Lionel Ep06 La soirée avec Corine
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lionel Ep06 La soirée avec Corine
Lionel Ep06
La soirée avec Corine
Le week-end se terminait tranquillement, heureusement car mon cœur ne résisterait pas bien longtemps à ce rythme. La semaine commençait tranquillement aussi. Le mercredi mon téléphone sonnait. C'était Corine.
Ma queue à explosé de colère quand j'ai entendu sa voix. Je vous jure là je n'exagère pas dans ma manière de parler. J'ai eu comme un coup de sang. En quelques secondes j'ai revécu cette soirée de folie. Ma queue poussait contre les barreaux de sa cage, elle poussait de toutes ses forces. Mon cul semblait lui aussi se manifester.
C'est là que j'ai réagi que depuis cette soirée mon cul ne m'avait plus fait mal du tout.
Elle voulait prendre des nouvelles, elle s'inquiétait de moi, de ce que je faisais, de … si j'étais libre ou pas ce soir là …
Je lui donnais mon adresse et elle me répondait.
– On emmène la pizza !
J'étais tout content, elle allait venir avec sa copine, c'était cool. Je laissais tomber la cuisine, on mangerait de la pizza. Je décidais de passer sous la douche. Ma queue protestait et s'énervait comme jamais à l'idée de revoir Corine. Je passais devant le miroir en allant prendre ma douche, je me regardais, on ne pouvait absolument pas deviner que je portais un dispositif de chasteté, pourtant je vous jure que moi je le sentais bien, ma queue était énervée et en plus je ne portais plus de sous-vêtement depuis quelques temps.
Je prenais bien le temps de laisser l'eau couler sur moi, je me détendais, j'en ressortais tout propre, je me séchais en me regardant dans le miroir. Ma queue ne se calmait pas, pourtant c'était sans espoir. La cage était en titane.
Vous savez chez les puritains on n'a pas l'habitude d'acheter de la camelote. Les dispositifs sélectionnés sont en titane et respectent toutes les règles de sécurité. Personne ne s'en ai jamais échappé.
Aussi vous comprenez que je ne m'attendais pas à avoir une copine. Pas avant le mariage, à ce moment la clé était donnée à la mariée qui en disposerait à sa volonté. Pour les garçons gay, ils devaient porter tous les deux une cage, et c'était mon cas. Enfin c'est ce que je pensais mais depuis que je connaissais Corine, je n'étais plus tout à fait sûr.
A l'heure dite, on sonnait à la porte. C'était Corine et comme je le pensais elle n'était pas seule … elle était accompagnée d'un ami. C'était un grand black, un mec énorme, enfin je veux dire grand, très grand. Il faisait plus d'une tête de plus que moi, il était beau comme un dieu, impressionnant comme un démon.
Il avait des yeux noir.
Corine nous présentait. Il s'appelait Sam. On se serrait la main.
– Alors c'est toi qui porte une cage à bite ? Me demandait Sam .
Il était directe ! Corine avait apporté trois pizzas, elle les déposait sur la table de la cuisine.
– Tu fais voir ? Continuait à demander Sam.
J'étais un peu surpris, il était un peu trop directe pour moi et je ne savais pas trop quoi faire.
– Met toi à poil ! Me suggérait Corine.
Je les regardais l'un, puis l'autre et je m’exécutais. Je commençais à me douter que ce qui affolait tout le monde c'était bien ma cage. C'est vrai que si tout le monde avait entendu parler de nous, les puritains, personne n'en connaissait vraiment de près, et encore moins de très près.
J'étais une curiosité.
Je me retrouvais entièrement à poil, Corine me suivait puis c'était le tour de Sam. Ils n'était pas là depuis un quart d'heure que nous étions déjà tous les trois à poil.
Je découvrais que Sam avait un corps magnifique, il bandait, il avait aussi une très belle queue, il était circoncis, elle se redressait fièrement contre son ventre.
Corine ne cachait pas qu'elle aimait ce corps, elle s'approchait de lui et le caressait. Ma queue réagissait immédiatement, elle ne pouvait pas sortir de sa cage mais elle tentait de casser la cage en la faisant éclater.
Ça fait des années que je porte ce truc et ma queue n'a toujours pas compris qu'elle ne peut pas sortie mais malgré tout, de temps, en temps elle se réveille et fait une tentative. Quelquefois c'est violent et ce soir là, c'était violent.
Le corps de Sam me stimulait comme jamais. Il était beau, sa queue était de belle taille mais pas trop et je me disais que cette queue-là, je pourrais me l'enfiler bien à fond.
Corine caressait le corps de Sam qui restait impassible, il bandait c'est tout. À cet instant je me suis dit que finalement, Sam, il était là pour moi, rien que pour moi.
Corine tournait autour de Sam, elle le caressait, l'embrassait, elle lui tripotait les couilles également et le branlait. Sam la laissait faire, il avait un sourire et me regardait.
Ils glissaient l'un contre l'autre dans un lent mouvement de danse qui n'avait qu'un but … Échauffer les esprits. Ils se caressaient l'un l'autre, ils s'embrassaient. Leurs mains glissaient dans les parties les plus intimes de l'autre. Ils n'avaient qu'un seul but … Se donner du plaisir. Ils se prenaient dans les bras, se serraient dans les bras. Leurs baisers étaient chauds, je vous jure à décoiffer un chauve.
Puis brusquement Corine jetais un froid. Elle s'écartait de Sam, lui caressait les couilles et la bite, se retournait vers moi.
– Bon on passe à la pizza avant qu'elle ne soit trop froide !
Elle se dirigeait alors, en tortillant du cul, vers la cuisine. Elle passait à côté de moi, me frôlait, puis écrasait sa poitrine sur la mienne en me tripotant les couilles. Et s'éloignait de moi en me caressant tout le corps en commençant par la gorge jusqu'à ma cage. Elle ne semblait avoir qu'un but … Me rendre fou !
Sam me regardait avec un large sourire et une érection très en forme. Je restais là comme in idiot avec ma cage bien pleine et ma frustration qui là, devenait infernale.
Je la suivais, Sam arrivait juste derrière moi.
Il me donnait une forte claque sur une fesse.
– Tu vas voir on en a choisi une épissée.
Puis en rigolant il rajoutait.
– C'est bon pour ce que tu as, ça fait bander, c'est aphrodisiaque …
Je me retournais vers lui, lui lançais un regard que je voulais tueur mais c'est en rigolant qu'il me répondait en me tripotant les couilles.
– Fais pas la gueule doudou, si tu es sage, je vais t'enculer !
Là il m'a fait peur. J'en rêvais, je ne pensais qu'à ça un peu plus tôt mais là, c'est comme si ça devenait concret, et là ça me faisait peur. Sa queue était plus modeste que celle de Lionel, mais … Mais c'est vrai que Lionel était un champion, de très grosse taille.
On s'est finalement installé autour de la table basse du salon. Sam s'est installé contre le canapé, Corine s'est allongée à coté de lui, la tête posée sur sa cuisse. J'étais en face, toujours pas assez à mon aise pour m'imposer et je les regardais.
Sam lui caressait les seins, et sa main se déplaçait sur tout son corps, il s'attardait longuement sur son entre jambe, elle semblait bien apprécier et le guidait avec sa main. Elle gémissait de plaisir.
Si elle tournait la tête ver Sam, son visage se retrouvait juste devant son sexe. Nous avions mangé, on se sentait sans doute plus en forme et Corine s'amusait avec la queue de Sam. Elle la caressait, Sam bandait ferme, il ne lui fallait pas grand chose, un léger coup de langue, une caresse de la main et il bandait.
Je voyais sa gland glisser dans la bouche de Corine. Ma queue me torturait, je finissais par glisser une main sur la cuisse de Corine, elle me la caressait, ne me rejetais pas, au contraire. Elle me souriait.
Sam se relevait, il installait Corine sur le tapis, un coussin sous sa tête et s'allongeait sur elle. Je manquais d'air et je ne sais pas si c'est une impression mais ma queue me faisait souffrir. On nous avait bien dit d'éviter les émotions fortes quand j'étais plus jeune. Maintenant je comprenais pourquoi.
Et ma tension ne risquait pas de descendre quand j'ai vu Sam pénétrer Corine. Il a commencé à lui donner du plaisir avec la bouche, quelques baisers sur ses parties intimes, puis c'était la langue, elle frémissait de plaisir.
Elle semblait très réceptive au moment ou il s'allongeait sur elle. Il y allait avec une grande douceur, prenant soin de ne pas l'écraser. Pour ça il était tout en retenue. Il prenait position, son gland disparaissait déjà entre les lèvres de Corine, pas les lèvres de sa bouche.
Mon cœur me faisait blagues, il s'emballait, j'avais l'impression de manquer d'air.
Il poussait tout en douceur, et son membre viril, pourtant de belle taille, glissait doucement, sans rencontrer aucune résistance, s'introduisait lentement. Corine gémissait de plaisir. Je m'approchais et lui caressais les seins. Là encore mon initiative était bien reçue.
Ma main glissait sur le corps de Corine, elle caressait aussi le corps de Sam. Lui aussi avait la peau douce. Ma main descendait jusqu'à leurs sexe. Il n'y avait pas de doute, Sam la pénétrait. Il glissait en elle, s'enfonçait, se retirait et continuait.
Je sentais ses muscles se contracter , je sentais sa force mais je sentais aussi sa douceur. Il n'écrasait pas Corine.
C'est sans doute par distraction que ma main se retrouvait sur les fesses de Sam. Là aussi je sentait tous ses muscles de contracter. Je me relevais et m'approchais. Je pouvais alors lui caresser les fesses et le dos plus facilement.
Je ne sais réellement pas quel corps me fascinait le plus, celui de Corine ou celui de Sam. Là c'était le corps de Sam que je découvrais. Mais main glissait entre ses fesses et je sentais son anus qui se contractait selon ses mouvements.
Il retournait son visage vers le mien et sans prévenir me donnait un baiser sur la bouche. Il m'encourageait à poursuivre et je poursuivais. Corine jouissait, elle gémissait et se tordait autant qu'elle le pouvait. Ce n'étaient pas des cris, c'était des plaintes des gémissements et ils étaient accompagnés de grimaces.
Je continuais à explorer les fesses de Sam, là je m'attardais sur son anus. Il me regardait et me disait juste.
– Oui maintenant !
Je glissais alors un doigt dans son cul. Ça résistait mais je forçais. C'est à ce moment qu'il à poussé un cri de jouissance. Il balançait alors des coups violents contre le ventre de Corine, il criait à ce moment.
Il jouissaient tous les deux, je sentais le cul de Sam se contacter mon doigt me donnait l'impression d'être coincé. Je le remuais et Sam semblait jouir encore plus. Il s'effondrait sur Corine et se laissait tomber à côté d'elle.
Mon doigt ressortait, sa queue ressortait et je voyais un liquide blanc qui coulait généreusement, il ressortait du corps de Corine.
Mon cœur aussi allait exploser, eux manquaient d'air, et je sentais leurs cœurs battre très fort.
Ils étaient comblés moi j'étais frustré.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
La soirée avec Corine
Le week-end se terminait tranquillement, heureusement car mon cœur ne résisterait pas bien longtemps à ce rythme. La semaine commençait tranquillement aussi. Le mercredi mon téléphone sonnait. C'était Corine.
Ma queue à explosé de colère quand j'ai entendu sa voix. Je vous jure là je n'exagère pas dans ma manière de parler. J'ai eu comme un coup de sang. En quelques secondes j'ai revécu cette soirée de folie. Ma queue poussait contre les barreaux de sa cage, elle poussait de toutes ses forces. Mon cul semblait lui aussi se manifester.
C'est là que j'ai réagi que depuis cette soirée mon cul ne m'avait plus fait mal du tout.
Elle voulait prendre des nouvelles, elle s'inquiétait de moi, de ce que je faisais, de … si j'étais libre ou pas ce soir là …
Je lui donnais mon adresse et elle me répondait.
– On emmène la pizza !
J'étais tout content, elle allait venir avec sa copine, c'était cool. Je laissais tomber la cuisine, on mangerait de la pizza. Je décidais de passer sous la douche. Ma queue protestait et s'énervait comme jamais à l'idée de revoir Corine. Je passais devant le miroir en allant prendre ma douche, je me regardais, on ne pouvait absolument pas deviner que je portais un dispositif de chasteté, pourtant je vous jure que moi je le sentais bien, ma queue était énervée et en plus je ne portais plus de sous-vêtement depuis quelques temps.
Je prenais bien le temps de laisser l'eau couler sur moi, je me détendais, j'en ressortais tout propre, je me séchais en me regardant dans le miroir. Ma queue ne se calmait pas, pourtant c'était sans espoir. La cage était en titane.
Vous savez chez les puritains on n'a pas l'habitude d'acheter de la camelote. Les dispositifs sélectionnés sont en titane et respectent toutes les règles de sécurité. Personne ne s'en ai jamais échappé.
Aussi vous comprenez que je ne m'attendais pas à avoir une copine. Pas avant le mariage, à ce moment la clé était donnée à la mariée qui en disposerait à sa volonté. Pour les garçons gay, ils devaient porter tous les deux une cage, et c'était mon cas. Enfin c'est ce que je pensais mais depuis que je connaissais Corine, je n'étais plus tout à fait sûr.
A l'heure dite, on sonnait à la porte. C'était Corine et comme je le pensais elle n'était pas seule … elle était accompagnée d'un ami. C'était un grand black, un mec énorme, enfin je veux dire grand, très grand. Il faisait plus d'une tête de plus que moi, il était beau comme un dieu, impressionnant comme un démon.
Il avait des yeux noir.
Corine nous présentait. Il s'appelait Sam. On se serrait la main.
– Alors c'est toi qui porte une cage à bite ? Me demandait Sam .
Il était directe ! Corine avait apporté trois pizzas, elle les déposait sur la table de la cuisine.
– Tu fais voir ? Continuait à demander Sam.
J'étais un peu surpris, il était un peu trop directe pour moi et je ne savais pas trop quoi faire.
– Met toi à poil ! Me suggérait Corine.
Je les regardais l'un, puis l'autre et je m’exécutais. Je commençais à me douter que ce qui affolait tout le monde c'était bien ma cage. C'est vrai que si tout le monde avait entendu parler de nous, les puritains, personne n'en connaissait vraiment de près, et encore moins de très près.
J'étais une curiosité.
Je me retrouvais entièrement à poil, Corine me suivait puis c'était le tour de Sam. Ils n'était pas là depuis un quart d'heure que nous étions déjà tous les trois à poil.
Je découvrais que Sam avait un corps magnifique, il bandait, il avait aussi une très belle queue, il était circoncis, elle se redressait fièrement contre son ventre.
Corine ne cachait pas qu'elle aimait ce corps, elle s'approchait de lui et le caressait. Ma queue réagissait immédiatement, elle ne pouvait pas sortir de sa cage mais elle tentait de casser la cage en la faisant éclater.
Ça fait des années que je porte ce truc et ma queue n'a toujours pas compris qu'elle ne peut pas sortie mais malgré tout, de temps, en temps elle se réveille et fait une tentative. Quelquefois c'est violent et ce soir là, c'était violent.
Le corps de Sam me stimulait comme jamais. Il était beau, sa queue était de belle taille mais pas trop et je me disais que cette queue-là, je pourrais me l'enfiler bien à fond.
Corine caressait le corps de Sam qui restait impassible, il bandait c'est tout. À cet instant je me suis dit que finalement, Sam, il était là pour moi, rien que pour moi.
Corine tournait autour de Sam, elle le caressait, l'embrassait, elle lui tripotait les couilles également et le branlait. Sam la laissait faire, il avait un sourire et me regardait.
Ils glissaient l'un contre l'autre dans un lent mouvement de danse qui n'avait qu'un but … Échauffer les esprits. Ils se caressaient l'un l'autre, ils s'embrassaient. Leurs mains glissaient dans les parties les plus intimes de l'autre. Ils n'avaient qu'un seul but … Se donner du plaisir. Ils se prenaient dans les bras, se serraient dans les bras. Leurs baisers étaient chauds, je vous jure à décoiffer un chauve.
Puis brusquement Corine jetais un froid. Elle s'écartait de Sam, lui caressait les couilles et la bite, se retournait vers moi.
– Bon on passe à la pizza avant qu'elle ne soit trop froide !
Elle se dirigeait alors, en tortillant du cul, vers la cuisine. Elle passait à côté de moi, me frôlait, puis écrasait sa poitrine sur la mienne en me tripotant les couilles. Et s'éloignait de moi en me caressant tout le corps en commençant par la gorge jusqu'à ma cage. Elle ne semblait avoir qu'un but … Me rendre fou !
Sam me regardait avec un large sourire et une érection très en forme. Je restais là comme in idiot avec ma cage bien pleine et ma frustration qui là, devenait infernale.
Je la suivais, Sam arrivait juste derrière moi.
Il me donnait une forte claque sur une fesse.
– Tu vas voir on en a choisi une épissée.
Puis en rigolant il rajoutait.
– C'est bon pour ce que tu as, ça fait bander, c'est aphrodisiaque …
Je me retournais vers lui, lui lançais un regard que je voulais tueur mais c'est en rigolant qu'il me répondait en me tripotant les couilles.
– Fais pas la gueule doudou, si tu es sage, je vais t'enculer !
Là il m'a fait peur. J'en rêvais, je ne pensais qu'à ça un peu plus tôt mais là, c'est comme si ça devenait concret, et là ça me faisait peur. Sa queue était plus modeste que celle de Lionel, mais … Mais c'est vrai que Lionel était un champion, de très grosse taille.
On s'est finalement installé autour de la table basse du salon. Sam s'est installé contre le canapé, Corine s'est allongée à coté de lui, la tête posée sur sa cuisse. J'étais en face, toujours pas assez à mon aise pour m'imposer et je les regardais.
Sam lui caressait les seins, et sa main se déplaçait sur tout son corps, il s'attardait longuement sur son entre jambe, elle semblait bien apprécier et le guidait avec sa main. Elle gémissait de plaisir.
Si elle tournait la tête ver Sam, son visage se retrouvait juste devant son sexe. Nous avions mangé, on se sentait sans doute plus en forme et Corine s'amusait avec la queue de Sam. Elle la caressait, Sam bandait ferme, il ne lui fallait pas grand chose, un léger coup de langue, une caresse de la main et il bandait.
Je voyais sa gland glisser dans la bouche de Corine. Ma queue me torturait, je finissais par glisser une main sur la cuisse de Corine, elle me la caressait, ne me rejetais pas, au contraire. Elle me souriait.
Sam se relevait, il installait Corine sur le tapis, un coussin sous sa tête et s'allongeait sur elle. Je manquais d'air et je ne sais pas si c'est une impression mais ma queue me faisait souffrir. On nous avait bien dit d'éviter les émotions fortes quand j'étais plus jeune. Maintenant je comprenais pourquoi.
Et ma tension ne risquait pas de descendre quand j'ai vu Sam pénétrer Corine. Il a commencé à lui donner du plaisir avec la bouche, quelques baisers sur ses parties intimes, puis c'était la langue, elle frémissait de plaisir.
Elle semblait très réceptive au moment ou il s'allongeait sur elle. Il y allait avec une grande douceur, prenant soin de ne pas l'écraser. Pour ça il était tout en retenue. Il prenait position, son gland disparaissait déjà entre les lèvres de Corine, pas les lèvres de sa bouche.
Mon cœur me faisait blagues, il s'emballait, j'avais l'impression de manquer d'air.
Il poussait tout en douceur, et son membre viril, pourtant de belle taille, glissait doucement, sans rencontrer aucune résistance, s'introduisait lentement. Corine gémissait de plaisir. Je m'approchais et lui caressais les seins. Là encore mon initiative était bien reçue.
Ma main glissait sur le corps de Corine, elle caressait aussi le corps de Sam. Lui aussi avait la peau douce. Ma main descendait jusqu'à leurs sexe. Il n'y avait pas de doute, Sam la pénétrait. Il glissait en elle, s'enfonçait, se retirait et continuait.
Je sentais ses muscles se contracter , je sentais sa force mais je sentais aussi sa douceur. Il n'écrasait pas Corine.
C'est sans doute par distraction que ma main se retrouvait sur les fesses de Sam. Là aussi je sentait tous ses muscles de contracter. Je me relevais et m'approchais. Je pouvais alors lui caresser les fesses et le dos plus facilement.
Je ne sais réellement pas quel corps me fascinait le plus, celui de Corine ou celui de Sam. Là c'était le corps de Sam que je découvrais. Mais main glissait entre ses fesses et je sentais son anus qui se contractait selon ses mouvements.
Il retournait son visage vers le mien et sans prévenir me donnait un baiser sur la bouche. Il m'encourageait à poursuivre et je poursuivais. Corine jouissait, elle gémissait et se tordait autant qu'elle le pouvait. Ce n'étaient pas des cris, c'était des plaintes des gémissements et ils étaient accompagnés de grimaces.
Je continuais à explorer les fesses de Sam, là je m'attardais sur son anus. Il me regardait et me disait juste.
– Oui maintenant !
Je glissais alors un doigt dans son cul. Ça résistait mais je forçais. C'est à ce moment qu'il à poussé un cri de jouissance. Il balançait alors des coups violents contre le ventre de Corine, il criait à ce moment.
Il jouissaient tous les deux, je sentais le cul de Sam se contacter mon doigt me donnait l'impression d'être coincé. Je le remuais et Sam semblait jouir encore plus. Il s'effondrait sur Corine et se laissait tomber à côté d'elle.
Mon doigt ressortait, sa queue ressortait et je voyais un liquide blanc qui coulait généreusement, il ressortait du corps de Corine.
Mon cœur aussi allait exploser, eux manquaient d'air, et je sentais leurs cœurs battre très fort.
Ils étaient comblés moi j'étais frustré.
A suivre
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