Lionel Ep01 Premier contact

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Lionel Ep01 Premier contact Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Lionel Ep01 Premier contact
Lionel Ep01
Premier contact


Lionel avait rejoint l'équipe de l'entreprise depuis un mois, pas plus. Ça ne devait pas faire plus de six mois qu'il travaillait avec nous. Rapidement on l'avait appelé Lio. Aucun rapport avec la célèbre chanteuse, ho non, ce n'était qu'un diminutif. Il était de taille très moyenne avec son mètre soixante dix, un tout petit peu plus grand que moi.

Il était trapu, épaules bien larges, musclé mais gardait des formes arrondies très douce qui lui donnait une allure très attirante. Il avait une bonne tête et un sourire très doux.

Non je n'était pas amoureux de lui mais c'est vrai qu'il n'en aurait peut être fallu beaucoup. Il devait avoir vingt trois ans, pas plus, un an de plus que moi et il était marié. Déjà marié.

Je ne comprends pas ces gens qui se marient jeunes comme ça. Mais c'est peut être parce que moi je n'ai pas encore trouvé l'homme de ma vie. Enfin lui, c'était avec une femme qu'il était marié. Nous étions les plus jeunes de l'équipe.

Ce jour là, je pensais être le dernier à partir. On avait bien transpiré, il avait fait chaud. Je décidais de prendre une douche sur place avant de partir. Comme j'étais seul, sous la douche je baissais ma garde.

J'avais toujours réussi, oh sans difficulté, personne en effet à part moi ne jouait les voyeurs, donc j'avais réussi à cacher à tous que le portais un dispositif de chasteté. Comme tout les jeunes hommes dans ma communauté je l'avais mis à l'âge de seize ans, pour mon anniversaire. C'était une sorte de passage à l'âge adulte. J'étais resté puceau, je n'avais jamais flirté, mais c'était bien les hommes, et uniquement les hommes qui me faisaient vibrer. Selon nos règles morales, c'était permis mais à condition de garder le dispositif. Deux hommes portant en permanence un dispositif de chasteté ne pouvaient que rester sages et leurs amours ne pouvaient que rester un pur échange affectif. Ça c'était permis.

Sinon, la clé était donné à la femme le jour du mariage et elle seule en disposait. Je ne faisais donc pas d'illusion, je risquais de garder ce dispositif très longtemps. Mais ça ne me dérangeait pas. J'avais même fini par en tirer un véritable plaisir, quand je bandais je sentais ma queue confinée dans une cage en titane, indestructible mais confortable.

Je vous disais donc que comme j'étais le dernier à passer sous la douche, je baissais ma garde. Le chef de groupe était à l'autre extrémité du bâtiment qui était très grand, il vérifiait les stocks ou je ne sais quoi.

Pour une fois donc je prenais ma douche dans la grande salle et non dans une cabine, il y en avait tout un tas pour les plus timides. Je laissais l'eau couler sur mon corps et je me détendais.

– Il n'y a plus que nous on dirait !

Cette phrase résonnait dans la salle, je sursautais, sous l'effet de la surprise je me retournais exhibant ma nudité particulière. C'était Lio. Il entrait dans la grande salle de la douche entièrement nu, totalement magnifique, son corps avec ses formes douces, ses muscles, il en avait croyez moi.

Et une très jolie petite bite qui se balançait, j'avais une grosse paire de couilles, c'était l'effet anneau. Un effet très connu des porteurs de cage de chasteté, il avait une jolie paire de couilles, pas si grosses que les miennes et avait cédé à la nouvelle mode, son sexe était épilé.

Sa queue n'était pas si petite que ça finalement, mais c'est vrai qu'il était était trapu. Sa bite aussi. En position repos total, elle devait déjà faire plus de quatre centimètres … De large, je vous rassure ! Elle ne devait pas faire plus de dix centimètres ou pas beaucoup plus.

Il restait tétanisé devant moi, il regardait mon dispositif. Là j'ai senti que je devenait tout rouge. Par réflexe je mettais mes mains devant mon sexe.

– Mais c'est quoi ça ?
– En fait, je suis un puritain.

Il connaissait, tout le monde connaît. Vous aussi je suppose ! C'est considéré comme une secte mais en fait nous sommes bien plus que cela, mais bon je ne vais pas faire de prosélytisme ici, ce serait totalement déplacé.

– Fais voir ! Me demandait-il.

J'écartais les mains et, je devais être rouge comme une cerise bigarreau, mais ce n'est pas à mon visage qu'il faisait attention.

– Mais tu n'as plus de bite ?
– Si mais c'est vrai qu'elle ne prend pas beaucoup de place.

Au dessus de mes couilles, il y avait la petite cage. Mes couilles s'étaient resserrées et remontaient jusqu'à la cage ne la dissimulant. Il regardait mon dispositif avec une grande attention.

– Tu m'excuse mais c'est ma première fois que je vois un truc pareil, j'en ai entendu parler bien sûr mais … Wouaaa !

Je ne savais plus trop quoi faire, je me passais du savon sur les couilles, sur la cage, enfin un peu partout, c'est vrai qu'on était dans les douches. Un peu normal quoi. Je le regardais, son corps très harmonieux me plaisait, il était vraiment très beau et si j'avais l'habitude de voir des hommes torses nue, entièrement nu, c'est plus rare. Un peu sous la douche mais sans trop oser regarder.

Là il était nu, intégralement nu en face de moi, du regard je parcourais son corps en m'attardant sur son sexe. C'est ce que l'on cache d'habitude, et c'est aussi ce qui nous obsède tous, puritains ou pas. Au début j'ai bien cru que c'était une impression mais il me semblait que sa bite pendait plus fort. Je veux dire qu'elle prenait de la longueur, et se balançait avec un peu plus d’expansion.

Ses couilles ne bougeaient pas mais sa queue s'allongeait, rapidement il fallait bien se rendre à l'évidence, ce n'était pas une impression. Son gland circoncis brillait et se gonflait. Rapidement il dépassait les cinq centimètres de larges. C'était impressionnant.

Ma queue protestait, je portais le dispositif depuis plus de six ans mais ça ne changeait pas, je bandais toujours et ma queue déjà confinée dans une cage pas très grande se retrouvait écrasée dans une cage bien trop petite.

Pour moi, rien ne se voyait, ou presque, c'est à peine si mon dispositif se relevait. Pourtant il y avait de la pression dedans, c'était de la folie. Mais pour lui sa queue se relevait, elle s'allongeait aussi, elle doublait presque en longueur et arrivait à six centimètre de large, son gland suivait, il atteignait lui aussi les six centimètres de large.

C'était impressionnant. Ça je ne l'avais jamais vu.

Il faut dire que dans mon milieu, on ne passe pas son temps à à se montrer à poil devant tout le monde. J'avais choisi de vivre en dehors de ma communauté mais je restais membre.

Je restais là, immobile incapable de réagir, j'étais sous le charme. Il me regardait.

– Je ne savais pas que c'était aussi beau un tel dispositif. Me disait-il.
– Tu en veux un aussi ? Bafouillais-je.
– Oulala non ! Mais je veux dire qu'un mec qui porte un truc pareil peut être vraiment beau. Mais c'est pas pour moi !
– C'est moi qui te mets dans cet état ? Lui demandais-je en fixant son pénis qui se relevait maintenant presque à la verticale contre son ventre.

Là il regardait son sexe mais ne répondait pas. Il avançait jusqu'au milieu de la salle et enclenchait une douche, à un mètre à peine de moi. Il commençait à se savonner le corps. Je continuais là ou je m'étais arrêté.

On se regardait dans les yeux mais pas que. Mon regard suivait les mouvements de son corps, il avait comme je vous le disais des formes harmonieuses, musclé mais doux, pas du genre bodybuildé. Mais c'était du sérieux, je l'avais vu au travail, j'avais déjà remarqué ses muscles au travail.

On ne se montrait pas à poil mais il n'y avait aucun trouble à se montrer torse nue.

Un peu comme à ce moment, enfin c'est vrai que là, on n'était pas torse nue, pas seulement torse nue.

Sa main caressait son torse, son ventre ou on pouvait deviner les formes de ses muscles. C'est imperceptiblement que je me rapprochais de lui, il en faisant de même, ou alors c'est que je le souhaitais, que je le rêvais. Pensais-je au début .

Je finissait par me retrouver à porté de main. Je tendais alors la main vers son torse, je tremblais, si j'osais ce serait alors pour moi la première fois que je toucherais un homme. Il ne bougeais pas, il laissait faire ou alors c'était le rêve que je faisais.

Sa peau était douce, il y avait des traces de savon, ma main glissait sur sa poitrine. Ou alors … Mais non ce n'était pas un rêve, sa main se posait sur la mienne et me réveillait, ce n'était pas un rêve, c'était bien mieux.

Il tendait sa main vers moi et me caressait les couilles. Je n'avais pas osé commencé par là mais lui ne s'embarrassait pas, il me tâtait les couilles.

– C'est doux, sans les poils c'est doux, j'aime bien moi aussi. Avec la cage c'est dur, ça m'a l'air bien gonflé.

Je me décidais à lui tâter les couilles moi aussi, lui aussi avait les couilles bien douces, bien épilées, mais lui elle tombaient comme deux petit sacs bien pleins. Même s'ils étaient bien plus petits que les miens.

Juste au dessus il y avait sa queue, énorme, massive et bien ferme, fièrement redressée et plaquée contre son ventre. Il n'avait pratiquement pas de poil sur le corps. Tout comme moi.

Il s'approchait de moi, chacun passait du savon sur le corps de l'autre. C'était un échange de tendresse que nous partagions à ce moment.

– Au moins avec toi on sait qu'on ne risque rien si on se penche pour ramasser son savon. Disait-il en rigolant.
– On a rien à craindre de moi ! Lui répondais-je.

Ma main descendait le long de son ventre, arrivé à la bonne hauteur je saisissais sa queue et caressait en refermant une main sur lui. Comme je me souvenais que je faisais six ou sept ans plus tôt quand je me masturbais encore.

Ma main glissait avec légèreté avec le savon, et déjà je l'entendais gémir de plaisir.

Tu as de l'expérience ? De demandait-il.
C'est la première fois que je touche le corps d'un homme ! Et toi ?
C'est une première pour moi aussi.

Nous nous regardions dans les yeux, je lui caressais la bite il me caressait les couilles et me les massait avec une certaine fermeté. C'était bon. Nos visages se sont rapproché, et avec douceur nos lèvres se touchaient.

Il avait des lèvres très douces, sa langue glissait dessus et glissait sur les miennes. Je lui rendais cette caresse. Nos corps continuaient à se rapprocher. Nos torses s'écrasaient l'un contre l'autre, je refermais mes bras sur lui, il en faisait de même. Nous partagions alors une étreinte passionnée et terriblement chaud.

L'eau ne coulait plus, le moindre bruit résonnait dans la salle et une voix.

– Il reste encore quelqu'un ?

Cet appel nous à réveillé, on sursautait, on enclenchait la douche pour se rincer, il ne nous fallait que quelques secondes et quand le chef d'équipe arrivait il nous trouvait avec une serviette autour de la ceinture. Lio avait refermé la sienne autour de son ventre pour ne rien montrer. Moi je n'avais pas grand chose à cacher, c'était peut être surprenant mais c'était discret.

– Vous n'êtes pas encore partis tous les deux. Tout va bien ?
– Tout va bien chef ! Répondait Lio.

Le chef faisait le tour des installations.

– Bien, il ne reste plus personne ici, vous êtes les derniers.

Quand il repassait j'avais eu le temps de sauter dans un pantalon et de glisser dans un T-shirt. Sans sous vêtement, c'était plus rapide, plus facile. Et puis, j'en avais un sous vêtement, il était en titane et rigide mais j'en avais un.

Je laissais Lio se débrouiller, mon instinct me disait que ma présence ne pouvait pas l'aider, bien au contraire. Et je discutait avec le chef tout en l’accompagnant vers la sortie. Lio serait plus tranquille pour s'habiller, lui, il avait une saucisse de vingt centimètres sur six à ranger dans son pantalon.

Il nous rejoignait quelques minutes plus tard, il arrivait un peu débraillé, sa chemise dépassait de tous les côtés. Le chef fermait les installations et nous saluait. Nous repartions vers le parking.

– Tu en a mis du temps pour rester débraillé. Lui faisais-je remarqué.

Il soulevait alors sa chemise et montrait une forme allongée de grosse taille qu'il n'était pas parvenu à ranger comme il fallait.

– Pas trop le choix ! Rajoutait-il.

Je montais dans ma voiture, il s'approchait.

– Ma femme est absente pendant quelques temps, sa sœur vient d'accoucher, ça te tentes de venir boire un verre ?


A suivre


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