, Lili se convertit aux délices de Lesbos ? Que m’en restera-t-il lorsque aura sévi la tornade Suzon ? L’échange est plus fiévreux que le premier. Ces deux corps nus se cherchent, rampent l’un sur l‘autre, essaient de s’ajuster au plus près. Pour moi, c’est une découverte, je reste saisi par la curiosité, immobile sur le seuil de ma chambre, frappé de stupeur et brûlant du désir de participer comme Jules.
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