Lisa la copine de mon pote (suite)

- Par l'auteur HDS Jean-pierre-60 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Lisa la copine de mon pote (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(7.0 / 10)

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Lisa la copine de mon pote (suite)
Voici la suite de mon aventure avec Lisa la copine de mon pote.
Dès le lendemain je revins chez elle pour continuer les travaux et surtout pour la baiser à nouveau mais je tombai des nues quand elle m’ouvrit la porte et m’expliqua que cela avait été une grosse bêtise qu’il fallait oublier. J’essayai de la convaincre de recommencer ne serait-ce qu’une seule fois mais mes arguments ne réussissaient pas à la faire changer d’avis, elle me repoussait et quand je fis mine de sortir ma queue qui bandait déjà elle me menaça de tout raconter à mon pote même si elle devait en payer le prix fort.
Dégouté je me mis quand même à bosser tout en ruminant dans mon coin. Lisa qui d’habitude venait tourner autour de moi pour m’aguicher ne vint pas une seule fois dans la pièce où je bossais et quand je partis elle ne me fit même pas la bise. Ce soir-là c’est ma femme qui eut le droit à mes coups de queue. Moi qui d’habitude aime faire l’amour la lumière allumée je l’éteignis pour pouvoir imaginer le corps de Lisa alors que c’est ma femme que je pénétrais. Je la fis mettre en levrette comme l’était Lisa quand je l’avais prise sur le canapé et l’enfila vigoureusement. Quand elle se mit à gémir je lui plaquai ma main sur la bouche car ses gémissements ne correspondaient pas à ceux de Lisa et m’empêchaient d’être tout à mon fantasme.
De l’autre main je lui tenais une épaule afin de pouvoir m’enfoncer en elle sans qu’elle ne puisse avancer.
N’arrivant pas à retrouver les sensations que j’avais connues avec Lisa je ne me retins pas et en quelques minutes je me vidai dans la chatte de ma femme. Celle-ci, peu portée sur le sexe, ne s’en offusqua pas et fila à la salle de bain. Bien qu’ayant joui j’eu du mal à trouver le sommeil toujours aussi énervé par le refus de Lisa.
Quand je revins chez Lisa c’était avec mon pote. Je m’attendais au même accueil distant mais sans doute pour ne pas éveiller les soupçons de mon pote elle fut très chaleureuse. Elle me fit la bise comme si de rien était et vint plusieurs discuter avec nous pendant que nous bricolions. Ce jour-là elle portait un ensemble de jogging blanc. Si le haut qui était fermé m’empêchait de voir sa poitrine en revanche le bas qui se tendait sur ses fesses quand elle se penchait me permis de deviner un string blanc qui se perdait entre ses fesses.
A midi nous mangeâmes tous les trois et elle rit à nouveau à mes histoires cochonnes même si elle baissait les yeux quand je la dévisageais.
Après manger elle s’approcha de mon pote et lui dit qu’elle allait faire la sieste. Comme il ne réagissait pas je lui dis alors qu’il pouvait aller la rejoindre mais il me dit qu’il fallait avancer.
« Vas-y ! Je continuerai tout seul.» lui dis-je. Mais malgré cela il resta avec moi. Je me dis en moi-même qu’avec une nénette pareille je n’aurais pas hésité une seconde. Soudain une idée germa dans mon esprit.
« Si tu veux que ça avance il faut aller chercher du ciment, on n’en aura pas assez pour aujourd’hui. »
« Tu es sûr ? » me répondit-il.
Comme c’était moi le spécialiste il me fit confiance et 5 mn plus tard je le vis partir avec sa voiture. Il lui fallait 15 bonnes minutes pour aller au magasin autant pour revenir et au moins la même chose pour trouver le ciment et passer en caisse surtout un samedi. J’avais donc 45mn devant moi.
Aussitôt je posai mes outils et montai voir Lisa.
« Qu’est-ce que tu fais là ? » me dit-elle.
« Dom est parti faire une course et je venais vois si tu n’avais besoin de rien. ».
« Non merci. »
« Tu es sûre ? Pourtant tout à l’heure tu donnais l’impression d’avoir envie de quelque chose. » et tout en lui disant ça j’ouvris ma braguette et extirpai ma queue déjà en pleine forme.
« Je t’ai déjà qu’on a commis une erreur et que je ne veux plus. Range ça et redescend ! Dom va revenir. »
« Pas avant ¾ d’heure ce qui me laisse le temps de te donner ce qu’il t’a refusé. Je sais que tu en as envie.» et avant qu’elle ait eu le temps de réagir je tirai d’un coup sec sa couette.
Son corps m’apparut aussi excitant que la dernière fois mais surtout j’eus le temps de voir sa main ressortir de son string.
« Tu vois petite cochonne que tu en as envie. Allez n’aies pas honte. Touche-toi ! Regarde je le fais bien. » et tout en lui parlant je me mis à me branler doucement.
Elle était rouge de honte et peut-être d’excitation. Sa vraie nature reprenait le dessus et sa main redescendit vers son string. Je m’approchai alors de son visage et elle engloutit ma queue avec douceur tout en continuant de se toucher à travers son string.
N’ayant pas toute l’après-midi devant moi j’ôtai rapidement ma salopette et mon tee-shirt et après lui avoir enlevé son string mes doigts vinrent remplacer les siens sur sa chatte. Deux de mes doigts entrèrent avec facilité dans son minou déjà très humide. Je m’accroupis et vins respirer sa chatte. Elle sentait bon. Encore fraîche de sa toilette du matin mais déjà imprégnée de son odeur de femelle. Je la léchais de bas en haut m’attardant sur le piercing qui ornait son clitoris. Ma queue était tendue et j’en caressai le bout avec le string que j’avais ôté à Lisa.
Soudain ses mains qui caressaient mes cheveux me plaquèrent sur sa chatte et elle poussa un long cri de jouissance. Je me relevai bien décidé à la pénétrer. Je pris un préservatif que j’enfilai facilement sur ma queue raide et m’avançai vers Lisa.
« Attends viens ici » me dit-elle en me faisant contourner le lit. Je découvris alors une glace sur les portes de son placard et je compris qu’elle souhaitait que je la prenne de manière à ce qu’elle puisse se voir. Une vraie cochonne cette Lisa.
Je m’exécutai donc à genoux derrière elle qui m’offrait son joli cul bien haut. Je rentrai facilement dans sa chatte maintenant trempée de son jus et de ma salive mais aussitôt elle contracta les muscles de son vagin pour bien me sentir en elle. J’avais l’impression que ma queue était massée à l’intérieur de son petit minou.
Tout en la baisant je la regardais dans le miroir et me régalais de son regard de petite salope et sa belle bouche de cochonne.
Sachant qu’elle aimait ça je l’encourageais par des « tu aimes ça salope, tu aimes te faire défoncer, t’es une cochonne, tu la sens bien ma queue ? »
A quoi elle répondait « oh oui baise-moi, prends-moi comme une salope, défonce moi la chatte ! ».
L’heure tournait et je jetais de temps en temps un œil sur le radio-réveil. Il me restait 20 mn. Je décidai de voir à quel point elle aimait le sexe. Tout en la limant je caressais ses fesses puis m’aventurais vers son petit trou que je me mis à caresser avec mon pouce. Comme elle ne disait rien je tentai de m’y introduire après l’avoir enduit de salive. Après une brève résistance mon pouce entra et Lisa ne dit rien. Je me mis donc à lui branler son petit trou avec le pouce puis considérant qu’il était assez ouvert je sortis ma queue et la posa à l’entrée de son petit trou. Je fis couler un filet de base sur celui-ci puis délicatement je poussai mon gland à l’intérieur. Lisa fermait les yeux et se mordait les lèvres. Mon gland entra d’un coup et Lisa rejeta la tête en arrière. Je commençai alors à aller et venir alors que les gémissements de Lisa reprenaient de plus belle. Je me relevai pour pouvoir la sodomiser plus à mon aise. Bientôt ma queue fut entièrement au fond de son trou et j’accélérai le mouvement. Ses cris augmentèrent ainsi que le débit des cochonneries qu’elle me disait.
« Vas-y défonce moi le cul, j’aime ça, je suis ta chienne, encule-moi à fond ! » Je n’avais jamais connu une fille aussi cochonne.
Voyant qu’il nous restait peu de temps je ne retins plus et me vidai les couilles abondamment. Rapidement je me rhabillai et redescendis bosser. 5 mn après Dom arrivait avec un sac de ciment que nous n’utilisâmes même pas ce jour là.
Lisa redescendit 30 mn après en disant à Dom qu’elle avait bien dormi. Je m’aperçu alors qu’elle avait remis le string sur lequel j’avais frotté mon gland. Cette pensée redonna instantanément un peu de vigueur à ma queue.
De même quand, en fin d’après-midi, je fis la bise à Lisa à l’écart de Dom et que celle-ci me glissa un « Merci ! » à l’oreille tout en étreignant ma queue. Je partis à regret.

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