Lisa - Troisième étape
Récit érotique écrit par Hugo_SW75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lisa - Troisième étape
Après l'épisode du Mask, Lisa s'était calmée quelques jours - sans pour autant cesser de se masturber régulièrement en repensant aux regards qui avaient parcouru son corps et aux deux inconnus qui avaient saisis sa taille et l'avaient baisée...
Une semaine plus tard, le week-end, elle n'avait pu résister à l'idée de recontacter Eric et Julie. Pour réponse, ils se contentairent d'un simple "prête pour la suite ?", auquel Lisa répondit "oui !" suivi d'un smiley qu'elle voulait décontracté...
Le couple fut ensuite assez clair sur leurs conditions : elle devrait les rejoindre dans un hotel parisien, vêtue uniquement d'un imperméable et de talons aiguilles. Lisa, même si, bien sûr, elle s'attendait à quelque chose de ce genre, rougit immédiatement.
Quelques heures plus tard, son imperméable posé sur son lit, elle commençait à se déshabiller lentement devant le miroir de sa chambre. Elle pris le temps de faire glisser sa robe, puis de faire tomber son soutien gorge, avant de caresser ses gros seins sur lesquels tombaient sa crinière rousse. Elle retira ensuite son string, et constata avec un sourire que sa mouille avait déjà trempé le sous-vêtement...
Elle se maquilla, passa l'imperméable, frissonnant au contact du vêtement sur sa peau nue, avant d'appeler un taxi.
Elle descendit son escalier, tenant les pans de son imperméable de manière maladroite, s'imaginant que tout le monde pouvait apercevoir sa chatte et ses fesses généreuses lors de chacun de ses mouvements. Elle ne croisa aucun voisin, mais la simple possibilité contribua à la faire rougir. Le contact du vêtement sur son cul et l'idée de franchir la porte de l'immeuble pour traverser la rue et rejoindre le taxi la rendaient dingue...
Elle trembla légèrement au moment de franchir le seuil de l'immeuble. Elle frissonnait de sentir son sexe à l'air libre. Elle regarda droit devant elle en traversant la rue - tout en imaginant que tout le monde la matait...
Au moment de monter dans le taxi, son imperméable remonta sur ses cuisses nues, offrant une vue plongeante sur son entrejambe à un passant qui lui adressa un sourie en coin. Lisa était morte de honte.
Dans le taxi, elle tenait fermement les deux pans de son vêtement sur sa poitrine. Elle indiqua l'adresse, tout en se demandant si le chauffeur se doutait de quelque chose. Elle mouillait comme rarement - le contact du cuir de la berline sur ses fesses l'excitait au plus haut point. Elle se mordillait les lèvres à l'idée qu'un passant ait vu sa chatte... Il avait dû la prendre pour une pute...
Durant le trajet, elle se demanda si elle allait tacher le siège en mouillant. Elle sentait les deux lèvres de son sexe écrasées sur le cuir...
Une fois sur place, elle entrepris de descendre maladroitement, en serrant les cuisses et en tenant son imperméable : elle ne réussi au final qu'à attirer encore plus les regards sur ses cuisses nues, que ses talons aiguilles mettaient en valeur. Elle avait l'impression d'être complètement à poil.
Il s'agissait d'un grand hotel cossu du huitième arrondissement, elle traversa le hall prestement, pour rejoindre les ascenseurs. Quelques secondes plus tard, elle se retrouvait dans la cabine de l'ascenseur, en compagnie de deux jeunes hommes un peu emmechés, qui regardaient ses cuisses plus que lourdement. Elle ressera encore son unique vêtement et serra les cuisses. Elle sentait sa mouille commencer à couler sur le haut de ses cuisses et avait peur que ça se voit...
L'étage arriva enfin et elle se précipita dans le couloir, perchée sur ses talons. Elle entendit les deux jeunes hommes ricaner au moment où la porte de l'ascenseur se fermer. Le couloir était désert, mais elle ne se sentait pas plus à l'aise pour autant : elle appréhendait le moment où elle allait rentrer dans la chambre.
Elle frappa. Éric lui ouvrit après de longues secondes.
"Je te débarrasse ?"
Elle fut décontenancée mais rit nerveusement. Mais Éric ne bougeait pas. Ses yeux s'ecarquillerent lorsqu'elle compris qu'il lui demandait de se mettre intégralement nue dans le couloir de l'hôtel.
Éric ne disait rien mais affichait un sourire en coin. Elle aperçut derrière lui Julie, qui la regardait fixement, attendant qu'elle obéisse.
Elle commençait à dégrafer un bouton, puis deux, laissant apparaître une grande partie de sa poitrine imposante.
Puis un bruit de porte : un client sortait d'une chambre quelques mètres plus loin ! Lisa referma rapidement son imperméable, cramoisie, attendant que le client, un homme bedonnant, la cinquantaine, bien mis, traverse le couloir en direction des ascenseurs.
Une fois passé, Éric lui fit signe de continuer. Elle s'exécuta, et eu bientôt complètement déboutonné le vêtement, découvrant ses seins, son sexe et ses cuisses, les offrant au regard du couple. Éric tendit sa main afin de récupérer l'imperméable. Jetant un œil à gauche et à droite, Lisa fit glisser le vêtement et se retrouva entièrement nue dans le couloir, stressée à l'idée qu'un client de l'hôtel ait l'idée de sortir de sa chambre à cet instant...
Elle fut mine de rentrer dans la chambre mais Éric ne bougea pas, lui interdisant toujours l'entrée. Elle couvrît ses seins avec ses bras, paniquée à l'idée qu'ils la laissent dans le couloir, à poil et morte de honte. Éric lui fit signe de l'index de tourner sur elle même. À nouveau, elle s'exécuta et leur présenta son dos, sa cambrure et sa croupe. Elle entendit Julie dire à Éric "Elle a quand même un joli cul..."
Éric lui fit signe de rentrer.
Une semaine plus tard, le week-end, elle n'avait pu résister à l'idée de recontacter Eric et Julie. Pour réponse, ils se contentairent d'un simple "prête pour la suite ?", auquel Lisa répondit "oui !" suivi d'un smiley qu'elle voulait décontracté...
Le couple fut ensuite assez clair sur leurs conditions : elle devrait les rejoindre dans un hotel parisien, vêtue uniquement d'un imperméable et de talons aiguilles. Lisa, même si, bien sûr, elle s'attendait à quelque chose de ce genre, rougit immédiatement.
Quelques heures plus tard, son imperméable posé sur son lit, elle commençait à se déshabiller lentement devant le miroir de sa chambre. Elle pris le temps de faire glisser sa robe, puis de faire tomber son soutien gorge, avant de caresser ses gros seins sur lesquels tombaient sa crinière rousse. Elle retira ensuite son string, et constata avec un sourire que sa mouille avait déjà trempé le sous-vêtement...
Elle se maquilla, passa l'imperméable, frissonnant au contact du vêtement sur sa peau nue, avant d'appeler un taxi.
Elle descendit son escalier, tenant les pans de son imperméable de manière maladroite, s'imaginant que tout le monde pouvait apercevoir sa chatte et ses fesses généreuses lors de chacun de ses mouvements. Elle ne croisa aucun voisin, mais la simple possibilité contribua à la faire rougir. Le contact du vêtement sur son cul et l'idée de franchir la porte de l'immeuble pour traverser la rue et rejoindre le taxi la rendaient dingue...
Elle trembla légèrement au moment de franchir le seuil de l'immeuble. Elle frissonnait de sentir son sexe à l'air libre. Elle regarda droit devant elle en traversant la rue - tout en imaginant que tout le monde la matait...
Au moment de monter dans le taxi, son imperméable remonta sur ses cuisses nues, offrant une vue plongeante sur son entrejambe à un passant qui lui adressa un sourie en coin. Lisa était morte de honte.
Dans le taxi, elle tenait fermement les deux pans de son vêtement sur sa poitrine. Elle indiqua l'adresse, tout en se demandant si le chauffeur se doutait de quelque chose. Elle mouillait comme rarement - le contact du cuir de la berline sur ses fesses l'excitait au plus haut point. Elle se mordillait les lèvres à l'idée qu'un passant ait vu sa chatte... Il avait dû la prendre pour une pute...
Durant le trajet, elle se demanda si elle allait tacher le siège en mouillant. Elle sentait les deux lèvres de son sexe écrasées sur le cuir...
Une fois sur place, elle entrepris de descendre maladroitement, en serrant les cuisses et en tenant son imperméable : elle ne réussi au final qu'à attirer encore plus les regards sur ses cuisses nues, que ses talons aiguilles mettaient en valeur. Elle avait l'impression d'être complètement à poil.
Il s'agissait d'un grand hotel cossu du huitième arrondissement, elle traversa le hall prestement, pour rejoindre les ascenseurs. Quelques secondes plus tard, elle se retrouvait dans la cabine de l'ascenseur, en compagnie de deux jeunes hommes un peu emmechés, qui regardaient ses cuisses plus que lourdement. Elle ressera encore son unique vêtement et serra les cuisses. Elle sentait sa mouille commencer à couler sur le haut de ses cuisses et avait peur que ça se voit...
L'étage arriva enfin et elle se précipita dans le couloir, perchée sur ses talons. Elle entendit les deux jeunes hommes ricaner au moment où la porte de l'ascenseur se fermer. Le couloir était désert, mais elle ne se sentait pas plus à l'aise pour autant : elle appréhendait le moment où elle allait rentrer dans la chambre.
Elle frappa. Éric lui ouvrit après de longues secondes.
"Je te débarrasse ?"
Elle fut décontenancée mais rit nerveusement. Mais Éric ne bougeait pas. Ses yeux s'ecarquillerent lorsqu'elle compris qu'il lui demandait de se mettre intégralement nue dans le couloir de l'hôtel.
Éric ne disait rien mais affichait un sourire en coin. Elle aperçut derrière lui Julie, qui la regardait fixement, attendant qu'elle obéisse.
Elle commençait à dégrafer un bouton, puis deux, laissant apparaître une grande partie de sa poitrine imposante.
Puis un bruit de porte : un client sortait d'une chambre quelques mètres plus loin ! Lisa referma rapidement son imperméable, cramoisie, attendant que le client, un homme bedonnant, la cinquantaine, bien mis, traverse le couloir en direction des ascenseurs.
Une fois passé, Éric lui fit signe de continuer. Elle s'exécuta, et eu bientôt complètement déboutonné le vêtement, découvrant ses seins, son sexe et ses cuisses, les offrant au regard du couple. Éric tendit sa main afin de récupérer l'imperméable. Jetant un œil à gauche et à droite, Lisa fit glisser le vêtement et se retrouva entièrement nue dans le couloir, stressée à l'idée qu'un client de l'hôtel ait l'idée de sortir de sa chambre à cet instant...
Elle fut mine de rentrer dans la chambre mais Éric ne bougea pas, lui interdisant toujours l'entrée. Elle couvrît ses seins avec ses bras, paniquée à l'idée qu'ils la laissent dans le couloir, à poil et morte de honte. Éric lui fit signe de l'index de tourner sur elle même. À nouveau, elle s'exécuta et leur présenta son dos, sa cambrure et sa croupe. Elle entendit Julie dire à Éric "Elle a quand même un joli cul..."
Éric lui fit signe de rentrer.
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