Lisa l'étudiante, fin de week-end tranquille

- Par l'auteur HDS Santiano -
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Lisa l'étudiante, fin de week-end tranquille Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Lisa l'étudiante, fin de week-end tranquille
Hier, j'ai vécu une soirée mémorable en discothèque. Je me suis bien amusé avec la petite bande.
J'ai par la même occasion rencontré un charmant jeune homme de vingt-cinq ans, il s'appelle Teddy et nous avons fait une séance photo à l'étage de la boite de nuit. Après avoir bu une coupe de champagne, j'ai échangé un plaisir charnel avec ce garçon. À la fin de notre entrevue, il m'a proposé de travailler deux heures par semaine pour lui, afin d'être son modèle.
Ravi d'avoir trouvé un travail d'appoint, j'ai rejoint mes amis puis nous sommes rentrés à la résidence universitaire.

Il est presque quatorze heures, je me réveille avec la tête dans le brouillard.
Je décide de prendre une douche, et de boire un café afin de me remettre en forme.
Dans le même temps, j'en profite pour prendre l'air sur mon balcon, puis je range mon appartement.
J'enfile un jogging puis un débardeur, je mets mon linge dans la panière puis je descends au sous-sol de la résidence pour nettoyer mon linge dans la buanderie.
Dans le couloir, je croise Sonia et Loïc, je les salue puis je continue ma route.
J'arrive dans une pièce éclairée par des néons blancs qui me font mal aux yeux.
J'ouvre l'une des machines à laver, y met mes vêtements. Le programme dure une heure.
Je m'assois sur une chaise, et le ronronnement de l'appareil me plonge dans un léger sommeil.

Au bout d'un quart d'heure, je suis réveillé par un grognement masculin. Charles et Mathieu sont présents devant moi. Je leur fais la bise, puis nous discutons de tout et de rien, quand tout à-coup l'un d'eux me demande où j'étais passé pendant une heure lors de la soirée discothèque.
Je leur dis la vérité, mais elle ne leur plaît pas et me dit de faire attention afin de ne pas tomber dans un engrenage dont je ne pourrais maîtriser les faits.

Mathieu qui connaît mon problème, me dit que je ne devrais pas continuer cette aventure. Je lui réponds que c'est pour me faire de l'argent de poche et que si l'activité s'envenime, je me retirerai de cet environnement. Méfiant, il me demande de tout lui raconter, il est très protecteur avec moi, et je pense que ça pourrait vraiment être un compagnon idéal, mais pour l'instant, je suis dans l'euphorie de vouloir réussir dans la mode.

Ma machine à laver s'arrête, je prends mon linge et je retourne dans ma chambre. Je le fais sécher sur mon balcon. Puis j'entends toquer, c'est Sonia et Florine, elles me proposent d'aller au cinéma en compagnie de Valentin, de Mathieu et de Loïc.

L'invitation me plaît bien, je prends le temps de me préparer, je me mets un jean, un débardeur plus une petite laine sur les épaules. L'automne arrive et la fraîcheur de la température se fait sentir en cette fin du mois de septembre. Nous prenons le tramway et nous arrivons devant un ancien bâtiment en pierre. Il s'agit de la gare d'Orléans à Bordeaux, il y a des restaurants et plusieurs salles de cinéma à l'intérieur du bâtiment. Nous entrons dans le lieu, des affiches proposentplusieurs films, nous choisissons à l'unisson une comédie française.

Nous pénétrons dans la salle. Les couples se mettent côte à côte. Je retrouve une certaine proximité avec Mathieu. Les premières publicités apparaissent sur l'écran. Valentin et Florine s'embrasse avec passion, c'est vraiment un beau duo. De son côté, Sonia est très câline avec Loïc, puis la salle plonge dans le noir. Je ris de bon cœur même un peu trop fort, mais le film est vraiment marrant.

Mon cavalier tente une approche et me prend par la main. Je me sens bien, mais au bout de deux heures le film se termine. Il est aux alentours de vingt heures, nous décidons d'aller manger un morceau dans un pub irlandais qui se situe à proximité du cinéma.
Ce soir Mathieu est très agréable, nous sommes très complices. C'est une soirée qui se déroule à merveille. Même Sonia qui a pour habitude d'être enjôleuse est très calme. Nous mangeons puis nous partons en direction du bar qui se situe à proximité de la résidence universitaire pour boire une petite bière.

Il est presque minuit, je suis fatigué de la nuit précédente et je veux rentrer à l'appartement.
La petite bande nous suit.

Mathieu me raccompagne jusqu'à ma porte, je l'invite à accompagner ma nuit. Nous nous asseyons sur le lit, je lui propose de boire un café, puis nous discutons. Il me dévoile un peu plus ses sentiments, me dit qu'il aimerait vraiment que mes soucis de pulsions sexuelles puissent se calmer afin de mener une vie de couple classique. Ses paroles me font chaud au cœur, je suis émue, presque aux bords des larmes.

C'est la première fois qu'un homme me parle comme ça. Et rien que pour ça, je ferais les efforts nécessaires pour calmer mes soucis. Mais je suis prise entre plusieurs pensées, d'abord les études, ensuite les séances de photos, mais aussi l'amour.

Je pose ma tête contre l'épaule de Mathieu, quelques fois, je la relève pour sentir la douceur de ses lèvres se poser sur les miennes. Ce soir, je vis la sensualité et la tendresse de ce jeune homme qui me plaît énormément. Je passe ma main dans son dos, il sursaute un peu la caresse légère de mes doigts a dû lui procurer un petit frisson, j'ai envie de lui, mais pas la même envie que d'habitude, cette fois-ci, je veux partager de l'amour passionnel.

Ma bouche se dirige vers son cou, je lui fais pleins de bisous, et je le vois se tordre de plaisir.
Il se couche sur le dos, je me mets à califourchon sur lui, et je lui fais un câlin habillé. Je me sens vraiment en sécurité avec lui.

Puis au fur et à mesure, je lui enlève sa chemise, son pantalon, il fait de même avec mes vêtements.
Nous sommes l'un contre l'autre en sous-vêtements. J'ai des petits picotements dans le bas de mon ventre. Face à face, nous nous caressons, nous nous embrassons avec passion, je suis vraiment aux anges.

Je glisse ma main dans son caleçon, je prends son membre, et je glisse petit à petit pour le prendre en bouche. Je fais quelques allers-retours, puis je me remets dans le bon sens. Il m'ôte mes sous-vêtements, me voilà nue face à lui. Il saisit ma poitrine, la lèche, la caresse, titille mes tétons qui pointent fièrement, je commence à sentir la chaleur envahir mon corps.

Il descend petit à petit vers mon puits d'amour, il écarte mes jambes, puis plonge sa tête sur ma vulve.
Il me lèche divinement bien, il joue avec mon clitoris ce qui ne manque pas de me faire monter dans les tours, il insère un doigt puis deux entre mes lèvres, et là, c'est le décollage vers le plaisir.

Il se relève pour me pénétrer, il cherche un préservatif et je lui dis que non, ce soir, je veux sentir son liquide du plaisir exploser au fond de moi. Cette phrase a dû l'exciter puisqu'il m'a prise tout de suite, les vas et vient sont lents et rapides à la fois, je me positionne à quatre pattes, il me fait une levrette d'anthologie, puis je décide de faire le chandelier, j'ai vraiment envie de ressentir les choses, puis dans un cri commun, nous jouissons ensemble. Je reste quelques instants sur son sexe, puis me retire.

Ce soir, j'ai vraiment pris un énorme plaisir et visiblement, celui-ci est partagé. Nous nous endormons petit à petit, je sens son sperme bouger dans le bas de mon ventre. Pendant toute la journée de dimanche, j'ai reçu beaucoup de tendresses et d'amour, je commence vraiment à m'attacher à Mathieu, mais il faut surtout soigner ce mal que j'ai en moi de ne pas pouvoir contrôler mes pulsions sexuelles.

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Texte coquin : Lisa l'étudiante, fin de week-end tranquille
Histoire sexe : Une rose rouge
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